Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityAlways the sames { Madi'
Le Deal du moment : -25%
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 ...
Voir le deal
749.99 €


Always the sames { Madi'

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

MORNING
   
COFFEE.
   

 
   


   
A peine avoir mis les deux pieds à Harvard que les vacances me manquaient déjà. Certes j’avais adoré retrouvé mes amis Mather, car minent de rien ils m’avaient manqués comme des dingues ! Mais la plage, le soleil et les délires me manquaient déjà. Je savais bien que cette nouvelle année sera toute aussi riche en émotion, mais je me retrouvais quand même un brin nostalgique. J’appréhendais aussi beaucoup cette rentrée. Pourquoi ? Non pas parce que je me demandais qui allait être dans ma classe ou encore sur quel prof j’allais tombé, mais plutôt parce que depuis ce Summer Camp il y avait eu quelques petits changements dans ma vie à commencer par le fait que je n’étais plus en couple et je devais bien avouer que je ne réalisais toujours pas et que ça me faisait bizarre de m’avouer ça à moi. Moi, Austin Da Silva, le mec qui s’est fait la plupart des nanas l’année passée.

Même si je pensais à ce petit détail, je n’en pensais pas moins à la victoire de mon équipe et je pouvais revenir à Harvard que fier d’avoir été un Rhumtabaga le temps d’un été. Mais revenons à cette nouvelle rentrée. Je me disais que j’avais encore un peu de temps devant moi sachant que le mois d’août n’était pas encore fini. Encore un peu de temps pour souffler et voir mes amis. La première personne que j’avais décidé de voir avait été Madisson et normale, elle tenait toujours le rôle de ma meilleure amie et je ne l’oublierais jamais.

En fait, j’avais tout simplement donné rendez-vous à la demoiselle au parc, un truc simple et qui me ressemblait. Il était dix heures du matin et pour dire vrai, j’avais été pris d’une crise d’insomnie –pour changer- c’est la raison pour laquelle dès six heures du matin j’avais décidé de faire un petit jogging. Ça m’arrivait de temps en temps et autant prendre les bonnes résolutions dès maintenant, car j’avais dû un peu abuser durant ces vacances. Bon ne soyons pas fou, je n’avais pas couru jusqu’à dix heures, je m’étais arrêté à neuf heures afin d’avoir le temps de chercher un bon café. « Hello ! » Un Starbucks devant ses yeux, je déposais même le petit déjeuner sur le banc avant de lui déposer par automatisme un baiser sur ses lèvres comme si cela faisait des années que nous sortions ensemble. « J’sais pas si t’as mangé, mais moi pas » Et autant dire qu’avec ces quatre heures de courses, mon ventre criait famine. Ok, il n’y avait pas de logique à manger des muffins et des donuts après un footing, mais je m’en fichais des règles et des principes. Soit, je commençais tranquillement à boire mon bon cappuccino.


   
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Le retour à Harvard semblait bien plus difficile que je ne l’aurais cru en partant pour le Summer Camp. Il faut dire que malgré mes réticences à y participer, j’avais finalement céder et sincèrement.. je ne regrettais pas un seul instant ! Je m’étais bien amusée et j’aurais simplement aimé que cet été ne se termine pas si tôt. Malheureusement, il était l’heure de la rentrée et de reprendre la routine anté-été. Enfin, il y avait un petit changement depuis ce camp et je ne pouvais qu’en être heureuse. J’avais bien du mal à m’en rendre compte, d’ailleurs. Sortir avec Austin m’avait tellement apparu comme un rêve absurde que le fait que ce soit réel me chamboulait encore un peu. Certes, depuis un mois et demi, j’avais eu le temps de m’y faire mais.. quand même. Surtout qu’après le jour de notre mise en couple et bien.. je ne l’ai pas revu. Au début, j’avais eu un peu de mal mais.. c’était mieux. Il avait le temps d’y penser et d’assimiler la situation, et idem de mon côté. Après tout, je ne voulais pas l’enfermer dans une horrible routine pour qu’il me laisse – encore une fois, rappelons-le – au bout de quelques semaines ou mois. Hors de question. Je ne le supporterais pas, même si cette fois-ci, c’était lui qui avait fait le premier pas pour que nous nous remettions ensemble. J’espérais qu’il ne regrettait pas sa décision à quelques jours de la rentrée.

