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C'est le sept du mois de décembre dans un coin isolé de l'avion direction shangai, maman pousse, que les membres de la famille cohen-horé m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) séverus-boy. Je suis plongé dans une solitude regrettée et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis mon cœur ne cesse de s'agiter pour les femmes et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale respectable. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de musique et d'art visuel depuis un peu plus d'un an et travaille en parallèle de mes études en tant que poète perché sur sa comète (comprendre branleur ayant un trop plein de vague à l'âme) (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les lowell ou les winthrop. | haha tu sauras pas Looks alot like ezra miller |
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle et j'ai quinze ans. Je suis une bonnasse et j'ai connu le forum grâce à j'me souviens que la première fois que j'en ai entendu parlé, c'était sur prd ou bazzart, lors de son lancement, un truc du style. comme y a des gens couls (dianejeparlepasdutoutdetoi) alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise ezra miller comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par ladyfame. Je fais environ 500, et si t'as de la chance, tu peux avoir des rimes mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par dieu.
Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?) être Summer Camper (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Monkey & Peanut (?)
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APRÈS LA BOMBE one for the money, two for the show, three you can go go go. toute lumière happée dans d'ailleurs inexplicables. noirceur. noire-sœur environnante. comme un cœur sans vie, une impression d'incertitude. un air de déjà-vu à vos plus sombres déboires. fée solitaire incessante, faible lueur, sans doute d'espoir. des formes illusoires, floues et affreuse. vous dis-je, vos pires cauchemars. malheur, vous conte votre cœur en émoi. pourtant, ne chante-t-il pas moi, moi et moi ? bien évidement. car voyez-vous, ceci n'est guère votre peine décuplée, mais bien celui de la candeur. la veilleuse des pêcheurs, la perle votre robe de velours. aile noirceur hais thé eau y aile eux noirceur a noirceur paix aile eux eu air hais darkness again air eau aisse eux. L'ÉTOILE A PLEURÉ ROSE. beauté de papier froissé d'un paumé qui se dénomme Rimbaud. parait-il qu'il n'est d'autre qu'une divinité damnée. du moins, un rejet des enfers à l'angélisme frappant, au vague à l'âme poignant. son réalisme, lui est assassin. voilà que le môme étale, une à une, les sublimes arabesques en petites lueurs, en tracées comiques et attendrissant. en simplicité déroutantes. comme éjectée d'une comète, douce étoile valdingue, la goutte au nez. vision qu'il nous a été donné de nous délecter en saccades magiques. comme un montage irréalisé, comme une initiative de laisser-aller. aile noirceur hais thé eau y aile eux noirceur a noirceur paix aile eux eu air hais noirceur air eau aisse eux noirceur ah! eu noirceur sait eau dans l'eux eu air noirceur dé eux noirceur thé eux aisse noirceur eau air eux y doubles ailes eux aisse. L'ÉTOILE A PLEURÉ ROSE AU CŒUR DE TES OREILLES, aile noirceur y haine elfe y haine y... fracas assourdissant. véritable apocalypse. la magie s'achève en de jurons proférés, eux-mêmes avortés par un morceau de plâtre mal fixé. | LOWELL. beauté de la langue imparfaite, déni de la stupidité littéraire. voilà sous vos yeux, critique avéré. son œil averti n'a d'égal que ses paroles perfides aux injustices réalistes. ses vers s'accaparent la divinité même, vous conte immondes et noirceurs, glissant entre deux trois rimes, entre l'horreur humaine à son paroxysme et le lubrique d'une femme accroupie, un jeu de langue fameux. on dit même qu'il serait un peu baudelaire, un peu fataliste et rimbaud. on dit même que ses affreuses compositions s'épanouisse en français. urbaine légende vous susurre que ses sonnets naturels pendent à ses lèvres, comme des baisers volés. l'inventivité est sa plus infidèle maitresse, qu'il maltraite au gré de son défaitisme et de sa perversion. WINTHROP. don des mal aimés, voilà que se dessine visage somptueux sous de cheveux emmêlés par désinvolture. finesse des membres. poésie du corps en d'alexandrins empoisonnés. presque désordonnés. il a la possessivité que les femmes apprécient. il a le sourire de celui qui se plongera en vos mers intimes. ses mains longues, fines, voulues presque maladroites vous écœurent de fantasmes inavouables. il a la bouche captivante, la langue caressante. il a votre corps en location. |
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