Je suis née en France, et contrairement à se que vous pouvez pensez, je ne vivais pas de pain et d'escargot. J'aime le pain, comme tout le monde, mais je hais les escargots. C'est gluant, c'est dégoulinant c'est... berk, indescriptible. Depuis que je suis en Amérique, on me dit sans arrêt "Oh, mais c'est que tu as un accent, t'es française ? Ça te manque pas un peu le pain ? " Quoi, qu'est-ce qu'il à notre pain, t'en veux ? Je ne suis pas du genre à me plaindre, mais si on pourrait arrêtez ses remarques ça serait sympa, merci, j'arrive plus à faire semblant d'en rire. Bref, je suis née en France, j'y ai grandis et j'ai passé une enfance disons normale. Mes parents m'ont appris la valeur des choses, je ne suis ni riche, ni pauvre et tout se que j'ai je l'ai mérité un jour ou un autre. J'ai une soeur si vous voulez tout savoir, mais c'est tout. Il n'y a rien à dire de plus. SOME STORY START LIKE FAIRY TALES...; « En fait... Tu fais partie de ses gens qui reste dans un endroit qu'il ne supporte pas juste parce qu'il ne sont jamais allé ailleurs ? » Je suis née à Montpellier, j'ai grandis à Montpellier, j'ai vécu mes premières fois ici, j'ai tout fais ici et je ne suis jamais aller ailleurs. Après le lycée, j'ai commencé l'université là-bas ce qui allait de soit, je n'ai jamais pensé une seconde à aller ailleurs. Puis cet étudiant débarque, il n'arrête pas de se venter d'être à Harvard, d'être riche, d'avoir un père politicien et de faire parti de la sois-disant meilleure confrérie d'Harvard, les Eliots. Pour moi, il parlait chinois. Il était un de ses types un peu bizarre qui n'arrêtais pas de se venter, alors que personne ne l'écoutait vraiment. Les eliots, franchement, qu'est-ce que c'était ? Encore un truc américain, je suis sûr que c'est pire nul en fait...
« Et toi tu fais partie de ceux qui n'arrête pas de la ramener avec leur argent, est-ce que je m'en plaint ? » Je m'allonge à ses côtés, le sourire aux lèvres, mais le coeur gros. Il avait peut-être raison, je n'ai jamais vu autre chose que Montpellier. Je ne suis que la petite fille chérie de monsieur Ewing après tout. Mes arrières grands-parents étaient américain, mais je n'ai jamais eu l'idée même d'aller en Amérique. Je n'ai même jamais été dans un pays anglophone. Je n'ai pas fais de voyage autre part qu'en France, c'était un peu trop coûteux et on en avait pas toujours les moyens. Il fallait garder un peu d'argent pour nos études hein.
« Oui. Tu t'en plaint tout le temps je te signale. Tu es genre " J'en ai marre que tu sois aussi imbu de toi même, t'es lourd" et tu ne t'arrête pas là. "Spencer, t'es trop cynique. Spencer, lave toi les pieds. " et j'en passe, franchement. » Il m'imitait tout le temps, avec une voix aigu qui m'irritait terriblement mais au fond, je trouvais ça mignon.
« Qu'est-ce que tu veux que j'y fasse ? Je suis comme ça, je suis du genre à ne pas bouger de ma ville d'y vieillir d'y avoir des enfants, de m'y marier. C'est à prendre ou à laisser. » Je boudais à présent, je boude souvent pour un rien et pour une durée assez courte en général. Le temps qu'il vienne embrasser mon cou en général.
« Rien, je n'attends rien de toi. Après tout, tu n'as vu que ça tu as surement juste peur de voir autre chose, non ? » Je m'attendais à ce qu'il bafouille des excuses, parce que j'avais réussi à dompter sa fierté "d'eliot", et qu'il attaque mon cou pour me faire rire un cou, je ne m'attendais pas à ce qu'il me dise que j'ai peur. Je n'ai peur de rien, je suis Coco quoi, C-North, Cora-North.
