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C'est le 07/08/1988 à New York, que les membres de la famille Allen m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Roy. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'administration depuis sept ans et travaille en parallèle de mes études en tant que propriétaire d'une boîte de nuit. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Elliot ou les Winthrop. | Roy S. Allen Looks alot like Mario Casas |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle gold' et j'ai 19 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à un top-site. Le forum est vraiment incroyable, tout y est, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Mario Casas comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart et tumblr. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Le forum est énormeeeee, bravo à tous ceux qui ont contribué à ce chef d'oeuvre
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Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
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APRÈS LA BOMBE Le destin, vous y croyez, vous ? La chance, vous y croyez aussi ? Je ne croyais à aucune de ces deux choses avant l'incident qui est arrivé au sein de l'établissement. Alors que j'avais le choix entre aller travailler mon examen ou me pointer dans l'appartement d'une fille qui m'avait laisser son numéro la veille, j'ai opté pour le deuxieme choix. Ce n'était vraiment pas dans mon habitude d'aller faire ça en pleine journée et surtout en semaine d'examens mais cette fois-ci, j'ai voulu le faire, enfin voilà quoi, ne me dites pas que vous suivez toujours votre routine. Alors que je passais à côté du terrain de volley-ball, j'entend un grand boum... L'endroit où j'étais été l'un des seuls qui n'avait pas été touché. Aussi étrange soit-il, la chance m'a souri pour une fois et je ne remercierais jamais assez cette chance pour ce geste, parce que ça m'aurait coûté très cher. Après avoir vu le nombre de blessés et le nombre de morts... C'était un énorme soulagement de ne pas avoir fait parti de cet énorme incident qui restera à jamais graver dans mon coeur. Tout cela m'a changé, j'ai commencé à être beaucoup plus attachant avec tout le monde et à donner une deuxième chance à ceux qui le méritaient, parce que je me suis rendu compte que l'on ne vivait qu'une seule fois et que l'on pouvait tout perdre sans avoir accompli notre but dans ce monde. | ELLIOT Pourquoi cette maison et pas une autre, telle est la question. Je voulais faire belle ma princesse, mais elle est devenue mon ex, pourquoi donc, tout simplement parce que je suis omnibulé par l'argent. Mon père est un richissime homme d'affaire américain, habitant dans le sud de l'amérique, drogues et prostituées, rien ne lui échappe. Au début, je devenais légèrement comme lui, mais je me suis écarté de ce chemin. Jamais pris de drogue, j'en suis fier de ne pas avoir ressemblé à ce monstre. Enfin bref, au point ou j'en suis, je commence à vraiment apprécier l'argent, du moment que celle-ci ne me prenne pas toute mon attention. Je n'ai jamais aimé le truc d'être trop cash et tout cela, mais je me suis rendu compte que l'argent représente tout dans ce monde, vraiment tout, alors je fais tout pour profiter de mon père. Mais tout comme je profite de mon père parce que je n'éprouve qu'un amour minime pour lui, d'autres personnes de l'université font pareil avec moi. Que dire, Karma... WINTHROP J'ai toute les qualités requises pour faire partie de cette maison. Oui, je suis un playboy, mais pas ce genre de bad boy qui délaisse les femmes non, les femmes sont des personnes, on les respecte, mais tout en les respectant cela ne nous empêche pas d'enchaîner des coups d'un soir. Je suis bizarrement très aimé, voilà quoi, l'homme riche qui a des bonnes notes partout et qui est dans l'équipe de volley, faut dire que ça attire l'oeil de quelques personnes, et ce n'est pas comme si je n'en étais pas heureux. Sauf que voilà, je vois un défaut dans cette maison, le fait qu'il n'y ait que des hommes et que je sois plutôt homophobe, ça ne me tient pas tellement à coeur, mais bon, être entouré de personnes du même sexe n'est pas forcémment favorable pour moi. |
