roxanne j. alion ► florrie arnold

C'est le deux janvier 1992 à paris , que les membres de la famille alion m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée roxanne juliette. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit depuis cinq ans et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse. Et pour terminer, je voudrais intégrer les eliot ou les mather.

Roxanne J. Alion

Looks alot like Florrie Arnold

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle amy et j'ai dix-neuf ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart je crois . Beau, grand, populaire alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Florrie Arnold comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 500-700 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé .

Mot de la fin ? ▲ roxanne j. alion ► florrie arnold 2931463659

roxanne j. alion ► florrie arnold 2931463659

Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Je ne suis ici que depuis peu de temps, et donc je n'ai pas subi la bombe. Mais j'ai entendu beaucoup de monde qui était encore à présent choqués par cet événement. C'est vrai que c'est rare une vraie alerte à la bombe et surtout le fait que cela s'est passé si vite. On m'avait directement prévenu en arrivant qu'ici beaucoup de choses se passent et des fois, cela ne se passe pas toujours dans le bon sens du terme.

STUDENT
Je n'ai jamais eu de préférence pour aucun groupe à mon arrivée. C'était un peu comme un bordel organisé à mes yeux, la "guerre" des confréries et tout le tralala, cela ne m'a jamais réellement intéressé. Je suis neutre, comme un fantôme, je passe-partout. C'est vrai que j'aurais pu être chez les Eliot vus mon passé, ou bien chez les Mather vus mon caractère, mais je déteste l'idée d'être catégorisé dans des boîtes déjà prêtes. Pas mon truc. Alors je reste juste moi et mon caractère en paix, en moins je n'embête personne comme cela.

(Invité)

roxanne j. alion ► florrie arnold SmC73cf

Il était une fois l'histoire d'une petite fille, qui grandit dans une famille tout à fait normale. Cette famille aimante et chaleureuse, se constituait de mes parents tous les deux Français. Je grandis dans cette douce mélancolie, sans manquer de rien ni de personne. Dans notre famille, l'argent coulait à flot grâce au business de mon père, il n'y avait qu'une seule règle à ce sujet : ne jamais lui en parler. À l'école, je n'eus pas de problème à obtenir des notes fructueuses et me permettant d'être aussi libre que voulut. Depuis toujours, j'ai eu ce rapprochement pour les hommes et non pas pour les femmes, c'est mon côté garçon manqué comme dirait ma mère. Effectivement à l'école, je traînais beaucoup plus avec des garçons qu'avec des filles, tout simplement parce qu'à mes yeux les garçons sont bien plus intéressants. Lui, c'était mon tout, mon essentiel. C'était un Français comme moi, beau comme un dieu, doux comme un agneau, le mec parfait. À l'école, c'était le type qui faisait rêver toutes les filles. Il aimait les filles populaires, qui se la racontent. Surement pas moi. Je n'ai jamais été populaire, ou la fille dont tout le monde parle, j'ai toujours été discrète, comme je le dis souvent, je meurs en silence. Mais lui, il était mon rêve, mon désir, ma réalité. Je savais que je n'avais aucune chance, mais pourtant, je continuai d'espérer et un jour s'est arrivé. J'étais dehors derrière le gymnase alors que dedans s'y passait une fête, clope à la bouche, je crapotais bêtement en croyant être libre et rebelle. Il arriva, d'un air hautain et fière, mais pourtant tout ce que je voyais, c'était ses yeux bleu foncé. Il s'approcha de moi, et j'y ai cru pendant un instant. Il fit mine de m'embrasser, je crus que j'allais mourir de joie, et finalement, tout ce que j'eus fut un coup de pied dans le ventre et deux côtes cassés. C'était le fils d'un rival à mon père, et il faisait passer un message. Ce jour-là, c'est le jour où j'ai arrêté d'aimer quoi que ce soit. Je continuais de grandir en tout sérénité jusqu'à l'âge de mes dix-huit ans, où là tout changea, ma vie entière prit un nouveau cap. Mon père mourut d'un arrêt cardiaque, comme ça un mardi soir à huit heures. J'étais en face de lui, il buvait son café comme tous les soirs après le repas, et d'un coup, il se leva, mit sa main sur sa poitrine et tomba comme une mouche. Je me levais brusquement et me mis directement près de lui. Je fis un massage cardiaque, je fis tout et n'importe quoi pour le sauver, mais il n'y avait rien à faire. Huit heures, heure du décès, heure aussi de mon décès. Ma mère et moi, on s'est retrouvé toutes les deux sans rien, la société de mon père est morte en même temps que lui. Plus un sous, plus rien, deux pauvres blondes à Paris sans rien. Ma mère n'a pas eu de mal à se trouver un homme, un riche encore, et heureusement pour elle d'un côté, vu comment moi, j'ai tourné. Son nouveau chéri m'a pris un appartement au centre de Paris, et évidemment il me donnait ce que je voulais. Je ne faisais rien de mes journées, pas d'études, pas de travail, juste rien. À mes vingt ans, je ne faisais que boire toute la journée, sans m'arrêter. L'alcool fut à mes yeux un moyen d'oublier, de ne plus penser ni de sentir quoi que ce soit, au final, je me noyais dans mon chagrin petit à petit. J'ai perdu beaucoup de poids, et ma tête faisait peur à voir, ma mère était morte d'inquiétude. Le déclic eut lieu un soir de janvier, j'avais bu pratiquement toute la journée, et le soir venu, j'avais remis la dose avec de l'alcool encore plus fort. Le coma, coma éthylique où tu risques de mourir, c'était ça mon déclic. Je suis sortie de l'hôpital et tout changea. Je partis aux Etats-Unis pour travailler, car une amie à moi y était déjà depuis quelques années, et elle m'avait offert un job à temps plein. Ma valise en main, je partis le cœur lourd de laisser ma mère derrière. Une fois arrivée, j'étais amoureuse. Oui, la France, c'est bien, mais l'Amérique, c'est mieux. Mon cœur battait si vite que je crus en mourir. Je travaillai pendant un an histoire de gagner un peu mon argent même si le gigolo de ma mère continuait de remplir mon compte bancaire pour m'acheter. Aujourd'hui, j'ai vingt-deux ans et je commence l'université. Harvard.

The End

(Invité)

Bienvenue parmi nous roxanne j. alion ► florrie arnold 1365124802

Bonne chance pour ta fiche and have fun hanwii

(Invité)

bienvenuuue roxanne j. alion ► florrie arnold 3850463188

en espérant te voir chez les meilleurs les dunsters hanwii

(Invité)

bienvenue plus officiellement et bon courage pour ta fiche. (:
(tu vas garder le prénom Charlotte, par contre du coup ?)

(Invité)

Alexia R. Dickins a écrit:bienvenuuue en espérant te voir chez les meilleurs les ~~dunsters~~ lowells

y avait une faute dans ta phrase mon chat :batman:

bienvenuuuuuuuuuuuue roxanne j. alion ► florrie arnold 1365124802

bon courage pour ta fiche roxanne j. alion ► florrie arnold 2109348208

je ne connais pas ta célébrité mais elle est très jolie :bath:

(Invité)

merci.

oui peut-être.

(Invité)

bon bah du coup vous serez sans doute deux Charlotte. :rvmp:

(Invité)

14/05/2012

Bienvenuuuuuue roxanne j. alion ► florrie arnold 3850463188

(Jasper O. Ellington)

deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa

bienvenueeeeeeee roxanne j. alion ► florrie arnold 73120010

(Invité)

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