Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBrynn ☼ Tu es le soleil de mes nuits. Inutile, et gênant. - Page 3
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Brynn ☼ Tu es le soleil de mes nuits. Inutile, et gênant.

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Je me sentais malin alors qu'en réalité j'étais loin de l'être. J'essayais de faire chanter en permanence les gens, et aujourd'hui ça tombait sur la jeune femme. J'avoue, j'étais content que ça tombe sur elle, j'aimais avoir un certain contrôle. La laisser se croire plus intelligente et plus forte ça va un moment, mais malheureusement pour elle, les hommes dominent le monde et c'est encore eux qui sont en majorité à gouverner. Ici, c'était la même chose, elle pense que je suis un idiot, que je veux qu'une chose c'est la mettre dans mon lit et que je suis encore et doublement idiot. Alors qu'en réalité j’étudie vigoureusement pour arriver à un jour vivre de mes propres moyens, même atteindre son niveau de vie, et je ne veux pas la mettre dans mon lit. Pas pour le moment, je veux juste l'a découvrir, comprendre qui elle est. Coucher c'est bien beau mais ça bloque en général les gens et ce n'est pas comme si je crevais la dalle. Je sors d'une relation. Je veux juste prendre mon temps et me consacrer à ma famille et mes amis, ce que j'ai négligé ses derniers temps. « Le terme ‘bel homme’ est le mot clé dans ta phrase. Enfaite tu m’écoutes pas quand je te parle, je t’ai déjà dit que t’étais moche alors j’peux pas t’emmener avec moi dans les profondeurs tu vois ? » Je souriais alors à sa remarque sur la mythologie. « Techniquement, elles embarquent tout le monde, mais pour ça Brynn, faudrait que je sois tout à coup attiré par toi et que ta voix et ton corps devienne tout à coup ma seule raison de vivre.. » J'avalais ma salive avant de secouer la tête. « Mais c'est loin d'être le cas, je suis vraiment désolé. Tu veux un mouchoir ? » Plaisantais-je, je savais pertinemment qu'elle n'allait pas pleurer, non je m'attendais plus à quelque chose sous forme de vanne bien envoyé. C'était beaucoup plus son genre. « Tu dois pas souvent te regarder dans un miroir Wilcox. » Cette fois-ci je rigolais en quelque peu, laissant mes yeux se plisser et mes dents blanches se dévoiler. On m'avait souvent fait remarquer que ma tête ressemblait à un BN quand je souriais, pas très classe, non. « Je me trouve charmant. Si je pourrai, je serai déjà marié avec moi-même. » Dis-je une fois de plus en me moquant de moi-même. Je l'a regardais tellement, je profitais tellement de ce que j'avais devant les yeux. J'avais parfois l'impression que c'était un ange.. si elle n'ouvrait pas la bouche bien entendu. Sexy, intelligente comme il fallait et arrogante à souhait. Si je ne prêtais pas attention à ses mots, c'est parce que j'avais cette impression qu'elle ne pensait pas ce qu'elle disait. « Qui te dis que j’en ai besoin ? Je pourrais bien rentrer dans cette plus simple tenue….mais qui sait ce qui pourrait m’arriver au passage….peut-être que je vais trouver un beau jeune homme…et faire certaine chose avec lui… » Elle me cherchait encore. Elle avait trouvé mon point faible la concernant et elle savait comment s'en servir. J'étais presque dégoutté d'avoir révélé cette information mais c'était trop tard. Ce qui était fait, était fait. Elle s'approcha alors de moi, me collant mais je n'étais pas dupe. Même si l'homme que j'étais avait envie de la prendre dans mes bras, de l'embrasser et pour option de lui faire l'amour sauvagement sur la plage. Ok, je disais que la coucherie ce n'était pas tout, mais les fantasmes c'est tellement bon. Il ne me reste plus que ça avec ma main droite en ce moment. Je me mordillais la lèvre un instant avant de relever les vêtements d'un cran. Pas de connerie. Je n'allais tout de même pas me faire avoir aussi facilement. Nooon. « Bon très bien Wilcox, je vois que je vais être obligé de marchander…qu’est-ce que tu veux en échange ? » Eh bien voila, on passe enfin au chose sérieuse. J'ignorai complètement ses lignes précédentes pour me concentré sur ses derniers mots et surtout sur ce que je voulais. Pas de baiser, rien de sexuelle, ça n'avait rien de drôle sérieusement. « Je veux un rendez vous. » Dis-je de but en blanc. J'avais au moins une chance de l'a revoir encore une fois. Je passais alors ma main libre dans son dos, l'a collant un peu plus à moi. Je plongeais alors mes yeux dans les siens en souriant en coin. Elle ne pouvait pas se cacher ainsi. « Et je veux quelque chose préparé par tes soins. » Dis-je avant de remonter ma main pour lentement effleurer ses lèvres douces et pulpeuses. Huuum. Quelle délice.