Cependant, c’était confiante que j’étais allée à son rendez-vous. Après une bonne nuit de sommeil, j’avais pris mon temps pour me préparer afin de le rejoindre dans le parc. Me baladant un peu avant de m’asseoir sur un banc, j’attendais bien sagement que mon petit ami me rejoigne et.. surprise, il était à l’heure. Un sac devant les yeux, je constatais avec bonheur qu’il était allé chercher le petit déjeuner. Un peu être adorable quand il veut (a) Son bonjour me fit sourire alors qu’il venait m’embrasser. Hm, ça m’avait manqué, je devais bien l’avouer. « Coucou toi » lui murmurais-je avant de regarder tout ce qui se trouvait dans le sac Starbucks. Mon ventre ne pouvait qu’approuver les merveilles que mon bouclé avait acheté. « Hm non, je n’ai pas pensé à manger.. Je me disais que j’allais te convaincre pour aller manger quelque chose mais.. Tu m’as devancé il faut croire.. » souriais-je grandement en levant les yeux vers lui. Lui volant un baiser sur ses lèvres, je lui glissais un petit « merci » avant d’attraper un donuts.

Evidemment, je lui avais donné un muffin avant, preuve de ma gratitude envers son repas gentiment apporté ! Mon regard se posait sur son café et sa tête si adorable. D’accord, même si je n’oublierais jamais qu’il m’avait fait du mal, ce sentiment ne serait pas assez fort comparé à l’amour que je lui porte. C’était indéniable, je n’arrivais pas à passer à une personne que lui. J’avais essayé pendant un an – enfin, si on peut vraiment parler « d’essayer » – et il n’y avait eu aucun résultat. « Hm, ton Summer Camp s’est bien passé ? » lui demandais-je en souriant, dévorant mon donuts. « J’ai appris que ton équipe a gagné.. Bravo ! Faudra fêter ça ! » lui dis-je en pouffant doucement. Oui bon, mon équipe n’avait pas gagné mais.. je sais assumer la défaite (pas comme lui (a) - ou pas -) et.. De toute façon, nous pourrions faire la fête, donc c’était le plus important à mes yeux !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

MORNING

COFFEE.




Je souriais quand à ce second baiser. Un jour peut-être que je m’y ferais, mais il faut dire que Madisson embrassait tellement bien que cela prendra sans doute moins de temps que je le pense. Je préférais répondre à son merci par un simple sourire qui était amplement suffisant, tandis que j’attrapais un premier muffin pour combler ma faim. Mon dieu que mon ventre criait famine. C’était dans ce genre de moment que je me rendais compte ô combien j’avais la chance d’avoir quelque chose à me mettre sous la dent quand l’envie m’y prenait et ce n’était pas chose facile. J’espérais que cette année soit meilleure niveau financier que ça soit pour ma mère ou pour moi, car passer des jours sans manger ou venir squatter chez ma meilleure amie pour me rassasier comme je l’avais fait cette année, non merci quoi. Certes si j’arrêtais d’acheter de la drogue –et encore je pouvais en avoir gratuitement grâce à Koko-, l’alcool ou encore les clopes, je pourrais sans doute être un petit peu plus riche, mais que voulez-vous ? On ne me refera pas et l’importance c’est que j’avais conscience que ce que d’autres appelle « connerie » et moi « plaisir » avaient tendances à me ruiner parfois.