« Je n'ai peur de rien. » Je me tourne vers lui, un air convaincant dans les yeux et me décide à déposer des baisers sur son cou, moi. Je devais vraiment être accro.
« Prouve le moi, rentre avec moi à Harvard. » Attends, quoi ? Je me redresse rapidement, surprise. Lui, monsieur je ne m'engage pas ?
« Quoi ? » Il se redresse aussi, me prends par la taille, me serre contre lui... Tout pour me rassurer quoi.
« Penses-y ! Tu es la fille la plus intelligente que je connaisse, t'es intelligente, t'es belle, tu es talentueuse.. Tu pourrais facilement être accepter à Harvard, et puis tu parles déjà anglais c'est une bonne chose. Tu ferais une magnifique cabot tu sais... » Cabot ? Mais qui c'était ça encore ?
« C'est juste que... Je tiens tellement à toi et puis mon séjour en France est bientôt finit.. J'aimerais bien te présenter à mes amis tu vois, y'as un summer camp qu'y est organisé et je me disais que tu pourrais rencontrer mes amis... Et puis à la rentrée, on emménagerais ensemble ? » Wow, ça allait plus vite que jamais.. Mais j'aimais ça, c'était excitant, dangereux, inconscient et c'était parfait pour moi. Je serais la première fille des Ewing à partir.
« Tu me demande de vivre avec toi Witwicky ? Ok... J'accepte. » C'était aussi simple que ça, pour nous. Il a fallut le dire à mes parents ensuite. Ils ont toujours eu du mal avec Spencer, il la ramenait souvent sur son argent comme vous le savez, et je suis presque sûr que c'est un truc d'eliots comme il dit. Enfin bon, je ne m'attendais pas à ce qu'il soit d'accord. On était une famille plutôt proche l'une de l'autre vous savez, ils étaient assez protecteur.
« Quoi ? Non, bien sûr que non tu ne partiras pas d'ici ! On as payé tes études je te signale. » Des excuses, de toute celle qu'ils avaient put trouver c'est sans doute celle qui m'avait le plus atteint... Ils avaient payé, ils avaient fait si, ils avaient fais ça.
« Papa, Maman... J'en ai besoin, je le fais pour moi, pour nous. On s'aime ! » Je prends la main de mon petit-ami, il avait eu le courage de venir voir mes parents et l'intelligence de se taire. Il se contentais de sourire, voulant être rassurant.
« Sort de chez moi. Sort de chez moi tout de suite ! » Il lui court après. Non, c'est pas courir, c'est carrément un sprint qu'il a fait. Il a courser Spencer jusqu'à l’extérieur de la maison c’était dingue !
« Papa, stop ! » Ma mère le laisse faire, elle reste en retrait et le reste de la famille pareil. J'étais entre Spencer et mon père au début, puis Spencer me poussa derrière lui pour que je ne fasse pas face à mon père, se qui énerva plus mon père qui me pris le bras pour me tirer vers lui. Spencer ne fit rien, me regarda dans les yeux comme pour me demander si j'allais bien, si il ne m'avait pas fait mal et j'essayais de me dégager de l'emprise de mon père. C'était assez spécial, un sandwich dont je me serais bien passer.
« Il vient dans MA maison ! Il mange MA nourriture, il s’approprie MA fille, et maintenant, il veut partir avec ? Il veut me l'enlever ? JE REFUSE ! » Il lève la main, mais son poids tombe sur le mauvais visage, sur le mien. Je suis sous le choc, je saigne du nez et mes parents sont encore déboussoler. Spencer ne réfléchis pas et se jette sur mon père, qui lui réagit. On a atterrit dans le jardin je ne sais même pas comment. Ma mère soigne mon nez et me cris dessus, non c'était surtout pas la faute à mon père. Bon bref, j'en ai ma claque.
