OANA FRANCEZA TWIN ► Juliet Simms

Plus jeune j'étais sûr que si je me peinturais en rouge ,

je me transformerais en fraise

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Tu me regardais et tu pleurais. Tu me disais d'arrêter que je m'enfonçais dans un sac plein de noeud. Tes larmes avaient chavirées ton visage et pourtant moi je souriais , un sourire malicieux sadique. Non je ne te déteste , je n'aime pas ta tant souffrance , mais j'aime voir tout se consummer sous mes doigts. C'est beau , c'est beau maman tout se détruit regard un peu tout part en poussière , la fumée monte vers le ciel et se parseme dans l'oxygène . Sèche tes pleures je ne suis pas une mauvaise personne je reste ta Franceza , Pourquoi as-tu peur je ne te ferai jamais de mal . Ne prend pas fuite et reste avec moi prend ma main laiteuse et allume une autre allumette dans la petite boîte glissée dans ma poche. Ton visage est livide comme si il ne s'est plus prendre une émotion , mes prunelles te déchirrent ton âme et je tapote du pied nerveuse , intrigué je joue avec mon bracelet. Tes lèvres s'entrouvent ...Non ! Ne hurle pas , savoure le silence les mots ne feront que glisser avant de se perdre dans l'horizon. Tout ira mieux demain..Beaucoup mieux.

«Un nom...un nom pour votre soeur»«Papa dit que les bébés quand ça naît c'est tout rose. Je veux qu'elle s'appelle Fraise !»«Voyons Dodley ! Tu veux vraiment donner un nom de fruit à ta petite soeur ?»« Oui elle aura le plus beau nom de l'univers ! Et tu crois qu'elle voudra jouer aux petites voitures avec moi ?» Élise se mit à rire et caressa les cheveux blond de son fils avant de lui donner un bisous sur son front.

1 JOURS : FRAISE«Je m'appelle Oana Franceza Connie Twin . C'est horrible comme nom non vous ne trouvez pas ? Moi si ! Au plus loins que je me souvienne je n'ai jamais aimé un de mes nombreux prénoms compliqués qu'on m'a infligé . Se pourquoi je me représente ! Bonjour je suis Fraise . Oui c'est un fruit aussi et non je ne suis pas rouge avec plusieurs petit pépin sur le visage je suis d'ailleurs tout ce qui est bien loin d'un teint rosée. Je suis couleur lait qui ne bronze même pas sous le chaud soleil de ma ville natale. Pourquoi Fraise ? Je ne sais pas on m'a toujours appelé ainsi...en fait je n'ai jamais voulu qu'on m'appelle aussi par Franceza. Mon frère Dodley aurait crié Fraise dans la chambre d'hôpital quand mon petit visage c'est montré. Touche féminine de la famille c'est ce qu'on disait à mon sujet. Ma mère avait attendu avec impatience à mon arrivé d'une façon puisqu'elle était entourée de six hommes dans sa vie. Effectivement je suis issue d'une petite maison sous le chaud soleil de la Californie composant cinq frères et deux parents bien aimant. Enfin d'une façon ma maman ne m'a jamais caché que j'étais un simple et pure accident , une erreur de parcours. En même temps qui voudrait un sixième enfant alors qu'on est déjà surchargé par le travail . Rapidement je n,avais que quelques heures et je devais m’efforce à me faire une place. Mes frères avaient déjà trouver quelque tours pour me faire tirer des pleures , me pincer le nez , me voler ma nouvelle peluche. Un de mes meilleurs jours de ma vie , mais aussi des plus douloureux c'est quand mes premières dent ont poussées . Étrange ? Non certainement pas je venais de découvrir la fonction mordre les bras des autres. Et quand j'ai découvert l'usage de ma langue qui me permettait de sortir des mots afin de parler je savais déjà comment dire ''Maman Jesse m'a frappé !'' Rusée déjà de mes haut de mes deux ans j'étais déjà une vrais peste qui savait très bien manipulé avec ces pleures. Combien de fois j'ai jouer à cache cache avec Melvin le laissant là seul dans le noir dans sa cachette et je sortais à l'extérieur dans la cours pour lui jouer un tours. Je n'étais pas la petite fille dans les normes ayant que des modèles masculins je me roulais dans l'herbe avec mes jolies robes et les déchiraient sans problème . Déjà à cinq ans je leur apportais une touche différente avec des trous et des collants de toute sorte et je ne vous parle même pas de mes poupées barbie ! ''Dodley ta déjà essayé de faire faire du bunji à une barbie ou de mettre le feu dans leur cheveux ?''''Tu es bien violente sadique avec elles !'' ''Non c'est marrant !'' Je n'avais que huit ans et déjà il était terrorisé par moi , ma façon d'agir il aurait sans doute préféré que je joue avec lui avec ses petites voitures , mais je préférais me bagarrer. Pardon pour vous mes petites âmes sensible , mais je ne suis pas cette petite fille toute sage qu'on a envie de dévorer. Non je suis plutôt une sorte de fraise empoisonné qui aime bien faire peur aux gens ! Vous savez quand quelqu'un pleure sous vos yeux et hurle c'est marrant ! J'adore me faire des bleus et en faire aux autres. Je déteste les contacts physiques , je ne suis pas une peluche tout simplement.»

