Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityHippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher
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Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher

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C'est le 07 février 1989 à Athènes (Grèce), que les membres de la famille Holmes (par le père), Kostas (par la mère) m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Hippolyte Stavros.  Je suis célibaire avec un enfant de quatre ans et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de relations internationales et de droit depuis sept ans et travaille en parallèle de mes études en tant que propriétaire d'une agence d'Escort. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Students.
Hippolyte D. Holmes

 
Looks alot like Ashton Kutcher

 
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Sherlock et j'ai 28 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à ma moitié, Watson.  J'adore ce forum alors je suis déjà présente sur le forum sous les traits de Caleb T. Weyss (Lowell), Declan T. O'Malley (Winthrop) & Wilhelmina A. Frost (Dunster). J'utilise Ashton Kutcher comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par leurs créateurs respectifs. Je fais environ 200 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

  Mot de la fin ? ▲ Je vous naime :heaart:
  Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
 
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
  participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE
Je n'étais pas présent sur le campus à ce moment-là, pris par mon agence d'Escort mais j'ai suivi à la télévision les événements étapes par étapes. On ne peut pas dire que j'ai été grandement traumatisé car il en faut beaucoup plus pour cela.

 
ELIOT.
La Eliot House est la maison qui me correspond le plus objectivement possible. Je suis l’actuel petit-fils et seul héritier d’un grand armateur grec qui possède un véritable empire d’import-export. Je possède donc les qualités financières ainsi qu’un réseau de contact très influent pour correspondre aux critères d’entrée à cette illustre confrérie. Je possède en outre des qualités personnelles idéales pour faire de moi un digne représentant des bleus : l’ambition, la soif de pouvoir, des principes moraux solides, l’art inné de manipuler mon monde et une grande envie de réussite sociale. Si j’avais le plaisir de faire grossir les rangs de la Eliot House par ma présence, ce serait un véritable honneur pour moi.

  STUDENTS.
En dehors des Eliot, je ne pense pas cadrer avec les autres confréries. Il est évident que je n’ai absolument pas ma place chez les Mather car j’ai en horreur l’alcool et les drogues à cause de mon enfance dévastée par ces deux fléaux ; Je n’ai aucun talent artistique qui me ferait épouser la cause des Lowell bien que je sache jouer du piano… Je suis bien trop égoïste pour être un Quincy ni même aies l’assiduité aux études d’un Dunster. Je ne parle même pas de la Winthrop House à laquelle, je ne m’identifie pas le moins du monde. Non, me fondre dans la masse me parait une meilleure idée plutôt que de me mentir à moi-même surtout que je ne suis pas du genre à me plier devant quelqu’un pour son bon vouloir.  
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Une naissance controversée


« Cela suffit Lucia… Je t’ai donné plusieurs fois la possibilité de ne pas commettre cette folie mais tu ne m’as pas écouté ! Pire, tu as continué à te fourvoyer avec cet escroc alors tu assumeras les conséquences car à partir d’aujourd’hui tu n’es et tu ne seras plus jamais ma fille. Sors de mon bureau » tonna une voix forte et grave tandis que sa fille, enceinte de huit mois, fondait en larmes. Cela n’empêcha pas Andrea Kostas de tourner le dos à sa fille unique espérant encore qu’elle puisse retrouver la raison et divorcer de l’homme avec qui elle venait de convoler. Un bâtard, un homme sans le sou et intéressé par la fortune des Kostas. Monsieur Kostas dans un accès d’amour paternel se retourna au dernier moment mais sa fille avait déjà quitté le bureau et de sa vie comme il le lui avait demandé. Il ignorait encore tout du terrible destin à laquelle il venait de la condamner. Pour l’heure, il se disait, pour se consoler, qu’il avait pris la bonne décision pour protéger son empire. « Elle reviendra… Elle reviendra » murmura-t-il mais sa fille ne revint jamais, plongeant cet homme d’affaires dans une grande solitude.


