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Kaleigh Billy Reegan fiche; terminée C'est le 23 Mars 1990 à Springfield dans le Massachusetts, que la famille Reegan-Eastwood m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Kaleigh Billy Whitney Reegan. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis homosexuelle et j'en suis fière (pas vraiment puisque je reste discrète à ce propos). Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en Musicologie option Histoire de l'Art, je suis maintenant en quatrième année d'études. Et pour terminer, je fais partie des étudiants de la maison d'Eliot House. |
Études J'étudie la musique depuis 4 ans à Harvard et ai obtenu mon diplôme de musique au conservatoire de Boston en même temps que celui du lycée avant d'entrer dans la prestigieuse université d'Harvard. Harvard, c'est une histoire de famille. Mes parents se sont rencontrés à Harvard (et espèrent tous deux que je rencontre un bon parti et que je l'épouse), mes grands parents maternels et paternels ont eux aussi étudié à Harvard. C'est une tradition que de séjourner à Eliot House, ma mère aurait été profondément déçue si je n'avais pas réussi à y entrer. J'aime faire la fête, comme la plupart des étudiants, j'aime les nuits trop arrosées et les lendemains difficiles. En revanche, les ivrognes qui se vomissent dessus, très peu pour moi, tout comme les filles faciles que je trouve pitoyables et les junkies. Je n'ai jamais touché une seule drogue, jamais fumé un seul joint, inutile de bousiller mes études, l'alcool suffit bien à lui tout seul pour s'amuser. Je ne fais pas dans la demi-mesure et on ne s'ennuie pas avec mes idées farfelues. J'aime trouver de nouvelles idées pour bizuter les nouveaux, affectionne les fêtes en général car j'adore me déguiser et le thé que je bois en litres durant toute la journée. | Caractère Je suis une grande rancunière, je n'oublie rien et ne pardonne rien ou pas grand chose. Je ne suis pas de ces hypocrites qui feraient semblant d'avoir oublié afin de rendre les coups. Je n'agis pas derrière le dos des autres mais, en face. Je suis perfectionniste, j'aime ce que je fais à Harvard et le fais bien. Studieuse, je ne rends jamais mes devoirs en retard, en avance plutôt. Je fixe la barre très haut, j'aime la compétition et beaucoup moins la défaite. Je suis une femme de parole, je tiens mes promesses et je rends les services. ▲ J'ai une mémoire d'éléphant, je retiens tout et même ce qui est inutile. ▲ J'ai un appétit de moineau et je ne supporte pas qu'on me dise d'arrêter les régimes car je n'en fais pas. ▲ Je suis très ouverte d'esprit. ▲ J'ai la manie de toujours picorer dans le repas des autres. ▲ Je reste très secrète quant à ce que je juge privé et ne fais que très peu confiance aux autres, je me confie rarement voire jamais sur ce que je ressens vraiment. ▲ J'ai un animal non-déclaré dans la résidence : un perroquet à qui j'apprends à parler, du moins à répéter ce que je lui dis. ▲ |
Everyone Has Their Own Story
« Kal', faudrait qu'on parle... » Je levais la tête, décrochais de mon iphone dont l'application angry bird m'avait rendue folle depuis des semaines. « Hum ? » Le bruit des oiseaux destructeurs faisait office de bande sonore, remplissant le décor face au silence qu'imposait Jenny du regard. « Tu sais, ces dernières semaines avec toi ont été magnifiques... » « Je vois... » Je la dévisageais sans trop savoir quoi dire, intriguée par le ton solennel qu'elle employait et la mine désolé qu'elle affichait. Jenny et moi étions ensemble depuis quelques semaines et tout se passait merveilleusement bien. Jamais je n'aurais pensé pouvoir être heureuse avec une femme, encore moins m'épanouir et me révéler auprès d'une créature de sexe féminin et Jenny avait été la preuve que tout ceci existait, que tout ceci était réel. Je ne m'étais posé aucune question, acceptant très bien les sentiments que j’éprouvais pour elle et finissais par comprendre que mon attirance pour les femmes n'avait rien de répréhensible et qu'il n'y avait rien de plus naturel que d'aimer une personne, tout simplement, quelque soit son sexe. Bien entendu, je préférais de loin justifier à mes proches ma relation avec Jenny par une simple bisexualité récemment découverte plutôt que l'affirmation d'une homosexualité latente. Quoi qu'il en soit, je ne doutais en rien de mon amour pour la jolie rousse et je croyais – à cette époque – que cela eut été aussi évident pour elle que pour moi.
