when the lights go out. – libre

when the lights go out with #rplibre
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La journée n'a pas été de tout repos surtout lorsqu'il s'agit de restaurer une statue datant de la période de la Renaissance. Époque qui t'a toujours fascinée tant par sa perception de l'art que par ses prises de positions et donc d'évolution. Tu étais l'une des dernières à quitter le site mais tu pouvais te le permettre car aujourd'hui, ta gamine était chez ton frère. Tu avais donc un peu de temps pour toi et c'est tout naturellement que tu as décidé d'aller faire un peu de sport. Le complexe sportif sur Along Charles River, tu le fréquentes depuis toujours et encore plus après la naissance de ta fille. Cela fait plus d'une heure que tu y es d'ailleurs, une trentaine de minutes que tu cours sur le tapis de course alors que la salle de vide doucement, mais certainement. La musique qui joue dans ton casque est dynamique, playlist créée en vue d'avoir une bonne cadence mais qui motive surtout. Dix minutes plus tard, tu es la salle personne restante dans la salle, du moins à l'étage. Cela ne te dérange pas, au contraire c'est reposant quand bien même la musique embrume tes oreilles. Alors que tu commences à ralentir le pas de course, le souffle court, les lumières s'éteignent d'un seul coup et la machine également. Tu songes rapidement à une coupure de courant, une passe concernant le secteur peut être ? Tu t'arrêtes, respirant à plein poumons avant de te retourner vers les fenêtres et observer les autres bâtiments. Mh, non apparemment cela ne semble concerné que l'immeuble car les lumières des autres buildings illuminent le quartier. Tu enlèves ton casque qui repose désormais autour de ton cou, saisit ton téléphone et allume la lampe torche. Fort pratique dans ce cas là ! « Il y a encore quelqu'un ? ». Demandes-tu à tout hasard d'une voix limpide mais prudente à la fois.

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Tw : rien a signaler

when the lights go out/@Sayer Andrade

L'hôpital peu être source de stress ou autre, si des séances de sport ne sont pas dans l'emploi du temps. Pour Rui il a fait son emploi du temps son fils chez la nounou ou bien avec sa petite amie en qui il a confiance quand elle ne travaille pas ou qu'elle ne sort pas comme c'est son droit, en même temps Rui 33 ans et sa petite amie jeune étudiante encore libre pour faire la fête comme Rui faisait avant l'arrivé de Wei Fei , un prénom peut-être trop typique Chinois, mais en même temps c'est son fils et son ex-copine les a abandonnés lorsque Wei Fei avait 1 mois, ce qui n'a pas plu à Rui

Mais aujourd'hui Wei Fei se trouve chez la nounou étant donné que la petite amie de Rui travaille, un travail que Rui admire pour la force des serveurs face aux clients qui peuvent être stupide ou bourrins. Mais si sa petite amie, parlerai elle dirait sûrement qu'elle voudrait des clients comme Rui.
Car il faut le dire, Rui est la politesse avec protection. Enfin il ne se laisse pas marcher sur les pieds, il a tout de même un caractère quitte à mettre les poings dans la tête si les mots ne suffisent pas et autant ne pas échanger les poings avec Rui, boxeur cacher.

C'est donc en bas, il vient a se défouler pour expulser ses émotions pour ne pas que Wei Fei et sa petite amie prennent tout. Ses amours, sont ses faiblesses, il l'avoue que ce sont ses faiblesses. Torse nu dans la salle abordant son tatouage, un tatouage indiquant que la triade de son oncle il y est entré en secret. Bien que son paternel comme il le nomme lui a déconseiller. Il vient à se retrouver dans le noir. Il regarde autour de lui, se demandent si c'est les plombs qui ont sauter.
Puis une voix retenti en haut et cette voix il la reconnaît parfaitement.

Prenant les escaliers pour les grimper assez vite, il vient jusqu'à la lumière de @Sayer Andrade puis inquiet pour elle il vient à prendre la casquette du médecin.

Say tout va bien? Peut-être les plombs qui ont sauter.

Tel un grand-frère comme il ferait pour sa soeur, il vient masser son front inquiet tout de même.

