«Préambule »
Et si Dieu pardonne chacun des pêchés des hommes alors je te dis ton âme est libéré de chaque pêché. Et si maman à continuer de croire , si ta photo est resté à son chevet. Et si j'ai porté ton papillon à mon cou et si aujourd'hui je tire la terre sur ta tombe , c'est que les cieux avaient raison ce n'était qu'un égarement. Et si je les entendu dire dans mon coeur les images du passé ne les oublions pas , mais nous nous s'en tardons pas sur leur couleur grise. Et si ton nom reste encore au bout de nos lèvres , et si je t'entend encore dire que tu m'aime. Et si j'ai gardé les histoires que tu me lisais. Et si je pense encore à tes baisers sur mes joues et si je pense encore quand tu as essayé de nous coiffer Franziska & Moi. Et si je me dis que tout ça n'était qu'un vieux cauchemar. C'est que je te pardonne de tout mon amour. Je t'aime Papa Lune encrée dans une nuit profonde , d'une noirceur infinie , l'astre lumineux laissait descendre son éclat sur la neige , le vent glacial frappait les arbres bougeant ainsi leurs branches gelées par les temps polaire de la saison hivernale. On crut entendre des battements d'ailes contre les bourrasque suivit d'un cri strident digne d'une large corneille noir comme l'instant. L'écho sonna un coup , puis ensuite deux , la porte de marbre s'activait et les rideaux se tiraient en signe de mauvaise augure. La petite fille âgée de huit printemps avait sombré dans un large sommeil bien mérité après de long temps passer entre les sapins neigeux. Une chandelle virevoltait sur la table basse siégé proche de sa couche. La flamme ne tenait qu'à un file , mais continuait de danser dans son élan orangé tirant sur le rougeâtre. Un coup et encore un autre. Ses yeux violets tirèrent de ses rêveries. Papillotant de chaque cotée ces prunelles ornées de jolie cils noirs détachait chaque parcelle de la pièce. Rien comme si un simple esprit avait balayé l'endroit pour le plonger par la suite dans un silence éperdu. Mais encore les cognements sonores continuaient de faire rage. Les coups augmentaient en fait au fur des minutes. Un signal? Signe de présence? La fillette n'enfila que des chaussettes et se releva laissant sa nuisette beige tomber sur le carrelage de verre. Ses mèches de blés tant qu'à elles ne firent que ce qu'elles savaient mieux faire , onduler le long de ses hanches encore à l'étape de l'enfance dans de jolies vagues qui se confondaient à son vêtement. Elle tira les rideaux violets pour finalement les remettre à leur premier stade. Le ciel lui avait sombré , il avait prit une teinte de sang plutôt qu'un noir parfaitement uni . Elle se souvenait des odeurs d'un bon thé fumant autours d'une table bois fait à la main. Ses moments de dimanche lorsque sa grand-mère prenait ses mains blanches et lui racontait de jolies leçons de moral et de plus amples informations dans le monde qu'elle vivait. Elle se rappelait de ce matin au lueur du levé du soleil après le champ du coq celui du présage du sang. Cette histoire ou cette réalité , signe de meurtres ou de blessures , quelque chose de frappant pour le village, ça ne dure que le temps de quelques heures un simple avertissement à la course de marathon. La vieille femme lui avait gentiment caressé ses doigts pour rassurer sa petite fille qui en avait fait l'objet de peur. Elle avait alors que six années déjà abattues , maintenant cette fable se présentait sous ses yeux et pourtant son cœur ne s'était pas serré. Aucun tremblement ses dents n'avait pas rencontrées la chaire de ses lèvres. La gamine prit le temps tout de même de faire des pas feutrés pour se rendre à sa porte. Ses jambes s'engagèrent dans les escaliers suivit de quelques craquements. Une odeur.. pas celle du thé ou d'une bonne dinde qui sortait du four, encore moins la fameuse soupe aux légumes, un parfum qui agressait ses narines. Forme agressive ou violente qu'à force elle savait que son estomac finirait par s'emballer en quelques minutes. Le couloir était tamisé par un éclairement provenant de la cuisine. De plus en plus que ses pieds continuaient son chemin son cerveau s'embrouillait. Elle n'aurait put expliquer ce qui venait de pressentir à ce moment, quelque chose qui remontait dans sa gorge. Ses doigts blanchâtres prirent la petite croix dans son cou et ferma ses paupières avant de pénétrer dans la pièce. Ses jambes allaient commencer à fléchir et son instinct lui renvoya la pensée de ne pas reprendre contact avec le temps, laisser ses pupilles muettes à tout image ,tout fut rapide et accablant. Puis une douleur horrible s'entreprit de ses bras de ses jambes pour prendre le contrôle complet de son corps frêle. Sa sœur , étendue sur la table de cuisine immaculée de sang pareil à une brebis sacrifiée pour faire taire la colère et rassasier les esprits sanguinaires. Sa poitrine ne se soulevait plus , inerte , morte , tout simplement ,une simple tâche de sang était déposé sur sa robe grise. On avait frappé juste au bon endroit dans son cœur pour en faire une mort fatale . L'arme gisait entre des doigts légèrement plus grands et robustes tachés du liquide vital. Membre parental nu l'autre porté par son paternel qui fixait le cadavre d'un regard livide. Aucune colère simple tristesse. Ses mains , celles de sa maternel , se tenant debout dans un drap de velours et une robe longue noir , mains jointes décorées de gants blancs de soie. Elle ne parvenait pas à voir son visage , mais à ces secondes que tout frappa pour la première fois.Pour la première fois Maureen versa ses premières larmes de colère.