(Invité)
Quand je parle avec quelqu'un, s'il y a bien quelque chose que je n'aime pas, mais alors là, vraiment pas, c'est que ce dernier me raconte sa vie, m'étale son histoire comme si j'étais le bouquin dans lequel il écrivait. Non, je ne l'aime pas, c'est donc réciproque pour moi, je veux dire par là que comme je n'aime pas que l'on me raconte, je n'aime pas raconter, mais l'exception confirme la règle alors bon, comme je n'ai pas trop le choix, je vais vous raconter, ouais, je vais vous dire comment Roy Allen a fait pour avoir tellement d'affinités avec son entourage, comment je me suis converti en vrai playboy, un Don Juan pur et dur. Enfin voilà quoi, un Don Juan qui n'était pas tellement méchant, parce que oui, j'aimais entrer dans la séduction, mais pas au point de délaisser les femmes. Une belle nuit de printemps, je suis né, dans les bras de ma mère, une belle blonde néerlandaise que j'ai toujours trouvé super sexy, mais que je n'ai jamais apprécié en terme de relations au vu de celle qu'elle entretenait avec mon père. Mon père, un américain plein jusqu'aux as qui passait sa vie dans les casinos, son truc c'était la drogue, les putes et l'alcool, vraiment dégueulasse comme vie, tellement dégueulasse que je suis devenu comme lui et que je trouve que je mène une belle vie, mais que voulez vous, c'était l'exemple à suivre. Un homme qui puait toujours soit le parfum soit le cigarette, soit les deux, qui parlait super mal et qui n'hésitait pas à crier et taper lorsqu'il s'énervait. Hélas, ma mère méritait mieux, mais cette jolie blonde aux yeux verts rayonnants a opté pour avoir de l'argent plutôt que d'avoir de l'amour, car c'est sûr que quinze ans de différence entre un homme et sa dulcinée, ce n'était pas rien, c'était beaucoup même. Sauf que voilà, ça m'a tout de même facilité la vie d'avoir un père riche, riche était un trop petit mot même, un richissime homme d'affaires, archimiliardaire, qui pouvait claquer des doigts pour s'acheter un palace ou même claquer des doigts pour ruiner la vie de l'un de ses ennemis. Cependant, détrompez-vous, la vie de bohème de mon père n'avait pas que de bons côtés pour moi, il y avait aussi de très mauvais côtés, j'étais très peu sociable, je me suis toujours senti super jaloux des autres et je les enviait tout le temps lorsqu'ils avaient quelque chose que je n'avais pas, je me sentais donc dans l'obligation d'acquérir cette chose. Mais il y avait bien une chose que beaucoup d'élèves de mon école primaire avaient et que je n'avait pas, l'amour inconditionnel d'un père et d'une mère, et non l'argent inconditionnelle de deux individus qui me faisait douter de mon origine, étais-je désiré ? Je me questionnait souvent ce genre de question. Mais peu à peu, je commençais à ressembler à mon père, dès mon plus jeune âge même, mais je ne le remarquait pas, c'était les autres qui le remarquaient pour moi, mais comme mon père le faisait, je ne les écoutais pas, et ça m'a valu toute ma vie, ça m'a valu... Le monstre que je suis devenu. Quant aux études, c'était entièrement autre chose. Jusqu'à mes douze ans, tous mes profs me qualifiaient de surdoué et de futur scientifique, je bossais beaucoup à la maison pour avoir de bonnes notes, cependant mes parents n'avaient pas trop l'air de s'y intéresser, mais je me trompais vraiment. Comme je l'ai dit, à mes douze ans, j'ai décidé de faire le rebelle, je n'ai rien foutu pendant tout le premier trimestre, mais le jour où je devais remettre mon bulletin à mon père, il s'est vraiment, mais alors là, vraiment énervé, quitte à me gifler. C'était la première fois que mon père me touchait aussi violemment, et la dernière d'ailleurs, car après cette scène, j'ai coupé les ponts avec ce dernier, je l'ignorais constamment, on ne s'échangait presque plus de regards, mais je profitais de son argent pour me venger, encore deux détails qui faisaient que j'étais la copie de mon progéniteur : le profit des personnes et la vengeance.
