KIARA-LYNN CALIFORNIA EVANS ► kristin kreuk

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle mycy et j'ai  :silent: . Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Bazzart.  J'aime beaucoup le contexte, le design du forum et le fait qu'il soit bien agencé, ainsi que complet alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Kristin Kreuk comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Baby Doll. Je fais environ 500 mots par RP (voir plus ou moins, ça dépend des personnes avec qui je répond en fait) et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲   .
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

Kiara. Vous connaissez sans doute ce prénom comme étant le prénom de la fille de Simba et Nala non ? Et bien détrompez-vous, mais mon prénom n'a rien à voir avec le prénom de cette petite lionne, même si mes proches ont tendance à me dire que j'ai beaucoup de points en commun avec elle, de par mon caractère. Non, si je porte ce prénom, c'est tout simplement parce qu'il plaisait beaucoup à maman. Et puis de toutes manières je ne pourrais pas tenir mon prénom de ce personnage de Disney, sachant que celui-ci n'était sorti qu'en mille neuf cent quatre-vingt-dix-huit et que cette année-là, j'avais alors seize ans. Comme vous pouvez le constater je n'ai pas qu'un prénom, j'en ai trois. Mon deuxième prénom, qui est rattaché à mon premier, par choix, c'est mon père qui l'a choisi. N'allez pas croire que c'est le diminutif d'un quelconque autre prénom, parce que ce n'est pas le cas. Quand à California, je tiens ce prénom de la sœur jumelle de maman. Cette dernière étant décédée peu de temps avant ma naissance, ma mère a absolument tenu à me donner le prénom de sa sœur. Ma famille, parlons-en justement. Elle est composée de mon père et ma mère. Lui c'est un riche et puissant homme d'affaire, quand à elle, c'est une avocate de grande renommée. Ensuite, il y a moi, certes, mais il y a aussi deux autres personnes qui ont agrandi notre petite famille, après la mort de ma tante et de mon oncle maternel. Leurs enfants. Autrement dit mon cousin, âgé de quelques années de plus que moi et ma cousine, à peine âgé de quelques mois de plus que moi. Recueillir mon cousin et ma cousine, avait été une évidence pour mes parents. Pas question pour eux, de les laisser aller à l'orphelinat ou en famille d'accueil, alors qu'eux étaient encore en vie.

C'est donc tout naturellement qu'Eliora et Adam étaient venus agrandir notre famille cette année-là et que nous avons été là pour eux, après le décès de leurs parents. Bien sûr ce n'était pas facile de cohabiter ensemble au début, mais bon le temps aidant et le chagrin se dissipant peu à peu, nous avions finalement fini par bien nous entendre mon cousin, ma cousine et moi-même. Nous nous entendions tellement bien d'ailleurs, que très vite nous sommes devenus inséparables tous les trois, ceci même si nous n'avions pas du tout le même caractère tous les trois. Adam, c'est un garçon plutôt solitaire, mais qui est toujours là pour ses amis, quand ils en ont besoin. Cependant, ce n'est pas lui qui irait se faire remarquer au milieu d'une foule de gens, bien au contraire. Eliora, quant à elle, c'est une jeune fille sans histoires, qui dit souvent amen à tout et qui préfère suivre les autres, plutôt que de mener une troupe. Naïve ? Oui elle l'est, mais heureusement, elle sait qu'elle peut compter sur moi, pour ne pas se retrouver dans des situations compliquées, dont elle ne pourrait pas se sortir toute seule par la suite. Quant à moi, j'ai du caractère, je ne me laisse pas marcher sur les pieds et quand quelque chose ou quand quelqu'un ne me plait pas, je ne me gêne pas pour le dire haut et fort. Est-ce que cela fait de moi une garce pour autant ? Non, je ne pense pas et même si vous pensez que je le suis, je m'en fiche complètement, je sais qui je suis et ce que je vaux et c'est tout ce qui m'importe.