Ses petits pieds s'agitaient , des murs blancs l'entouraient et le cliquetis du collier de sa mère qui se faisait agiter par la nervosité de celle-ci. Ses petits yeux violets s’élevaient vers la présence de sa maternel. Long cheveux blonds remontés dans un fin chignon de femme d'affaire, joues roses tapotées avec soins d'un fart à joue pour en retirer l'éclat de sa peau blanche complètement luisante , ses yeux ne brillaient pas de bonheur ou d'une lueur de chagrin , mais bien d'espoir. Ses mains se joignaient et ses talons commençaient à faire rage sur le sol à force de les faire claquer sur le carrelage. La petite fille tenait dans ses mains un chocolat chaud.Maureen apporta une tasse chaude à ses lèvres pour en goûter le breuvage chocolaté fumant d'une odeur sucrée. C'était un lundi comme tout les autres. La même pièce , le même établissement, la routine ne changeait pas. Chaque fin d'après midi Veronika passait prendre sa fille à l'école pour ensuite se diriger vers l'hôpital ,même conversation était échangée dans la voiture. Chaque fois la dame assoyait Maureen sur une chaise et lui donnait son chocolat chaud elle lui racontait ainsi par la suite une histoire pour en faire pétiller ces yeux de mille feux. La fillette en riait , la regardait émerveillée et souriait jusqu'au dernier mot. Mainte fois sa mère lui avait répété une certaine vie merveilleuse en France en compagnie de son père et de sa soeur dans une villa . Elle pesait ses mots en disant que chaque jour un repas fumant ou un dessert sortirait du four de ses propres mains , que le soleil refléterait sur son visage de crème et que Lyve aurait la chance de pouvoir jouer à la poupée sur une grande terrasse. Sa progéniture âgée de huit ans , dans les début et vers la fin de 12 ans ,ne comprenait pas toujours l'importance de chaque détail qui accompagnait ses récits et ses rêves , mais aucune fois elle n'avait refusé d'entendre sa voix se prêter à ses espoirs. Seulement Véronika était bloquée par quelque chose qui ne la ferrait sans doute jamais traverser les frontières de l'Allemagne. Le meurtre de sa propre fille du par une maladie, maladie qui attaque le cerveau et te fait perdre les pédales. L'homme qui lui avait passer la bague au doigt portait notamment ce problème , plus précisément atteint de schizophrénie. C'est au file des années , des semaines , des jours qu'elle ne voyait plus parfaitement son regard lorsqu'elle plongeait dans celui-ci. Ses pupilles couraient dans tout les sens , ses mains s'affolaient , ses lèvres tremblaient , il était marqué à jamais. Marque permanente d'une folie irréparable : arrêter le souffle de sa fille en lui poignardant l'organe vital. Le sang avait coulé sur ses doigts il avait sentie sa poitrine s'affaisser sous ses membres , entre les images figées de son visage et bien des minutes déversées , il avait finit par réaliser son acte. Le couteau avait retombé sur le carrelage de la cuisine avant de prendre sa tête entre ses mains et de se balancer les genoux replié sur sa poitrine assis contre le sol. Le cas avait été réglé en peu de temps le faire interner le plus rapidement possible. Véronika avait supplié pour qu'on la laisse visiter son marie qu'elle défendait encore comme n'étant pas l'homme coupable de la mort de sa fille. Elle nie encore et toujours la vérité la plus encrée . La scène avait déroulée sous ses yeux comme une pièce de théâtre. Maureen assise sur son perchoir faisait claquer ses souliers couvert de paillettes dorées ayant une grande envie rare de regarder son père à travers la baie vitrée. Regarder les rides prendre place sur le coin de ses yeux , ses cheveux qui grisonne et ses aires apeurée complètement déviés. Le même homme habituel s'avança vers la mère suivit de son calepin et de son crayon à l'encre. «Madame Ackemann ?» «Oui ?» «Veuillez me suivre svp.»La dame déposa sa bourse sur