bethany j. abernathy ► sophie turner

C'est le 17 septembre 1994 à Austin, Texas, que les membres de la famille Abernathy m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Bethany Juliana, mais appelez moi Be. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle aux dernières nouvelles et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de management culturel depuis 1 an et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les lowell ou les students.

bethany j. abernathy

Looks alot like sophie turner

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle marie et j'ai 22 ans dans quelques mois. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart me semble. C'est tout cute et rose alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Sophie Turner comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par huss. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ kawabouya.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
J'étais dans ma chambre au moment de l'explosion. J'ai juste vu l'agitation depuis ma fenêtre. C'était terrifiant, toute cette fumée, ces cris ... J'en fais encore des cauchemars la nuit parfois. J'ai quand même eu énormément de chance de ne pas être touchée durant ce drame. Mes parents m'ont demandé de retourner au Texas jusqu'à la fin de l'année scolaire, par peur qu'il m'arrive quelque chose. Si c'était selon eux pur mon bien, j'ai quand même perdu une année scolaire dans toute cette histoire. Mais au moins, j'ai perdu personne à qui je tenais, ce qui est déjà pas si mal.

LOWELL
J'étudie le management culturel, parce que c'est un domaine qui me plait. C'est même une passion, n'ayons pas peu des mots. Je fais de la guitare sèche depuis mes sept ans. Je compose depuis ... depuis que je sais écrire peut-être ? J'en sais rien. Dans mes vieux films souvenirs j'ai toujours un micro en main (ou une brosse à cheveux la plupart du temps) pour faire mon show. J'ai toujours aimé la scène et aujourd'hui je pense pouvoir dire que je me débrouille plutôt bien dans ce que je fais. Mon but final, c'est pas de devenir la Nouvelle Star ou que sais-je. Mes ambitions ne sont pas aussi grandes. Mais c'est dans cette confrérie que je me sens le plus à ma place.

STUDENTS.
J'ai jamais été du genre à vouloir me mettre dans une case bien précise. A vrai dire, je ne me sens pas dans la nécessité d'appartenir à une fraternité pour m'épanouir sur le campus. Je suis une fille indépendante, je me suis toujours battue pour ça. Et puis j'ai un job à côté des études, y en a pour qui c'est pas si simple que ça d'étudier dans une grande université. Alors les fêtes et compagnie, c'est bien beau, mais seulement quand je prends pas un service du soir et c'est pas si souvent que ça.

(Invité)

Le Texas, ces grandes étendues agricoles, le soleil 300 jours par an, la chaleur, bref une carte postale. Du moins, ça c'est ce qu'on vous vend. Pour une vraie texane comme moi, croyez-moi c'est pas si agréable que ça. J'ai grandi à Austin, une des plus grandes villes de la région. Et ça c'était de la chance par contre. Austin c'est sympa, c'est comme toutes les grandes métropoles sauf qu'au lieu d'avoir des autoroutes à perte de vue, on se retrouve plus facilement perdu dans les cultures de maïs (bon, je caricature peut-être ...). Mais bon, on s'en fiche un peu de la ville, c'est pas le point central alors venons en au truc important, c'est-à-dire moi.

Je suis la cadette d'une famille de six enfants. Cinq grands frères, j'en ai bavé, ça c'est clair. J'ai toujours été la petite chouchou de ma famille, d'abord parce que j'étais la dernière, mais aussi parce que j'étais la seule fille. On habitait dans une jolie maison dans la banlieue d'Austin. Mon père détient une grosse entreprise agricole dans une ville voisine, autant vous dire qu'on le voyait pas si souvent que ça à la maison. Petite, je me retrouvais la plupart du temps seule avec ma mère vu que mes frères avaient déjà l'âge de traîner avec leurs copains sans qu'on leur pose des questions. J'ai littéralement grandi avec les tubes de Sheryl Crow et des chanteuses country de la région. Sur la plupart des vidéos de mon enfance, n faisait le show dans le salon, avec la table basse en guise de scène et une balayette comme guitare.

Ma scolarité au primaire se passe sans grand événement particulier. Chose prévisible au possible, j'ai toujours été surnommée poil de carotte par mes gentils petits camarades. Mais bon, je suis loin d'avoir un caractère effacé et je l'avoue, ça m'est arrivé de me bagarrer dans la cour de récré pour les faire enfin taire. A côté de ça, j'ai commencé la guitare sèche très jeune et participé à tous les concours de talent imaginable. Pas que j'avais spécialement envie de gagner. Mais me produire sur scène, avoir un public, transmettre quelque chose, ça me bottait bien. Et puis ça mettait le sourire aux lèvres des gens de me voir débarquer avec ma guitare plus grande que moi et de chanter les grands succès de country avec ma petite voix d'enfant.

Puis de gamine rouquine, je suis passée à jeune fille. Adolescente rebelle, un peu casse cou. Mais même si j'ai fait des bêtises (comme tous les ados, je vais pas tenter de vous faire avaler le coup de la petite fille parfaite), j'ai toujours su me raisonner. Si les gens du coin aimaient bien mes petits show, j'étais assez terre à terre pour savoir que je ne serais jamais aussi talentueuse que Sheryl Crow et qu'il fallait se rendre à l'évidence : je ne deviendrai jamais une star de la chanson country. Mais ce domaine restait ma passion, je voulais travailler avec ces gens qui eux, ont le talent nécessaire. J'ai travaillé dur, comme une folle, pour avoir les notes suffisantes pour être acceptée à Harvard. Si mes parents ont une bonne situation financière, l'université n'est pas vraiment le truc le plus abordable du monde. Mais j'étais la première de ma famille à aller jusque là dans mes études et à vouloir un diplôme. Mes frères ont préféré s'orienter dans la reprise de l'entreprise familiale. Mais moi, les moutons et les maïs, c'est pas ma tasse de thé.

J'ai donc quitté mon Texas chéri ma guitare sur le dos pour m'envoler direction Cambridge. Gros choc, surtout thermique. Les premières semaines ont été difficiles, mais finalement j'ai réussi à me faire ma place. Pour ne pas surcharger mes parents, j'ai décidé de prendre ce job de serveuse à côté des cours, histoire d'être autonome financièrement et de pouvoir payer ma bouffe, mes à côté sans rien avoir à demander à mes parents. Puis y a eu la bombe. Même si je n'en ai souffert qu'en temps que témoin, mes parents ont tenu à ce que je quitte l'université jusqu'à ce que les lieux leur semblent sûrs à nouveau. De toute façon, les cours étaient suspendus jusqu'à nouvel ordre, le temps de reconstruire les bâtiments. J'ai pas trop eu le choix d'accepter, mais avec leur promesse que je pourrais réintégrer la fac à la rentrée.

Et donc voilà, j'ai retrouvé les bancs de la fac depuis septembre, tout comme mon boulot de serveuse. J'ai économisé toute l'année dans l'espoir de pouvoir me payer le camp d'été de cette année, ayant loupé celui de l'année précédente. Y a plus qu'à espérer que tout fonctionne enfin comme je le souhaite.

The End

(Invité)