« Maman, je l'aime ! Je m'en fiche que tu ne sois pas d'accord, je n'attendais pas votre permission, je vous informais. Je l'ai fais par bonté d'âme et tu vois ce qu'il m'arrive, tu vois où on en est ? Si vous voulez le prendre comme ça, très bien. Mais Spencer et moi on prends l'avion demain et c'est tant pis pour vous, je n'ai plus envie de vous voir ! » Spencer arrête de se battre avec mon père quand il me voit partir, en larme. Il me réconforte, prends soin de moi et m'aide à préparer ma valise. J'étais adulte, je faisais un choix.
... BUT END LIKE HORROR MOVIE; J'allais bien, j'allais vraiment bien. J'avais réussi à passer au dessus de mes problèmes familiaux, j'étais arrivée en plein summer camp mais j'ai quand même réussi à me faire ma petite place. Je comprenais enfin se que représentais les confréries pour Spencer, c'était comme une deuxième famille en fait je vivais la même chose avec la mienne, elle me représentait, j'aimais toutes les personnes de ma confrérie. J'allais vraiment bien, tellement bien. Dieu au dessous de nous a du se dire que j'allais peut-être trop bien, au bout d'un an il m'avait tout pris. Tout. Mon compte en banque ? Soudainement vidée, mon identité e été volée et ils ont tout pris, tout ceux pour quoi mes parents avait bossé, tout ceux pour quoi j'avais moi, bossé. Je n'avais pas beaucoup, donc ma plainte n'est pas allé loin mais ça me faisait quand même un choc. Spencer était riche, donc il accepta bien volontiers de payer pour tout se que j'ai mais bon, je n'aimais pas ça. J'aimais mériter les choses, je me sentais mal quand on me faisait la charité, même si il n'appelait pas ça comme ça. Le grand Dieu là-haut c'est dit un jour qu'il allait s'en prendre à ma fierté, donc il l'a fait et elle a pris un grand coup, mais ce n'était rien comparé à se qu'il allait me prendre. Il allait me le prendre lui,
Spencer. Il allait me le prendre, il me l'as prit. Je ne m'y attendais même pas.
« Non, tu ne comprends paaas ! Tout ce que je dis, c'est que les eliots sont supérieur à toutes les confréries, point. » C'était une soirée comme une autre ou presque, les mathers avaient peint la façade du mur des eliots et ça avait fait bouger pas mal de choses. Spencer était très en colère, j'ai bien cru qu'il allait frapper tout les mathers qu'il verrait.
« Je ne dis pas que les eliots sont nul, je dis juste que vous n'êtes pas supérieur à certaines confrérie, je dirais que vous êtes "égaux", voilà. » Je n'avais pas le droit d'être neutre, je le taquinais juste.
« Comment ça égaux, tu ne parles pas des mathers au moins ? Parce que sinon je te jure que je vais faire un massacre. Je vais arrêter la voiture et te chatouiller jusqu'à ce que tu admettes que les mathers n'arrivent pas à la cheville des eliots. » Je lui faisais les gros yeux, il savait bien que je détestais les chatouilles.
« Je dis juste que par exemple les cabots ou même les dunster ouais je l'ai dis, son des aussi bonnes confréries que les eliots mais que.. Parce que la plupart d'entre vous donne de groooos chèque à l'université vous êtes plus mis en avant que les autres. Vous envoyez comme messages aux étudiants : pour être bien il faut être riche et beau, il faut être eliots. » On en avait eut des moments comme ça, à se disputer sur les confréries. On ne devait pas être les seuls, il y a sûrement des tas d'autres personnes qui débattent pendant des heures sur la puissance de leur confrérie.