Originaire d'Australie, c'est tout naturellement que j'ai commencé à étudier à Perth, dans ma ville natale, avant de devoir quitter tous mes amis, l'année de mes quinze ans, et d'aller vivre en Amérique, plus précisément en Californie, en compagnie de mes parents, de mon cousin et de ma cousine. Là-bas, grâce à mon caractère, j'avais rapidement su m'intégrer au sein de mon nouveau lycée. Ce qui n'avait pas été le cas du tout pour ma cousine. Cependant, même si je trainais souvent avec ces filles que l'ont pouvaient considérer comme les reines du lycée, je n'avais jamais mis de côté ma cousine et j'avais toujours été là pour elle quand elle en avait besoin. Quant à mon cousin, lui, il n'étudiait plus dans la même école que nous et pour cause, alors âgé de dix-huit ans, c'est à l'université de Los Angeles que celui-ci avait fait son entrée, une fois notre emménagement terminé et la rentrée scolaire ayant montré le bout de son nez. A l'âge de dix-huit ans, une fois mes années lycées terminées, j'avais voulu aller étudier à Harvard, mais mes parents, en avait décidé autrement et il m'avait inscrit à l'université de Los Angeles, tout comme ils l'avaient fait pour mon cousin et pour ma cousine. Si ma cousine avait accepté le choix de mes parents, moi pas et je ne m'étais pas privé pour dire à mes parents que je ne voulais pas étudier à Los Angeles, mais à Harvard. Bien évidemment, il n'en avait rien eu à faire de mes doléances et j'avais dû à regrets aller étudier dans cette université, tout en continuant de rêver en silence à l'université d'Harvard, que je rêvais d'intégrer depuis toute petite.

L'année dernière, alors que j'étais dans ma huitième année dans cette université, dans la section théâtre et arts visuels, j'avais une fois de plus demandé à mes parents de me laisser aller étudier à Harvard, comme j'en avais depuis très longtemps. Bien entendu, ils avaient une fois de plus répondu par la négative. Ce qu'ils n'avaient pas prévu, c'est qu'étant majeure et ce depuis presque six ans, j'avais désormais mon mot à dire. Oh bien sûr j'aurai pu décider quitter UCLA bien avant, lorsque j'avais atteins mes vingt-et-un ans, mais j'avais décidé de rester là-bas pour ma cousine, mais aussi pour ne pas avoir à me prendre la tête avec mes parents. Ils avaient beau gérer un peu trop ma vie, je ne me voyais pas tirer un trait sur eux pour autant. C'est pourquoi, j'avais donc laissé couler, sans rien dire pendant cinq ans et demi, avant de revenir à la charge l'année dernière, en mai 2013. Évidemment le fait qu'il y ait eu un attentat à Harvard, ne les avait pas encouragé à me répondre par la positive, mais bien décidé à aller étudier un jour dans cette université, j'avais décidé de montrer ferme et ma ténacité avait alors fini par payer. Surtout quand ils s'étaient rendu compte que je n'abandonnerai pas l'idée d'aller étudier en neuvième année à Harvard, ceci qu'ils le veuillent ou non. Et voilà, comment je suis arrivée dans cette université, à la rentrée précédente, en septembre 2013, en neuvième année de théâtre et d'arts visuels.

Aujourd'hui, nous sommes en mai 2014, j'étudie enfin à Harvard et même si mon année est presque terminée et que j'ai des examens par dessus la tête, je suis contente d'être là et pour rien au monde je ne regretterai d'avoir mis mes parents au pied du mur, concernant ma décision d'aller étudier à Harvard. Enfin totalement indépendante, même si ma cousine me manque parfois, je suis contente d'enfin pouvoir vivre ma vie pour moi et non plus en fonction des autres et de faire ce dont j'ai envie sans avoir à répondre constamment présente auprès de ma cousine. J'ai beau l'adoré, j'avoue que les derniers temps, j'avais de plus en plus de mal à supporter le fait, de devoir être là pour elle quand elle avait besoin de moi, parce qu'à cause de sa timidité et sa maladresse, ce n'était pas seulement quelques fois qu'il avait fallu que je répondre présente, mais un peu trop souvent à mon goût. Enfin bon, ici le cas ne se représenterait plus puisque ma cousine ne m'avait pas accompagné à Harvard et je vous avouerai que cela me ravi énormément de ne plus l'avoir dans mes pattes, même si je l'aime énormément, cela va sans dire.