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Voilà tu savais bien que tu étais une inculte concernant tout ce qui se ramenait de près ou de loin à la mythologie. Charlie ne manqua pas de te remettre en place, l'occasion était effectivement trop belle. Toi, miss parfaite, miss je sais tout, possédait quelques lacunes dans un domaine. Un doux rictus amusé s’afficha sur tes lèvres. Comme si un homme sur cette terre était incapable de succomber à ton charme, tu n’y croyais pas. Ta confiance en soi, ébranlé à la suite de nombreux râteaux avait laissé place à une certaine désillusion. Beaucoup plus égocentrique, pimpante. Il faut dire que tu avais eu le droit au drogué, à un homme marié, et le dernier en date un transsexuel. Il y avait de quoi se remettre en question, en matière d’homme, à croire que tu attirais tous les tarés sous un rayon de dix kilomètres. Breef. « Ce n’est déjà pas le cas ? Suis-je à ce point l’aide et repoussante ? » arguas-tu avec malice, sachant pertinemment que c’était une question piège pour un peu près tous les hommes de cette planète. Ce n’était pas évident de ne pas vexer la demoiselle en question. Puis bon, s’il n’était pas un minimum attiré par toi, il ne se serait pas mis dans des états pareils, parce que tu avais osé montrer un peu de ta peau. Surtout que maintenant que vous étiez tous les deux, il n’avait pas reparlé de mettre sa chemise. Comme par hasard hein. « Nan c’est bon garde ton mouchoir, je ne sais pas où il aurait pu trainer juste avant. » dis-tu trèèès sérieusement, d’un regard entendu. Beurk. Tu rigolas à ton tour de bon cœur face à sa remarque. « Dommage que ça ne soit pas encore réalisable. » N’empêche qu’il fallait le supporter le petit, avec son caractère lunatique, et son humour pourri…tu plaignais déjà sa future petite amie. Quoi que son charme naturel et son charisme pouvait compenser. Enfin surtout ses abdos. Tu lorgnais ces derniers depuis un petit moment déjà, profitant du spectacle, de la vue qui s’offrait à toi. Ouai et toi dans tout ça, tu ne l’obligeais pas à porter ton t-shirt blanc sous prétexte que quelques filles de passage pourraient le dévisager. Bah ouai. D’ailleurs, le simple fait de l’imaginer portant tes vêtements te fit rire doucement.
Surtout que dans tout cela, tu n’avais touuujours pas récupéré tes affaires. Monsieur était bien trop content de te faire du chantage comme un gamin de deux ans. Tu soupiras, levant les yeux aux ciels, te préparant psychologiquement à ce qui allait suivre. Avec lui on ne savait jamais, mieux valait s’attendre à tous. Lorsqu’il prononça son souhait, tu le regardas incrédule. Voilà que maintenant tu allais devoir encore te le coltiner. Le pire c’est qu’il semblait sérieux, comme s’il croyait vraiment ses propres mots. « T’as cru qu’il y avait marqué baby-sitter sur mon front ? » demandas-tu avec ironie. C’est ce que tu faisais depuis tout à l’heure quand même. « Puis en plus il faut que je te fasse à manger ? Tu veux aussi que je te mette sur mes genoux et que je te donne à manger ? » ajoutas-tu moqueuse. Ta réaction était plus que prévisible, parce qu’au fond c’était ce que tu étais, prévisible. Tu arquas un sourcil, perplexe. Il s’était encore rapproché un peu plus de toi, plongeant ses yeux dans les tiens. Ton cerveau tournait à vingt à l’heure, trop obnubilé par ce qui se passait devant toi. Il te déstabilisait, t’empêchant de réfléchir, de plaider ta cause comme il se devait. Il était mignon. Non, définitivement craquant. Tu étais partagé. Parce qu’au fond, touuut au fond, fallait vraiiment creuser….tu avais envie de repasser un petit moment en sa compagnie. « J’accepte, mais j’veux pas te faire à manger. C’est toi qui confectionnera quelque chose…t’es un français quand même , tu dois être capable de faire honneur à ton pays… » ajoutas-tu fièrement, espérant que ton plan allait fonctionner. C’était à prendre ou à laisser. Puis tu ne savais pas du tout faire à manger, littéralement. S’il voulait jouer avec sa vie, et mourir d’en d’affreuses circonstances c’était son problème. On peut très facilement confondre le sel avec de la mort au rat…ça serait dommage de finir sa vie dans de telles conditions. Très sérieuse, tu t'approchas encore un peu plus de lui, pour montrer qu'il ne t'intimidais pas. Ton visage était pratiquement collé au sien. "Alors Wilcox?"
