pétille dans la pupille (cornelius)

( tw ; ràs)
fais glisser tes doigts fins doucement contre la peau de sa nuque, approche ton visage légèrement, capture ses lèvres, baiser qui se prolonge légèrement avant de se rompre. sourire reprends sa place sur ton minois, l'avant bras toujours sur son épaule qui glisse alors qu'il s'approche de ton oreille. quelques mots glissés, rictus qui s'étire un peu plus alors qu'tu fais glisser la pulpe de tes doigts le long de sa mandibule. – mince... j'ai toujours rêvé d'embrasser un vampire... qu'tu lâches, l'cherchant des yeux. la malice qui te gagne alors que tu continues d'onduler doucement au rythme de la musique. -- @Cornelius Koch

T'as un sourire joueur à sa réponse. Tentante demoiselle qui te fait miroiter l'idée de planter tes dents dans sa chair ici même sur le plancher de danse. Juste pour répondre. Juste pour la marquer et te l'approprier pour la nuit. Mais tu te retiens. La faisant tourner sur elle-même, tu la ramène vers toi, son dos contre ton torse, tes mains passant de ses hanches à son ventre ou sa cuisse, alors que tu t'autorises à te pencher à nouveau sur son cou. Tu ne mords pas, mais tes lèvres laissent une trace de baisers le long de sa jugulaire, jusqu'à son épaule avant de remonter pour souffler à nouveau à son oreille. "On peut peut-être trouver un compromis alors…" Proposes-tu, la voix doucement rauque.

• @Addie Pentz

( tw ; ràs)
les doigts qui glissent sur sa peau, de la pulpe au bout des ongles, avide du contact, le cherche encore plus, sans doute exacerbé par la prise de substances. pourtant bien loin d'te refuser, te laisse entraîner, tournant sur toi même, retombant doucement le dos plaqué contre son torse alors que ses mains glissent sur toi, comme si elles te découvraient. frissonnes légèrement à son contact, te laisses facilement emporter. penche un peu sur le côté, dégage ton cou, laissant le champs libre à ses baisers quand il vient goûter à ta peau. – dis moi c'que tu proposes... qu'tu lâches doucement, tournant à peine la tête pour que tes paroles soient soufflées à son oreille. -- @Cornelius Koch

Mains qui se baladent, corps appuyés l'un contre l'autre, suivant le rythme de la musique …ou peut-être plus, puisque vous vous perdez un peu plus dans votre bulle au milieu de la foule de danseurs. Explorant la mignonnette entre tes bras, tes idées ne se font plus très chastes pour la suite, tu peux bien l'avouer. "Si tu souhaites de la compagnie pour une partie de nuit…" Commences-tu, laissant ta phrase en suspens alors que tu redescends sur son cou, embrassant doucement, jusqu'à atteindre le creux de celui-ci, laissant crisser doucement tes dents sur le velours de sa peau tandis que tu resserres lentement la prise de tes mains sur sa taille. Un moment. Une étincelle pour lancer la soirée autrement. Une toute autre invitation.

• @Addie Pentz

( tw ; ràs)
te laissant aller face à cette proximité qui s'opère entre vous, sens ton cœur tambourine contre la poitrine, cage thoracique, contre sa chaleur. sourire malicieux qui s'étire sur tes lèvres, l'excitation qui fait pétiller les pupilles. prête à savourer chaque instant que cette soirée, s'annonçant délicieuse, promettait. – une partie de la nuit .. ? répètes-tu dans un murmure, un peu comme une provocation, te penchant un peu plus en arrière. appréciant chaque seconde de l'instant partagé alors que tes doigts glissaient le long de ses bras serrés autour de ta taille, caressant de tes ongles la douceur de sa peau. – j'aime bien l'idée... j'ai pas tellement envie d'te laisser..., tournant légèrement la tête comme pour glisser ses mots dans l'oreille. -- @Cornelius Koch