Le sujet du Summer Camp vint très vite à être abordé. Je m’y attendais en fait. Puisque nous ne nous étions pas vu depuis le jour où j’avais décidé de me mettre en couple avec elle. J’avais eu besoin de faire le point, de réfléchir, de souffler et de profiter de mes vacances avant de faire la même connerie de la dernière fois qui avait été de rompre. Fuir et avoir peur des sentiments n’étaient pas la meilleure solution et j’avais retenu la leçon depuis le temps, mais ce dont j’avais le plus peur, c’était de perdre toute liberté en étant avec quelqu’un. Stupide hein ? Mais j’avais toujours été quelqu’un de très indépendant dès mon enfance et mon hyperactivité n’arrangeait en rien les choses. « Super bien ! » J’allais lui rappeler que nous avions gagné, mais elle venait de me devancer ce qui me faisait doucement rire. J’étais on ne peut plus content d’avoir gagné. Ne sachant pas si je pourrais retourner en vacance d’ici-là, c’était tout un honneur pour moi et je m’en souviendrais toute ma vie. « Merci beaucoup ! » Disais-je fièrement. « T’inquiète j’suis le pro de la fête tu peux compter sur moi ! » Je n’en oubliais pas moins le prix que j’avais aussi gagné lors des awards. Qu’est-ce que j’avais pu en gagner des choses cette année. Je buvais mon café tranquillement avant de lui retourner la question. « Et toi, ton Summer camp ? »

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Partager ce petit moment en sa compagnie avant la reprise des cours me convenait parfaitement. Je savais qu'il continuerait à faire la fête avec les Mathers et.. tout ce qui gravite autour des fêtes, et je ne voudrais pour rien au monde lui retirer ça. Parce qu'il est libre, même en couple avec moi. Je veux dire, on ne peut pas avoir une personne rien que pour soit et l'enfermer dans une prison dorée. Il ne le supporterait pas et moi non plus. Autant faire en sorte que tout se passe bien que la situation se dégrade comme avant. Le détester à nouveau et m'éloigner de lui ne me paraissait plus envisageable depuis que nous nous étions revus, il y a bientôt un an. Le fil de mes pensées fut interrompu lorsque je revins à notre discussion. Comment ne pas parler de nos vacances alors que nous avions été dans un endroit paradisiaque ? « Ah ça, je sais que tu es un pro de la fête et je ne pourrais jamais dire le contraire » souriais-je grandement. Mise à part son awards, je savais depuis un petit – long – moment que faire la fête avec lui, et bien on ne pouvait jamais être déçu. Ou alors il faut ne vraiment pas aimer s'amuser. Certes, l'an passé, à chaque fois que nous faisions la fête, ça dérapait (coucher avec lui, tatouage et j'en passe) et même si j'étais énervée au début, ça ne pouvait que me faire de bons – bien que flous – souvenirs.

Attrapant un second encas, je souriais à son retournement de questions. « Parfait, vraiment » dis-je en croquant dans mon muffin. « Hm, je n'aurais jamais cru passer de si belles vacances.. Je veux dire, le paysage, le sable, le soleil, han c'était vraiment sublime » m'exclamais-je le sourire ne me quittant plus. « J'aurais aimé que ça dure encore un peu genre.. six mois » dis-je malicieuse. « Et.. » Je me tournais vers lui en me mordant la lèvre inférieure. Autant lui dire. « Tu m'as rendu mon été merveilleux » Je riais doucement avant d'embrasser sa joue. « Tu m'as un peu manqué à la fin, je le reconnais » lui soufflais-je doucement avant de reprendre mon repas. Je ne lui demandais pas de répondre à tout cela, ni même de me dire la même chose. Bien que je doute qu'il le ferait. Sa fierté n'avait pas disparu juste parce que nous sortions ensemble et.. c'était mieux ainsi. Sans le caractère que je lui connais, ce ne serait pas la même personne. Austin restera toujours Austin et.. ça me va complètement !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

MORNING

COFFEE.




J’étais satisfait qu’elle le reconnaisse et en même temps, je n’oubliais ses applaudissements le jour où j’avais été appelé à monter sur l’estrade. J’étais même monté auprès d’Alexys et je ne pouvais pas rêver mieux, car je l’adorais cette nana mine de rien. Je m’en rappelle encore lorsqu’elle venait de débarquer, qu’elle n’avait pas encore officiellement sa couleur et pourtant, cela ne m’avait pas empêché de directement me bourrer la gueule avec elle. C’était même en fin d’année. Comme quoi, je pouvais avoir très bonne mémoire quand je voulais.

