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Best song ever ♣ Ellena

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Samedi 14 Décembre 2013. Neuf heures du matin. Elsy s’est levée tôt aujourd’hui et après une bonne douche et un rapide petit déjeuné, la jeune femme s’est décidée à faire un tour par la salle de musique en espérant que la harpe soit libre. Bon, rares sont les étudiants qui savent en jouer mais elle n’est pas à l’abri d’un amateur qui aurait voulu s’y essayer. Mais non, quand la demoiselle arrive l’instrument est libre et la jeune femme s’assoit donc devant celui-ci. Elle s’installe, prend le temps de se mettre correctement en place. Puis place ses doigts sur les cordes et commence à jouer après avoir vérifié les accords. La brune a l’habitude de jouer de la harpe. C’est un plaisir qu’elle tente de s’accorder au moins une fois par semaine. Elle adore jouer de cet instrument, sentir ses cordes sous ses doigts agiles et habitués. Elle pourrait même jouer les yeux fermés, tant ses doigts savent où aller. Les notes qui s’échappent de la performance de la jeune femme sont lentes et douces, un peu triste. Elle trouve cet instrument particulièrement adapté à toutes les mélodies mélancoliques. Cela l’inspire, d’ailleurs. Mais elle aime aussi se surprendre avec des rythmes plus poussés, moins lents, plus heureux. Oh c’est possible aussi mais la harpe lui rappelle surtout les moments mystiques ou tristes dans les films. Les moments de morts, comme celle du héros de Gladiator. Ou celle de Dany dans le film Pearl Harbor. Avec un morceau de harpe en fond sonore, les larmes des spectatrices auraient coulés encore davantage.
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♫♪ Best Song Ever ♪♫