Un sourire plus prédateur, montrant tes dents contre sa peau l'espace d'un instant, à ses paroles. Avant de les cacher à nouveau, laissant la possibilité à tes lèvres de déposer des baisers sur son derme sensible jusqu'à revenir vers son oreille. "...ou toute la nuit, si tu préfères." Confirmes-tu, comme un secret entre vous. Une temptation. Car, soyons franc, à moins qu'elle te dise de partir, t'as pas particulièrement l'intention de te barré au milieu de la nuit. C'est pas ton genre. Tu préfères te réveiller en bonne compagnie au matin, avoir encore un doux aperçu, bien qu'il soit souvent très différent sous le soleil. T'aimes le contraste entre les deux.

Callé entre tes bras, elle ne semble clairement pas contre l'idée de poursuivre la soirée en tête à tête, mais t'as quand même un minimum de patience. Tu sais profiter de votre proximité sur le plancher de danse avant qu'il ne soit autrement au milieu des draps. "Je vais nulle part sans toi ce soir, mignonnette." Promets-tu, la voix un peu plus rauque. " 'Suffit de dire quand tu voudras filer…" Assures-tu avant de voler ses lèvres à nouveau.

• @Addie Pentz

( tw ; ràs)
frémissement en sentant ses canines contre ton derme, l'frisson qui parcoure le corps entier, alors penches un peu plus la tête pour accueillir ses baisers qu'il parsème, bien heureuse qu'il te reteinne entre ses bras, tu pourrais défaillir. ne t'imaginais pas le garder qu'une seule partie de toute façon, le lui faisant savoir comme une confession glissées dans l'oreille. t'as goûté à ses bras, et ce soir, il sera difficile de t'en défaire. alors virevolte à ses paroles, glissant à nouveau tes bras autour d'son cou, alors que vos lèvres se rejoignent à nouveau. encore quelques danses, et quelques baisers avant d'continuer à vous bécoter sur une banquette un peu éloignée. – on y va .. ? qu'tu lâches doucement alors que tu lâches ses lèvres pour une énième fois, sourire accroché sur tes lippes, impossible de le faire descendre pour ce soir, ça tire d'ailleurs pas mal dans les joues. l'effet de la drogue qui s'mêle à l'excitation d'une si belle soirée.-- @Cornelius Koch

Les danses s'enchainent, séries de rythme qui varient plus ou moins alors que la mignonnette s'agite encore entre tes bras. T'es pas pressé, tu profites de la proximité, répondant facilement à ses baisers lorsqu'elle t'en quémande ou que ses lèvres te font trop envie. T'as eu les mains un peu plus baladeuses lorsque vous vous êtes trouvé un peu plus à l'écart sur une banquette. Et ça t'as donné un aperçu, une envie de recommencer et d'aller un peu loin. Et y'a une étincelle de désir qui passe dans tes pupilles lorsqu'elle te propose de partir. Une simple question de ta part pour confirmer la destination et tu l'entraines doucement vers la sortie. Veines vides de toutes substances altérantes, tu hèles tout de même un taxi pour vous conduire jusqu'à chez toi. Mignonette serrée contre toi, tu continues vos échanges, bien que t'essaie de rester sage dans le taxi. Une fois le dos contre la paroi de l'ascenseur cependant, tu laisses tes doigts remonter contre l'arrière de sa cuisse, jusqu'à atteindre la rondeur de sa fesse, appréciant …jusqu'à croiser son regard, ce qui te fait froncer les sourcils. La relâchant, tu viens pour l'interroger, mais le ding de l'ascenseur et les portes qui s'ouvrent te coupent dans ton élan, te faisant plutôt glisser ta main nouvellement libre autour de l'une des siennes pour l'entraîner doucement à ton appartement. Porte déverrouillée et refermée derrière vous, tu récupères ta compagne, passant tes doigts sous son menton pour qu'elle te regarde, la faible lumière constamment allumée dans l'entrée te renvoyant la même vision de pupilles dilatées que précédemment. Trop dilatée. "Qu'est-ce que tu as pris Addie?" Demandes-tu, sérieusement, mais somme toute doucement.