«Mais qu'est-ce que tu fous Faise ?»« Rien rien je test quelque chose !» «Fraise ? FRAISE ? MERDE ! MAMAN ELLE A ENCORE FOUTU LE FEU DANS LA POUBELLE !»

JOURS 2: FRAISE«Pyromane ? Pyromanie des mots bien compliqués qu'on m'a associé très rapidement dans mon début d'adolescence. Il est arriver bien mystérieusement plusieurs fois qu'un feu est pris dans une poubelle. Les flammes c'est fascinant à regarder surtout quand un objet s'enflamme subitement avec une simple allumette jeter. Tout grille , tout sombre en poussière ne laissant qu'une fine trace de leur existence . C'est comme de la magie ça s'envole ça disparaît complètement. Une libération ? On peut dire ça , mais encore là je ne vie que du plaisir en voyant le feu sous mes yeux. Plusieurs fois en cours j'ai eu cette envie subite de faire flamber tout mes notes de cours et mes cartable , par contre mes envies devenaient de plus en plus grand à chaque fois. Ma mère se contentait d'arriver avec un saut d'eau comme à chaque en le jetant sur ce que je venais de déclencher et me tirais par le bras jusqu'à l'intérieur me faire retirer tout ce que j'avais dans mes poches. Elle était assez intelligente pour savoir que au de là de toute se cachait une maladie mental certes elle n'osait point se l'avouer qu'elle avait mit au monde une sorte de détraquer du cerveau. Car au fond elle savait que je n'étais pas que cela. J'étais une enfant très intelligente surdoué pour la moyenne . Mes parents ne se contentaient plus des écoles de bas étage , mais plutôt des écoles bien privée. Petite jupe par si et par là il faut dire que j'avais rapidement mit la main dessus et avait ajouté ma touche personnel au risque des regards des superviseurs. On ne se traînait pas avec moi on me fuyait . Je les regardais de mes grands yeux et leur faisait peur comme à des enfants. Je ne me suis jamais plainte du manque d'amitié que j'avais et quand venais le temps d'un besoin de socialisation j'avais cette habitude bête d'aller m'asseoir à cotée d'un parfait inconnu et de lui taper la conversation. Entre temps la musique devenait une passion plus grande jour et ma guitare mon seul rêve éternel. J'avais trouvé une dernière chose de quoi de plus pour me faire remarqué. Déjà à mes quinze ans un tatouage couvrait ma peau et d'autres ont suivit en si peau de temps. On me surnommait pikatchu la folle électrique sur deux pattes qui frappe et qui mort. Je suis obligé de vous dire que ça me ressemble beaucoup malheureusement. »