Revenons au point où j'en étais, je parlais de mon père et de ses manies. Et bien oui, j'étais devenu comme lui, enfin à peu près, on en reviendra plus tard sur ce détail là. On va dire que je me suis transformé en une version améliorée de mon père, comme quoi on peut toujours viser plus bas, non ? Enfin bref, bien que je sois né à New York, mon enfance ne s'est pas déroulée dans cette ville. Les six premières années, oui, c'était tranquille, mais ensuite, à cause du travail de mon père, on a dû bouger à Boston. 300 kilomètres séparaient les deux villes, du coup on vivait un peu entre les deux, avant de nous installer définitivement à Boston. Et c'est là qu'une partie de mon enfance et toute mon adolescence avait eu lieu. Oui, tout entière, car les seuls voyages que j'effectuais, c'était pour visiter ma famille en Hollande, du côté de ma mère. Mon père lui, avait sans doute de la famille quelque part, mais je n'en savais rien, strictement rien. Il avait ce côté mystérieux que personne ne pouvait lui ôter et que je n'ai malheureusement pas hérité, parce que ça a toujours un petit côté sexy, et croyez-moi, je sais très bien de quoi je parle. Le grand boulversement de ma vie a fait en sorte que je passe les quatre dernières années de ma vie en territoire sud-américain, parce que ma mère, une si belle et jeune femme, a subit une mort subite. Le pire, c'est que la déception n'a duré que quelques semaines chez ce connard de père, avant qu'il ne se remette à son train-train quotidien. De quoi se détester, oui, mais j'ai relevé la tête, et j'ai décidé d'être quelqu'un de beaucoup plus exemplaire. Jusque là j'étais le prototype de mon père, je faisais tout ce qu'il faisait, tant bien que mal, mais ça a changé depuis la mort de mon père. À quatorze ans, j'avais pas l'intention d'aller faire des études trop dures, du droit sans doute, c'était le plus approprié pour une petite cervelle comme moi. Mais après l'évènement, j'ai choisi l'économie, avant de me lancer dans la gestion, bon sang ce que j'aime ces études, c'est incroyable. On m'a souvent dit que lorsqu'on aime quelque chose (et pas que pour l'amour) on épprouve du plaisir avec tout ce que l'on fait, et on ne s'en lasse que très difficilement. C'était mon cas, moi qui n'ai jamais aimé aller en cours, j'étais passioné tous les matins pour aller travailler, aller découvrir un nouveau monde que pas forcément tout le monde pouvait connaître. Enfin bref, je m'éloigne un peu du sujet principal, quoique non, ces études que je menais m'ont conduit à la prestigieuse université de Cambridge, qui n'est autre qu'Harvard. Pour ce, plusieurs facteurs ont joué, notamment mon excellente moyenne en économie et l'argent de mon père, car oui, personne ne peut vous le nier, ça coûte vraiment énormément d'argent. Concernant moi-même, je suis devenu un playboy gentil, je ne sais pas si vous connaissez, mais il y en a un. En gros je ne suis pas le playboy qui est aussi un bad boy et qui met des râclées en soirée, non, j'étais plutôt le genre de perfect boy que tout le monde aimait. J'étais certes légèrement homophobe, mais le fait que je me socialisait avec tout le monde et que j'aimais rendre service (en plus de ma beauté incroyable, ahah) a fait que je sois très apprécié par mon entourage. Voilà quoi, à chaque fois que je connaissais quelqu'un, que ce soit homme ou femme, ne tardait pas beaucoup de temps à m'apprécier, ce qui était vraiment super. Sauf que j'attirais l'oeil de plusieurs jaloux, notamment du même sexe, qui n'appréciait pas le fait que quelqu'un qui travaille beaucoup et qui ne fait pratiquement pas de sport et qui mange comme un porc soit tellement attirant pour les havardiennes. À quoi bon faire simple, quand on peut faire compliqué, tel était ma devise pour tout ce que je faisais. Ma vie était des plus mouvementées, j'habitais dans une villa qui se situait en dehors de la ville et que mon père m'avait offert lorsque j'avais été gradé après ma cinquième année. Après cette graduation il m'a aussi confier l'un de ses affaires dans la ville, une boîte de nuit. Je commençais à fumer alors que je m'étais toujours promis de ne jamais le faire, et j'avais énormément de travail puisque c'était ma septième année en gestion. En gros, j'avais à peine le temps pour respirer, pour prendre soin de moi-même. Affaire à suivre...
Parce que vous ne savez pas tout sur moi et qu'il y a pleins de choses que vous ignorez, parce qu'il est toujours meilleur d'avoir un récapitulatif, voilà pour vous mes chous.
