Je m'appelle Enzio, et je suis né en Italie, à Venise, la ville des amoureux. Je n'étais pas destiné à naître ici, puisque je ne vivais pas dans cette ville. Mes parents s'étaient arrêtés dans cette ville pour se purger et profiter du cadre romantique. Malheureusement pour eux, c'était à ce moment-là, que j'avais eu la bonne idée d'arriver. J'ai toujours été plongé dans le luxe. Ayant un père premier ministre, il m'était possible de désirer quelque chose et de l'avoir dans les heures qui venaient. J'ai donc grandit dans un monde aisé et fortuné, ou les moindres faits et gestes de mon père était épié et photographié. Je n'ai donc, pas vraiment eu une adolescence comme les autres. Toujours dans les meilleurs écoles, à fréquenter de bon partie alors qu'en réalité, je n'avais pas envie de cela. Etre un adolescent comme tous le monde, c'était ce que je voulais. Mais impossible, quand vous avez un père dont la cote de popularité est très grande, tout comme son porte monnaie. Mais cela ne m'avais jamais empêcher pour autant de sortir avec la gente féminine, bien au contraire. Même un peu trop, puisque certaines, sont parfois intéressé seulement par l'argent. Ou bien la notoriété. J'ai appris beaucoup de chose au cours de cette période, c'est sûrement ce qui m'a aidé à garder la tête bien sur les épaules, et non, à me voir supérieur comparé aux autres. Ma famille aussi. C'est une des raisons pour laquelle, je suis ainsi. Ils m'ont toujours soutenue dans toutes mes démarches et nous sommes soudés. Je ne pourrai me passer de ma petite sœur, d'ailleurs elle et moi, détenons une relation spéciale, puisque nous sommes très proche. On s'engueule et se taquine à longueur de temps, bien que l'on s'adore. En ce qui concerne mes parents, enfin, surtout mon père, il m'a toujours conseillé d'aller dans le même sens que lui. Dirigé une carrière politique, tout comme des générations avant lui, afin de le rendre fière. Des espoirs qui parfois, m'étouffe, bien que je les trouve totalement cohérent. Je suis l’aîné de la famille, en plus de cela un homme, il était logique que je suis le cursus familiale. Je ne me suis jamais posé la question de ce qui pourrai me plaire réellement, alors cela tombait plutôt bien. Si bien, qu'une fois la faq à ma disposition, mon père m'inscrivit à une célèbre université italienne. La meilleure des universités, pour lui. Du moins, jusqu'à ce que j'en change pour partir à Harvard. Mais mon arrivé la-bas, bien qu'elle soit pour y faire mes études en politique, n'est pas la seule raison. Oui, je suis chargé d'annoncer mes fiançailles à Zita. Étant la principale concerné. Je l'ai rencontré durant des soirées de bienfaisance en Italie, grâce à nos rangs similaires. Elle m'a toujours fait comme impression et montré un intérêt particulier, du moins, c'est ce que je ressentait. Ce n'était pas mon idée, mais plutôt celui de nos parents qui nous trouvaient fort bien assortie que ce soit physiquement, et au niveau du porte monnaie. Cela arrangeait les deux familles. Ne m'y opposant pas, puisque c'est une belle jeune femme, qui de plus semble intéressé par moi, je suis à présent chargé de lui avouer nos futurs fiançailles et d’officialiser enfin notre relation naissante. Dans la vie de tous les jours, je suis plutôt quelqu'un de macho et fière, comme tout bon italien qui se respecte. Je suis quelqu'un de franc, et qui en générale ne tourne pas autour du pot pour dire ce qu'il a en tête. J'ai aussi été élevé avec un chien, un grand labrador, noir dont je ne peux me passer. Bien que mon père y soit hostile, c'était la seule chose qu'il l'avait laissé avoir et je ne le regrette pas. Myra, c'est donc le labrador que j’emmènerai avec moi, en essayant de le faire accepté aux futurs membres de ma futur maison. Ce goût et cette passion pour les animaux, m'a d'ailleurs mené à mon petit boulot, celui de bénévole à la SPA. Je peux la-bas, ainsi déverser mon amour pour ses boules de poils et en prendre soin avec tendresse. Mais il ne faut pas croire que j'en donne seulement aux animaux. Avant que mes fiançailles ne se prononce, j'avais cette habitude de draguer les jolies jeunes femmes qui me plaisaient, en allant bien évidemment plus loin et je ne m'en gênais pas. Je le faisais avec discrétion, histoire que mon père ne l'apprenne pas, et que je ne lui cause aucun problème. L'amour ? Je n'y crois pas réellement. J'attends qu'il vienne, sûrement une raison pour laquelle j'ai accepté d'épouser Zita.
Ça, c'était avant que j'apprenne que mon père ait trompé ma très chère mère qui en l’apprenant s’effondra. Une ampleur médiatique fit alors son apparition en montrant la mauvaise conduite de mon soit disant père qui avait alors un fils, Wade. Je ne me doutais pas qu'il se trouvait dans la même université que moi jusqu'à ce que je l'apprenne grâce aux médias. Quel bonne surprise ! Un petit con de Mather avec qui je devait partager ma fortune et de plus je ne supportais pas le fait qu'il découle d'une histoire d'amour interdite. En revenant en Italie, mon caractère s'était durcit et m'avais complètement changé. J'étais rongé par la haine d'avoir semblé une famille parfaite alors qu'elle n'était en réalité qu'une simple illusion. Quelle foutaise ! Durant ses deux mois, j'ai fais comprendre très clairement à mon père que j'allais me défaire de son nom dégoûtant, et que je le haïssais au plus profond de moi. Je savais pertinemment qu'a présent, j'allais l'ignorer toute ma vie. Je n'avais plus envie d'avoir affaire avec ce genre de personne qui n'avait de cesse de vous mentir. D'ailleurs pendant ce temps, j'ai pas mal déconné, je me suis plongé dans l'alcool et j'ai couché avec un peu n'importe qui pour défaire ce poids que j'avais sur le coeur, celui que mes piliers qui formaient ma famille c'était effondré comme un château de carte. Je ne savais plus du tout ce que je devais faire jusqu'à ce que mon père me demande une nouvelle fois d'épouser Zita pour le bien de la famille, chose que les Ferrari avait tout de même accepté bien que le scandale soit très présent en Italie. Je ne voulais pas lui offrir ce plaisir de faire ce qu'il me disait mais je devais la rejoindre et faire mon devoir, une dernière fois. C'était la dernière chose que j'allais faire pour lui, pour redorer le blason familiale, raison pour laquelle, je me remis en route pour les Etats-Unis. Je ne suis pas fière de mon comportement durant ses deux mois, mais pourtant, je sais pertinemment que la haine présente dans mes veines ne cesseront de battre jusqu'à ce que ma vengeance soit accomplit. Attention les yeux, Enzio revient, mais cette fois-ci il sera loin d'être doux.