«Et bien une petite jeunesse !»«Oh bon dieu c'est une blague ma petite jolie ! Laisse moi deviner vole à l'étage ? Tu voulais te procurer le dernier mascara ?»«Feux volontaire» Elle les toisa d'un sourire malin au rictus de ses lèvres avant de s'asseoir

JOURS 3: FRAISE «C'était devenu une habitude avoir toujours un feux plus grand sous les yeux. Toujours quelque chose de plus gros à brûlée. Pour la première fois je me retrouvais derrière les barreaux pris en flagrant délit. Je n'avais pas pleuré comme ces pleurnicheuses , non j'en riais presque installer dans le fond de la pièce dans mon coin. J'avais l'aire d'un petit diablotin qui préparait un coup , d'une folle pour l'asile. J'avais entrepris de brûler une cabane abandonné en plein milieu d'un quartier . On m'a dit que de cette façon je pouvais mettre bien des gens en danger ! Ah bon je ne savais pas pardon d'avoir péché seigneur ! C'est après la caution payé et un bonne engueulade de mes parents qu'on me faisait des spécialistes. Une personne qui vous farfouille la tête une sorte de thérapie ce que ma mère disait. N'importe quoi ! Que des balivernes pour vous faire parler. Je m'installais sur la chaise de velours et je la regardais , toujours au plus profond avec ce petit sourire en coin '' tu ne me connais pas et tu ne me connaîtras jamais ! Je n'avais jamais placé un mot pendant toute ces rencontres je pouvais lui parler de mes journées des idées folle qui me traversaient la tête , mais jamais je n'ai entamer mes problèmes. Mes frères ont tous finis par quitter la maison ne me laissant que Dodley deux ans plus vieux que moi. Il était le seul avec qui je pouvais jouer pendant des heures aux jeux vidéos en faire des nuits blanches. Jamais il ne m'avait jugé , mais je les toujours sentie qu'il aurait voulu que je sois différente. Comme si on avait inversé les rôles il était le grand sensible et moi la dure à cuire.»

« Tu as des ambitions ?»«À part mourir en faisant une overdose de bonbons , avoir toute les figurines des pokémons , avoir assez de cigarette pour le restant de ma vie hum.. pas vraiment.»«Pourtant je vois ici dans ton dossier que tu es classé comme un étant un élève génie qui a dû plusieurs fois de classe pour être au même niveau des autres. Pourquoi n'apporte tu pas ton intelligence à de grands métier»« C'est banal l'intelligence alors que je me dévoue pour la musique et que mes doigts savent parfaitement bien glisser sur les cordes d'une guitare. Pardonnez moi très cher dame , mais la seul chose qui m'intéresse c'est l'histoire de l'art et je pousserai plus haut un jour. Je ne veux pas être intelligente on dit que ça se rapproche de la folie je ne veux pas devenir folle.»

À ton tour Papa. Toi tu m'as regarder du haut de mon 1m75 et tu as sourie avec tes rides sur le bord de tes yeux gris dans une éternel joie qui faisait de toi un homme merveilleux. Tu m'as chérie comme une pierre précieuse et pourtant je n,avais rien de magique. Rien n'a te redonner de puissant. C'est toi qui revenait éteindre mes incendies de colère et qui me prenait dans ses bras. Je me rappelle cette guitare que tu me donnais entre les mains alors que je n'avais que encore trois ans les yeux plein d'étoiles je te regardais , jamais je n,ai regarder une personne comme toi. Parmi les ombres des souvenirs tu m'as appris que la vie n'est pas là pour pleure. Même entre les barreaux tu me regardais fière. Non papa je ne flanche pas , non je ne fuie pas...je m'envole ! Regarde demain matin sur ta table de chevet tu découvrira des allumettes. Allume les et regarde leur belles flammes.