to the sweet lying premises (falledd)

@Redd Aspinosa/tw ; ras for the moment

Pourquoi ? Pourquoi cette carapace n'est pas assez solide face à lui ? À lui qui me fait perdre la tête au point de faire voler en éclats ma petite vie tranquille... Cette forteresse que personne d'autre à part Roméo n'avait réussi à démolir. La reconstruire n'a pas été chose facile et pourtant, me revoilà à ce point de départ, où tout ne tient qu'à un fil. Et puis il y a ma lâcheté, regrettée, amèrement, d'emprunter de nouveau cette voie. — Absolument rien... Mes paupières cillent un peu, je me sens encore plus étrange à ce que je ressens. Je ne sais encore moins faire le tri, rien identifier. Surtout lorsque ses canines se plantent dans la peau de mon cou. Les yeux qui se ferment, doigts qui glissent dans sa chevelure pour agripper les mèches brunes. — Plus fort... Un léger sourire flotte sur l'expression de mon visage. Alchimie explosive. Pour ça que je n'arrive pas à décrocher. Recule son ovale, les iris aux éclats verts s'attardent sur son visage, puis ses lèvres, l'envie de les posséder. — Pourquoi t'es si beau p'tain... Souffle contre ses lèvres, caresse sa pulpeuse sans pour autant l'embrasser. Fait durer le supplice.

@Fallon Hardley -- canines mordent la peau. goutte une nouvelle fois l'excellence du derme. l'amer de son parfum sur ta langue, rend presque le goût meilleur. savoure sur les papilles. laisses monter la tension réchauffe l'âme. les jeux dangereux sont lancés. hors barème cette fois. où personne ne maîtrise quoi que ce soit. à l'aveugle, les pas se succèdent. les billes se croisent et les lippes s'étirent sous son doigts chatouilleur. laisse jetée plus loin, bras glissent sous ses cuisses pour soulever le corps. contre toi, jambes t'entourent. pas trouvent la chambre à peine plus loin. porte refermée derrière toi, enferme la bulle, repousse le nuisibles poilus, prêts à faire sombrer l'instant pour caresser le bitume de leurs coussinets. son dos s'écrase contre la porte une fois close. retenue contre toi. doigts s'enfoncent dans la peau des cuisses. visage retrouve son cou et les canines mordent plus forts.

@Redd Aspinosa/tw ; gestes explicites

Carapace qui tombe tandis que les aveux témoignent une sincérité qui me dépasse. T'avais parié qu'il fuirait Redd, qu'il ne se montrerait pas aussi, vulnérable ? Quelque laps de secondes ou son regard était beaucoup moins mystérieux. — On doit... y aller ? Mots qui ne terminent pas la phrase. Les plans changés. Les doigts glissés sous mes cuisses, soulèvent mon corps tandis que le feu danse dans mes yeux, allonge sa course sur son visage, sacré. Là où le désir me possède. Mémoire qui revient encore danser mes pensées, ce visage me hante jusqu'au sommeil, surtout mon imagination à une heure tardive lorsqu'il ne reste que la passion. Porte qui se referme dans cette bulle, la nôtre. Loin de la vision apocalyptique que je m'étais imaginée de cette journée ensemble. Cette vision est beaucoup plus apaisante et plaisante. Le cou s'étend tandis que mes doigts flottent dans mes cheveux pour les glisser de l'autre côté histoire qu'il puisse avoir pleinement accès à mon derme. Marque posé sur ma peau, douleur accentuée, mais remplacée aussitôt par l'excitation. Soupire d'aise. Respiration haletante. Canines plantés, morsure ravageante m'oblige à repousser son ovale, la plaquer contre la porte. Pièce plongée aussitôt dans le silence, ma serpentine glisse contre sa lèvre inférieure. Goûte. Humidifie. Et enfin laisse place aussi à mes canines, le droit de croquer sa pulpe. Tirer sa chair tendre.

@Fallon Hardley -- les cops s'attirent. fusion imparfaite. les lèvres s'agrippent aux dermes. canines mordent la chair. excitation viscérale. vous devenez animaux. gronde les envies primaires dans les entrailles. sourire sadique, trace les lippes. un instant visage s'arrête. toise son regard. changement de plans alors, ça sera toi ma chienne. délicat. élégant. phalanges s'enfoncent dans les muscles des cuisses. à y laisser des marques. à faire mal. qu'elle ressente la douleur à la hauteur de l'excitation pour elle. intense. tu ricanes, cette fois. l'insolent. t'aboies si j'te demande ? que tu craches d'amusement, entre les souffles d'excitation.

