Les Échos des Étoiles Scintillantes w/jules

marche dans l'ombre. nuit tombée et toujours le même problème qui se répète. sommeil qui ne vient pas, tu ressens pourtant l'épuisement. âme qui se déchaine. s'occupe la nuit alors que tout le monde dort. tu décides ce soir de venir le voir lui. lumière qui éclaircit ton âme. pur, tellement pur. tu devrais le tenir loin de toi mais t'essayes tout ollie pour réanimer ce sourire qui autrefois était joueur, prenant malheureusement le risque de l'ébrécher, lui. tu marches, tu prends ce risque parce que tu ressens plus cette peur, celle d'être la proie de quelqu'un d'autre. tu marches jusqu'à l'hôpital en tenue de sport. à l'aise, tu files à la pizzeria proche de l'hôpital et tu ressorts avec deux pizza, tu prends la direction de l'hôpital, demande ton chemin avant d'apercevoir la salle de repos, écriteaux claires et lisibles. fais faux bon à la personne qui t'emmenait tout droit dans cette salle d'attente. téléphone que tu saisis, t'envoies un message à jules pour le prévenir de ton arrivé. pizza que tu poses sur la petite table de chevet. tu retires ton gilet et t'assois sur le lit. silence pesant, qui réanime ce trou béant dans ta poitrine. les minutes défiles et tu décides t'allonger. ferme les yeux pour essayer de t'endormir et miracle... tu t'endors.    

Ce soir, tu es de garde et Ollie t'a proposé de passer. T'as l'habitude de ramener du monde, il faut le reconnaître. Personne ne s'étonne de voir apparaitre des visages inconnus au beau milieu de la nuit quand tu es dans les parages. Parfois, à l'accueil, les dames lèvent les yeux au ciel, exaspérées par ton comportement mais, t'es doué dans ton métier, t'es poli et souriant alors, on finit toujours par te pardonner tes écarts. Tout le monde t'apprécie et tu aimes le fait de pouvoir faire les choses à ta façon. Tu aurais normalement du être disponible lorsque Ollie est arrivée sur les lieux mais, on t'a appelé aux urgences pour des points de sutures par l'interne présente ne gérait pas la situation. Quelques minutes plus tard, alors que tu jettes un oeil à ton portable, tu te rends compte que la jolie brune est déjà sur place. Tu grimaces avant de presser le pas vers la chambre de garde, passant par ton service pour annoncer que tu es dispo sur ton bip de garde en cas de besoin urgent. Tu ouvres la porte un peu brusquement avant de te rendre compte qu'elle est endormie. Tu calmes donc tes geste, refermes doucement derrière toi et remontes le drap sur elle avant de t'asseoir sur la chaise au bout du lit, portable en mains. Tu ne sais pas pourquoi t'as décidé de prendre soin d'elle. Surement parce que son histoire te touche. @Ollie Browns

corps qui lutte, brèche qui ne se referme pas. la fatigue se lit sur ton visage, tu le masques avec du maquillage, des faux semblant et des mensonges. rassure les personnes qui sont autour de toi pour n'alerter personne sur ton état déplorable. parce que ollie, tu ne vas pas bien. voix qui font écho dans ta tête. tu n'écoutes plus les mises en garde, tu les balayes. allongé sur le lit, tu t'es laissée allez. les paupières qui se sont fermé, le temps de quelques minutes. ces minutes qui te renvoie à cette journée. celle au bord de plage, coeur qui se sert de nouveau. tu aspires bruyamment, haut du corps qui se relève. ton regard s'arrête sur sa silhouette assis sur cette chaise prêt de toi. tu prends le temps d'observer pour comprendre ou tu te trouvais. " désolé... jme suis assoupie. " le regard qui se relève pour l'observer. " tu peux t'asseoir sur le lit, tsais. on a prit un bain ensemble " t'es plus à ça prêt. couverture que tu apportes sur tes pieds. " j'espère que tu as faim ? "  