• @Addie Pentz

( tw ; drogue)
la chaleur de vos corps, l'un contre l'autre, qui te fait encore vibrer, comme un tourbillon qui t'emporte sans réellement te laisser respirer, pas besoin de réfléchir, te laisse juste aller, la chaleur de ses main, la tendresse de ses gestes qui te bercent doucement. à mesure que l'ascenseur rejoint les étages, une légère appréhension qui commence à poindre, ses doigts qui glissent sur ta peau, et pourtant y a ce petit truc qui perturbe. un éclat dans son regard, intensité qui te laisse perplexe. puis c'léger instant où ton cœur manque de rater un battement. la tension qui s'étire, croises son regard alors qu'un frisson te parcourt. sortie de l'ascenseur, il t'entraîne rapidement vers son appartement, refermant la porte derrière vous. étincelle d'inquiètude qui brille dans son regard alors qu'il attrape ton menton, son regard qui s'ancre au tien, insistant, serieux. la chaleur qui se mêle doucement à un frisson désagréable au fond des entrailles. pas besoin de réfléchir longtemps, t'sais bien la raison de ton état, te mordilles la lèvre incertaine. – je …, te faufiles entre les mots, comme si tu cherchais les bons, – j'ai pris un truc ce soir..., voix faible mais honnête, mirettes qui se relève vers lui, pointe d'angoisse dans le sourire, finalement, c'était pas ça qu't'aurais voulu, pas à cet instant, pas avec lui. aurait préféré être en pleine conscience. – c'était juste un peu d'drogue... goût amer laissé sur tes papilles. t'arrêtes, attendant la réaction, t'demandant s'il pouvait comprendre, s'il acceptait. -- @Cornelius Koch

Interrogateur, tu questionnes la brunette sur ce qu'elle a pu ingérer …ou consommer de toute autre manière. Tu l'as bien vu avec un verre plus tôt, mais tu ne crois pas que l'alcool soit la raison de l'effet sur son corps. À moins que quelqu'un n'ait glissé quelque chose dedans avant que tu n'arrives? Peut-être. Au tel cas, t'es heureux de l'avoir croisé avant que cette personne ne lui tourne trop autour. Elle hésite un instant, semblant chercher ses mots, puis finit par admettre qu'elle a pris quelque chose. De son plein gré.

Drogue coulant dans ses veines, tu retiens le soupir qui veut franchir tes lèvres. Ça ne servirait à rien de t'énerver, autre probablement de la faire paniquer et de l'envoyer dans une mauvaise spirale. "Tu restes avec moi ce soir, mignonette" Avises-tu, te penchant contre ses lèvres. "Mais il ne se passera rien que tu pourrais regretter demain." Promets-tu, échangeant un nouveau baiser, lent, calme. Relâchant ses lèvres et son menton, tu dépose un simple baiser à son front, à peine une pression. Viens là, fais-tu, tes mains glissant à nouveau à sa taille, puis plus bas, passant sous la courbe de ses fesses, la soulevant d'une traction.

La brunette contre toi, un bras sous elle, l'autre à son dos, tu grimpes le dernier volet de marches pour vous rendre dans l'air principale de ton loft industriel. C'est pas la première fois que tu te retrouves avec une personne qui n'est pas toute à sa conscience, mais clairement t'as croisé pire que la mignonnette ce soir. La déposant sur le comptoir de l'ilot, tu restes près, debout entre ses cuisses alors que tu es appuyé de part et d'autre d'elle.

"Qu'est-ce que tu as pris?" Demandes-tu tranquillement. "...Histoire que je m'occupe de toi correctement; c'est pas pour t'engueuler" Précises-tu tout de même, replaçant une mèche de cheveux derrière son oreille.

• @Addie Pentz