Une enfance cauchemardesque


LUCIA ! » hurla la voix de son mari tandis qu’elle essayait tant bien que mal de bercer sa fille de deux ans entre ses bras couvert de bleus. A côté d’elle, son fils âgé de quatre ans la regardait faire comme s’il s’assurait que sa petite sœur soit bien traitée. Hippolyte était si adorable et protecteur envers sa petite sœur Dina. Il semblait si courageux pour son jeune âge alors qu’il avait vu plus de misère que tout autre chose. Lucia aurait aimé pouvoir lui offrir une enfance et vie décente mais sans le sou après avoir été déshéritée, elle travaillait dur pour subvenir aux besoins de la famille mais le peu d’argent qu’elle gagnait, était dilapidé par son mari aux jeux et dans l’alcool. « Putain Lucia, ça fait trois heures que je t’appelle ! J’ai faim, va me préparer ma bouffe ! » s’écria-t-il en ouvrant brusquement la porte de la petite chambre des enfants. Aussitôt Hippolyte tenta de se placer entre son père et sa mère mais son petit corps fut rapidement propulsé contre le mur par son père, ivre de rage. « Ptit con, tu croyais qu’un misérable avorton dans ton genre allait m’arrêter ? Viens ici que je t’apprenne à respecter ton père » lui dit-il en enlevant sa ceinture prêt à frapper l’enfant. Lucia déposa rapidement sa fille dans son berceau avant de se faire enjôleuse auprès de son mari. « Viens Liam.. je vais te faire à manger et je pourrais peut-être te faire une petite gâterie » tenta-t-elle avant de se prendre une gifle et de se faire trainer par les cheveux par son mari. « Petite pute ! Je vais te sauter pendant que tu me feras à bouffer, tu serviras au moins à quelque chose ! Dire que je t’avais épousé pour  ton fric et que je me retrouve avec un boulet et deux bâtards sur les bras… Tu as intérêt à bien me sucer grognasse » s’époumona-t-il tandis que son fils se bouchait tant bien que mal les oreilles pour ne pas entendre les cris de douleurs de sa mère, pleurant à chaudes larmes tout en priant que quelqu’un vienne les aider mais personne ne vint comme d’habitude.


La fin d'une vie


Un an passa dans la même ambiance. Hippolyte veillait sur sa sœur tout en essayant de protéger sa mère mais à chaque fois, son père le frappait avant de faire crier sa mère. L’enfant ne comptait pas le nombre de fois où il avait retrouvé le corps nu de sa mère dont les cuisses étaient recouvertes de sang tant son père la violait sauvagement. Il ne connaissait pas le sexe mais il savait que son père faisait mal à sa mère. Celle-ci ne réagissait presque plus : elle ne souriait plus, elle ne le prenait plus dans les bras ni ne lui chantait de berceuse. Elle restait là, les yeux dans le vague. Aussi, l’enfant étendait une couverture sur son corps et veillait sur sa sœur, l’aidant à manger du mieux qu’il le pouvait. Il grandissait bien trop vite pour son âge. Un jour pourtant, il n’eut aucun cri de toute la journée. Son père était parti une nouvelle fois. Cela lui arrivait, il disparaissait quelques jours et revenaient pour mieux hurler et les frapper et comme à chaque fois, le jeune enfant se surprenait à souhaiter qu’il ne rentre jamais. Hippolyte se rappellera toujours de ce jour-là. L’absence de pleurs ou de bruit l’avait frappé si bien qu’il était sorti de sa chambre et avait appelé de sa voix fluette, sa mère. Aucune réponse. C’est alors que la vision de sa mère baignant dans son sang le frappa. « Maman…. MAMANNNN » s’écria-t-il tandis qu’il avait beau la secouer et qu’elle ne se réveillait pas. L’enfant s’allongea contre le corps froid de sa maman en pleurant silencieusement. « T’es froide maman…vais te chercher une couverture » lui dit-il au bout d’un moment. Ce fut la dernière fois qu’il vit sa mère car son père rentra le soir même et tomba sur le corps de son épouse. Elle s’était suicidée en se taillant les veines. Liam ne s’embarrassa pas des convenances et fit enterrer sa femme dans la fausse commune. C’est ainsi que commença une véritable vie d’errance pour les deux enfants, ballotés de cachettes en cachettes car les dettes de Liam s’accumulait, le forçant à se cacher pour échapper à ses créanciers.