Samedi. Le week end. Après une longue semaine de travail. Le week end, nous laisser un peu de repos avant de reprendre une nouvelle semaine. Nous nous levâmes de bonne heure, comme nous le faisons d'habitude. Nous nous dirigeâmes vers la salle de bain, sans faire de bruit. En passant à côté de l'horloge, nous prîmes le temps de lire l'heure. Sept heure trente. Nous soupirâmes, la petite soeur de notre colocataire dormait encore à point fermé, il était donc hors de question de prendre une douche pour l'instant. Nous allumâmes la lumière, entrâmes et fermâmes la porte en enclanchant le verrous. Nous ouvrîmes le robinet du lavabo et nous aspergeâmes le visage d'eau fraiche, après une rapide toilette, nous regardâmes de biais le maquillage qui s'étallé devant nous sur une petite armoire attenante. En nous demandant pourquoi les gens ce maquillaient autant. Pour nous ce n'était pas une nécésité, nous mettions bien sur de temps à autre un peu de crayons noir et du mascara, mais jamais plus, pas de far à paupière ou de rouge à lévre. Nous sortîmes de la salle de bain et regardâmes une nouvelle fois l'horloge. Elle affichait huit heure quinze. Nous retournâmes dans notre chambre où nous décidâmes de sortir pour en jouer un peu. Cet instrument si cher à nos yeux. Le violon était juste un passe temps, mais en même temps il était plus qu'un passe temps. Nous ne saurions comment l'expliquer, comment expliquer le sentiments qui nous unis à cet instrument. Nous prîmes notre boite à violon et notre manteau. Sortant dans la brume du matin, nous nous dirigeâmes vers l'université, sachant que personne ne serais levé et que nous pourrions profiter d'une salle vide où on ne nous entendrait pas. Nous avançâmes dans les corridor vide, perdu dans nos pensées. Nous n'entendîmes pas la douce mélodie de la harpe, qui chantait d'une voix mélancolique une symphonie de notes.
Nous entrâmes dans une pièce et posant notre boite, nous en sortîmes le violon, ajustant le cousin sur le violon. Nous prîmes enfin l'archet et commençâmes à jouer, les yeux fermer, visualisant la partition. Nous n'avions pas fermer la porte, le son doux des cordes résonna dans le couloir et la pièce. Position du troisième doigt, un vibrato et on reprend un peu plus vite, dans les aigue, stop on ralentie, plus fort maintenant.
L'archet avec dextérité et vivacité laisse la mélodie sortir de la caisse du violon.
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Alors que la demoiselle est occupée à jouer, que les notes quittent les cordes de son instrument, qu’elle ne fait plus qu’un avec la musique, une autre douce mélodie s’élève, sorte d’une autre pièce qui semble faire face à celle où s’est installée la demoiselle. Au lieu de la perturber, cette musique lui donne encore plus envie de jouer, parce qu’elle s’accorde à la lenteur mélancolique de ce que joue Elsy. De fait, les deux jeunes femmes se retrouvent à jouer plus ou moins ensemble, à faire comme un duo musical, sans pourtant ni se voir ni choisir ensemble la musique. Simplement elles jouent, se laissant porter par leur art, par leur plaisir. Les yeux clos, la princesse se laisse porter par la mélodie et une larme roule sur ses joues. Les musiques, c’est parfois bien plus parlant que des mots. Ce concerto va droit au cœur de la Hongroise, la touche au plus profond de son être, au plus profond de son âme. La musique est le langage des émotions, souvent. C’est peut-être bien cela qui se traduit en cet instant par la réaction de la demoiselle. Et quand leur duo improvisé s’arrête, la belle Eliot a le visage quelque peu mouillé. Abandonnant son instrument, la demoiselle quitte sa place pour chercher son partenaire, la personne qui a si bien joué du violon. Dans la salle face à la sienne, elle tombe sur une blondinette tenant un magnifique violon entre ses doigts experts. Elle s’apprête à jouer un autre morceau, c’est en tout cas l’impression qu’elle donne à la hongroise qui vient de la rejoindre et cette dernière se trouve alors partagée entre l’envie de l’écouter, l’envie de retourner jouer pour improviser un second duo et celle, un peu plus forte, de couper la blonde dans sa pré-interprétation pour lui proposer autre chose. Pour lui proposer de jouer de la musique ensemble, de choisir un morceau pour s’accorder vraiment à la perfection. La jeune femme est sûre que, si elles jouaient pour de bon un morceau ensemble alors ce serait absolument magnifique. Du coup, finalement, elle se décide à avancer pour se présenter à la musicienne.

«- Bonjour, je suis Elsy Esterhazy. Je voudrai… j’aimerais beaucoup que l’on joue un morceau ensemble. Je ne sais pas si tu as eut cette même impression tout à l’heure mais je jouais de la harpe dans l’autre sale et le rendu de nos deux mélodies était… magnifique.»
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Alors que nous jouonst. Nous entendîmes enfin le son d'une mélodie, celle d'une harpe. C'était une merveilleuse symphonie. De plus le violon et la harpe mélée leur deux airs mélangeant deux sortes de morceaux qui pourtant sonnait merveilleusement bien à l'oreille. Nous fermâmes les yeux et jouâmes avec tous notre être, laissant nos sentiments se dévercer tel un torrent dans nos coups d'archet. Nous continuâmes calmant nos gestes au bon moment. Mon partenaire invicible et nous même ne nous connaisions pas et pourtant une harmonie c'était créé entre nous deux. Notre mère nous dissait souvent que la musique était un art sentimental, qui laisser transparaître les émotions cachaient mieux que le visage et les yeux des personnes.
Finalement, nous jetâmes la dernière note en accord avec la harpe. Gardant notre position, nous fermâmes notre esprit pour ressentir et revoir le duo. Nous soupirâmes de satisfaction, c'était un bien beau mélange. Nous ne voulions pas déranger l'autre musicienne, c'est purquoi nous décidâmes de rester là où nous étions. Nous préparant à jouer un nouveau morceau, nous nous plaçâmes, fermâmes les yeux et concentrant notre mémoire et notre esprit, nous levâmes l'arche. Le posant avec délicatesse sur les cordes. Mais avant de prendre la première notre à notre instrument, une voix nous fit sursauter. Nos doigt lachérent l'archet et ce ne fut qu'avec de la chance que nous pûmes le rattraper. Le violon coincé entre notre épaule et notre menton n'avait pas été en danger. Nous levâmes les yeux sur la jeune arrivante. Prenant notre instrument à la main, nous écoutâmes la jeune femme en la détaillant:

