(amona) fill the void.

(tw ; mention drogue.)

Cheveux ébènes tirés en arrière. Tenue plus chic qu’à ton habitude, porte une touche de désinvolture de par la chemise blanche immaculée, au col ouvert, laisse entrevoir un peu de peau. Coupures et contusions encore visibles sur ton visage malgré le temps écoulé, contrastent avec ton costume noir impeccable. Phalanges nouées à ceux de Lena, tes pas vous guident sur le pont du yacht. Main relâche la sienne, saisit deux flûtes de champagne sur le plateau du serveur avant d’en tendre une à l’italienne. Musique diffusée depuis l'intérieur du yacht, se mêle au bruit des vagues. Sur le pont, il ne s’agit que de vous deux, loin de l’agitation chaotique de cette soirée privée. —   Tu vois ... J'peux être romantique ...Mais m'demande pas de rejouer le titanic, j'pourrais crever à tout moment. Ambres brillantes d'espièglerie. Torse brûle contre son dos, souffle chaud se perd dans le creux de son cou,  index effleure délicatement la ligne ardente de son décolleté, remonte avec une lenteur sensuelle le long de sa peau jusqu'à la courbe  de son cou.  —   Je veux un rail c'soir, ici, avec toi. Juste un. Insiste parce que dans tes souvenirs, elle s'tenait loin d'ce poison.

w/ @Lena Castiglia
30 août.

full black. émane la noirceur, ténèbres qui se nouent. se retrouvent. les nôtres, en règne majestueux. luxure déployée sous les azurs cernés de mascara. découvre merveilles, yacht encore amarré à son port. phalanges entrelacés pour n’plus se défaire. besoin de toucher, la peau addictive. parfum qui frôle narines ensorcelées. ton odeur en dépendance. me retourne, sourire et les doigts se saisissent de la coupe. - ah ouais ? dommage .. me rapproche encore. les yeux qui se lèvent, quittent tes lèvres pour tes billes charbonneuses. visage garde encore les séquelles du soir maudit. me rappelle encore, la peur qui noue l’estomac en acide brûlant. lève la main, bouts des doigts qui effleurent les blessures. enveloppe la joue de ma paume. - jack.. ça t’irait bien pourtant. main glisse encore. nuque bloquée. d’un geste sec qui te ramène contre moi. - t’es beau. encore plus.. tout est beau, putain. t’es malade.. d’avoir payé tout ça. poitrine contre torse. danse sans bouger. sur le tempo des myocardes enragés. relâche. laisse ton index se promener. frissonne, le sourire mauvais sur les lèvres. avale une gorgée sans lâcher tes yeux. bulles en explosion. détonne la demande. - vraiment ? fronce les sourcils. souligne l’enième défaite, desintox partie en fumée. - j’ai d’quoi nous faire plaisir dans ma pochette. murmure à la lune. au-d’ssus d’tes lèvres chaudes.

(tw ; mention drogue, relation toxique.)

Les Ambres se fixent sur elle, intenses, brûlantes, dévorent les courbes de sa silhouette mise en valeur par sa robe. Abandonne la noirceur, emporté par la simple présence de son corps. Frisson parcourt l’échine quand ses doigts fins effleurent ta peau meurtrie, caresses apaisent la douleur inébranlable. — Quelle horreur, dans ta bouche, je préfère mon prénom. Corps aimanté au sien par sa main sur ta nuque., Doigts tracent le chemin du vice entre ses seins, là où tu songes déjà te laisser périr.   — Vaut mieux profiter, tant qu’on l’peut encore, non ?   Souffles se mêle au parfum sucrée de la brune, te redonnes une bouffée de vie ,  craignant toujours que ce soit l’ultime. Lueur malsaine s’illumine dans tes billes ténébreuses, carcasse se décolle de sienne pour saisir de nouveau la main de la brune :   — Parfait, on se casse d’ici alors. Quitte la vue du port pour l’attirer dans les profondeurs du navire. Pas descendent le couloir feutré jusqu’à votre cabine privée.  

w/ @Lena Castiglia
30 août.

beauté brutale. agresse les rétines qui t’impriment encore et encore. s’lasse pas, de ronger ton visage. tes yeux ténébreux. à m’foutre en l’air dans tes vagues meurtrières. penche la tête sur l’côté, sourire mesquin quand j’te laisse occuper ma peau. ligne du décolleté, caresses habiles. peau réagit au contact. électrique. broie les viscères dans le bas ventre. empire de sentiments qui bouillonnent. pour toi. qu’pour toi. - tu préfères beaucoup d’autres trucs dans ma bouche.. glisse des lippes sous entendus sales. vole semblant de baiser de mes crocs. pince la fine peau, tiraille la blessure à peine sèche. entraînée dans l’fond du yacht, découvre cabine encore intact. finira en miettes après nous. comme tout.

Amore Morelli a écrit:

(tw ; mention drogue.)




w/ @Lena Castiglia
30 août.