Le cauchemar continue


« Toi, ramène ton cul vermine » tonna la voix du père tandis qu’il attrapait sa fille de trois ans par le bras qui se mit aussitôt à crier et à pleurer. Hippolyte, alerté par les cris de sa sœur se rua sur son père mais ce dernier l’attrapa par les cheveux pour le faire voler dans la pièce. « Dégage morveux ! Profites de voir ta sœur une dernière fois, t’es pas prêt de la revoir, je viens de la vendre pour ramener du fric… Pour une fois, vous allez me servir à quelque chose » tonna-t-il d’une voix ironique tout en éclatant de rire. Le front légèrement ouvert, Hippolyte se releva péniblement pour courir mais il était déjà trop tard, un homme tendait une liasse de billet à son père avant de monter dans la voiture où sa sœur criait. « DINAAAAAAAA » hurla-t-il avant de courir derrière la voiture mais il n’était qu’un enfant de cinq ans et il trébucha bien vite sur un caillou, voyant disparaitre la voiture et donc sa sœur au coin de la rue. « Dina… » murmura-t-il avant de pleurer. Sa petite sœur était tout ce qu’il avait de précieux, elle était son petit joyau et il n’avait pas réussi à la protéger. « JE TE HAIIIS » hurla-t-il à son père qui ne manqua pas de le battre pour lui apprendre la discipline mais déjà, le cœur du petit enfant était assombri par la colère et la haine. Deux sentiments qu’un petit bout de chou ne devrait pas connaitre si jeune.


La vengeance d'un frère.


Neuf ans s’écoulèrent à nouveau sans qu’Hippolyte âgé alors de quatorze ans ne revoie sa sœur pourtant, l’adolescent conservait l’espoir d’un jour de la retrouver et il faisait tout son possible pour gagner sa liberté mais quoi qu’il fasse, son père finissait toujours par lui tomber dessus. « MORVEUX ! APPORTE MOI MA BIERE OU JE TE COLLE UNE ROUSTE DONT TU TE RELEVERAS PAS ! » hurla Liam Holmes. Hippolyte soupira et sorti une bière ainsi que quelques gâteaux et autres cacahuète. En somme, son garde-manger que son père allait dévorer en un rien de temps. Liam se fichait bien que son fils ne soit jamais allé à l’école –l’éducation était une perte de temps, son fils lui rapportait bien plus de pognon en travaillant à droite et à gauche ; Il se fichait bien également qu’il soit maigre comme un clou à force de ne pas manger à sa faim ou bien trop petit pour son âge. Rien ne l’intéressait en dehors de ses cuites journalières et de ses paris illégaux. Toutefois, en ce jour, son destin bascula lorsque son père commença à s’étouffer après avoir avalé de travers. L’homme battit des poings sur la table mais son fils resta droit comme un i en le regardant suffoquer. « A…A…A l’aide » dit-il difficilement en paniquant sous le manque d’oxygène mais Hippolyte ne bougea toujours pas, le toisant de son regard froid et indifférent. « Pour Dina » fut la seule chose que l’adolescent prononça en regardant l’agonie de son père qui termina par mourir au bout de quelques minutes. Une mort pitoyable pour un être pitoyable. La seule chose que retint l’adolescent était qu’il était libre.