« Donc... » Dis-je pour couvrir le bruit de mon jeu, en profitant pour mettre le téléphone sous un plaid que j'avais tricoté la semaine précédente entre dissertations et soirées étudiantes. « C'était très bien, super même... » Elle hochait la tête, comme pour s'assurer elle-même de ce qu'elle disait. « Pourquoi ai-je l'impression qu'il y a un mais dans cette phrase ? » Me râclant la gorge, je me redressais sur le lit et m'asseyais à côté d'elle; dieu qu'elle était belle ! Je mourrais d'envie de ranger ses mèches rebelles derrière son oreille et de poser mes lèvres sur son cou délicat et immaculé. « Mais ça ne suffit pas. » « Qu'est-ce qui ne suffit pas ? » Plongeant mon regard dans le sien, je compris rapidement la suite et sentis mon cœur se déchirer avant même que ses jolies lèvres ne s'entrouvrent pour me confirmer ce que j'avais compris. Elle m'avoua alors comment elle avait eu l'idée de séduire une femme pour assouvir un fantasme, comment elle avait crû qu'elle était finalement tombée amoureuse avant de se rendre compte qu'elle était bel et bien hétérosexuelle et qu'elle avait couché avec son petit-ami pendant notre relation pour être sûr de ses préférences sexuelles.
Je ne me souviens pas de grand chose si ce n'est que je l'ai viré de la chambre à grands renforts de cris, d'insultes et de bousculades. Je lui ai même jeté mon smootie en plein visage, persuadée que la couleur rouge framboise marquerait à vie son visage d'innocente petite peste manipulatrice. J'ai claqué la porte et me suis retrouvée par terre, assise contre la porte sans verser une seule larme. Je n'ai jamais versé une larme pour Jenny. Ce souvenir n'est pas le plus marquant de ma vie, ni le plus important d'ailleurs. Il ne m'a en rien traumatisée des relations amoureuses ni dégoutée du fait d'entretenir une relation avec une femme. Cela fait des années que Jenny et moi avons rompu. Des années que je ne pense plus à elle quotidiennement, que je crois ne plus lui accorder de l'importance. Au fond, peut-être que je l'aime toujours. Qu'importe. Le plus difficile n'est pas d'aimer quelqu'un qui ne nous aime pas ou plus, mais quelqu'un qui n'en est pour le moins du monde, capable. Et ça, c'est peut-être le drame de ma vie.
« Donc... » Dis-je pour couvrir le bruit de mon jeu, en profitant pour mettre le téléphone sous un plaid que j'avais tricoté la semaine précédente entre dissertations et soirées étudiantes. « C'était très bien, super même... » Elle hochait la tête, comme pour s'assurer elle-même de ce qu'elle disait. « Pourquoi ai-je l'impression qu'il y a un mais dans cette phrase ? » Me râclant la gorge, je me redressais sur le lit et m'asseyais à côté d'elle; dieu qu'elle était belle ! Je mourrais d'envie de ranger ses mèches rebelles derrière son oreille et de poser mes lèvres sur son cou délicat et immaculé. « Mais ça ne suffit pas. » « Qu'est-ce qui ne suffit pas ? » Plongeant mon regard dans le sien, je compris rapidement la suite et sentis mon cœur se déchirer avant même que ses jolies lèvres ne s'entrouvrent pour me confirmer ce que j'avais compris. Elle m'avoua alors comment elle avait eu l'idée de séduire une femme pour assouvir un fantasme, comment elle avait crû qu'elle était finalement tombée amoureuse avant de se rendre compte qu'elle était bel et bien hétérosexuelle et qu'elle avait couché avec son petit-ami pendant notre relation pour être sûr de ses préférences sexuelles.
Je ne me souviens pas de grand chose si ce n'est que je l'ai viré de la chambre à grands renforts de cris, d'insultes et de bousculades. Je lui ai même jeté mon smootie en plein visage, persuadée que la couleur rouge framboise marquerait à vie son visage d'innocente petite peste manipulatrice. J'ai claqué la porte et me suis retrouvée par terre, assise contre la porte sans verser une seule larme. Je n'ai jamais versé une larme pour Jenny. Ce souvenir n'est pas le plus marquant de ma vie, ni le plus important d'ailleurs. Il ne m'a en rien traumatisée des relations amoureuses ni dégoutée du fait d'entretenir une relation avec une femme. Cela fait des années que Jenny et moi avons rompu. Des années que je ne pense plus à elle quotidiennement, que je crois ne plus lui accorder de l'importance. Au fond, peut-être que je l'aime toujours. Qu'importe. Le plus difficile n'est pas d'aimer quelqu'un qui ne nous aime pas ou plus, mais quelqu'un qui n'en est pour le moins du monde, capable. Et ça, c'est peut-être le drame de ma vie.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM / ↬ ÂGE 18 ans ↬ PAYS/RÉGIONS France ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM Bazzart ↬ TES IMPRESSIONS très beau forum ! j'adore les rpgs university, ce sont des valeurs sur et tous ceux existants existent depuis un bail, je voulais m'inscrire sur un nouveau et celui-ci est très prometteur! ↬ CRÉDIT(S) tumblr & bazzart ↬ AVATAR jessica stroup ↬ LE MOT DE LA FIN j’espère que ma kaleigh sera pas exclue du fait de sa sexualité, j'avais envie de faire un personnage du genre, j’espère que ce sera pas une mauvaise idée donc |
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