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legalize it.

Club Ambar, Santiago
 29.07.23
@Bohème Chatelain
drogues ; agression ; violences physiques.

 ootd ☽  Ce soir, tu fais passer le travail avant l’amusement. Tu n’oublies pas que tu es ici pour le business et tu n’as pas envie de tirer le groupe vers le bas en restant allongée les doigts de pieds en éventail sur un transat toute la journée. Avant de mettre les pieds devant le club Ambar, tu as un peu analysé les lieux, tu t’es renseignée sur la zone, tu as un peu lu les informations en diagonales, cependant tu sais que cette discothèque  est l’une des plus populaires de la ville. Tu as trouvé ton petit coin, non loin de l’entrée de la boîte, dans la pénombre. Le spot est parfait. Tu ne vends plus de drogues dures et tu aurais pu croire que cela te pénaliserait un peu mais le fait que tu arrives facilement à vendre en vantant les effets de la liste de variétés. Le dernier client s’en va,  tu humidifie le bout de ton index avec ta langue et tu comptes tes billets en te demandant si tu ne devrais pas aller ailleurs sauf qu’à ce même moment une voix grave parlant espagnol t’ interpelles.  Tu planques directement les billets dans ton soutif et tu essaies de comprendre ce que ce mec te  veux,, mais tu piges rien. Il parle trop vite et il a l’air super en colère. « Calme toi mec, je comprends rien à ce que tu brailles. » En anglais évidemment, parce que t’es pas douée pour les langues étrangères à la tienne. Tu accompagnes tes paroles de gestes pour lui demander de baisser d’un ton mais en découvrant que tu parles anglais, il s’exprime dans ta langue avec un fort accent espagnol et là tu comprends qu’il n’est pas là pour rigoler et que tu es en train de vendre sur son territoire. T’as pas le temps de dire quoi que ce soit qu’il lève son t-shirt et te montre son flingue. Tu te figes et il te somme de le suivre en te tirant par le bras. « Lâche moi enfoiré ! » Tu te débats, sa poigne est ferme et tu sens ses doigts s'enfoncer dans ta peau. En tirant de toute tes forces, tu réussis à te libérer, tu titubes sur tes talons et tes genoux heurtent le bitume. Ton cœur palpite , t'as pas le temps de te redresser que le dealer t'attrape par ta crinière blonde pour te traîner avec lui :  « Ah, au secours  ! » Tu tentes de le griffer, de planter tes ongles dans son bras mais sans effet, tu as affaire à une véritable brute.
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Le Chili ne m'apporte jusqu'ici qu'une intense satisfaction : quelques clients chopés çà et là au fil de mes élucubrations, infos glanées pour le gang, on ne peut pas dire que mes vacances soient uniquement synonyme de procrastination. Ce soir, je pensais d'ailleurs prendre un verre solo dans un quelconque bar de Santiago et, vêtu d'une chemise ouverte ainsi que d'un short de couleur blanche, je me la jouais décontract' lorsque des cris parviennent à mon oreille. Cette voix... Erika... Ni une ni deux, je m'élance à la vitesse d'un guépard en direction de l'altercation et la vision que j'en ai me donne la haine. Un type plutôt baraqué vient de choper ma partner unique et préférée par les cheveux, ne me laissant qu'un dixième de seconde pour réfléchir. Par chance, cet enfant de putain ne m'a pas encore remarqué, me laissant l'avantage. J'approche à pas de loup cette fois-ci, optant pour une clef de bras dans un premier temps - laissant l'assaillant préoccupé uniquement par la douleur et rien d'autre - tandis que, de mon autre main, je me saisis de la petite lame que je porte toujours sur moi au cas où. Tu t'excuses mon gars où je te refais le portrait façon Picasso période déstructurée... Ma voix est glaciale, maîtrisée. La pointe de ma lame contre sa jugulaire palpitante et l'incapacité de ce parfait inconnu à se débattre m'offre une satisfaction que je ne saurais cacher. Néanmoins, c'est une œillade inquiète que je lance à l'attention de la jeune blonde. Ça va princesse ? Rien de cassé ?
@Erika Siegel
(Invité)