les genoux de sa fille en lui faisant un signe d'attendre avant de pénétrer dans le bureau. «Ce n'est pas de grand coeur que je vous demande cela Madame , mais nous devons maintenant interdire toute visite pour monsieur Ackermann. Sont cas s'aggrave de plus en plus depuis vos dernières visites. Nous devons l'isoler complètement » La porte était légèrement entrouverte juste assez pour que les yeux curieux de Maureen puisse s'aventurer. Elle en vit les traits de sa mère s'affaisser et réprimer une grande colère envers le médecin si bien que quelques feuilles volèrent au passage et elle fut surprise de se faire tirer vers la sortie en moins de deux secondes. «On ne va pas voir papa aujourd'hui ? »«Non ma chérie. Je t'expliquerai plus tard.»Ses petits yeux inquiets baissèrent vers le sol , mais sa voix continuait de poser des questions. Un cas aggravé selon le médecin, aucune sortie possible.Ce fut la dernière fois où Maureen-Lyve mit les pieds dans un hôpital ou plutôt la dernière fois qu'elle a vu son père.
Maureen regardait la petite pilule blanche glisser entre ses deux doigts. Sa main agrippait doucement le lavabo et laissait guider son regard sur la glace défléchie par les années . À travers les égratignures sur le matériel , son sourire s’éclaircissaient et ses prunelles se remplissaient d'étoiles dansantes comme un enfant. Elle y déposât la drogue sur sa langue la laissant partir par la suite. Glissement contre sa gorge avant de s'infiltrer dans son sang pour en faire jaillir l'extase. Les première secondes sonnèrent sur les aiguilles la porte s’entrouvrait . Ses lèvres se décollaient pour en sortir des soupires rêveurs . L’ouïe semblait bloqué par le frappement de la musique et des corps émoustillés par leur rencontre dans une chaleur endiablé. Ses narines se dégageaient humant l'odeur de l'alcool flottant à travers la fumée de cigarette et l'odeur corporelle des âmes déchues. Ma tendre enfant tu as décidé de faucher une partie de toi ? Il n'est pas trop tard pour reculer avant que les cartes ne soient jouées. Cela semble magnifique , mais c'est pourtant une simple réalité bien habillée. Le pays des merveilles est bien loin , tente , oui tente de tomber dans une cage , une cage parsemée d'or et de comptes épuisés. Une main se referma autours de toi , au delà de ses doigts tu ne pourras t'enfuir , ses lèvres déchireront ta peau dans des effleurement de souffle pour la tenir en haleine. La faire frémir et frissonner sous des caresses hypocrites. Une heure écoulée et voilà l'horloge sonnait sa présence.«Ma mère disait que mon père voyait des choses étranges. Et bien c'est la première fois que je vois un lapin rose ! .»La lumière du placard était tamisée par une ampoule accrochée au plafond et par l'embrasure de la porte. «Tu es marrante.» Les mains de Raffael papillotaient sur les hanches de la jeune adolescente dans le même instant que ses lèvres rencontraient la peau de son cou. « Ça fait toujours cet effet ce truc ? » .Elle gloussa et elle avait les pupilles dilatées au maximum.Ça résonnait dans sa tête alors que la musique frappait contre les murs de la pièce. Le jeune homme lâcha un soupire ne finissant pas ses baisers qui s'étaient approchés dangereusement de sa poitrine. «Est-ce que tu parle toujours autant ?» Elle se mit à rire, la drogue une invention stupide, certes Maureen voulait avoir l'esprit complètement dans les vapes pour pouvoir comprendre ce que vivait un peu son père . Mais quelle comparaison des plus ridicule quand on y pense, encore elle aurait sans doute eu une idée plus brillante de demander à une autre personne. Sa pauvre virginité venait d'être mise en jeux. Par chance toute ces paroles et sa folie naturelle commençait à agacer son ami qui lui n'avait qu'un but. Il essaya encore une fois glissant une main baladeuse sous sa robe , elle se mit à gigoter dans tout les sens en faisant retentir ces éclats de rire de plus belle. « Mais arrête tu me chatouille.» «Ho ça va j'en ai marre !» Il ouvrit la porte suivit de la jeune femme complètement à l'ouest, bouteille de vodka à la main elle lui fit des petit yeux. «Quoi tu n'as plus envie de moi ?»