L. MATHILDA FLEMMING ► Isabelle Cornish

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle galuche_cauet et j'ai 19 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à prd.  IHL est superbe et c'est un incoutournable alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Isabelle Cornish comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 15 à 30 lignes par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par Pseudo du créateur du scénario si ç'en ai un.

   Mot de la fin ? ▲ merci à tous ceux qui m'ont aidé à faire mon choix pour venir m'inscrire parmi vous   
   Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
    être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
    participer à la roulette RP (?)

Je n'ai pas toujours été ce genre de fille qui a peur de tour vous savez. J'ai été une petite fille et une adolescente normale, qui fait ses conneries et ses propres expériences...
J'ai vu le jour un certain jour de décembre il y a maintenant vingt-quatre ans. J'étais un beau bébé, une jolie petite frimousse qui faisait la fierté de ses parents. Ils me montraient partout, étaient fiers d'aller faire des courses avec moi, de me montrer à toute la ville. Et puis, j'ai grandi. Papa était devenu trop vieux pour avoir des enfants, mais ne voulant quand même pas me laisser seule, ils ont pris la décision d'adopter et Atillia est entré dans ma vie. Je ne vais pas vous mentir, je l'ai détesté du plus profond de mon être. Elle me volait mes parents, elle me volait ma vie. Ils n'étaient plus fiers de me montrer, mais d'elle. Atillia faisait toujours tout bien, les dessins, elle avait appris à marcher plus tôt que moi, savait parler plus tôt que moi. Elle faisait tout mieux. Je l'ai détesté dès la première minute où mon regard s'est posé sur elle. M-ais mes parents l'ont aimé.
Quand a sonné pour nous l'heure d'entrer au collège c'était la même histoire. Atillia elle a de bonnes notes, Atillia n'a jamais été renvoyer de cours, n'a jamais été collé... Atillia, toujours et encore elle. Qu'elle garce! Avec du recul je me rends compte qu'effectivement, elle à tout fait mieux que moi. Au collège est venu pour moi toutes les premières expériences et pour certaines, j'aurais pût m'en passer. Alcool, sexe, drogue. Tout y est passé. J'allais dans un mur, je le savais pertinemment, mais je voulais m'amuser, je voulais vivre et je voulais que mes parents me remarque, ne voient que moi et oublie cette saleté d'Espagnole qui s'était incruster dans notre famille unie. Mais tout ce que j'ai gagné c'est l'inverse. Quelques jours avant mon départ pour la prestigieuse fac de Harvard, j'ai appris que j'étais enceinte. Mes notes étaient excellentes et j'avais réussi haut la main l'entré dans cette université que tout le monde connaît. J'ai d'abord voulu avorter et continuer mes études, je ne voulais en aucun cas ruiné ma vie, mes espoirs et mes projets pour avoir un gamin! C'était hors de question. Surtout que le père s'était barré en France pour ses études, me lâchant tout simplement. Un bébé seule... C'était simplement inenvisageable. Et puis, je me suis rendue à la première échographie, son cœur battait déjà. Et... Je me suis attaché à ce petit bout de vie qui grandissait en moi. Et l'idée d'avorter m'est totalement sortie de la tête. Les mois sont passés et j'ai continuer de suivre mes cours difficilement, mais j'ai réussis. Grâce à mes notes exemplaires, j'ai même pût obtenir quelques jours après la naissance de ma petite princesse...
Les premiers temps furent compliqués mais malgré la fatigue, je m'accrochais à mes espoirs et à mes rêves. Jazmin, ma fille, vivait la semaine avec ma mère et le week-end je prenais la route pour passer un maximum de temps avec elle. Papa était partit quelques mois plus tôt et maman se sentais terriblement seule être avec sa petite fille c'était un réel bonheur pour elle. Mais l'année dernière maman ma appris qu'elle était atteinte d'un cancer, la fatigue l'accablait et bientôt, elle ne serai plus capable de s'occuper de Jazmin. Je me retrouvais en cinquième année avec une petite fille à m'occuper toute seule. Enchainant les petits boulots et les plans foireux je me démène pour faire vivre ma fille, pour qu'elle sois heureuse...