Sio & Klaus - Pendaison de crémallière [HOT]

Lorsqu’on déménage, il faut aussi prendre le temps d’emménager dans son nouvel appartement.  Je me trouvais en pull avec un haut en dessous, et une bonne paire de chaussure pour amener le tout dans ma nouvelle demeure. J’avais juste à aller au rez-de-chaussée pour avoir la cuisine et le petit salon et en haut la salle de bain et la chambre. Il s’agissait d’un petit duplex à un prix abordable. Une grand baie vitrée pour le salon, et voilà que je tentais de mettre la tringle à rideau avec le rideau en lui-même. J’étais montée sur le quatre marches, et je tentais de le mettre sur la pointe de pieds. L’un après l’autre, j’y arrivais. Fermant le rideau blanc, je me disais que cela était bien pour avoir un peu plus d’intimité vu que la fenêtre donnée sur la rue.

Regardant ce que j’avais fais, je repliais le quatre marche pour aller le ranger dans le placard dans l’entrée. Allant dans la cuisine, je voyais mes cartons encore fermé. Je prenais donc un couteau enfin canif pour ouvrir le truc en carton. Regardant comment était faite la cuisine, je mettais mes couverts et autres assiettes. Je sortais donc le tout, et je ne m’attendais pas à ce que je veuille mette la radio. Allant prendre dans mes affaires ma tablette, je la branchais pour mettre la radio avec l’aide d’une application.

De la musique irlandaise dans les oreilles, je rangeais donc mes petites affaires. Il me faudrait partager mes couverts, et cela me faisait tout bizarre de le faire. Sortant aussi mes livres de cuisine, je leurs donnais une petite place pas loin du plan de travail. Je commençais à me dandiner un petit peu tout en rangeant mes petites affaires. Ayant mon petit quatre marches pour ranger au cas où. J’étais heureuse et je tenais vraiment à ce que tout se passe bien.
 

Aujourd'hui et après une semaine après être rentrés du Spring Break, j'allais enfin vivre avec ma chérie, on venait de passer notre première nuit dans notre duplex alors je venais de me réveiller mais je ne sentis pas la présence de ma chérie dans le lit donc je décida de me lever et de descendre voir si elle était déjà levée et en effet, elle dansait dans la cuisine, elle avait l'air heureuse alors je m'assis dans les escaliers car qui dit duplex, dit escaliers pour monter dans la chambre, le tout en la regardant tendrement danser, je la rendais heureuse et elle me rendait heureux, c’était tout ce qui comptait pour moi. Et notre petit nid douillet était la meilleure preuve d'amour qu'on puisse se faire et puis au moins en vivant ensemble, on avouait notre amour au monde entier. Après tout, je l'aimais et elle m'aimait alors pourquoi se voir en dehors de nos maisons respectives ? Je venais de quitter mon coloc à la maison Winthrop mais Keenan ne m'en voulait pas donc j'étais rassuré et puis pour les soirs où elle ou moi allaient se retrouver seuls, on envisageait de prendre un petit chat pour tenir compagnie et mettre encore plus de vie dans ce duplex. Car il y allait avoir des weekends où j'aurai mes gardes et puis nos soirs d'entrainement au basket pour moi et avec son groupe pour elle. Mais on se faisait mutuellement confiance donc je n'avais pas peur qu'elle me trompe.

« Vous avez reçu un message. » La tablette disait cela. Tout en allumant mon téléphone, je voyais un texto de mon chéri : Ma chérie, ma moitié, je suis le plus heureux des hommes à vivre avec toi, je ne suis pas loin de toi mais tu es la plus belle quand tu danses. Je t'aime <3 Je Souriais doucement, et je disais en le cherchant du regard. « Moi aussi je suis heureuse d’être avec toi. Tu m’as vu danser…ET tu te caches en plus ! C’est pô juste ! Viens ici, je voudrais mon bisou du matin. » Riant un peu plus, je continuais de ranger nos petites affaires, et je me demandais bien s’il allait réagir ou pas à ma remarque. Puis, essayant de le trouver en regardant le dos de la cuillère, je soupirais de ne pas le voir. Puis me disant qu’il voudrait sans doute d’un peu de café. Je prenais la bouilloire l’allumant, je prenais du nescafé, et tout en sortant les mugs, je lui en versais un peu dedans et un thé pour moi. Je posais alors le mug sur le plan de travail avec un fruit, son préféré, et un morceau de brioche avec des pépites de chocolat dedans. Tout en attendant que la bouilloire sonne, je continuais de ranger les affaires.