«- Bonjour, je suis Elsy Esterhazy. Je voudrai… j’aimerais beaucoup que l’on joue un morceau ensemble. Je ne sais pas si tu as eut cette même impression tout à l’heure mais je jouais de la harpe dans l’autre sale et le rendu de nos deux mélodies était… magnifique.»  

C'était une femme brune, cheveux mi long et bouclé. Une fine silhouette. Nous comprîmes enfin de qui il s'agissait. Elsy R. P. Esterhazy, célébre patineuse. Nous rougîmes, car depuis nos 13 ans personnes, mais vraiment personnes ne nous avait entendus rejouer du violon. Nous n'aimions pas nous montrer en spetacle et l'aide que nous voulions fournir pour les autres était et serait toujours notre point d'honneur. Nous la regardâmes et cherchâmes quelque chose à dire. Nous regardâmes le sol quelques intants en nous dissant que nous ne voulions pas nous arrêter là. Nous lui sourîmes et dîmes d'une voix douce et quelque peu réservée:

"- Connaisez vous le thème son du titanic? "

Notre sourire était révélateur, nous voulions de nouveau jouer avec elle, nous voulions à nouveau entendre le son des deux instruments à corde vibré d'une même voix. Nous ajoutâmes:

"-Moi, c'est Ellena Liane Sutherland. "
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«- Enchanté de faire ta connaissance Ellena. Je suis ravie d’avoir put jouer avec toi ce duo improvisé et oui je sais comment jouer My heart will go on à la harpe. Je serais très heureuse de le jouer avec toi si cela te tente et que tu sais également le jouer.» répond la jeune femme en adressant un sourire à son interlocutrice. Elles vont rejouer ensemble et cette idée la met comme qui dirait en joie. La brune a hâte de voir ce que les deux instruments à cordes vont donner, vibrant au son de la même musique. La jeune femme gage déjà que ce sera sûrement très beau à entendre, à écouter. Leur première prestation, en aveugle, lui a apporté cette confiance. Alors elle est encore plus impatiente d’entendre le résultat final de ce travail sans la moindre répétition.

Comme il y a dans cette pièce aussi une harpe, la jeune femme s’y installe et vérifie les accords avant de signaler à sa jeune partenaire que tout est bon pour elle, qu’elles peuvent commencer à jouer. Les notes s’élèvent alors, berçant la hongroise qui se laisse porter par la musique, quoiqu’elle reste concentrée pour ne pas faire de fausse note. Il faut dire que même si elle connait la musique et sait comment elle peut faire pour la jouer, la brune ne joue pas My Heart Will Go On chaque jours, ce qui rend l’exercice un peu plus compliqué. Pourtant, elle s’en sort plutôt bien et la musique qui emplie la salle est une fois encore, vraiment très belle. Si bien que la jeune femme en affiche sur ses lèvres un sourire de satisfaction et de plaisir. Oui, elle prend vraiment du plaisir à jouer là, sans avoir rien prévu, rien programmé avec cette fille. Sans se connaître, sans s’être jamais parlé, les deux demoiselles jouent et leurs musiques s’harmonisent.

Lorsque la musique cesse, la hongroise lâche l’instrument pour faire quelques applaudissements adressés à sa partenaire qui l’accompagnait en duo. Cela avait été vraiment très beau à entendre et l’européenne avait passé un très bon moment. C’était ce qui comptait, ce qui importait. La demoiselle était ravie de l’avoir fait, elles en garderaient toutes deux un très bon souvenir. Du moins c’était ce qu’espérait la charmante brune. En ce qui la concernait ce serait sûrement le cas. Et comme elle ne voulait pas oublier cette journée, elle voulait faire connaissance avec cette presque inconnue dont elle ne connaissait que le nom.
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«- Enchanté de faire ta connaissance Ellena. Je suis ravie d’avoir put jouer avec toi ce duo improvisé et oui je sais comment jouer My heart will go on à la harpe. Je serais très heureuse de le jouer avec toi si cela te tente et que tu sais également le jouer.»

