pétille dans la pupille (cornelius)

( tw ; drogues )
lumières qui s'balancent à travers la foule, que des étudiants comme toi qui sont venus fêter la rentrée. malgré toutes les mauvaises nouvelles qu'la nouvelle doyenne a annoncé, pas question d'se laisser abattre. te laisse porter par le beat de la musique, impossible d'y resister, mirettes scintillantes, sourire accroché depuis un bon quart d'heure qui commence à tirer sur tes joues. l'ecsta qui fait son effet. verre à la main, tu n'prêtes pas trop attention à tout c'qu'il y a autour de toi, dansant, dans ta bulle, oscillant, l'sourire toujours accroché, les yeux fermés. jusqu'à percuté celui qui s'trouve à côté d'toi. relève les mirettes vers l'obstacle, reconnaît bien vite les traits. –  salut toi.., qu'tu lâches finalement à c'type que tu reconnais, l'sourire change, désormais un peu plus de charme, moins de béatitude.   – j'suis surprise de te voir là, t'es pas venu nous chaperonner j'espère...?, qu'tu lâches finalement, parce que t'as pas envie d'le voir s'occuper d'ça, préfèrerais profiter d'sa présence. -- @Cornelius Koch

Un regard de l'un de tes collègues, l'un des derniers arrivés dans l'équipe, qui ne semble toujours pas convaincu que celui qu'on surnomme "Iceberg" soit moindrement à l'aise en boîte. Tu ne lui en veut pas, t'es loin de dégager l'énergie d'un fêtard. Parce que t'en es pas un. Mais c'est pas pour autant que ça t'arrives pas de sortir de temps en temps. Alors quand les collègues t'ont proposé de te joindre à eux, t'as hoché tranquillement, notant le point de rappel avant de passer te changer chez toi. Tout de noir vêtu, comme ça t'arrives bien souvent, la chemise entre-ouverte sur tes tatouages et cheveux lissés vers l'arrière, ça fait tout de même son effet.

Soirée bondée, foule principalement étudiante, t'entends déjà les autres affirmer que la pêche est ouverte. Naviguant à travers la foule et les danseurs, tu t'immobilises pour essayer de comprendre ce que l'un de tes collègues veut bien te raconter, mais il n'a pas fait une phrase complète qu'on te bouscule. Petite brunette qui danse sans regarder ce qui se passe autour. Petite mignonette que tu connais. "Salut." Fais-tu avec un demi-sourire en te redressant en sa direction, ton collègue mis de côté - navré pour lui. "Non, ça m'arrive aussi de sortir pour m'amuser." Indiques-tu avant de te pencher à son oreille pour ajouter : "...et c'est toujours plus agréable quand j'y croise une jolie fille."

• @Addie Pentz

( tw ; drogues )
totalement perdue dans ton mode, le petit cachet rose avalé il y a maintenant presque un quart d'heure fait totalement son effet, incapable de faire descendre ce sourire qui étire tes yeux, alors que tes dents se resserrent un peu trop parfois, mordillant ta paille comme pour soulager. les yeux glissent sur cory, t'as pas l'habitude de le voir comme ça, et faut avouer, ma foi, que c'est encore plus agréable à regarder que tu n'pouvais l'imaginer. puis ses mots dans ton oreille, t'viens à ton tour rejoindre la sienne. – viens t'amuser avec moi alors..., qu'tu lâches en déposant ton verre désormais vide sur une des tables hautes entourant la piste, l'entraînant, par la main, avec toi, au centre. ondulant légèrement au rythme du beat, de la musique qui semble te transpercer. -- @Cornelius Koch

Brunette totalement immerger dans l'ambiance, elle te reconnaît tout de même en un coup d'oeil. Te donnant de mauvaises intentions au départ, t'amusant plus que ne te vexant aux vues du surnom que tu peux porter, elle ne semble pas avoir pour autant de difficulté à te croire lorsque tu admets être capable de sortir pour t'amuser parfois. Au contraire, elle t'attire vers le plus actif de la piste de danse et tu la suis volontier, déclenchant l'amusement de certains de tes collègues. Moins de cinq minutes, t'auras probablement battu ton record, mais tu partais avec une longueur en connaissant la mignonette qui ondule doucement devant toi avec la musique. Rythme dans la peau, elle semble vouloir s'y donner et profiter amplement de la soirée. Sans être le plus grand danseur, tu arrives à te caler sur son mouvement de hanches, y ajustant le tien lorsque tu l'attires un peu plus vers toi, trouvant une courbe confortable pour y poser une main.