Pliant les cartons pour les mettre dans un seul. Je sentais que ce petit déjeuné serait alors assez amusant. Tout en trouvant la bonne idée de le faire sourire. Je savais que Klaus se planquait mais qu’il sortirait de sa cachette une fois le café à ses narines. Enfin, je voulais aussi le voir, et il me manquait s’il n’était pas dans la même pièce que moi…Bref, je préparais son petit café, et posant mes fesses sur mon tabouret, je mangeais aussi la brioche. Je mangeais et je disais patiemment : « La brioche de la boulangerie du matin tout fraiche….Tu n’en veux pas ? Si tu ne viens pas, je vais tout manger, et tout grossir, et tous pleins de bourlets….. » J’aimais bien le taquiner, mangeant alors notre petit déjeuner, je patientais sagement.
 

Je venais d'envoyer un petit SMS à ma chérie qui ne se trouvait qu'à quelques mètres de moi puisque je m'étais assis dans l'escalier en train de la regarder danser dans la cuisine, elle était si belle et je pourrais rester là pendant des heures à la regarder. Je continuais de la regarder quand mon téléphone se mit à vibrer et me fit me cogner la tête sur l'escalier étant grand, elle voulait son bisou du matin puis je la vis préparer le petit déjeuner, je me tâtais à y aller car je voulais lui faire un gros câlin et un bisous aussi mais c'est alors que l'odeur du café me fit sortir de ma cachette alors je lui répondit en la prenant dans mes bras et l'embrassant.

Oh mais que cela sent bon mon amour, comment sais tu que j'aime le café toi ? Oh mon fruit préféré, cool. Viens par là mon ange que je fasse ton bisou du matin, je t'aime, ne l'oublie pas. Bon on va s'asseoir mon amour. Et manger tous les deux de la brioche qui fait grossir, on va avoir des bourrelets ensemble.

Je pris ma tasse de café, la déposa sur la table puis j'allais chercher le reste du petit déjeuner avant de m'asseoir pour contempler la plus belle de ses lieux, ma chérie avec qui j'avais désormais la chance de tout partager. Je l'aimais tellement cette fille que si je venais à la perdre, j'en crèverais surement. Alors tout en mordant dans un bout de brioche, je lui souria en guise de bon appétit.

Je le voyais venir vers moi, et il me prenait dans ses bras avant de m’embrasser. Je lui répondais alors patiemment :  «  Comment je le sais ?! Et bien….Je le sais. » Souriant malicieusement, je me laissais embrasser pour avoir mon bisou du matin. Souriant malicieusement une nouvelle fois, je me disais que vraiment tout allait bien. Je lui répondais en riant : « Je t’aime aussi, et pour l’instant, j’ai juste envie de passer du temps avec toi.  » L’entendant me dire qu’on allait avoir des bourlets tous les deux, je le regardais et je disais en riant : «  Hum….Oui et non….Après, je ne pourrais plus rentrer dans mes jolies robes….C’était juste pour te faire venir…. »

Un autre de mes sourires malicieux, et voilà que je me préparais mon thé avec la bouilloire. M’asseyant alors mon tabouret, je me demandais bien ce que je pourrais faire. Puis prenant une autre part de brioche, je disais : « Elle est réussi cette petite brioche. Elle a bon goût. Je crois que je vais manger seulement quatre tranches sinon je vais tout manger.  » Je souriais, buvant mon thé, je me demandais bien si j’allais l’appréciais. Il m’avait été envoyé par ma mère. « Oui, je crois que je vais le garder lorsque ma mère viendra. J’ai du mal avec celui-là. Il est bizarre comme thé.  »

Je reposais ma tasse, et me levant j’allais ouvrir le frigo. Prenant le jus de fruit, je m’en versais un verre, et je me disais que pour le thé il me faudrait sans doute trouver un moyen de le boire. Je me rendais compte qu’il me faudrait aussi essayer de voir quels sont les jus de fruits qu’aimait mon chéri. Je retournais m’asseoir avec mon verre de jus de fruit, et je retrouvais le sourire après le côté amer que j’avais eu en bouche durant une ou deux gorgées.
 

