JULIAN E.-MAVERICK ► Anthon Wellsjo

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Dea (anciennement Lunaria) et j'ai entre 7 et 77 ans (mais plus proche de 7 quand même) (ça veut dire que j’ai dépassé 20 ans et j’assume plus -> ). Je suis corse et j'ai connu le forum grâce à une recherche google, d’ailleurs saviez-vous que vous êtes particulièrement bien référencé ?.  J’ai besoin de ma dose d’ILH alors j'ai décidé de me ré-ré-ré-inscrire. J'utilise Anthon Wellsjo comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Century sex. Je fais environ entre 300 et 800 mots par RP, dépend de l’inspiration et du niveau de mon partenaire, et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Grèbe. Oiseau palmipède au plumage blanc argenté.
Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Je dois raconter ma vie là c’est ça ? Bouarf, elle a pas grand-chose d’intéressant. Mais j’adore être le centre de l’attention ! Déjà à ma naissance on se disputait ma fabuleuse personnalité ! Je dis ça sur le ton de la plaisanterie, mais c’est pas très drôle comme histoire… Je vais vous raconter ça : à la base je devais être le premier né d’un couple paraît-il très uni et rêvant d’une grande famille. Ma mère biologique avait une amie alors âgée de 15 ans, Sera Maverick, à qui elle avait demandé d’être ma marraine. Je suis né un peu prématurément chez cette jeune fille, un soir de tempête. J’ai encore des coupures de journaux de l’époque, il paraît que c’était terrible, l’un des pires typhons de la décenie, des accidents partout, une pagaille monstre. A tel point que les secours débordés n’ont pas pu prendre en charge ma mère lors de son accouchement et que mes parents ont du partir pour l’hôpital en voiture, accompagnés de Sera. Si vous êtes un peu intelligent et que vous avez lu mon nom de famille, vous devez avoir deviné la suite… La voiture a fait une sortie de route. Mes parents biologiques sont décédés sur le coup et Sera a été gravement blessée en me protégeant, elle en garde d’ailleurs des cicatrices. « Coup de chance » si je puis dire, une ambulance passait par là au même moment et a pu nous secourir. Sera me dit souvent que lorsque les infirmiers lui ont demandé à qui était le nouveau-né, elle a pris la décision la plus folle et la plus importante de sa vie. Ma mère avait fait promettre à son amie que s’il lui arrivait quoi que ce soit, c’est elle qui devrait veiller sur moi. Et elle a honoré sa parole en me déclarant comme son fils né quelques heures plus tôt, de père inconnu, et qu’elle souhaitait me garder. Dans la confusion des évènements, personne n’a pensé à faire de tests pour vérifier ses dires, et c’est ainsi que je suis devenu le fils unique d’une jeune fille de 15 ans qui vivait encore chez son père. La mère de Sera, ma grand-mère donc, était décédée elle aussi en mettant au monde sa fille et mon grand-père n’a jamais refait sa vie ensuite. Ca c’est pour la partie ascendance. Laissez-moi vous parler un peu de moi maintenant.

J’ai toujours vécu à Miami, où mon grand-père était chef de la police, rien que ça. Malgré s’être retrouvée avec un môme sur les bras en pleine adolescence, ma mère m’a remarquablement bien élevée tout en poursuivant ses études. Il faut dire qu’elle n’était pas trop du genre sorties à tout va et dépenses folles, elle était en quelque sorte la maîtresse de maison à la place de son père, et elle était en plus dotée d’une remarqua intelligence, alors elle a vite pris ses marques et a pu gérer sa scolarité en s’occupant de moi. Elle a même été acceptée à l’université de Miami et aurait pu faire de brillantes études, mais la cruauté de la vie a fini par la rattraper. En deuxième année elle a vu un homme se faire assassiner et mourir sous ses yeux, un véritable traumatisme qui l’a poussé à suivre les traces de son père et s’engager dans la police.

Grandir avec un grand-père et une mère flic, c’est pas toujours évident. Pas d’écart de conduite toléré à la maison, alors on se lâche un peu plus quand ils ont le dos tourné. C’est pour cela que je suis devenu à l’adolescence un petit caïd. Un gentil quand même, je n’ai jamais été jusque dans l’illégalité. Mais on va dire que j’aimais bien contourner les ordres à l’école pour provoquer et me faire remarquer. Parmi mes « exploits » on peut compter l’arrivée en cours en descendant la façade du collège en rappel, ma tentative de faire de l’aquabike dans la piscine du lycée avec un véritable BMX ou encore le barbecue improvisé que j’ai organisé dans la cours de récréation… Sans l’appui de ma mère et de mon grand-père j’aurais sans doute été viré depuis longtemps et j’en étais conscient, alors je me rattrapais en travaillant un maximum (mais je n’ai jamais non plus été premier de la classe). J’avais pas besoin de bosser des masses, il semble que ma mère m’ait transmis son intellect. Mes frasques et mon caractère enjoué m’ont apporté pleins d’amis… et d’admiratrices. Les rigolos de service ça attire pas mal les filles, alors j’en ai un peu profité. On n’a qu’une vie de toute façon, y a pas de mal à ça !

Mon seul regret a été d’avoir un peu déçu ma mère. La relation que j’ai avec elle est particulière. Dès que j’ai été en âge de comprendre, elle m’a avoué la vérité sur ma naissance. Mais moi je m’en fichais, c’est elle qui m’avait élevé donc c’était elle ma mère, point barre. Elle est la personne que j’aime et que je respecte le plus au monde et je supporterais jamais de perdre son estime. D’ailleurs j’avoue que j’ai tendance à être léééégèrement surprotecteur avec elle, surtout dès qu’un homme l’approche. Elle est jeune et naïve, je l’ai trop souvent vue pleurer pour des crétins alors si vous la voulez vous devrez me convaincre d’abord. Mais de toute façon elle n’est plus libre, elle est l’heureuse Madame Reid Edgeworth depuis quelques années et mère de Lily, la petite sœur la plus adorable du monde née lorsque j’avais 15 ans. J’ai d’ailleurs cru pendant un fol instant que ma mère m’aimerait moins après avoir eu un enfant biologique, et quand elle l’a compris elle m’a mit une bonne claque pour me remettre les idées en place. Je serais toujours son fils, quoiqu’il arrive.

Alors quand j’ai compris que j’étais en train de la décevoir par mon comportement immature, j’ai mis les bouchées doubles pour me rattraper… en visant tout simplement la meilleure université du monde. Et j’ai réussi. J’en ai d’ailleurs été le premier étonné, mais on dirait que ça a suffit à rattraper ma turbulente jeunesse. La même année j’ai été officiellement adopté par mon beau-père, ce qui explique le patronyme Edgeworth sur mes papiers d’identité. Ca a pas été facile de quitter ma famille et le soleil pour Cambridge, mais là bas aussi la mer n’était pas loin alors ça m’a un peu rassuré. Je suis pas floridien pour rien !
Une vie comme les autres en somme.

A part ça ? On dit de moi que je suis un bon vivant, que je me prends pas la tête et que j’aime rire. C’est vrai. Je rajouterais que je suis un éternel enfant, capricieux et feignant, mais que je pourrais bien vous surprendre par certains côtés.