Elle continuait alors sur nos vacances et je souriais en l’écoutant. Cela me faisait plaisir qu’elle ait passé du bon temps au Summer Camp. Je lui en avais tellement fait bavé ces dernières années que ça faisait un réel plaisir de l’à voir pleinement heureuse. Certes, durant ces derniers mois elle avait beau avoir eu le sourire aux lèvres, au final, à chaque pas ou acte que je faisais, j’étais conscience que je lui faisais mal, mais au jour d’aujourd’hui, il n’y avait plus question de ça puisque nous sortions officiellement ensemble. « Six mois ? J’crois que Harvard m’aurait manqué » Disais-je en rigolant tandis que je continuais de boire mon café et manger mon petit déjeuner. Je m’étais arrêté de manger en écoutant la fin de ce qu’elle avait à me dire. Ouais, bon pour le coup je ne savais pas trop quoi dire. « Et bah ma foi, tant mieux » J’étais heureux d’avoir pu encore plus embelli son été. « Maintenant retour à la routine » Et ça me blasait déjà rien qu’à l’idée que j’allais devoir reprendre les cours, même si en soi, ma vie n’avait rien d’une routine puisque je trouvais toujours un moyen de l’agrémenter. « Maintenant tu vas devoir me supporter pour le reste de l’année, la poisse » Disais-je en rigolant, même si j’étais persuadé qu’elle en était déjà ravie.

[center][url=http://www.bazzart.org/t72763-fiche-de-reponse-1-8734-destiny][size=9][color=#9E9786][i]@destiny
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

De toutes mes vacances d'été, ce devait être vraiment les meilleures. J'avais toujours – ou presque – eu Austin avec moi pour les vacances et ça avait été formidable, mais.. là, même sans lui, j'avais réellement passé de très agréables moments et je ne refuserais pas d'y retourner les années à venir ! Bien sûr, j'aurais aimé partager plus de temps avec lui, mais on ne choisit pas toujours et si j'avais réussi à profiter sans lui, c'était que j'avais avancé dans la vie et je ne pouvais qu'en être fière. Sa remarque me fit rire avec lui. Comme si les cours pouvaient lui manquer.. A moins qu'il ne se soit découvert une passion incroyable pour l'université pendant les vacances, mais j'avais d'énormes doutes à ce sujet ! « Toi qui aimes tant les cours, c'est certain, tu aurais pleuré pour rentrer à Harvard à la place de rester aux Bahamas » riais-je doucement avant de finir tranquillement mon muffin. Venant de lui, ce n'était pas possible de dire un truc comme ça. Même en le connaissant à peine, ça se voyait que les cours et lui, ce n'était pas une extraordinaire histoire d'amour. Ça ne l'avait d'ailleurs jamais été.

En une phrase, il venait de me démoraliser. « Retour à la routine ». Je n'en avais pas envie, car dans ma tête, ça sonnait comme le fait que l'on allait être trop ensemble et que ça finirait mal. Il en était hors de questions. La suite me fit le regarder, alors que je me retenais de sourire. Bien sûr que j'étais contente de pouvoir l'avoir un peu plus pour moi, mais.. Je soupirais, essayant d'avoir l'air blasée. « La poisse ouais.. va falloir que je trouve des stratagèmes pour t'envoyer chier gentiment sans que tu ne t'en rendes compte.. » dis-je sérieusement avant d'exploser de rire. Certes, il serait toujours un chieur, même en étant mon petit ami, mais si j'avais accepté de sortir avec lui, j'acceptais tout ce qui allait autour. Comme le fait qu'il était chez les Mathers, qu'il ferait souvent la fête, qu'il continuerait à boire et se droguer, que c'était un grand chieur, etc. Mais je l'aime et c'est tout ce qui compte. « Je pense que c'est surtout toi qui auras du mal à me supporter.. » lui soufflais-je en souriant, n'attendant aucune réponse de sa part là-dessus.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

MORNING

COFFEE.