Nosus la regardâmes avec un sourire au lévre, elle même souriait de toutes ses dents. Nous avions hâte d'entendre à nouveau le son de nos deux instruments résoner avec la même harmonie que tout à l'heure. Et d'après ce que nous voyions elle même était aussi très impatiente de rejouer en notre compagnie. Une flamme de joie danser dans son regard avide de jouer à nouveau. Plus confiante le jeune femme brune regarda autour d'elle pour chercher son instrument favori.  

Sous notre regard la jeune femme s'assit et accorda la harpe en jouant quelques accords pour entendre les faux sons.Nous la regardâmes quelques instands avant de prendre dans notre étuit un diapason. Le cognand délicatement contre le coin du meuble, nous commençâmes à vérifier avec dans une main le diapason, de l'autre notre archet qui faisait sonné des cordes à vide et coincé entre notre épaule et notre menton le violon. Après que chaque cordes commencérent à toute sonnés juste, nous dépossâmes le diapason et nous approchâmes de notre partenaire.

Les premières notes sortirent de la harpe, après un petit moment le son du violon se joignit avec elle. Une merveilleuse mélodie hunie résonna dans la pièce et sortie même au dehors. Nous manquions un peu d'air, c'est pourquoi avant que le duo ne prenne place, nous avions ouvert la fenêtre. Une brise fraiche souffler et raffraichisait la pièce. Mais nos ne ressentions pas le froid et espérant que notre camarade ne la ressente pas elle aussi nous jouâmes mieux que ce jour là. Ce concert, le seul que nous avions fait.

Lorsque les dernières notes réssonérent et prirent fin, nous gardâmes la position ou nous nous étions arrêter comme nous l'avait apprit notre chère mère. Les applaudissements de Elsy, nous sortie de la torpeur de musicienne. Nous rougîmes en abaissant notre instrument. Le posant dans son étuit, nous prîmes une chaise que nous portâmes jusque la brunette. Nous asseyant dessus nous pensâmes qu'il était vraiment merveilleux d'avoir de ces moments si précieux dans la vie. Après un long moment de silence, alors que le rouge des nos joue c'était atténue pour finalement disparaître. Nous nous regardâmes surement pour détailler l'autre, Nous ne savions en faite quoi lui dire, il y avait tant de chose à demander et à raconter que nous ne savions par ou commencer. Nous nous décidâmes finalement à ouvrir les lèvres, nos yeux bleu cristal en disait long sur notre émerveillement:

"- C'est fantastique, bravo à toi. Je n'avais jamais jouée avec quelqu'un d'autre que mon frère ou ma mère et c'était seulement avec un autre violon ou un piano. C'était donc mon premier duo avec une harpiste. Où a tu appris à jouer? "
         