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« Ce n’est déjà pas le cas ? Suis-je à ce point l’aide et repoussante ? » J'avais le pressentiment qu'elle ne demandait pas ça part hasard. Peut être bien pour gonfler son égo et ainsi rester sûr d'elle. Je sais que la plupart des hommes répondraient instantanément qu'elle est sexy, magnifique et encore bien d'autre compliment mais malheureusement pour elle, j'avais déjà fait cela au début de notre rencontre. Je n'étais pas avare en compliment et je détestais cette manie chez les femmes d'en vouloir autant d'ailleurs. Je comprend pas leur mode de fonctionnement quand elles demandent si elles ne sont pas trop grosse, si elles sont belles, si leurs fesses n'a pas triplet de volume entre temps ou autre. Le pire dans tout ça, c'est que quelque soit ta réponse, tu risque de t'en prendre une, sans rire. Et puis, si ta copine ne me plaisait tout simplement plus, tu l'aurais quitté. A quoi bon, chercher l'embrouille ? Mais non, c'était plus fort qu'elle. Imaginons si c'était les mecs qui se mettaient à dire de pareil connerie ? Y'a longtemps que l'humanité aurait une valeur bien base, plus petite qu'un grain de riz à coup sûr. Et pourtant à chaque fois on s’efforce de répondre parce qu'on est amoureux. Ah l'amour. Précieuse chose, mais elle nous rend aveugle, je pencherai même qu'elle nous enlève toute vue ainsi que la logique. « Aucune femme au monde n'a été de ce ressort là. Enfin si y'en a eux deux, mais tu va être déçue. C'est ma mère et ma soeur jumelle. » Dis-je en haussant les épaules. Mes raisons de vivre pouvaient être cliché, mais ma mère et mes soeurs étaient ma famille, et sans eux je ne suis rien. Je ne serai pas là, avec mon caractère, avec mes idées. Je les aimais, et je ne pourrai jamais aimé quelqu'un de la sorte, petite amie parlant. C'était tout bonnement impossible. Je ne parlais pas plus, lui laissant libre cours à son imagination. J'avais assez dit et pensé pour aujourd'hui qu'elle ressemblait à un ange déchue, hein. C'est bien la troisième fois que cette pensée me venait à l'esprit, ça suffisait. « Nan c’est bon garde ton mouchoir, je ne sais pas où il aurait pu traîner juste avant. » Je fouillais alors mes poches en me rendant compte que je n'en avais finalement pas. Remarque, comment être enrhumer avec un temps comme celui-ci ? Faut vraiment être le pire des andouilles pour chopper un coup de froid. « Juste le lave linge tu sais mais je comprend pour toi, c'est déjà trop. Il faut que ce soit encore plus propre. » Dis-je en me moquant ouvertement d'elle en secouant la tête comme pour affirmer que ce n'était pas grave et que je l'aimais tout de même pour ce qu'elle était. « Dommage que ça ne soit pas encore réalisable. » Tiens, peu à peu j'arrivais à faire en sorte qu'elle se détende à mon approche, elle riait à présent, et je devais avouer qu'elle était bien plus mignonne ainsi, pas de doute. « C'est pour cette raison que je ne compte pas me marier, c'est soit moi, soit personne. » Décrétais-je. J'avais encore le choix par rapport à certaines personnes ayant un mariage arrangé de choisir la bonne personne, mais pour le coup je ne disais pas complètement faux. Le mariage n'était qu'une laisse, une événement stupide que je ne voulais pas. Bien que je n'aime pas les enfants, je préférai encore en avoir plutôt que me marier. Et puis des gosses, il était clair que j'en aurai un jour, un beau mini Charlie. Rhaa, si il est beau comme son papa, il sera parfait. Bref, je n'étais pas prêt d'avoir un gosse et encore moins me marier. « T’as cru qu’il y avait marqué baby-sitter sur mon front ? Puis en plus il faut que je te fasse à manger ? Tu veux aussi que je te mette sur mes genoux et que je te donne à manger ? » Je la regardais en haussant une fois de plus les épaules, j'en avais un peu rien à faire de ses mots et je m'y attendais. Brynn accepté du premier coup ? Seulement quand on lui proposait de faire du shopping, non ? Surement un truc qui y ressemblait. « C'est une possibilité tout à fait intéressante en soit. » Dis-je de la même manière que la jolie blonde, d'un ton qui se voulait moqueur et loin d'être sérieux. « J’accepte, mais j’veux pas te faire à manger. C’est toi qui confectionnera quelque chose…t’es un français quand même , tu dois être capable de faire honneur à ton pays… » On aurait très bien pu nous prendre pour un couple de loin. Elle ne me repoussait pas, et semblait apprécier le regard que je lui portais. C'était assez agréable de connaître ce genre de moment unique avec elle. Je me sentais plutôt bien à cet instant, surtout après l'épisode de cris.. On pourrait nous prendre pour des fou sans rire. « Moi ? Quoi ? Tu ne sais pas cuisiner ? Je sais faire que des pâtes sans rire, tu veux vraiment mourir. Mais je peux essayer mais ne t'attend pas à un hôtel à trois étoiles. » Surement le genre d'endroit qu'elle fréquentait fréquemment. Le problème c'était que je n'étais qu'un pauvre étudiant et tout ce qui me servait à payer mes factures c'était mon boulot de garagiste. Je pouvais très bien appeler ma mère ou Amber pour m'aider à faire quelque chose qui se mange. « Attend, comment tu sais que je suis français.. ? » Dis-je en plissant légèrement les yeux, amusé. L'avais-je touché ? « Je dois drôlement t'intéresser pour que tu retienne cette donné de moi. » N'avais-je pas raison ? Elle s'approcha d'avantage, peut être pour me provoquer ou me faire craquer ? J'étais à deux doigts, elle était plutôt forte à ce jeu là. J'avais envie de la croquer, mais je me retenais. Ses yeux couleur azur suffisaient pour le moment à me satisfaire. Mon regard caressait sa peau orangé, ses pupilles colorés, ses lèvres rosés.. « Dis-le si tu cherche à ce que je t'embrasse. On croirait à t'approcher encore et encore.. » Murmurais-je comme pour lui donner ses mots, pour qu'elle seul les entendent alors que nous étions que deux sur la plage. J'avais parlé avec une voix sensuelle et je me mordillais la lèvre inférieur. A moi de jouer la drague. Regardons si elle pouvait me résister ou si tout simplement je lui faisais de l'effet.