Mon Muffin en bouche, j’haussais positivement la tête. « Hum hum » J’étais très sérieux dans ma réponse, mais en fait, j’avais horreur des cours et elle savait. Elle se foutait de moi d’ailleurs et ça aussi je le savais. J’avalais ma bouchée avant de reprendre. « Je ne vis que pour les cours attend ! » Même si je me demandais encore pourquoi j’avais pris cette filière, alors que je n’avais pas du tout envie de venir psy quoi. Je m’imaginais plutôt grand PDG dans une grande tour, assis derrière mon bureau à me rouler mes petits joints tranquillou pendant que les autres bosseraient d’arrache-pied dans l’espoir de me satisfaire tandis que je n’aurais qu’à leur faire des reproches et à jouer le sadique. Voilà le genre de vie que je voulais plus tard. J’étais pleins de rêves, mais je savais aussi que dès lors que je désirais quelque chose, je m’en donnais les moyens et cela même si ça devait impliquer le fait d’aller voir le président des Etats-Unis en personne. Oui, je ne reculais devant rien.

« Je crois que c’est foutu.. » Le jour où elle décidera réellement de m’envoyer chier alors que nous étions à présent en couple, c’était qu’il y avait un gros problème. Alors il y avait deux solutions. Soit petit un : Elle avait passé une journée de merde, il lui était arrivé quelque chose, elle n’est pas prêt d’en parler à qui que ce soit pour le moment et donc, elle préfère rester seule durant quelques temps ou petit deux : j’avais encore fait une grosse connerie. « Hum...ça fait des années que je te supporte, je m’y suis fait maintenant. » Je rigolais en la taquinant gentiment, reportant à nouveau mon intention sur mon café bouillant avant de le déposer juste à côté de moi afin de pouvoir sortir une clope afin de faire le classique café/clope dès le matin. Certes je m’en étais déjà enfilée quelques-unes ce matin, mais en vrai toxico, j’étais déjà en manque de nicotine. Je prenais soin de détourner ma fumer de Madisson, car même si je lui passais quelques merdes durant les soirées, je n’avais pas envie qu’elle devienne comme moi –j’étais loin d’être un modèle de vertu- et je m’en voudrais si un jour elle venait à choper un cancer, car je saurais que ce serait de me faute. Je prenais alors mes précautions, recrachant ma fumée à son opposé. Cela ne m’empêchait pas de poursuivre la conversation. Et cela, même si je ne savais pas trop quoi dire.
[center][url=http://www.bazzart.org/t72763-fiche-de-reponse-1-8734-destiny][size=9][color=#9E9786][i]@destiny
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Roulant des yeux, je ne pouvais que sourire à ce qu’il me disait. Depuis bien longtemps, les cours ne l’intéressaient pas d’une manière très.. exceptionnelle. Il allait en cours parce qu’il n’avait pas trop le choix – et encore – et ce n’était pas aujourd’hui qu’il me ferait croire qu’il adore cela. D’ailleurs, il ne faisait pas parti des Mathers pour rien. Quand nous étions plus jeunes, il se voyait plutôt patron d’une grande firme, en mode « moi derrière un bureau, les autres travaillent pour moi » et je doutais que cette idée lui soit sortie de la tête. Même si avec les domaines qu’il a choisi, ce n’est pas une porte d’entrée là-dedans, je savais qu’il avait assez de charisme pour avoir ce qu’il veut. Puis, avoir l’université Havard dans son cv, ça fait toujours mieux que de rien avoir. Surtout vu qu’il avait pu y rentrer. « Tu confonds les mots « cours » et « soirée » maintenant ? Le soleil a du te taper trop fort sur la tête cet été » me moquais-je gentiment. C’était de bonne guerre après tout (a) Comme quoi, j’avais eu raison de lui balancer de l’eau dans la tête la dernière fois que nous nous étions vu, cet été, ça lui refroidi les neurones un peu.. Ok ok, j’arrête, mais bon, pour une fois que c’est dans ce sens et qu’il n’y avait pas de sable qu’il aurait envie de me faire manger, j’en profite ! Certes, il y avait de l’herbe mais.. Il ne le ferait pas, hein..