Juron qui se perd quand tu aperçois le message d'Ollie alors que tu étais pris aux urgences. Tu as mis tant de temps qu'elle s'est assoupie dans la chambre de garde. Heureusement qu'elle ne s'est pas trompée de lieu. Elle a trouvé le chemin seule, sans ton aide du moins et c'est tant mieux. Tu t'en serais d'autant plus voulu si elle aurait été amenée à poireauter dans le couloir ou avec tes collègues. Drap sur son petit corps endormi, tu esquives un sourire en l'observant un instant, apaisée. Elle semble vraiment en avoir besoin alors, tu la laisses. Pianotant silencieusement sur ton portable jusqu'à ce que tu la sentes remuée. Elle finit par se réveiller et tu te redresses sur ta chaise. T'inquiètes pas. Tu semblais en avoir besoin, j'ai pas voulu te réveiller. Tu rigoles à sa remarque, acquiesçant ses paroles. T'as pas voulu la déranger pour autant, risquer de la réveiller alors qu'elle semblait si paisible. J'ai trop faim, j'ai rien mangé depuis... des heures. T'as un peu perdu le fil. Tu poses ton portable et ton bippeur sur la tablette un peu plus long avant de reprendre : J'ai eu un petit contre temps aux urgences. J'ai pas vu ton message tout de suite. T'as passé une bonne journée ? Tu lui indiques les pizzas pour pouvoir les faire chauffer un peu. Tout ce qui faut dans cette chambre ! @Ollie Browns

douceur qui te surprends toujours. tu l'observes alors que ta respiration te manque. tu te redresses sur le lit, dos qui se pose contre le mur de la salle de repos. cherche à reprendre tes esprits. " identique à un zombi hein ? " tu l'observes et tu peux voir aussi le poids de sa journée sur les épaules. les métiers passionnant impliquaient toujours plus d'investissement. s'était ce que tu ressentais quand tu te plonges dans tes enquêtes. tu pointes les pizzas, celle que t'as rapporter. " j'espère que j'ai bien choisi. " toi t'as pas spécialement faim. brouillé, sentir est devenue compliqué. tu décides finalement de t'avancer sur le lit pour te redresser. tu t'étires, les muscles endoloris. " t'en fait pas, t'excuses pas. " les épaules qui se soulèvent. prends les pizzas que tu lui tends. " ma journée s'est bien passé. " rien de très passionnant. tête plongé dans tes bouquins pour compenser cette envie morbide de rechercher l'homme qui joue avec ton calvaire. haine profonde, accentuer, ses dernières heures. et toi ? à part cette urgence ? " "pizza qu'il mets dans le micro-onde. tu le regardes. les bras croisé contre toi, tu poses ton dos contre le mur à côté du micro-onde. " t'as l'air épuisé aussi..." terrible constat.  

Tu souris alors qu'elle s'excuse de s'être endormie avant que tu n'arrives mais, ce n'est pas si grave. T'es au contraire, soulagé de voir qu'elle peut potentiellement réussir à se reposer dans certaines situations. Tu fais un zombie très mignon dans ce cas. Loin de faire peur, tu la trouves très jolie aujourd'hui encore. Quoiqu'il en soit, tu t'empresses d'aller chercher les pizzas qu'elle pointe du doigt pour pouvoir les faire réchauffer très rapidement parce que oui, tu as super faim. T'as pas pris le temps de manger depuis des heures, enchainant les tâches plus ou moins importantes au sein de l'hôpital. Je suis pas difficile. J'aime tout. Surtout quand tu as faim. Pendant que ça chauffe, tu la questionnes sur sa journée. Tu essaies de ne pas trop rentrer dans les détails parce que tu ne sais pas ce qu'elle a envie de te savoir et ce qu'elle préfère que tu ignores. C'était qu'une petite urgence. J'ai du passer aux urgences justement pour des points de suture. J'ai essayé de dormir un peu cette après-midi du coup... Mais comme elle le signale, t'as l'air épuisé. Ça te fait sourire alors que les pizzas sont enfin prêtes. Tu reposes le tout sur la table avant de rajouter : Tu insinues donc que j'ai une sale gueule mh ? J'ai pas beaucoup dormi mais, ça va en vrai je tiens le coup. Tu t'installes et l'invites à se joindre à toi, lui offrant une première part. T'as besoin de la voir manger, de t'assurer que de ce côté là, ça va aussi. T'as réussi à dormir un petit peu quand même ? @Ollie Browns