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« C’est trop facile de dire ça….je pensais que tu te serais montré un peu plus inventif… » répondis-tu simplement en haussant les épaules. Sa réponse ne te décevait pas, tu avais simplement attendu mieux de sa part. Bah ouai tu voulais connaitre des ragots, des dossiers, des trucs gênants sur sa vie. Pas une phrase bidon qu’on pouvait entendre dans n’importe quel film hollywoodien à l’eau de rose. C’était très ‘cliché’. Il devait surement te cacher un truc, du genre moche, pas joli. Si ça se trouvait la seule femme qui l’avait mis dans un état pareil était une vieille dame de quatre-vingt dix ans. Normal qu’il ne voulait pas te le dire en face, la honte.  « T’inquiète tu peux me le dire si c’était une vieille moche botoxé à la Jocelyne Wildenstein…promis je ne jugerais pas, tous les goûts sont dans la nature. » Tu avais dit ça pour te moquer de lui, pour le taquiner, pour le chercher, comme d’habitude quoi. À croire que vous étiez tous les deux incapable d’avoir une discussion posée et sérieuse tel des adultes de votre âge. Normal que vous étiez tous les deux célibataires. D’ailleurs, tu ignoras complètement sa réfléxion sur le lave-linge, c’est pas comme si tu étais la plus propre sur toi en mode bataille contre les saletés à la monsieur propre, le mec chauve sur les lessives. Nan nan, tu venais après tout de lancer tes affaires sur le sable, trempé d’eau de mer. Niveau propreté on pouvait décidément faire mieux. « Alors tu finiras tout seul avec toi-même…au moins t’es sûr de ne jamais te faire tromper ou de divorcer. » ajoutas-tu, un mince sourire s’affichant sur tes lèvres. Cette conversation prenait un tournant drôlement philosophique à ton goût. Comme quoi avec rien, vous pouviez partir très loin dans vos délires, peut-être même un peu trop. Tu ne savais même plus trop comment vous en étiez venu à ce point précis. De toute façon cela ne pouvait être que Charlie qui avait dit une connerie, et tu avais enchainé, parce qu’il n’y en avait pas un pour rattraper l’autre. Dans un sens vous étiez similaire, vous vous complétiez. « Contente de voir que tu trouves la proposition alléchante. D’accord je ferais à manger… » finis-tu simplement par lâcher .Quelques secondes s’écroula et tu te sentis obligé d’ajouter. «  Je te propose de faire ça à la rentrée … genre le 34 septembre ? Cela t’irait ? Tu seras libre ? » ajoutas-tu les yeux pétillants de malice. Bah oui, cela ne pouvait pas être aussi beau, aussi simple. Tu étais Brynn, pas la vulgaire pouffe qui passerait par là.  « Alors comme ça monsieur ne sait pas cuisiner ? Intéressant. » enchainas-tu rapidement, avec un sourire moqueur. Au moins tu avais appris une nouvelle chose à son sujet. Tu ne savais pas encore comment tu allais t’en servir contre lui, mais tu le notas dans un coin de ta tête, ça pouvait toujours servir. « Je sais beaucoup de chose sur toi Monsieur Wilcox » chuchotas-tu au creux de son oreille, mystérieuse. La triste vérité étant que tu avais découvert cela à la suite de certaines recherches. La première fois que tu l’avais vu dans ton cours, tu l’avais tout de suite trouvé mignon, attirant. Tu avais donc fait quelques recherches auprès des autres filles de l’école pour en connaitre un peu plus à son sujet. Tu avais même songé à le draguer, mais ça c’était avant. Avant qu’il ouvre sa bouche et que ton monde imaginaire s’écroule autour de toi. Alors que tu avais vu que sa beauté lorsque tu le regardais, t’imaginant des choses peu catholique, sa stupidité avait pourtant rapidement pris le dessus. Maintenant tu le voyais simplement comme un idiot, un idiot avec du charme. Néanmoins, tu n’allais jamais lui révéler ce point, tu te l’étais promis sur ta vie. « Je trouve que tu te donnes beaucoup trop d’importance….je te rappelle que tu as dit je ne sais pas quoi tout à l’heure pendant que je nettoyais mon haut. J’ai simplement cru reconnaitre le français, j’aurais très bien pu me tromper…mais bon ça ne m’arrive jamais. » répondis-tu avec nonchalance, t’envoyant par la même occasion un petit compliment.