Il n’avait pas tort en me disant que trouver des excuses pour l’éloigner de moi, c’était.. impossible. Après tout, nous arrivions toujours à nous retrouver et.. Je ne pouvais pas lui dire non. Peut-être encore moins maintenant que nous étions ensemble. Evidemment, je pourrais lui faire part de mes petites angoisses de le perdre mais.. Je doutais que ce soit une bonne idée avec lui. Il resterait toujours mon meilleur ami avant d’être mon petit ami – chose qui n’avait pas été le cas la dernière fois – mais je savais que c’était le genre de trucs à ne pas lui dire. Parce que ça lui prendrait sûrement la tête « ce discours de fille » et je n’avais pas envie de – déjà – tout compliqué pour la rentrée. « Et merde.. » souriais-je avant de m’étirer doucement. Je ne pouvais que pouffer de rire à la suite de ses paroles. Ah Austin.. « C’est tellement adorable la façon dont tu me dis ça » riais-je.

Même si j’avais dit que je n’en parlerais pas trop, il y avait certains trucs que je voulais voir avec lui.. Alors je prenais mon courage à deux mains. « Dis, hum.. » commençais-je en essayant de rassembler mes idées. « Tu voyais comment notre relation à la rentrée ? » Oui, j’avais juste besoin de savoir un peu, histoire de ne pas débarquer à la Mather House, l’embrasser devant tout le monde et qu’il me vire par pure fierté. Un scénario tout à fait plausible. « Genre comme avant mais sans que je t’en foute une ? » dis-je en souriant pour essayer qu’il ne se sente pas piéger dans la discussion. Evidemment, il y aurait une meilleure ambiance, maintenant. Après cet été, je me sentais capable de lui faire confiance – bien que c’était toujours le cas – mais encore plus en n’ayant rien eu comme retour négatif. Mise à part des soirées où il finissait bourré, mais ça, ça rentre dans la routine à laquelle je dois m’attendre tout au long de cette année, de toute façon !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

MORNING

COFFEE.




Suite à sa remarque je lui tirais la langue, réaction digne d’un gamin de cinq ans, mais je n’en avais que faire. J’étais on ne peut plus fier d’être moi, un gars totalement immature, qui n’a pas du tout envie de grandir, quelque peu fêtard par la même occasion et pour couronner le tous, vachement sexy. Ne nous cachons pas la vérité qui est évidente voyons. J’étais loin d’être un modèle de vertu et par chance, je n’avais absolument pas l’intention de l’être. Les personnes qui désiraient suivre le même chemin que moi avaient pris leur décision et j’étais qui pour leur empêcher de faire ce qu’ils veulent ? Absolument personne, mais il y avait quelques exceptions. Comme Madisson par exemple. Elle avait beau traîner avec moi depuis notre enfance, participer aux nombreuses soirées que je faisais, je lui interdisais de plonger autant dans la débauche que moi. Franchement, ce n’était pas une vie pour une princesse comme elle voyons (a)

« Ouais je sais » Disais-je d’un air on ne peut plus sûr de moi. La modestie et moi, ça me connaissait. J’aurais préféré continuer de me vanter durant des heures plutôt que d’entamer ce genre de sujet de conversation. Je savais qu’elle ressentait le besoin d’en parler avec moi histoire d’être fixée, de savoir comment se comporter avec moi sans faire un seul faux pas, mais moi-même je ne savais pas trop quoi lui dire à ce sujet. Ça méritait quelques secondes de réflexions, car pour moi un couple était un couple même si à mes yeux on sortait assez de l’ordinaire. Je n’étais pas pour le dictons « vivons heureux, vivons cachés » Certes, l’amour et moi ça fait deux, car j’ai l’impression de m’asseoir sur ma fierté, mais de là à la repoussé dès lors que je me retrouve avec mes potes, je trouvais ça d’un lâche et d’un pathétique. « Ouais, si tu pouvais éviter de me gifler, même si j’adore quand tu te mets en colère » Disais-je en rigolant et dieu seul sait que j’ai l’habitude de l’à voir furax avec moi. « Non, mais comme un couple normale quoi, sans pour autant qu’on soit tout le temps l’un sur l’autre quoi. » Et je pense que ça, elle s’en était douté. « Pourquoi ? Tu t’attendais à quoi ? Que je te repousse dès que tu veux m’embrasser ? » Disais-je sur le ton de la plaisanterie quoi qu’un brin curieux de savoir comment elle, elle avait imaginé notre relation après le Summer Camp.