• @Addie Pentz

( tw ; ràs)
la musique qui transperce alors qu'désormais, c'est toi et lui sur la piste de danse. t'oublie un peu tout c'qui se passe autour, dans ta petite jupe en skaï, t'ondule des hanches. finalement il s'rapproche enfin, et t'es bien contente d'avoir enfin réussi à l'attirer, c'pas ton genre d'sauter au cou des types, alors forcément qu't'as un peu attendu qu'ce soit lui qui le fasse. ses mains sur tes hanches, tu fixes le regard sans rien dire alors qu'tes mains, elle se pose sur son torse, chemise presque ouverte, l'contact de tes doigts sur sa peau. sur les fameux tatouages que tu découvres un peu plus ce soir. – j'en vois enfin un peu plus... qu'tu glisses à son oreille, sourire satisfait accroché à ton visage, alors qu'tes doigts en dessines les contours. -- @Cornelius Koch

Tes mains sur ses hanches, tu suis le rythme qu'elles te guident. Mignonnette tout près, tu soutiens son regard lorsqu'elle semble tester à savoir si elle peut bien explorer l'encolure de ta chemise entreouverte. Tu n'as pas un mouvement pour la décourager de faire ainsi. Te penchant lorsqu'elle semble vouloir te parler, le coin de tes lèvres se retrousse lorsqu'elle remarque qu'elle en voit finalement un peu plus. "Y'en a pour un moment à voir si c'est vraiment ce qui te fait envie." Souffles-tu, amusé, bien que sérieux dans ta proposition. Pour appuyer un peu plus tes dires, tes mains se font un peu plus baladeuses, glissant doucement sur sa silhouette, caressant son dos avant de revenir vers ses hanches. La pulpe de tes pouces passant sous la limite de son haut, sans te faire invasif, tu souhaites lui tirer quelques frissons.

• @Addie Pentz

( tw ; ràs)
accrochée à lui, retenue par ses mains au bas de ton dos, tu penches un peu la tête, pour mieux entendre sa réponde. l'sourire s'affiche, ne se fait attendre, alors que tu continues d'onduler contre lui, au rythme de la musique. te hisse sur la pointe des pieds, pour atteindre son oreille. – j'ai toute la soirée... qu'tu lâches en revenant à ta place alors que tu t'électrises un peu plus au contact des ses doigts sur ta peau. maintiens l'regard, t'as envie d'en avoir plus encore. alors a ton tour, tes mains glissent sous sa chemise, découvrant c'contact qui vous étiez inconnu. – j'ai envie d't'embrasser..., qu'tu avoues finalement à demi-mot. -- @Cornelius Koch

Ton sourire s'étire un peu plus à sa réponse, tes doigts passant une nouvelle caresse à sa peau pour signifier que tu as bien compris. Caresses un peu plus présentes bien qu'encore doucement chastes, si ce n'est que tu glisses parfois d'un ou deux centimètres sous son haut. Petite patience qui se développe ou s'éffrite, c'est le temps qui te le dira.

Paumes sur ses hanches pour suivre ses mouvements selon le rythme de la musique, tu la laisses s'appuyer sur toi autant qu'elle le veut, ne cherchant pas non plus à la retenir lorsqu'elle se hisse sur ses orteils. Te penchant légèrement en avant, une étincelle passe dans ton regard à ses nouveaux mots, avouant ses envies. Et pourtant, c'est vers son oreille que tu te diriges. "Et qu'est-ce qui t'arrête?" Apposes-tu comme question au creux de son oreille, frôlant sa joue de ton nez lorsque tu te redresses juste assez pour croiser son regard à nouveau.

• @Addie Pentz

( tw ; ràs)
ce soir, dans cette ambiance qui diffère de celles que vous avez eu l'habitude d'avoir, tu lui envois ton plus beau sourire, l'plus charmeur, l'plus charmant, alors que tu sens ses doigts glisser sur ta peau, décrochant des frissons à chacun d'leur passage.
mots glissés à son oreille, l'aveu, et sa réponses ne tarde pas. visage qui se frôlent. tu sais pas trop si c'est la drogue prise qui fait cet effet, ou juste lui, lui, sans aucun doute finalement. parce qu'sans drogue, t'aurais autant eu envie d'ça. disons qu't'es juste un peu plus à ton aise. malice plein l'visage, dans les mirettes, dans l'sourire, dans les mains qui glissent un peu plus contre lui. – j'voulais pas t'offusquer..., qu'tu lâches, les pupilles plantées dans les siennes alors que tu t'approches dangereusement des ses lèvres, main droite ayant trouvé sa nuque. jusqu'à que les pulpeuses s'écrase sur les siennes. rien à faire de ce qu'il s'passe autour. -- @Cornelius Koch

Lumières passant de ça de là, tu vois assez que ta question a fait son petit effet. Par son expression qui change, par ses mains qui glissent un peu plus sur ta peau. Elle t'offre un éclaircissement sur son mode de pensée, mais ton expression lui indique déjà qu'elle n'a pas à s'en faire, y'a pas de chance que tu sois offusqué qu'elle tente le coup. Et, prouvant le tout, tu n'opposes pas de résistance lorsqu'elle réduit l'équart entre vous, te penchant même un peu plus pour lui faciliter la tâche, tes mains se resserrant un peu plus à sa taille pour la soutenir. Et tu réponds lorsque ses lèvres touchent les tiennes, goûtant un peu plus, savourant jusqu'à la sentir s'éloigner, abdiquant pour la laisser respirer, bien que tu glisses jusqu'à son oreille à nouveau. "Tu vois qu'il y avait rien à craindre… je mords pas." Plaisantes-tu doucement, posant tes lèvres sur sa jugulaire comme une nouvelle taquinerie, une nouvelle tentation, avant de te redresser.

• @Addie Pentz