« Tu n'as rien compris ! Eliot n'est pas seulement synonyme de richesse ou même de beauté, rien à voir. Ce qui nous définis c'est plutôt.. Notre culture, notre façon de vivre, de penser ou même nos fréquentations. Être eliot c'est tout un travail, ça ne s'apprends pas. Soit t'es un eliot, sois tu ne l'es pas. » Il avait cette lueur dans les yeux, quand il parlait des eliots. Une lueur que je ne ressentais que quand je parlais de lui. Spencer était un type entier, il vivait à fond et avait des principes. Des principes que je ne partageais pas toujours, mais la plupart du temps c'était des bonnes choses. On arrivait à l'aéroport, il devait partir pour New York, encore. J'avais tellement envie de partir avec lui. Tellement.
« Bon je vais embarqué, toi tu rentre et tu conduis prudemment ok ? Embrasse moi. » Je l'embrasse rapidement, vraiment rapidement. Je faisais mine de bouder, bouder parce qu'il partait.
« Allez, ce n'est que deux jours. Tu viendras avec moi la prochaine fois, mon père ne veut pas que la première chose que ma mère remarque en rentrant d'Aspen soit ta bague de fiançailles. Je vais juste la préparer. » Mouais, j'en doutais. Je boude encore un peu et lui s'en fichant complètement, pose ses lèvres sur mon front d'une tendresse particulière.
« J'y vais mon coeur... Et Eliot for the win ! » Si j'avais su... Si j'avais su que es derniers mots que j'entendrais de mon futur époux serait Eliot for the win, je serais partie mourir avec lui. Qu'on soit bien d'accord, j'adore les eliots j'ai rien contre vous... Mais j'aurais voulu une fin plus romantique, une fin ou il m'aurait dît qu'il m'aimait et moi que je l'aimais aussi.. Une fin ou on se serait pris dans les bras l'un de l'autre et ou j'aurais put faire attention à chaque détails qu'étaient sur son visage. J'aurais voulu plus, j'aurais voulu plus de temps tout simplement. Et je croyais que j'en aurais. Je croyais qu'il allait appeler sur mon téléphone et qu'il allait me dire que c'était une erreur. Je croyais qu'il était encore en vie, et pas mort dans se crash. Moi qui avait une confiance si aveugle en ses avions privés, jamais plus je ne monterait dans un de ses appareils, c'est à peine si on en as parlé. Un étudiant mort avec son pilote dans le crash d'un avion de la compagnie Witwicky, l'information est en page trois d'un journal local. Classe hein ? Un homme comme Spencer ne pouvait pas être mort comme ça, sans que ça ne change rien autour de lui. Sans que ça n'impacte plus le monde que ça. Il n'était pas mort, non il ne l'était pas. Si il l'était, je l'aurais ressenti de toute façon. Une partie de moi se serait déchiré. C'est comme ça l'un mort d'un être proche, une partie de toi se déchire.
« Spencer, c'est moi.. Rappelle moi. » Ca avait commencé par un simple message. Tout le monde autour de moi me demandait, mais j'allais bien. Je souriais, je vivais comme avant sa mort et ils trouvaient tous que c'était étrange. Mais ça ne l'était pas, Spencer n'était pas mort et il allait revenir. C'était écrit, il serait toujours mien et je serais toujours sienne. Je portais la bague qu'il m'avait offerte jour après jour, j'avais même déjà changé mon nom de famille en Ewing-Witwicky. Mes amis s'inquiétaient pour moi, mais j'allais bien,parfaitement bien. Et je laissais des messages sur sa messagerie tout les jours.