[center][url=http://www.bazzart.org/t72763-fiche-de-reponse-1-8734-destiny][size=9][color=#9E9786][i]@destiny
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le fait qu’il me tire la langue me fit pouffer un peu. Oui, même si son côté gamin laissait parfois à désirer, j’aimais le voir comme ça. Comme quand nous étions plus jeunes et je ne pourrais jamais oublier cette partie de vie que nous avions partagé. Les bons comme les mauvais moments. Si notre histoire – amicale ou amoureuse – avait été linéaire, je crois qu’il se serait ennuyé et qu’il aurait peut-être fini par m’éloigner petit à petit. Ou bien aurais-je pris des distances toute seule, qui sait. Heureusement, ce n’était en aucun cas ce qui c’était passé et un nouveau chapitre avait fait place depuis cet été. J’en étais comblée, depuis le moment que j’attendais de pouvoir être à nouveau sa petite amie, mais il restait des zones d’ombres que je voulais éclaircir pour éviter que tout termine comme la dernière fois. Je savais que ce n’était pas le genre de discussion qu’il aimait, mais je voulais simplement en avoir une. Une seule et unique – si possible – pour que tout soit à plat. Non pas que je pense qu’avec cela, tout sera parfait – sinon il y aurait un grand souci quelque part, à mes yeux, car avec nos deux caractères et nos deux façons de vivre, c’est juste impossible – mais simplement pour avoir les grandes lignes. L’’histoire de nos vies fera le reste.

Sa réflexion me fit plisser les yeux alors que je lui faisais un doigt d’honneur en lâchant un petit « connard » d’une façon adorable (a) « Les gifles, c’était pour que tes deux petits neurones à l’abandon puissent se connecter » me défendis-je avec un grand sourire. Oui oui, je cherchais et j’allais trouver, mais bon, c’était de bonne guerre, vu qu’il se fous de moi. Ne pas être l’un sur l’autre, je m’en serais doutée. Et.. je n’en avais pas envie non plus. Notre première relation, oui, mais aujourd’hui, non. Pas autant, en tout cas. De toute façon, étouffer une personne avec son amour est la pire chose à faire, même si l’autre nous aime autant qu’on l’aime en retour. Le meilleur moyen pour perdre une personne, à mes yeux. Peut-être ma plus grande erreur lorsque nous étions plus jeunes.

La suite me fit lever les yeux au ciel avec un petit sourire. « Moque toi pas, je ne sais jamais à quoi m’attendre avec toi.. Alors si j’arrive un jour devant Harvard, dans les couloirs, ou je ne sais où, pour t’embrasser et que tu m’envoies sur les roses, je préfère être au courant avant plutôt que de me prendre un vent.. » Autant être sincère. Ce garçon est tellement imprévisible qu’un jour, il me dirait que ce que je fais c’est bien, et l’autre jour que c’est la pire des catastrophes. Lui parler – même s’il n’aime pas ça – c’est quand même mieux que de se retrouver dans une situation inconfortable. Parce qu’il m’envoie chier (par fierté, à cause de ses amis ou autre chose) alors que je suis sa petite amie et que je veux l’embrasser, je le prendrais très mal. Très très mal même. Après tout, je reste une fille (a) mais ce n’est pas le genre de scène que l’on veut vivre. Prendre les devants et lui demander avant que ça n’arrive, pour n’importe quelle raison, me semblait largement plus intelligent.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)