@Redd Aspinosa/tw ; gestes explicites

Plus rien ne m’étonne quand il commence à me toucher Redd, je ne contrôle plus mon corps, le plaisir m’envahit et les yeux fermés, j’apprécie ce plaisir en attendant de pouvoir succomber. La morsure prend fin et mes lèvres s'apprêtent à l'embrasser jusqu'à ce que le silence s'installe malgré moi. Jusqu'à ce que cette remarque vienne heurter mon ego. Moi ? Sa chienne ? Et puis quoi encore ? Un nouveau jeu ? Sauf que je le connais Redd, il ne le pense pas moins. Grimace déformant mes traits, je ressens la douleur de ses doigts ancrés dans mes cuisses, pourtant, je suis encore excitée. Pourquoi ? — Non. Même pour un jeu, je ne me rabaisserais pas à ce point. Une main s'élance pour saisir sa gorge, plaque son ovale brutalement contre la porte et resserre l'étreinte un peu plus fort. Je bloque le passage de l'oxygène à peine. Mes ongles s'enfoncent dans la chair de son cou, assez fort pour qu'il ressente la douleur lui aussi. — Ne t'avise pas. Pas même pour un jeu. Le regard sombre plane sur son ombre. Qu'il ne me fasse pas regretter d'être venue.

@Fallon Hardley -- pique dans le vif. l'envie perpétuelle de jouer, avec elle. joueuse qui sait maîtriser les mêmes lancés de dés que t'aimes tant jouer. tu ricanes à ses mots. le corps en pantin, tu te laisses faire, aucune résistance. le souffle couper un instant ne perturbe pas cette tête indélébile. sourire de con. celui qui agace. délivrance retrouvée quand tes mains poussent son corps. paumes heurtent son torse, suffisamment rapide à la prendre de surprise. un mètre qui vous sépare. co2 retrouve sa place. t'aimes pas ça, hein. perdre le contrôle. d'être inférieure. tu te délectes d'avoir trouvé le point faible.

@Redd Aspinosa/tw ; gestes explicites

Malgré son souffle court, il garde toujours ce sourire de con scotché au visage. Irritation dans les veines, le sang qui bouillonne à la fois d'exaspération, mais aussi d'excitation. J'ai presqu'envie de lui faire ravaler ce sourire. Il trouve la faille de mon emprise et saisit l'occasion pour me repousser. Le corps qui atterrit au sol, recule d'un mètre. Le bruit de mes pieds nus résonne dans la pièce jusqu'à ce que je stoppe mes pas. Apparemment, il vient de découvrir une autre faille et il s'en délecte par le regard qu'il me jette. — Et ? Qu'est-ce que ça peut bien t'faire ? Recule le pas à nouveau, s'éloigne de lui, vers le lit. La masse dans mes entrailles grossit, menace dans les iris de l'étouffer tel le plus vicieux des boas.

@Fallon Hardley -- les secrets tombent. la serveur est différente. chasse ses réactions ses gestes. tentez de capter le moindre mouvement qui signe la trahison, disgrâce, qui te laisse en apprendre plus sur elle. bien-sûr qu'elle a peur de perdre le contrôle. aucuns secrets sur mots mos échangés. la peur qui gronde dans vos pensées. mais cette fois tu le découvre, ne pas être inferieure. grande idée de ce à quoi ça peut ressembler, redd. t-shirt se retire de ton torse, les ébènes sournoises, dansent le long de sa silhouette. Pas se rapprochent, prédateur. ça change tout. de toi. de vous. d'elle. t'aimes en découvrir, creuser. dans les abymes. t-shirt enroulé sur lui même, en rondins. fin et long. tu me fais confiance. pouce parcours son visage, grimpe sur ses lèvres. caresse à la commissure. pas une question, une affirmation. t-shirt enroulé, autour de sa tête, pour dissimuler ses yeux. noué derrière son crâne. bandeau improvisé.

@Redd Aspinosa/tw ; gestes explicites

Un sourcil haussé, surprise, j'entends ses mots, mais je ne les comprends pas. Ils obligent à la réflexion. Parce que je suis comme ça, parce que je ne fais que suivre mon instinct, un peu comme un animal. Et là, il me dit que le garçon à une idée derrière la tête. — Je... Ai-je vraiment le choix-là ? Lui faire confiance ? Peut-être pas au point de m'abandonner complètement et pas au point de ne pas laisser quelques doutes s'immiscer. Redd, est beaucoup trop énigmatique pour lui vouer une totale confiance. Mais je laisse faire. Ferme les paupières pour accueillir son tee-shirt. Le bandeau noué sur ma tête, me prive de la vue. Il ne me reste plus que le toucher, l'ouïe et l'odorat pour me défendre ou au contraire pour ressentir. Lève l'ovale, les poings serrés, difficile de faire sans les yeux. Mais je ne bouge pas d'un iota et me contente de rendre un léger sourire. Pointe de concentration qui active le reste de mes sens encore actifs.

@Fallon Hardley -- tissus du t-shirt se noue derrière sa tête. tentes d'épargner ses cheveux dans la boucle infernale. et tu prends ses poignets, posent les mains sur ton torse, dénudé. peaux qui se touchent, s'appellent. arrêtes de réfléchir. de tenter de résister, à toi, à vous. chimie toxique, tisse la symbiose. phalanges, attrapent son haut, passe au-dessus de la tête, un instant. lèvres capturent les siennes quand le tissu trouve le sol. ton nez qui se heurte à son bandeau quand les serpentines dansent ensemble.