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«- Pour un premier duo c’était pas mal. C’était moi aussi mon premier duo avec une violoniste en fait. Enfin, second duo. Puisque nous en avons improvisé un juste avant !» fait remarquer la jeune femme avec un large sourire à l’attention de l’autre musicienne qui, avec son violon, vient de ravir les oreilles de la princesse qui finalement, reprend la parole après avoir gardé le silence un certain temps. «Je joue surtout toute seule en fait, rares sont ceux qui profitent de ma musique.» rit la brune avant de reprendre le cour de ses propos. «Mes amis savent que je joue de la harpe amis tous ne m’ont pas encore entendu en faire. Un jour peut-être leur en donnerais-je l’occasion, nous verrons bien. Autrement c’est en Hongrie que j’ai apprit, dans la ville de Fertöd c’est au Nord-Ouest du pays. Je ne sais pas si tu vois en peu la Hongrie, si tu arrive à localiser deux-trois grandes villes pour t’aider à te situer un peu mieux Fertöd ? C’est un chouette coin. Moi j’aime vraiment beaucoup en fait. Même si j’en suis partit pour… des raisons personnelles. C’est que faire mes études ici à Harvard, c’était mon rêve en fait donc… » lance la brune en guise d’explication avant de reprendre. Elle n’a pas envie de parler de ce qui lui est arrivé des années plus tôt, donc elle évite d’amener le moindre soupçon de quoique ce soit et préfère s’attarder sur un autre sujet. «Mais depuis que je suis arrivé j’ai du mal à jouer de la harpe. Du mal à trouver le temps d’en faire malheureusement et du mal à trouver un professeur de musique qui sache en jouer. Ce n’est pas un instrument très rependue de nos jours je trouve. Il fut un temps lointain où il y avait un véritable collection de harpe dans chaque ville. Aujourd’hui… Je pense que c’est un instrument qui a oublié de se démocratiser. Il fait encore un peu, c’est mon avis et il donne encore une image assez bourgeoise de ceux qui possèdent chez eux un tel instrument. »
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«- Pour un premier duo c’était pas mal. C’était moi aussi mon premier duo avec une violoniste en fait. Enfin, second duo. Puisque nous en avons improvisé un juste avant !»

Avait-elle l'intension de jouer à nouveau avec nous dans d'autres occasions, cela nous ferrait vraiment plaisir. De plus nous étions toutes deux débutantes dans un duo avec un autre instrument, enfin elle plus que nous. Mais pouvions nous vraiment dire que jouer avec sa mère et son frère jumeau qui était la deuxième moitié de nous même était un duo.  

«Je joue surtout toute seule en fait, rares sont ceux qui profitent de ma musique.»

Sa phrase nous sorti de notre torpeur de questionnement. Nous étions donc l'une des rares personnes à l'avoir entendus jouer et même si nous ne nous trompions pas la première à faire un duo avec la jeune femme. Le rire de la brune nous détendus un peu plus. Nous lui sourîmes en écoutant une nouvelle fois ce qu'elle allait dire:

«Mes amis savent que je joue de la harpe mais tous ne m’ont pas encore entendu en faire. Un jour peut-être leur en donnerais-je l’occasion, nous verrons bien. Autrement c’est en Hongrie que j’ai apprit, dans la ville de Fertöd c’est au Nord-Ouest du pays. Je ne sais pas si tu vois un peu la Hongrie, si tu arrive à localiser deux-trois grandes villes pour t’aider à te situer un peu mieux Fertöd ? C’est un chouette coin. Moi j’aime vraiment beaucoup en fait. Même si j’en suis partit pour… des raisons personnelles. C’est que faire mes études ici à Harvard, c’était mon rêve en fait donc… »

Fertöd en Hongris? Oui cela nous disait quelque chose, nous réfléchissâmes quelques instants encore avant d'avoir toute son histoire en tête. Mais déjà la jeune femme reprenait:

«Mais depuis que je suis arrivé j’ai du mal à jouer de la harpe. Du mal à trouver le temps d’en faire malheureusement et du mal à trouver un professeur de musique qui sache en jouer. Ce n’est pas un instrument très rependue de nos jours je trouve. Il fut un temps lointain où il y avait un véritable collection de harpe dans chaque ville. Aujourd’hui… Je pense que c’est un instrument qui a oublié de se démocratiser. Il fait encore un peu, c’est mon avis et il donne encore une image assez bourgeoise de ceux qui possèdent chez eux un tel instrument. »

Nous sourîmes, elle aimait tant cette instrument cela se voyait. C'éytait comme nous et ce violon toute une histoire d'amour pur si nous pouvions décrire cela comme ça. Nous dîmes en regardant notre instrument:

"- Je conais Fertöd, mes parents nous y on emmener une fois mon ... , une petite hésitation avant de reprendre plus confiante, mon frère jumeau et moi. C'est une belle ville, si je ne me trompe pas elle s'appelait Eszterháza jusqu'en 1950 avant de prendre son noveau nom, le palais était magnifique, je voulais y entrer, mais nous ne pouvions pas à cause de ce concert que ma mère et mon frère et moi même donné. On devait s'entrainer, j'ai boudé toute la journée et je leur en ai fait voir de toute les couleurs. "

Dîmes nous en riant, notre voix nostalgique et triste bercé ce souvenir. Détachant notre regard du violon nous reprîmes:

" - J'aimerais y retourner une fois, mais je n'ai plus vraiment le temps. "
 

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Aucune des deux n’avait vraiment l’habitude de jouer avec d’autres personnes. C’était une grande première pour chacune des deux filles mais elles ne semblaient pas vouloir rejouer ensemble tout de suite puisqu’elles se mettaient à faire connaissance, à discuter un peu de leurs activités et surtout, de Fertöd, comme la blondinette demandait où la jeune femme avait appris la harpe. Et la princesse fut très étonnée de voir que cette jeune femme connaissait sa ville. Beaucoup à Harvard n’avaient jamais choisi la Hongrie comme destination de vacances alors voir que quelqu’un y était allé cela la surprenait beaucoup. Ce qui la surprenait encore plus c’était que cette fille ait voyagé en Hongrie et n’ai pas reconnue le visage de la princesse Hongroise. Pas comme si elle n’était pas un peu mise sur le devant de la scène dans son pays.

«- Fertod est l’union d’Esterháza et de Süttör et c’est effectivement un évènement survenue en 1950 tu as raison. Esterhaza pour Esterhazy von Galantha, la famille princière donc. Devenue Esterhazy après l’abolition en Hongrie des noms à particules, qui ne sont rétablis que pour de rares personnes, comme par exemple feu Otto von Habsbourg Lothringen. Oui c’est un Autrichien mais… l’Autriche et la Hongrie ont toujours été, quoique l’on veuille bien en dire par chez moi, très liée l’une à l’autre…»
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«- Fertod est l’union d’Esterháza et de Süttör et c’est effectivement un évènement survenue en 1950 tu as raison. Esterhaza pour Esterhazy von Galantha, la famille princière donc. Devenue Esterhazy après l’abolition en Hongrie des noms à particules, qui ne sont rétablis que pour de rares personnes, comme par exemple feu Otto von Habsbourg Lothringen. Oui c’est un Autrichien mais… l’Autriche et la Hongrie ont toujours été, quoique l’on veuille bien en dire par chez moi, très liée l’une à l’autre…»

La famille royale Esterhazy. Esterhazy, nous avions entendus ce nom, nous l'avions déjà entendus, mais où? Nous regardâmes la jeune hongroise qui se tenait devant nous, Elsy ... Esterhazy ... Etais ce une coincidence ou la jeune femme qui se tenait devant nous portait le nom de la princesse d'Hongris, nous n'avions jamais vue la jeune princesse, mais notre frère Liam, nous en avait montré une photo. Le souvenir remontait de loin et pris du temps à refaire surface, mais quand finalement nous comprîmes que Elsy était la princesse, nous restâmes quelque instants figés pourquoi nous n'avions pas capté immédiatement ce petit détail. C'était surement à cause de la musique, dés que nous y jouions plus rien ne comptait. Nous dîmes:

"- Elsy Esterhazy, fille d'un prince cinéaste et d'une mère actrice. Princesse d'Hongris, je n'ai pas fais le raprochement tous de suite et n'ayans vue qu'une photo de ... toi par mon frère il y a de cela 8 ans, je n'étais qu'une enfant qui devait faire un concert, le seul d'ailleurs. Je n'ai retenu qu'un vague souvenir, j'aurais tant voulus en apprendre plus sur la Hongris ... "

Une fois de plus nous nous étions laisser emporté par notre enthousiasme et notre envie d'apprendre. Nous sourîmes comme pour nous excuser auprès de la princesse.
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