Je venais de lui demander comment elle savait que j'aimais le café tout en la prenant dans mes bras et de l'embrasser, j'étais parfaitement bien avec elle et je ne voulais qu'elle dans ma vie. Puis elle me fit savoir qu'elle avait juste envie qu'on passe du temps tous les deux, ce qui me fit avoir un grand sourire car je voulais passer ma matinée certes dans les cartons mais avec elle et uniquement elle. Ensuite, quand je lui fis la remarque qu'on aurait des bourrelets tous les deux, elle me répondit en plaisantant qu'elle ne le voulait pas sinon elle ne pourrait plus rentrer dans ses robes, bien qu'elle était la plus belle et que tout vêtement lui allait. C'est alors qu'on alla s'asseoir à la table pour petit déjeuner et elle approuvait sa brioche, qu'elle allait en manger que 4 tranches pour ne pas grossir. Avant de me dire qu'elle allait garder le thé que sa mère lui avait envoyé pour quand cette dernière viendrait. Alors je lui répondit.

Arrête de dire des sottises mon coeur, tu es magnifique et tout vêtement ou pas te va sublimement, en tout cas tu es ma princesse et cela ne changera pas. Et bien si tu veux pas grossir, je vais en prendre que 4 aussi mais c'est vrai que tu l'as réussi ma chérie ta brioche. Et oui pour le thé, ne te force pas à le boire, je ne veux pas que tu sois malade à cause d'un thé moi. Je t'aime ma puce et on va ranger nos affaires tous les deux en amoureux si tu veux ?

Je la vis se lever pour reposer sa tasse de thé pour prendre un jus de fruit, ce qui me semblait plus raisonnable si elle n'aimait pas ce thé là. Et je la vis revenir s'asseoir auprès de moi à table, il allait falloir que je commence à connaitre ses goûts si je voulais l'aider pour les courses. Alors je lui souria tout en terminant ma tasse de café.

Ce tendre baisé me faisait du bien, j’appréciais de plus en plus sa presence, et je me disais qu’il serait bien que je lui réponde avec douceur : « Avoues que tu me préfères sans….  » Un petit air coquin, et voilà que j’appréciais fortement le titiller encore plus. Mangeant alors ma brioche, je savais que cela serait pour lui un autre aspect qu’il n’avait pas forcément vu. Je l’observais alors patiemment, et donc, je souriais en silence. Je trouvais qu’il était bien pour moi de tenter de le faire sans qu’il ne le voie.

Le carré de chocolat me fondait dans la bouche et je savais que j’allais fortement le faire prendre du poids si j’en faisais comme ça trop souvent. Je me baissais et je prenais dans le pied de la table qui était aussi une étagère un livre avec des plats moins caloriques mais qui pourraient lui convenir pour qu’il ne soit pas trop fatigué. Je le laissais sur un coin de la table, et je me disais qu’il serait bien que j’y jette un œil par la suite. J’avais dedans des plats irlandais qui pourraient sans doute lui plaire. Mais bon, je ne tenais pas non plus à ce que l’on devienne un bibendum.

« Oui, elle m’en envois de temps en temps, mais celui-là est trop fort. Et pour la brioche, j’ai de la pâte d’avance dans le congélateur. Si tu en voudras il faudra juste mettre les moules dans le four. » Finissant mon jus de fruit, je lui répondais : « Oui, il en reste des cartons à ranger.  »

Me levant, j'allais mettre mes affaires dans le lave vaisselle. Puis, je réalisais qu'il fallait que je fasse encore un effort. Je prenais le carton contenant les autres et je regardais si j'avais encore de la place pour mettre le reste. C'était un peu juste, il était nécessaire que j'en prépare un autre pour la suite. Je me dirigeais vers le salon, et prenant le carton vide, je pliais ceux ouverts et les déposant dedans, je commençais à ranger un peu afin de voir où est-ce qu'on en était.