Mona et les drôles de dames


Cela faisait quelques semaines qu’Hippolyte errait de rues en rues, de squat en squat la fin accrochée au ventre. Quelques semaines seulement et pourtant, il avait appris la dure loi de la vie, le poussant à voler pour se nourrir et à se battre pour s’imposer mais un jour, il s’effondra aux portes d’un bordel, affamé et affaibli. Sa vie aurait pu s’arrêter là, dans ce quartier malfamé si une bonne âme ne se décida à recueillir l’orphelin. Elle se nommait Mona et était une prostituée. C’était la première fois depuis des années qu’une personne se montra attentionnée envers cet enfant meurtri par la vie. Elle avait l’habitude de le nommer Chou’ et de le materner comme s’il était son fils. Hippolyte apprit beaucoup à son contact et se rempluma. Mona ne roulait pas sur l’or mais partageait sa pitance et son toit avec lui, l’aidant à reprendre une croissance normale en le gavant de tout et de rien. Durant plus d’une année, il côtoya la jeune femme et ses drôles de dames, toutes prostituées de leur état. Il adorait ces quatre femmes, veillant sur elles autant qu’elles veillèrent sur lui. Auprès d’elle, il reprenait peu à peu goût et confiance en la vie même si son quotidien était spécial. Le jour, il dormait et la nuit, il quittait l’appartement pour errer dans les rues le temps que Mona et les autres travaillent. De temps en temps, il atterrissait chez leur proxénète, un bon gars qui vivait d’arnaques en arnaques. D’ailleurs, c’est lui qui lui apprit à tricher aux cartes, à voler et à se battre mais aussi à développer son goût pour la musique. On peut dire qu’il était ce qui se rapprochait le plus d’une figure paternelle même si, elle n’avait rien non plus d’ordinaire.


L'arrivée d'un grand-père


Un beau jour, un homme d’un certain âge débarqua au bordel. On sentait de suite que cet homme était de la haute, par son maintien, la richesse de ses vêtements ou même son attitude hautaine. Hippolyte l’avait toisé avec méfiance. Ici, on n’aimait pas beaucoup les gens de la haute mais on aimait leur argent alors s’il voulait dépenser son fric, sûrement Mona pourrait lui faire plaisir. « Bonjour Hippolyte »l’avait-il salué. Comment connaissait-il son nom ? L’homme sembla comprendre sa perplexité. « Puis-je te parler seul à seul mon garçon ? » avait-il rajouté avant que l’adolescent âgé de quinze ans et demi n’hoche finalement la tête avant de sortir avec cet inconnu. C’est alors que le vieil homme lui expliqua qui il était et pourquoi il était venu. Il se faisait vieux et il avait besoin d’un héritier pour prendre un jour, le contrôle de son empire d’import-export. Hippolyte l’écouta religieusement sans trop savoir quoi répondre. Il n’était qu’un gosse de la rue pas un héritier. L’homme devait se tromper de candidat surtout qu’il ne savait presque pas lire. Le vieil homme lui tendit alors une simple photographie, celle de sa mère. « Je suis ton grand-père mon garçon et je suis venu pour te ramener au monde auquel tu appartiens. Un Kostas ne devrait pas vivre dans un taudis pareil au milieu de professionnelles de la nuit » lui avait-il dit. « Je suis un Holmes » marmonna l’adolescent tandis que son grand-père avait un mouvement d’humeur. « Tu es un Kostas ! Nous tâcherons de gommer les imperfections de ton code génétique par une bonne éducation… » s’écria-t-il avant de se racler la gorge, gêné d’avoir perdu autant le contrôle. « Je suis un Holmes » fut la seule réponse de l’adolescent, condescendant. Hors de question pour lui de renier ses origines car cela voudrait dire, renier sa sœur disparue et pour Hippolyte, il en était hors de question.