Charlie semblait d’ailleurs te prendre à ton petit jeu. La distance qui vous séparait depuis le début, ne semblait pratiquement plus exister. Il t’avait dit ça de sa voix chaude et rocailleuse, et tu avais trouvé cela étrangement sexy. Tes yeux s’étaient perdus dans les siens. Pendant un bref instant, tu avais voulu que ses lèvres touchent les tiennent, simplement pour goûter leur saveur, les sentir contre ta peau. Tu avais une folle envie de l’embrasser. Non. Non. Tu étais devenu folle. Ce bref moment avait suffi pour te désorienter. Pas bien, pas bien du tout. Tu tentas de te ressaisir, essayant de ne rien laisser paraitre. Si jamais il découvrait qu’il te faisait de l’effet, aussi minime soit-il tu étais foutu, complètement foutu. « Tu es suuur que ça ne serait pas le contraire ? Avoue tu rêves de m'embrasser.» demandas-tu, en approchant tes lèvres contre les siennes. Vous étiez si près l’un de l’autre c’était étrange. Il y avait cette attirance, cette électricité dans l’air. Elle t’attirait irrésistiblement. N’empêche qu’il pouvait toujours rêver, et toi aussi, parce que tu t’étais interdite de faire quoi que ce soit avec lui. Sexuellement s’entend. « Donne-moi mes vêtements Wilcox. Sinon je serais obligé de prendre quelque chose à mon tour. » ajoutas-tu n’oubliant pas pourquoi tu faisais tout cela. Au pire tu pouvais toujours crier au violeur. Ouai, il avait bien la tronche qui allait avec aussi.
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« C’est trop facile de dire ça….je pensais que tu te serais montré un peu plus inventif… » Je soupirai, haussant les épaules. Elle pouvait bien me déballer tout ce qu'elle voulait à ce sujet puisque je ne mentais pas. J'étais honnête, très honnête même. Mais si j'y étais autant attaché c'est bien pour une histoire concrète. Ma soeur jumelle et moi, n'étions pas désiré et d'autant plus par notre connard de père qui à lâché notre père en cours de route alors qu'il était déjà marié. Avec Amber, on à fait de cette faiblesse une force. Et bien entendu je tiens à ma mère puisqu'elle m'a mise au monde sans jamais se plaindre alors que nous étions deux dans son ventre. Je lui serai à jamais redevable de m'avoir laissé la vie alors qu'en réalité elle trouve ça plutôt normal. D'ailleurs concernant mon connard de père, je comptais bien le retrouver et lui passer le plus grand savon de toute sa vie. Pourquoi pas le faire chanter ? Il avait détruit ma mère pendant plusieurs années de sa vie, et ça me donnait une envie de vengeance soudaine. « Je m'en branle. Je peux pas inventer les personnes qui me font du bien. Pourquoi tu t'attendais à ce que je te cite ? » Dis-je en penchant légèrement la tête alors que nous étions très proche l'un de l'autre. Si elle s'attendait à ça, ce n'était pas gagné. « T’inquiète tu peux me le dire si c’était une vieille moche botoxé à la Jocelyne Wildenstein…promis je ne jugerais pas, tous les goûts sont dans la nature. » Je devais bien avoir vu le nom de cette femme quelque part et si je me trompais pas elle était affreuse. Hideuse même. Beurk. Pensait-elle vraiment que je me tapais des couguar ? J'aime la peau chaude et fraîche, un visage lisse comme toutes les personnes de mon âge. Peut être que je deviendrais un couguar au masculin, mais coucher avec des couguars certainement pas. Je ne voulais pas d'une petite amie toute fripé à mon âge. « Je ne suis jamais tombé amoureux au point qu'elle me marque alors si tu t'attendais à un nom croustillant tu te trompe. Et j'aime pas les vieilles. » Dis-je en hochant la tête. Je n'allais pas mentir, j'avais eu des conquêtes, mais je confondais bien souvent attirance et amour, voila pourquoi mes relations ne duraient jamais bien longtemps. Et comme je suis possessif de nature, on peut me croire accroché à une femme alors que la réalité en est tout autre. « Alors tu finiras tout seul avec toi-même…au moins t’es sûr de ne jamais te faire tromper ou de divorcer. » Sur ce point, elle avait entièrement raison, sans rire. Pas de tromperie. Avec mon expérience et mon père je pense que ce sujet me tapait un peu sur les nerf. Si jamais ma prochaine copine trouvait le moyen de me tromper, ça n'irait pas comme sur des roulettes, oh que non. Certainement pas.  « Contente de voir que tu trouves la proposition alléchante. D’accord je ferais à manger… Je te propose de faire ça à la rentrée … genre le 34 septembre ? Cela t’irait ? Tu seras libre ? » Brynn, Brynn, Brynn. Quand me prendras-tu au sérieux ? Je levais alors les yeux au ciel en soupirant. « Je m'occupe de la bouffe et de l'endroit, contente toi de venir. » Dis-je alors pour ne pas tourner autour du pot, au moins j'étais sûr qu'elle le ferait.. enfin sûr, pas tellement. « Et fait toi moche, comme ça t'auras pas de regret de venir. » Ajoutais-je comme pour la convaincre d'une manière qui m'échappais encore. J'essayais tout, qui ne tente rien n'a rien merde. Son allusion sur ma cuisine était loin de me toucher, je me goinfrais de repas chinois, de nouille et de jambon blanc alors ouais, j'étais pas un cuisinier, même loin de l'être. « C'est