 

J'aimais ses lèvres et sa présence dans ce duplex qui concrétisait notre tout nouvel amour parce qu'il fallait reconnaitre que cela ne faisait que deux mois que nous étions ensemble et après mon tendre baiser sur ses lèvres, elle me fit savoir que je préférerai surement sans sa robe car il faut reconnaitre que ma chérie est magnifique mais que ce soit avec ou sans robe, je l'aime plus que tout au monde, le tout en me regardant d'un air coquin. Puis nous étions à table en train de petit déjeuner et de manger un bout de brioche, elle fit une remarque sur le thé que sa mère lui avait envoyé mais elle ne semblait pas l'aimer, je préférais le café depuis longtemps donc je ne pouvais pas trop goûter le thé que j'aurai détesté n'étant pas habitué de toute manière. Ensuite, elle m'informa que la pâte à pain se trouvait au congélateur et qu'il suffisait juste de la mettre dans un moule et hop au four. Enfin après avoir fini son jus de fruit en remplacement de son thé, elle me confirma qu'il y avait encore pas mal de cartons à ranger. Alors je lui répondit.

Bien sur que je t'aime sans tes habits mais que tu sois habillée ou non, cela ne change rien à l'amour que j'ai pour toi ma chérie, c'est toi que j'aime et personne d'autre. Et puis de toute façon, je ne peux qu'aimer te voir nue puisque je suis le seul à en avoir le privilège, du moins j'espère bien hein ma puce ? Ah oui mais pourquoi tu lui demandes pas de t'envoyer ton thé préféré, cela t'évitera d'avoir des surprises comme ce matin, tu crois pas bébé ? Oui, des cartons, il y en reste encore beaucoup, on commence par quelle pièce mon ange ? Je commencerai bien par ranger notre chambre pour pouvoir te refaire un petit câlin, cela te dit ?

Je la regarda d'affairer à tout ranger alors que je voulais ranger tout en faisant un câlin et profiter d'elle au maximum tout en rangeant l'appartement bien évidemment, je déteste le bazar mais pour l'heure, je voulais juste profiter de ma chérie alors j'allais vers elle et la pris dans mes bras.

« Serais-tu gourmand ? » Un sourire coquina sur mes lèvres suivit d’un clin d’œil. Tout en me dandinant, je dansais alors patiemment. J’aimais bien le titiller un peu plus, et je savais que pour l’instant, il était bien pour moi que je continue de l’embêter un peu tout simplement parce que je l’aimais aussi. Je lui souriais et je lui répondais : « C’est un cadeau de sa part, je ne peux pas lui renvoyer. Je vais essayer de le mettre dans les plats. » J’avais dis cela comme ça, et je savais que je pourrais aussi me contenter de ne pas le boire. Sauf que parfois, il fallait aussi faire un effort pour le bien de ma famille. Je me contentais donc de lui donner une suite à ma réponse : « Oui, je vais commencer par le salon, et je vais te rejoindre après. Il reste les CDS et livres, pas grand-chose, la cuisine est finie. » Je lui disais en souriant : « Ma commode de sous-vêtements n’est pas rangée. En fait, je n’ai rien rangé là-dedans. Je fini le salon et je te rejoins. »
 

Ma chérie me demanda si j'étais gourmand en faisant un petit sourire coquin parce que je voulais qu'on range d'abord la chambre pour profiter d'un câlin avec elle mais je savais qu'elle aimait me taquiner et moi je voulais lui faire un gros câlin avant le grand rangement. Elle voulait à tout prix finir de ranger le salon et elle me fit savoir qu'après le salon elle allait venir me rejoindre dans la chambre surtout qu'elle n'avait rien rangé de ses sous vêtements. Alors je lui répondit pour la taquiner un peu.

Mon amour, on rangera le salon après la chambre, viens on va ranger nos vêtements et sous vêtements en faisant un gros câlin, tu t'es levée tellement vite ce matin qu'on a pas pu s'en faire un gros et cela me manque en fait, pas toi mon ange ? Mais si tu viens pas de suite, tu n'auras pas ta surprise bébé ?

Je la pris dans mes bras comme pour la faire s'arrêter de ranger le salon et en espérant ne pas la braquer car je ne voulais pas avoir notre première dispute alors que je lui réservais une petite surprise dans le lit pour nos deux mois de relation et notre emménagement dans notre chez nous. Alors je lui souria avant de venir l'embrasser tendrement.