Un héritier à former


Monsieur Kostas essaya durant des années et des années de faire prendre à son petit-fils le nom de jeune fille de sa mère mais rien n’y faisait et au final, il abdiqua devant le regard froid et buté d’Hippolyte. Il reconnaissait tout de même qu’il avait le même caractère buté que lui quoiqu’il en soit, le plus important était que peu à peu, au fil des années, le gosse des rues rentrait de plus en plus dans la peau de l’héritier. Sa scolarité hasardeuse fut reprise en main par les meilleurs précepteurs et grâce à son intelligence des plus vives, Hippolyte rattrapa rapidement son retard. Il fut également initié aux sports, aux arts et à la musique. Sa culture générale et son savoir vivre furent aussi une question épineuse mais grâce à des professionnels, les mauvaises habitudes furent rapidement gommées. En trois ans, Hippolyte fut modelé et éduqué aux normes de la haute société et grâce à ses facultés d’apprentissage, il réussit l’exploit à obtenir son diplôme de fins d’études d’un lycée côté. Son grand-père avait tracé tout son avenir : études de droit à Harvard, il se marierait avec une femme de bonne famille qu’il aura spécialement choisie pour lui et quand le temps serait venu, il reprendrait le flambeau à la tête de son empire. L’adolescent devenu un jeune homme avait néanmoins compris rapidement qu’il avait échangé une prison de violence pour une cage dorée mais se pliait à tous ses devoirs car au bout du compte, un jour, il serait libre et il pourrait mettre sa richesse et son pouvoir pour retrouver son joyau –autant dire que son esprit manipulateur et calculateur n’en était que plus aiguisé au fil des années.



La naissance d'un amour


Hippolyte avait bien grandi et s’il avait obtenu richesse, pouvoir et s’était fait un réseau de contacts des plus influents, il lui manquait une seule chose : l’amour. Le jeune homme n’avait jamais connu ce sentiment. Oh il avait connu les plaisirs de la chaire mais ce sentiment restait inconnu à son cœur dur et froid. Qui aurait pu croire qu’il succomberait au charme d’une princesse aussi douce que généreuse ?! Personne et surtout pas lui. Pourtant, l’amour le frappa et c’est le cœur hésitant qu’il tenta de séduire cette femme avec maladresse, la blessant comme une rose vous meurtri les doigts à cause de ses épines. Son passé ne l’aidait pas à s’ouvrir et pourtant, la belle Elisandra parvint à vaincre ses murailles et gagnait le cœur de son homme de glace. Auprès d’elle, Hippolyte apprenait la douceur, la tendresse, la chaleur que pouvait apporter l’être aimé dans une vie dénouée de tout cela. La jeune femme devint rapidement vitale à la vie de ce jeune héritier grec et comme si l’histoire se répétait, elle ne tarda pas à tomber enceinte. Malheureusement, le destin frappa à nouveau de sa main la plus cruelle, séparant le couple en plein amour pour mieux replonger Hippolyte dans les affres de la douleur et de la solitude bien qu’un petit être accaparait ses jours et ses nuits. Un petit être, fruit d’un amour authentique et qui répondait au doux prénom d’Archibald.



Retour à la case départ


Voilà quatre ans qu’Elisandra était plongée dans un profond coma et Hippolyte tentait tant bien que mal d’élever leur fils tout en menant de front ses études. Heureusement, il pouvait compter sur la présence salutaire de Mona, sa mère de cœur qu’il avait tiré de son bordel. La vie avait repris son cours mais tout était une nouvelle fois sur le point de changer. Comment le jeune homme âgé aujourd’hui de vingt-cinq ans allait parvenir une nouvelle fois à faire face aux coups du sort ?! Sûrement en faisant ce qu’il savait faire de mieux : manipuler, tricher et se battre jusqu’à n’en plus finir.
The End
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Ashton.  Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 1365124802 Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 1365124802 :heaart: 
re-bienvenue et bon courage pour ta fiche. (:
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Hippolyte Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 152426858 bouaaaaaaaaaah et bien re-bienvenue pour la quatrième fois Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 2109348208
faut que vous me donniez votre recette miracle Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 1881463262
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Merciiii  Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 1001568715 

Jackie... Si je te le dis, je serais obligée de te tuer... Disons que tout réside dans le choix du Bledina à la naissance xD
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Mamouuuuuuur !! Vic Vic T'es définitivement sex Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 152426858 comment résister Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 3997999705 Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 3997999705
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Naaa c'est toi qui est sex Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 152426858 mais ne résiste pas !! On va remettre un deuxième en route :lol:
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Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 1881463262 Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 1881463262 je croyais que t'en voulais paaas :sifle:
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(re)bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 2109348208 Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 3850463188
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Les accidents sont si vite arrivés Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 152426858 xD

Merciiii Leevy Hippolyte S. K-Holmes ►Ashton Kutcher 3850463188
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