sourire qui se dessine sur tes lèvres lorsqu'il prononce son compliment. gentillesse qui vient flâner à tes côtés, adoucir la vengeresse qui est en toi. " tu m'as observé ? " regard qui s'attarde. " dormir ? " tu te relèves, étires tes muscles ceux qui se sont atrophié par la nonchalance de ses derniers minutes. amène les pizzas dans le micro-onde pour les faire chauffer. tu devines facilement qu'il n'avait pas mangé depuis plusieurs heures. empressement, qui traduit les spasmes d'un estomac vide. explique sa journée. tu l'écoutes silencieusement. sourire délicat qui se dessine sur ces lèvres lorsque tu affirmes qu'il a l'air fatigué. il dépose les pizzas chaudes sur la table, tu tires une chaises et t'asseois. " même avec une sale gueule, tu restes canon. si c'est ta question. " plisse les yeux. joue a contourner les règles. celle de normalement pas l'approcher. trop bon, trop parfait pour quelqu'un comme toi ollie. toi t'es imparfaite. t'offres une première part de pizza. le première truc que tu manges depuis ce matin. oublie du quotidien. routine qui prends chère. l'esprit se décompose dans des merdes qu'il multiplie comme si, tu ne vivais pas déjà difficilement. " un peu, mais c'est pas ce que je sais faire le mieux en ce moment. " épaules qui s'élève. premier croc. apprécie. doigt qui vient essuyer tes lèvres pour en sucer le bout. " tu fais venir beaucoup de personne ici ? étrangère à l'hôpital ? " bouche pleine. tu te lèves pour prendre deux verres. un que tu déposes devant lui puis tu les remplies. bouteille que tu viens de remplir, t'avais oublier de prendre la boisson.   

Elle est mignonne Ollie et elle doit bien le savoir, tu lui rappelles juste que c'est le cas pour rebooster sa confiance en elle si jamais elle se met subitement à douter de son charme, Elle te demande si t'as pris le temps de l'observer dormir et tu plisses le nez, hésitant une demi seconde. J'avais commencé et, j'ai fini par me raisonner en me rappelant que c'est un comportement très étrange. Tu ne peux t'empêcher de rire avant de faire chauffer les pizzas qu'elle a gentiment ramener pour nourrir ton ventre affamé. Tu n'avais pas pensé à avoir faim avant de sentir cette bonne odeur. C'est gentil. Compliment que tu acceptes volonté tout en t'installant à ses côtés. Tu prends une première part de pizza avant de mordre un croc dedans. Tu la questionnes sur son état de santé actuelle, savoir comment elle gère les choses sans pour autant être intrusif pour autant. Qu'est-ce que tu sais faire de mieux en ce moment ? Tu espères que ce n'est pas quelque chose de trop triste sinon, ça te foutrait mal. Tu n'aimes pas tellement faire pleurer les filles. D'ailleurs en parlant de filles, elle te demande si tu fais venir beaucoup d'étrangers... ères t'en as bien conscient ! Elle se lève pour récupérer des verres. Dans de rares occasions. Ça faisait longtemps que j'avais pas fait venir qui que ce soit. Autant la jouer franc jeu. Tu te lèves pour récupérer une bouteille de coca dans le mini frigo. Je peux pas boire en service mais, j'ai pensé au coca si ça te dit ! C'est pas ce qu'il y a de meilleur pour trinquer mais bon ! @Ollie Browns

