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C'est le 19 octobre 1990 à Tokyo, que les membres de la famille Walkers m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Akira. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'ingénierie avec une mineure en mathématiques appliquées depuis 4 ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather ou les Dunster. | Akira Walkers Looks alot like Matsumoto Jun |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Tinà et j'ai 22 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à l'annuaire forumactif. Je trouve le forum agréable et joli, de plus il a l'air actif, bref tout ce que demande le peuple :p alors j'ai décidé de m'inscrire [/b]. J'utilise Matsumoto Jun comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même. Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé. Et oui j'ai commencé par poster ma fiche dans ma mauvaise catégorie je m'en excuse @_@ *boulette time*
Mot de la fin ? ▲ :poppy:
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)
Mot de la fin ? ▲ :poppy:
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE Je me souviens. J'ai ressenti une grande détonation, alors que j'étais à la cafet. Pour une fois que je prends le temps de manger quelque chose, j'ai franchement eu la poisse. Enfin, je dis ça, mais je n'ai pas été blessé. Il y a eu des cris, du mouvement dans tous les sens. J'ai mis du temps à comprendre ce qu'il se passait, à pouvoir ne serait-ce que bouger. C'est quelqu'un qui a crié à la bombe, je crois. C'est flou. J'avoue que j'ai eu peur. Finalement, j'ai réussi à reprendre un peu mes esprits. L'adrénaline a pris le dessus sur la panique. Probablement. Alors je me suis enfin rapproché. Je voulais donner un coup de main. Ne pas rester simple spectateur, pour une fois. Mais je ne vais pas vous mentir : c'était la première fois que je voyais ça. Du sang partout, des gens blessés, mourants. Certains maintenus vainement à la vie avec de ridicules compresses. J'ai du mal à effacer tout ça de ma mémoire. J'y travaille. | Mather House [1er choix largement ;) ] J'aime faire la fête. Et faire la fête seul, à ce qu'il paraît, c'est déprimant. Je ne sais pas si c'est vrai, mais le fait est que je ne cracherais pas sur un peu de compagnie. Franchement, j'ai du mal à m'attacher aux gens. Ils me lassent vite. Mes amis se font rares, mais je ferais tout pour eux. Même me battre, s'il le faut. Ca ne me dérange pas. J'aime bien ça. Les filles ? Tant qu'on s'amuse je les aime bien. Si ça doit devenir sérieux, je préfère les laisser partir. Ouais, je suis un connard. C'est ce qu'on me dit souvent. Moi, je pense juste qu'elles méritent mieux. Dunster House Oui, parce que malgré tout, je suis une tête. J'ai pris l'habitude de travailler quand j'étais petit... Maintenant je dois bien avouer que j'en fais le minimum syndical -tant que j'ai mon année, ça me va- mais pour l'instant, ça marche pour moi. Je ne sais pas si je suis ambitieux. Sûrement. On m'a poussé à l'être, en tout cas. Mais définitivement, je ne serai pas sage comme une image... |
Né à Tokyo avec un nom américain, puis de retour à Harvard, c'est un peu bizarre. Presque ridicule, même. Mais je vais vous expliquer.
Mon père est ingénieur en robotique, plutôt reconnu dans le domaine. C'est lui qui vient de New-York jusqu'au Japon pour son travail. Faut dire que le pays est très réputé pour les nouvelles technologies. Il y rencontre ma mère -vous vous en doutez-, qui travaillait en temps que simple hotesse d'accueil dans la capitale. Alors cette rencontre, avec un riche américain, c'était un peu comme un conte de fée pour elle. Comme un prince sur son cheval blanc.
Bref, le petit Akira voir le jour. J'ai toujours trouvé que c'était un nom de fille, mais bon. C'était surtout pour faire plaisir à ma mère, une façon de préserver sa culture avant notre grand départ pour l'Amérique. Elle était toute excitée à l'idée de voyager. Enfin c'est ce qu'elle m'a dit. Moi j'étais encore trop petit pour m'en soucier. C'était la belle époque.
Mes parents étaient stricts, d'aussi loin que je m'en souvienne. Etant fils unique, j'avais l'ambition américaine et l'obsession de réussite japonaise sur le dos. Pas le droit à l'erreur... Alors j'ai bossé. J'ai beaucoup bossé ! Et j'aimais ça. Aujourd'hui, j'ai du mal à voir comment je pouvais y prendre du plaisir. Mais j'étais doué pour résoudre les problèmes de logique, les maths, tout ça. On me disait que j'étais intelligent, même si je ne voyais pas franchement le rapport. Ca rendait ma mère heureuse, c'est tout ce qui comptait. Ma vie était réglée, je n'avais pas de question à me poser, pas de soucis à me faire. Mon entrée à Harvard était prévue depuis bien longtemps, peut-être même avant ma naissance.
Je devais avoir à peine 7 ou 8 ans quand ma mère m'a annoncé que j'allais être grand frère.
Je dois avouer qu'au début, je ne savais pas trop comment réagir. Paraissait qu'être l'aîné, ça amenait un tas de problème, qu'il fallait changer les couches sales, tout ça. Mais bon, finalement, si elle avait le sourire, je ne pouvais qu'être content.