« T'as loupé le truc du siècle, le bal de fin d'année ! J'y suis allé sans toi désolé, je n'avais pas envie de t'attendre.. Disons qu'on iras ensemble au prochain non ? Bref, au bal les eliots et les mathers : toute une histoire, c'est parti réellement loin. Tu avais raison en fait, dans cette université on est pas foutu de faire une soirée sans une énorme, géante dispute. Tu n'étais même pas là, la honte franchement. Oh, j'ai été voir le remake de spider-man, enfin. C'est pas trop tôt, il est pas mal. Les filles sont super inquiètes pour moi, j'essaie de leur faire comprendre que ça va, mais elle sont de plus en plus étrange tu vois ? Bon bref, je t'appelle demain. Essaie de me rappeler entre temps, je t'aime. » Ce n'était qu'une discussion parmi tant d'autres que j'avais avec mon futur mari accessoirement décédée. La seule chose qui était spécial dans celle-là, c'est qu'on m'avait entendue. On m'avait réellement entendue, quelqu'un avait décroché. A l'autre bout du fil, une femme répondit au téléphone, en pleure.
« Arrêtez.. Arrêtez d'appeler ! Mon fils... Mon fils est décédé, s'il vous plait, arrêtez... » C'était sa mère, sa mère que je ne connaissais pas. [...]
« Hé, hé, doucement ma chérie. » Cette voix, oh cette voix. Je l'ai entendue dans mes rêves, comme dans mes cauchemars. Mon père, mon père était là ?
« Papa... Qu'est-ce que tu fais à Cambridge ? » Je relevais la tête en douceur.
« On est à Montpellier.. Tu es revenue il y a deux semaines tu te souviens ? » Non, je ne me souvenais pas. Je lui réponds d'une signe de tête négativement, mon dernier souvenir c'était... C'était d'avoir déposer Spencer à l'aéroport. Je vois mon père soupiré, je remarque les cernes sous ses yeux et la fatigue devait le submerger vu comment il venait de s'écrouler sur mon lit. Il était à bout de forces, et même si nous étions censé être en froid je me voyais mal ne pas m'approcher de lui pour lui demander se qu'il n'allait pas.
« Spencer est mort. Tu es à l’hôpital. Ton président de je ne sais plus quoi à appeler et papa t'as ramené en France. Tu es à l'hôpital parce que tu es victime d'amnésie antérograde. Tu ne te souviens plus de rien après avoir emmené Spencer à l’aéroport, tu n'arrive plus à te faire de nouveaux souvenir. On t'avais fais des fiches pour que tu te souvienne des derniers événement, comme la mort de Witwicky, mais à chaque fois que tu lis ses fiches tu paniques et tu les déchires. Papa pleure, maman pleure et je suis censé refaire les fiches car tu ne t'en souviens plus après t'être calmé, mais j'en ai ma claque. Ton fiancé est mort, l'homme de ta vie est mort Cora. Il faut t'en remettre maintenant. Il faut que tu arrive à t'en souvenir. » Ma soeur, elle m'aimait tellement avant, mais depuis l'accident avec Spencer et papa.. C'est plus tellement la joie. Elle était épuisé, elle en avait marre, elle me regardait durement. Je ne pouvais lire que ça sur son visage, de l'épuisement, je n'aspirais pas la peine, ou peut-être que je ne l'aspirais juste
plus, il faut voir. Son ton froid et direct me remis les idées en places. Pas de cries, pas de larmes. Je me sentais mal, extrêmement mal, comme si on m'avait arraché une partie de moi. Mais je savais, je savais que cette partie n'était plus là depuis un moment, je n'avais jusqu'à présent jamais ressenti ce manque, c'est tout. Maintenant, je pouvais m'en souvenir.
sexe, sexe, sexe, sexe, sexe. la guérison par le sexe. Je ne pouvais pas l'oublier ? Je ne pouvais pas remplir le vide qu'il avait laisser ? Je devais me distraire alors, essayer d'avancer avec se vide, essayer de vivre avec. Ce n'était pas si compliqué, je commençais à retrouver mes vieilles habitudes, je commençais à me retrouver moi. Mes amis voyais que j'allais mieux, ils étaient toujours un peu au petit soin pour moi, mais ils s'inquiétaient moins et c'était ça le plus important... C'était ça qui comptait. J'avance, comparé à Spencer après tout j'ai toute une vie devant moi.