écoute les paroles, celles qui glorifient ton égaux. observe la façon qu'il a de se comporter avec toi. adroit, il ne te froissera pas. tu le sais déjà ollie. tu sais pas bien si c'est ce qu'il te faut mais son attention, t'apportes cette once d'apaisement. tu m'as regardé. réalité de son action, ton sourire se dessine sur tes lèvres. taquine le médecin. assis autour de cette table, vous commencez à manger. cerne encore gonflé, tu pourrais te rendormir ollie mais c'est toi qui refuse. refuse de voir ces images qui tournent boucle, qui te ramène dans ce passé que t'aimerais parfois oublier pour mieux vivre maintenant. jambe que tu replies sur la chaise, tu l'entoures de tes bras. qu'est-ce que tu sais faire de mieux ollie en ce moment ? vérité qui brûle tes lippes. refuse de le mettre dans la confidence, parce que tu t'en voudrais si tu l'enfonçais avec toi dans les limbes. " baisé ? " décide finalement de dire une demi vérité. épaule qui se hausse avant de finalement rigoler. rire naturel, celui qui se libère tout seul. questions que tu poses, parce que tu questionnes encore. évidence qui se souligne, il reste des parts de mystère. " pourquoi ? parce que tu prends pas le temps ou pas que t'es trop occupé ? " apporte la pizza à tes lèvres pour en mordre un morceau. il se lève pour venir prendre une bouteille de coca. " allez ça me va. " fait glisser ton verre en sa direction. l'observe un peu plus. blouse blanche, s'était la première fois que tu le voyais en tenue de travail. " tu me prêterais ta blouse ? pour voir si je ferai une bonne médecin "  

Tu hausses les épaules, tu t'avoues vaincu. Bien sûr que tu l'as regardé. Tu restes qu'un homme après tout. C'est naturel de regarder une jolie fille. Tu n'es pas tombé dans l'obsession pour autant. T'as vite réussi à reprendre le contrôle et à te concentrer sur une autre tâche. Pas de quoi en faire un drame, tu n'en es pas au stade psychopathe. Tout en faisant chauffer la pizza, tu lui demandes des nouvelles avec des pincettes parce que tu ne sais pas comment aborder les choses. Tu n'as pas envie qu'elle te prenne pour un mec relou même si, tu dois reconnaître que tu t'en fais pour elle. Tu lui demandes ce qu'elle sait faire en ce moment et restes scotché de sa réponse parce que tu ne t'attendais pas à cela. Ok, pourquoi pas après tout, chacun sa façon d'extérioriser, du moment que ça lui fait du bien et qu'elle en se tourne pas vers des connards. C'est une façon comme une autre d'évacuer le stress. Tu ramènes la pizza et c'est à son tour de te questionner sur tes habitudes. Elle te demande dans un premier temps si t'as l'habitude de ramener des personnes extérieures à l'hôpital et pourquoi ce n'est pas le cas ces derniers temps. On a eu pas mal de taff avec la rentrée. On peut dire que j'étais occupé et que j'ai pas vraiment pris le temps. Azur t'a saoulé, Poppy t'a saoulé, t'as pas vraiment eu la tête à ramener du monde à l'hôpital pour t'attirer des problèmes ici aussi. Tu t'es peut-être fait une interne et une infirmière depuis le début septembre. Tu commences à te raisonner. Tu te redresses pour aller chercher du coca, lui sers un verre et bois le tien dans la foulée. Tu rigoles quand elle te demande ta blouse. Tu termines ton morceau de pizza avant de te lever à nouveau pour retirer ta blouse, t-shirt bleu marine classique en dessous de celle-ci. Voilà mademoiselle, faites vous plaisir ! Tu imagines que ça va lui aller. Tout semble lui allait. Faut être bête pour dire le contraire ! @Ollie Browns