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when the lights go out with @Rui Ma
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Le smartphone levé à hauteur de bras, tu observes tant bien que mal les parties éclairées. Cela n'est pas une panne étant donné que les autres buildings alentours sont tous allumées. Sans doute cela est-ce dû aux plombs qui ont sautés ? Tu fronces les sourcils à cette idée tout en inspectant autour de toi, demandant s'il y a bien quelqu'un . Tu aperçois une silhouette assez massive pour être masculine se dessine malgré le peu de lumière et tu sursautes d'un coup en te retournant car tu as l'impression d'avoir entendu quelque chose. Tu te retournes à nouveau, sursautes en entendant une voix puis ton surnom. « Rui ?! ». La main sur la cœur tu soupires de soulagement lorsque tu reconnais enfin la voix de ton ami. « Ouais … ouais ça va, j'ai eu peur en te voyant dans le noir d'un coup ... ». Lui dis-tu tout en rigolant de franchise parce que c'est tout simplement la vérité. Tu étais persuadé être la dernière dans le complexe sportif mais tu avais omis le fait qu'il y avait plusieurs étages. « C'est possible oui, les autres bâtiments sont alimentés en électricité en tout cas. ». lui dis-tu tout en désignant les autres grands immeubles visibles par les grandes fenêtres.

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Tw : rien a signaler

when the lights go out/@Sayer Andrade

Il vient à rire quand elle sursauta, puis quand elle annonça avoir eu peur sur le fait qu'il soit arrivé dans le noir. Il fallait dire que Rui était grand à cause de ses jambes et son buste développer avec le sport qu'il pratiquer pour libérer la pression médicale et chirurgienne. Les opérations qui duraient plus de trois heures étaient assez stressantes, surtout quand il y avait un arrêt cardiaque.

Il vient à prendre la main de Say pendant qu'elle illumine la pièce de façon à ce qu'ils ne se blessent pas. Puis ayant eu beaucoup d'échange avec le gérant et ayant le fait tour, il savait un peu où se trouve le compteur. Mais par chance ce dernier arrive et prend la lampe torche derrière le comptoir et allume la pièce. Puis va vite remettre les plombs. Rui regarde Say étant torse nu, son tatouage devient bien visible. Il se recule et sourit doucement assez gêner de la distance.

Le courant est revenu, je vais voir le gérant pour savoir ce qu'il s'est passer. Tu devrais boire un peu d'eau.

Il vient récupérer son haut pour aller voir le gérant afin de s'assurer que tout aille bien. Regardant en douce Say. Il lui avait fait découvrir l'univers de la musique de chez lui et inversement pour elle. Une chose qu'il aime faire. Puis il avait partager des moments avec la fille de Say. Des moments qu'il a enregistré dans sa mémoire et qu'il s'est dit que s'il n'avait pas eu le courage de quitter cet endroit il n'aurait pas pu avoir cela.

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(Invité)

when the lights go out with @Rui Ma
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Il est plutôt rare qu'il y est des problèmes d’électricité au sein du complexe sportif – comme quoi tout peut arriver. Le rire du jeune médecin apaise la peur que tu as eu sur le moment avant de te rendre compte qu'il s'agissait bien de Rui. D'ailleurs, il te prend la main pour éviter sans doute que tu ne tombes. Tu le connais, il assez prévenant et tu imagines que dans son quotidien c'est une qualité plus que bienvenu. Rui semble savoir où réactiver la source de lumière car en deux temps trois mouvements : l'ensemble du complexe sportif est irradie de lumières. Tu es quelques peu éblouie par la force de la lumière et tes yeux s'adaptent tout de même rapidement. Le tatouage du jeune Ma est alors visible de manière plus précise. Il y a sans doute une histoire derrière ce dessin qui aussi magnifique soit-elle porte en lui une anecdote. Afin de ne pas trop le mettre mal à l'aise tu dévies ton regard vers ton portable dont tu éteins la lampe torche. « Mh, d'accord … merci Rui ». Tu le considères d'un franc sourire avant de retourner vers la machine que tu occupais avant pour prendre ta bouteille qui est toujours au même endroit. Tu bois deux gorgées avant de la reposer sur le banc, regardant le paysage de la ville de Boston. Tu n'as pas le temps de penser trop longtemps car tu entends et reconnais la démarche de Rui. « Alors, c'était bien les plombs qui avaient sautés finalement ? ».

(Invité)

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