aux femmes de faire ça et tu le sais très bien chérie. » Oui, je l'a provoquais un peu pour l'emmerder à mon tour, elle arrivait toujours à retenir des points négatifs sur moi bizarrement. Mais bon personne n'est parfait, on m'a déjà donné de la beauté et un corps de rêve, j'étais très bien avec ça. Pas besoin d'en faire trop. « Je sais beaucoup de chose sur toi Monsieur Wilcox » Je ne savais pas si Brynn disait vrai mais j'étais curieux de ce qu'elle pouvait savoir sur moi. Si elle c'était réellement intéressé à moi, à ma petite personne alors que je n'avais presque pas un sous en poche et que je vivais plus au jour le jour qu'autre chose. Heureusement que j'avais un travail. « Je trouve que tu te donnes beaucoup trop d’importance….je te rappelle que tu as dit je ne sais pas quoi tout à l’heure pendant que je nettoyais mon haut. J’ai simplement cru reconnaître le français, j’aurais très bien pu me tromper…mais bon ça ne m’arrive jamais. » Je savais bien que c'était trop beau, elle aime me faire espérer c'est incroyable. Après tout j'étais légèrement idiot de penser qu'elle pourrait m'accorder du temps précieux à sa vie de princesse. « J'ai parlé Français ? » Merde, même si je m'en rendais plus compte ça l'a foutait mal. « Brynn tu es la pire femme que j'ai jamais rencontré et franchement ce que tu peux être chiante quand tu veux. Mais tu me plait, triste réalité ? » Dis-je dans ma langue maternelle, j'avais oublié que cette arme allait m'aider à parler à mon goût sans qu'elle ne comprenne un seul mot. J'avais enfin la pause parole que j'attendais sans qu'elle ne puisse m'engueuler. A moins qu'elle comprenne le Français. Merde, j'avais pas pensé à ça mais bon, c'était dit, c'était dit. « Tu es suuur que ça ne serait pas le contraire ? Avoue tu rêves de m'embrasser.» Je souriais alors en ne quittant pas un seul instant ses yeux qui semblaient chercher les miens. Pensait-elle réellement que je répondre positif à ses mots ? J'étais pas faible à ce point, même si j'avais étrangement envie d'elle là tout de suite. « Ne dit pas de bêtise, je suis sûr que tu en rêve, alors ose, ça restera entre nous. » Je me serai cru le serpent dans Adam et Eve à tenter cette femme pour qu'elle mange un fruit alors que là, c'était pas un fruit mais plutôt mes lèvres. J'avais toujours ma main posé sur le bas de son bassin et l'autre montait peu à peu jusqu'à sa joue pour rabattre quelques cheveux de la jeune femme derrière son oreille. Je me serai cru sur l'île de la tentation pendant quelques minutes, tellement je me retenais de ne pas franchir le pas, de l'embrasser. Je penchais alors la tête afin d'atteindre son cou et c'est avec lenteur que je l'embrassais en savourant chaque baiser que je lui laissais. Passementant son cou, l'arrête de sa mâchoire de baiser et m'arrêtais à quelques centimètres de ses lèvres. « Embrasse moi Brynn. » Dis-je une fois de plus en souriant de tout mon long. Je me permettais de la toucher, de prendre possession de son esprit pendant un instant et c'était bon de ne pas l'entendre grogner pendant un instant.  « Donne-moi mes vêtements Wilcox. Sinon je serais obligé de prendre quelque chose à mon tour. » Ohoh, la menace de trop ! C'est sûr là je rend les armes, j'ai tellement peur d'elle et de son mètre soixante dix. Je rigolais à ses mots précédents en faisant une légère moue. « Prend ma chemise. Elle est toute à toi. » Brynn aurait quelque chose m'appartenant, je gagnais tout. Elle pensait à moi sous la douche et dans sa chambre avec ma chemise, j'allais finalement gagné un peu de place dans sa vie si bien rangé et de princesse. Je suis pas un prince, après tout ça n'existe pas. Je ne suis qu'un roturier mais ma différence me plaisait. Côtoyer des personnes riches, intelligentes alors qu'elles n'ont aucun sens de la discussion et de la sensualité, quelle plaie oui !
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« Je suis contente pour toi si tu t’en branles, parce que je m’en branle de savoir que tu t’en branles. Puis franchement, ouai je me voyais bien dans ta liste. » répondis-tu en faisant bien exprès de réutiliser ce mot vulgaire, qui t’écorchait la bouche. Jamais, au grand jamais tu ne pensais dire une chose pareille, surtout que c’était techniquement impossible de faire une chose pareil pour les femmes. La dame qui s’occupait de toi depuis que tu étais enfant, t’enseignant les bonnes manières, devait surement se taper violemment la tête contre un mur, si elle t’avait entendue. Tu laissas échapper un petit rire cristallin, dont Charlie ne comprendrait surement pas la signification. Et ouai, il n’était pas encore dans ta tête.  Tu enchaînas rapidement. «Je ne m’attendais à rien du tout. Surtout de ta part.  Alors tu ne m’aimes pas ? J’te signale que techniquement j’suis plus vieille que toi. ». Vous n’aviez pas vraiment un grand écart  d’âge, deux ans à tout casser, mais tout de même.  Genre quand toi tu apprenais à lire, lui il venait tout juste de sortir de la crèche. Tu avais forcément eu le temps découvrir et d’apprendre plus de chose que lui sur la vie.