Grossière erreur.
L'accouchement s'est très mal passé. Je n'étais pas là, bien sûr. Moi, j'attendais sagement dans la salle d'à côté. Non, si je l'ai sû, c'est simplement en voyant le regard de mon père qui passait la porte. Lui ne me regardait pas. Il ne me regardait plus. Il est juste parti. Je crois qu'il pleurait.
C'est là que les infirmières se sont occupées de moi. J'comprenais pas, on m'avait pourtant promis que cette journée allait être merveilleuse. On m'avais promis une petite soeur.
Ma petite soeur était arrivée.
Ma chère mère nous avait quittés.
Ca s'est enchainé très vite. L'enterrement, tout ça. Mon père m'a vite expédié en école privée. Je crois que je la lui rappelais trop pour qu'il me garde près de lui. Je sais pas. Je n'ai pas de nouvelles depuis, à part quelques coups de fils très froids, quelques chèques. Il doit penser que c'est ça, s'occuper de son enfant. Enfin, bon. Aujourd'hui j'ai bien grandi. Je suis entré à l'université depuis quelques années. Plus parce que mon père me la paie que par réelle ambition.
J'ai perdu le goût de travailler. Je préfère "boire pour oublier" comme on dit. Je trouvais ça stupide avant, mais on ne peut qu'adopter la méthode quand on l'a essayée ! Heureusement, je suis toujours un petit génie. Juste doublé d'un gros fainéant dépravé. C'est sexy tout ça.
Mon père est ingénieur en robotique, plutôt reconnu dans le domaine. C'est lui qui vient de New-York jusqu'au Japon pour son travail. Faut dire que le pays est très réputé pour les nouvelles technologies. Il y rencontre ma mère -vous vous en doutez-, qui travaillait en temps que simple hotesse d'accueil dans la capitale. Alors cette rencontre, avec un riche américain, c'était un peu comme un conte de fée pour elle. Comme un prince sur son cheval blanc.
Bref, le petit Akira voir le jour. J'ai toujours trouvé que c'était un nom de fille, mais bon. C'était surtout pour faire plaisir à ma mère, une façon de préserver sa culture avant notre grand départ pour l'Amérique. Elle était toute excitée à l'idée de voyager. Enfin c'est ce qu'elle m'a dit. Moi j'étais encore trop petit pour m'en soucier. C'était la belle époque.
Mes parents étaient stricts, d'aussi loin que je m'en souvienne. Etant fils unique, j'avais l'ambition américaine et l'obsession de réussite japonaise sur le dos. Pas le droit à l'erreur... Alors j'ai bossé. J'ai beaucoup bossé ! Et j'aimais ça. Aujourd'hui, j'ai du mal à voir comment je pouvais y prendre du plaisir. Mais j'étais doué pour résoudre les problèmes de logique, les maths, tout ça. On me disait que j'étais intelligent, même si je ne voyais pas franchement le rapport. Ca rendait ma mère heureuse, c'est tout ce qui comptait. Ma vie était réglée, je n'avais pas de question à me poser, pas de soucis à me faire. Mon entrée à Harvard était prévue depuis bien longtemps, peut-être même avant ma naissance.
Je devais avoir à peine 7 ou 8 ans quand ma mère m'a annoncé que j'allais être grand frère.
Je dois avouer qu'au début, je ne savais pas trop comment réagir. Paraissait qu'être l'aîné, ça amenait un tas de problème, qu'il fallait changer les couches sales, tout ça. Mais bon, finalement, si elle avait le sourire, je ne pouvais qu'être content.
Grossière erreur.
L'accouchement s'est très mal passé. Je n'étais pas là, bien sûr. Moi, j'attendais sagement dans la salle d'à côté. Non, si je l'ai sû, c'est simplement en voyant le regard de mon père qui passait la porte. Lui ne me regardait pas. Il ne me regardait plus. Il est juste parti. Je crois qu'il pleurait.
C'est là que les infirmières se sont occupées de moi. J'comprenais pas, on m'avait pourtant promis que cette journée allait être merveilleuse. On m'avais promis une petite soeur.
Ma petite soeur était arrivée.
Ma chère mère nous avait quittés.
Ca s'est enchainé très vite. L'enterrement, tout ça. Mon père m'a vite expédié en école privée. Je crois que je la lui rappelais trop pour qu'il me garde près de lui. Je sais pas. Je n'ai pas de nouvelles depuis, à part quelques coups de fils très froids, quelques chèques. Il doit penser que c'est ça, s'occuper de son enfant. Enfin, bon. Aujourd'hui j'ai bien grandi. Je suis entré à l'université depuis quelques années. Plus parce que mon père me la paie que par réelle ambition.
J'ai perdu le goût de travailler. Je préfère "boire pour oublier" comme on dit. Je trouvais ça stupide avant, mais on ne peut qu'adopter la méthode quand on l'a essayée ! Heureusement, je suis toujours un petit génie. Juste doublé d'un gros fainéant dépravé. C'est sexy tout ça.
The End
(Invité)
