A. SHILOH FOX-DANIELS ► Saoirse Ronan.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Minion et j'ai plus que vingt ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  Il est super beau, présent depuis un bout de temps, agréable et prometteur alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Saoirse Ronan comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart. Je fais environ trois cents mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par moi, mouahaha.

Mot de la fin ? ▲ J'espère arriver à m'intégrer, que Shiloh trouve l'amour, elle le mérite quand même. héhé.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)

C'est dans cette famille très protestante que tu vis le jour, entouré de ta mère, de ton père, de tes grands-parents. Ils étaient un peu déçu, ils voulaient voir en toi un petit garçon qui perpétuerait le nom de ta famille, mais au lieu de cela, tu étais ce joli petit poupon qui ne savait pas hurler. C'est comme cela que tes parents on prit connaissance de ton "handicape", très tôt ils savaient que ta vie ne serait réellement pas comme tous les autres enfants. « elle n'a pas crier » « est-ce grave docteur ? » « non... Bien sur que non, beaucoup d'enfant vive très bien en étant muet. » Muette... tu l'étais et tes parents ont du s'adapter à cela. Mais très croyant, ils y ont vu un signe de dieu, que tu allait avoir un tout autre combat, que rien ne serait facile pour toi, mais que tu aurais la force de caractère pour arriver à tes fins. Tes parents ont essayés d'avoir un deuxième enfant, en vint puis ta mère est tombée gravement malade, un cancer du sein dont il a fallu soigner le plus rapidement possible. De cette période tu en gardes un très lointain souvenir, douloureux, où trop jeune, tu voyais ta maman malade, ton papa trimer pour arriver à payer le traitement pour ta maman. Tu restais souvent avec elle, vous appreniez ensemble le langage des signes, elle te serrait très fort dans tes bras, pour que jamais tu ne t'en ailles. Elle a vaincu la maladie tu n'es pas de ses petites filles à perdre ta maman trop jeune, elle a combattu la maladie, et c'est surement à partir de ce jour là, que tu as décidés d'être aussi forte qu'elle, pour qu'elle soit fière de toi. Tu as appris à lire sur les lèvres, tu entends très bien, tu es juste incapable de parler, de chanter, de hurler. Cela ne ne te gênais pas. Tu t'es montrée rapidement très intelligente, tu aimais particulièrement apprendre toujours et encore, toucher à tout, un objectif en tête être cette fille que tes parents désiraient avant tout avoir. Une fille sans problème une fille... respectable.

« Il est hors de question, que tu revois ce garçon. » Il hurlait si fort qu'il aurait pu faire trembler les murs de tout le quartier. Ton père te faisait un sermon, parce que tu étais restée seule dans ta chambre avec un garçon. tu avais quatorze ans, tu ne pensais même pas au garçon mais ton père avait qu'une peur que tu perdes ta virginité dans les bras du premier venu. Pourtant, tu avais des valeurs que tu appliquais à la règle. Ne jamais embrasser un garçon avant le troisième rendez-vous, te préserver pour le mariage, ne pas coucher avec n'importe qui. Tu savais tout cela, mais ton père avait peur et s'en prenait à toi. Ce soir là, tu ne lui as pas tenu tête, parce que tu savais que cela ne servait à rien, tu n'avais rien à te reprocher. Tu travaillais juste avec lui, rien de plus... A l'école tu étais la première de ta classe, tu aimais Boston et tu voulais à tout prix devenir chirurgienne. tu voulais y arriver, quitte à travailler un peu trop et à mettre entre parenthèse ta vie personnelle. Tes quinze, seize, dix-sept ans se sont déroulés comme les autres années. Tu n'avais pas peur, jamais d'ailleurs... Tu n'as jamais eu honte de ne pas parler, tu savais le faire et s'ils ne te comprenaient pas, tu ne cherchais pas leur sympathie. tu n'as pas été la jeune fille populaire du lycée, plutôt discrète, tu étais celle qu'on aimait tout simplement sans se poser de question, agréable et toujours à l'écoute des autres. tu as su te faire un groupe d'amie et tu as travaillé d'arrache pied pour obtenir une bourse et entrer à l'université d'Harvard. Oh ton père à hurler, il était heureux pour ta réussite, il était juste effrayé, encore une fois, que tu puisse entrer dans une université où les réputations de débauche étaient omniprésente dans l'esprit de tous. « C'est dangereux pour toi. » Tu signais calmement, lentement pour qu'il comprenne. « fait moi confiance papa, je serais être la même personne, à l'université. » Tu tenais à ses valeurs, coucher après le mariage, tomber amoureuse, aimer quelqu'un tu en avais réellement envie, alors oui... Oui tu comptais y arriver, et ton père devait te faire confiance. « Papa, c'est la meilleure université du pays. Je dois y aller ! Je veux devenir chirurgienne. » Tu le prenais dans tes bras avant de le serrer plus fort encore. Tu te redressais afin qu'il puisse lire sur tes lèvres et voir tes mains bouger. « Je suis assez forte pour y aller et devenir la femme que j'ai toujours été, papa. Je ne changerais pas, je veux toujours me marier, avoir des enfants, mais avant je veux devenir chirurgienne. » « Je t'aime. » Il finit par te prendre dans ses bras, et tu rentrais à l'université... tellement heureuse.

L'université, enfin tu y étais. Au delà, de la prouesse de te retrouver dans un tel endroit, tu t'es senti pour le coup plus forte, à ta place. Oh tu n'es pas idiote tu sais très bien qu'il y aura toujours des idiots qui seront près à te rabaisser parce que tu es différentes, mais tu aimes tellement cet endroit, tu sais que tu as fais les bons choix. tu n'as pas changé, tu es muette mais tu assumes cela, tu es célibataire mais tu attends le bon, même si parfois, tout le temps, tu t'amourache du premier garçon qui te regarde. Tu es fraiche, tu es disponible à l'écoute et une élève très appliquée, tu sais te défendre et qui plus est tu sais ce qu'il faut faire. tu as des valeurs sur quoi te fonder, mais à l'Université, le péché comme dirait ton père est tellement facile que tu essayes de ne pas te fondre dans ce milieu, d'avancer coute que coute quitte à passer pour la pauvre petite fille vierge. Tu t'en fiches d'eux... « Je t'apprendrais si tu veux. » Tentais-tu de dire en bougeant tes mains face à cet ami. « C'est trop compliqué pour moi. » Tu secouais la tête de droite à gauche. Non ce n'était pas compliqué. Tu lui souriais avant de dire en articulant bien les lèvres. « Tu apprendras vite. » C'est ce qu'elle comptait faire, qu'ils puissent apprendre à parler comme elle, tous et changer un peu les mentalités, même si elle... devait changer les siennes, et encore tu le savais ce n'était qu'une question de temps.