Tu étais contente de toi, affichant fièrement un sourire victorieux. Tu avais tout de même bien réussi à marchander. Finalement, monsieur allait te faire la cuisine, t’offrant une opportunité inattendue. Tu allais pouvoir lui dire que tu trouverais tout dégueulasse, ça allait être drôle. « Pas la peine de me le préciser, je suis de toute façon tout le temps moche, tu le sais très bien. Ce n’est pas comme si tu m’avais maté tous les jours l’année dernière. Ce n’est pas parce que tu étais derrière moi, que je t’ai pas vu.» répondis-tu taquin. Ce n’était qu’hypothèse, n’étant pas exactement sure de ce que tu avançais. Néanmoins, certains souvenirs te revenaient en mémoire, et il avait toujours eu cette étrange habitude de te regarder intensément. Un peu comme les psychopathes, quand ils vont tuer leurs proies.  D’ailleurs tu allais surement le prendre au mot, et venir dans un état épouvantable. Ou au contraire, afficher la Brynn bombe sexuelle, tu ne savais pas trop. Vous jouiez tous les deux à ce jeu mental, avançant vos pions sur l’échiquier, attendant de voir où tout cela vous mènerait. « M’appelle pas chérie, ou je te castre. » ajoutas-tu légèrement énervé qu’il est employé ce terme. Et oui, toi aussi tu savais changer d’humeur comme de chemise, étant légèrement lunatique. Tu avais soudain ressenti le besoin de reposer des barrières entre vous, d’adopter à nouveau ton attitude froide légendaire. Tu avais même ignoré sa pique machiste concernant les femmes. Il te provoquait, et tu aimais ça. À croire que vous vouliez tous les deux voir jusqu’où vous étiez capable d’aller.
Puis voilà qu’il recommençait à parler en français. Tu savais bien que tu aurais dû te taire, et ne pas jouer à la maline. Tu ne comprenais rien, pas un mot, ni un sens. Ses phrases venaient simplement s’écraser contrer tes tympans. Tu levas les yeux au ciel excédé. Il ne suffisait pas de parler une langue étrangère pour être sexy, il fallait avoir le contexte qui allait avec. «Pas besoin de te la péter parce que tu parles français, j’pourrais faire la même chose hein. » ajoutas-tu en quittant pas ton regard du sien. Tu étais perdu dans le brun de ses iris. Il avait évidemment raison, tu mourrais d’envie de l’embrasser, tu crèverais pour toucher ses lèvres. Sentir la chaleur de sa peau contre la tienne, de pouvoir toucher chaque parcelle de son visage. Mais tu n’allais pas le faire, il ne fallait pas que tu flanches. Il ne fallait pas succomber à la tentation. Tu te répétas plusieurs fois dans ta tête que les hommes étaient vils et calculateurs. Or, chacun des baisers qu’il déposait avec douceur sur ton coup te rappelait l’atroce vérité. Ton corps était attiré par le sien, happé par une énergie nouvelle. Tu te laissais faire, tu voulais l’embrasser, non, l’ensemble de ton être l’exigeait. Tu avais fermé les yeux, savourant la moindre de ses caresses, le contact de sa bouche contre ta peau. Tu ouvras les paupières remplis de désir. Tu approchas tout doucement tes lèvres vers les siennes, puis tu t’arrêtas. Passant une main dans ses cheveux, tu lui déposas un timide baisé sur la joue. « Je suis désolé, je n’embrasse jamais un garçon avant le premier rendez-vous Wilcox. » répondis-tu difficilement, la bouche sèche. Tu étais fière, d’une certaine façon tu avais réussi à conserver une légère distance entre vous deux. Mental du moins. « D’accord, alors garde mes vêtements en souvenir. Tu pourras utiliser mon t-shirt comme doudou pour t'endormir. » ajoutas-tu les yeux pétillants en attrapant sa chemise. Au moins tu n’allais pas rentré tout à fait à poil chez toi. Les joues légèrement rosies par tout ce qui venait de se passer, tu préféras reculer de quelques pas. Tu avais besoin d’air,de creuser l'espace. Tu enfilas la chemise puante de monsieur, qui te faisait une robe trèèès courte. « Alors je suis comment ? Tu peux aussi porter mes vêtements si tu le veux hein. » dis-tu en rigolant.
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« Je suis contente pour toi si tu t’en branles, parce que je m’en branle de savoir que tu t’en branles. Puis franchement, ouai je me voyais bien dans ta liste. » Un peu perplexe par autant de répétition venant de sa part, je levais un sourcil. Si c'était le verbe branler qui l'a gênait, elle n'avait qu'à me le dire.. Quoique ça n'aurait pas réellement changé quelque chose finalement. Je n'avais pas l'élégance de la langue et je ne l'aurais jamais, c'est tout. « Je ne m’attendais à rien du tout. Surtout de ta part.  Alors tu ne m’aimes pas ? J’te signale que techniquement j’suis plus vieille que toi. » Elle avait le don pour retourner le sujet, toujours dans sa direction. Il suffisait que je lui avoue que je n'aime pas les vieilles pour qu'elle se pose dans cette catégorie et que dans un même temps que cela l'arrange. « Exactement, tu as tout compris, je ne t'aime pas. Je préfère les jeunes pimpantes, pétillante et surtout en bonne santé si tu vois ce que je veux dire.. Sans rire, plus vous vieillissez, moins c'est bon. » Dis-je en feintant une grimace avant de laisser apparaître un sourire radieux. J'étais jeune. Certes. Mais je n'avais pas réellement d'âge de prédilection puisque j'étais bien sortie secrètement avec une professeure de vingt sept ans. Ce pouvait être connard, mais si la femme en question est active sexuellement, attirante et ne dépasse pas la barre des trente cinq ans, c'était toujours une cible à mon goût. A vingt trois ans on profite à la base, non ? Je n'ai pas envie de vieillir et d'un jour regarder derrière moi en regrettant des moments. C'est peut être pour cette raison que je semble si idiot et incompris. « Pas la peine de me le préciser, je suis de toute façon tout le temps moche, tu le sais très bien. Ce n’est pas comme si tu m’avais maté tous les jours l’année dernière. Ce n’est pas parce que tu étais derrière moi, que je t’ai pas vu.» Je n'avais pas vraiment d'argument, je n'en avais pas du tout même. Comment contre attaquer quand c'est véridique ? Non, je n'ai pas fait que la regarder mais plusieurs coups d’œils.. ouais. Elle devait mentir une fois de plus et malencontreusement trouver un peu de vérité la dedans ? Non ? Rhaa et puis pourquoi cacher le fait que je puisse la regarder ? C'est une belle femme. Le problème c'est qu'elle le sait. Elle le sait même de trop. Peut être l'une des raisons pour laquelle j'aime lui faire croire le contraire.. en vain ? « Brynn, Briny, Brinette. Ma chère petit tête blonde, ne prend pas tes rêves pour des réalités. Je sais, je LE sais que tu m'adores et que tu ressens de fort sentiment à mon égare et que tu le cache au fond de toi. Mais, ne t’imagine pas que je te regardes. Je sais que tu aimerais.. mais non, désolé. » Dis-je avec tellement d’intonation qu'on croirait que c'était réel. Malheureusement pour moi Brynn ne craquait pas sur moi, et ne fantasmais encore moins sur moi. Pour la première fois dans ma jeune vie de Wilcox, je me rendais compte que mon charme n'avait aucun effet. C'est frustrant, mais je gardais la tête froide en creusant tout de même petit à petit. « M’appelle pas chérie, ou je te castre. » Règle numéro un, ne plus jamais l'appeler chérie. Bien retenu. Je n'ai pas envie de perdre mes bijoux de famille, j'avais déjà perdu en me prenant son putain de coup de boule, ça me suffisait. Chaton ? C'est mignon un chat à la base.. ? Et puis pourquoi je réfléchis à ça sérieusement ? Je suis con ma parole. «Pas besoin de te la péter parce que tu parles français, j’pourrais faire la même chose hein. » Je souriais alors avant d'avoir une petite idée, après tout autant en profiter, non ? « Je pourrai t'apprendre quelques mots si tu es mignonne. Tu devrais te sentir chanceuse, je fais payer les parents pour ce genre de prestation en général. » Un peu d'argent de poche bien mérité, ce n'est pas du vol sans parler qu'en général les élèves sont plutôt respectif à moi bizarrement. Pas seulement les filles, les garçons aussi et c'est vraiment appréciable. Ils ont envie. Je n'aime pas les gosses, mais ceux qui ont envie, je les adorent. Après ses mots, je la sentais plus fébrile, comme si j'avais réussis à toucher son être, son âme avec mes gestes. Ou peut être que tout était encore une question simplement d'attirance physique mais c'était tout de même un peu pas pour moi puisqu'elle m'ignorait totalement. J'arrivais à faire retourner des gens derrières moi, mais elle non et c'est surement ce qui m'attirais. J'espérai juste ne pas me tromper sur elle. Sentir qu'elle était bien plus que ce qu'elle voulait me montrer, qu'elle ressentait bien plus sans jamais n'en dire mot à personne. J'avais sans réellement le vouloir installé un climat tendre et à la fois assez électrique sur le moment. Je n'arrivais plus du tout à savoir ce qu'elle pouvait penser, encore moins que d'habitude. Tout ce que j'arrivais à faire c'est la regarder avec un désir ardent et sans fausse note, toujours avec honnête. J'avalais alors ma salive lentement en sentant son baiser sur ma joue. C'était encore un peu inespéré, mais surtout une sage décision. Détenir tout, tout de suite n'a rien de savoureux. Je me contentais donc de tenir ma langue pendant un long moment en écoutant ses mots. J'hôchais donc la tête en me reculant de quelques pas, histoire de ne pas être tenté et de commettre une faute envers elle. « C'est ça, je le garderai comme doudou sans ton odeur et plein de sable. » Dis-je en faisant mine d'être vexé. Je levais les yeux au ciel avant de la regarder de nouveau dans ma chemise, lui allant presque mieux à elle qu'à moi pour le coup. « Sexy Briny. » Dis-je en riant légèrement, bien que je sois toujours gêné à cause de mon initiative entreprenante. Elle pouvait peut être passer à autre chose comme bon lui semblait mais pour ma part ce n'était pas le cas. « Je pense que je vais y aller. J'ai quelques trucs à faire et j’imagine que toi aussi.. » Fuir ? Ma partie favorite dans tous les films que j'avais pu voir, tellement que je faisais de même. Lâche ? Possible, un défaut bien présent qui ne semblait pas me déranger le moins du monde pourtant. « N'oublie pas ta promesse de rendez vous Glücksbourg ! »
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