«Oui c'est ça salut !» Une petite mine de gamine triste prit possession de ses traits , mais elle enfila une longue gorgée d'alcool avec un haussement d'épaule. Son corps tomba sur le lit tout prêt en regardant le plafond d'un air rêveur, elle continuait de rire alors qu'elle était seul dans la pièce. Tout ses sens étaient en alerte et complètement plongés dans la pure et simple folie. En à peine quelques secondes une présence dotée d'une longue chevelure cuivrée faire son entrée. «FELICIA» Maureen se jeta au coup de son amie et l'embrassa à pleine bouche. Felicia a repoussa en secouant la tête et en apercevant la bouteille dans ses mains elle lui retira de suite. «Mais ça va pas toi dit-donc aller je te ramène chez toi !» Tel un enfant elle secoua sa tête , mais elle ne put protester . Ainsi se termina sa quatorzième année.
«Regarde ce que j'ai trouvé Lyve chérie» Il sortit une seringue et une petite quantité d’héroïne par la suite sur la table. «Oh ! On va tester ?» Il se mit à rire en la regardant malicieusement. «Oui on va aller s'aventurer dans un endroit magique ! Aller tend le bras.» L’aiguille se faufila à travers sa chère tendre et le liquide descendait lentement alors qu'elle laissait sa tête partir dans des vagues d'apaisement. Ses paupières se fermaient et sa bouche s'ouvrait en soupirant de bien être. Il ne perdait pas le temps précieux de la nuit pour à son tour faire voguer ses pensées. En grand coup de vent les deux adolescents avaient déjà quittés , volés bien loin de leur ailes suivit d'une danse de rire et de pure plaisir. On le voyait tournoyer sur eux-même à travers les rues , la nuit berçait les demeures , mais tout avait passé sous leurs pieds. Les nuages de cendres suivit de la fumée asphyxiante des cigarettes mourant dans les cendriers , de l'alcool qui coulait à fine goûte sur la chaire de leur lèvres avant de passer à grande gorgée sur leur gorge douloureuse. Être de bon catholiques n'était point leur tasse de thé. L'horloge indiquait toujours une nouvelle heure jusqu'à ce que les premières lueurs du jours marquèrent le ciel et les étoiles n'étaient plus qu'un souffle disparu. Les teintes orangées et rosées se déposèrent sur leur visage frêle montrant ainsi leur yeux qui c'étaient affaiblis après la nuit. Le dernier chemin fut celui à une fenêtre après que les deux jeunes gens c'étaient agrippés tant bien mal au rebord puis ensuite au feuillage d'une plante où son cycle se déroulait sur tout le mur. La vitre entrouverte pour y faire pénétrer de l'aire frais par l'été accablant. Maureen finit face contre terre vu ses jambes si tremblantes , sans oublier les rires en s'en tordre l'estomac. Une silhouette puis un des traits de parfaite colère se dégagèrent de la couette , suivit de la rage dans des mots fin coupés par leur son amer. «BON SANG MAUREEN ! qu'est-ce que tu fais la ?» «Haha et bin hum...» Félicia lâcha un grognement de frustration et attrapa son amie qui se mit à gémir comme une chien battue . Elle traîna son poids plume jusqu'à la baignoire pour asperger son visage d'eau qui la fit tousser plusieurs fois. Elle n'avait pas demandé ce que Lyve avait bien pu prendre toute la soirée elle essayait tout de même la ressaisir.
«Tu regarde quoi comme ça ?»[color=lightcoral]«Les étoiles.» Sourire bête accroché encore une fois, ses prunelles avaient cet éclat si pure de l'innocence, l'herbe caressait la peau fraiche de son dos tant qu'on reste de son corps en était caché par une couverture. Raffael emmêlait les mèches de sa chevelure de blés entre ses doigts longs. Aventure dans un bois sombre par la noirceur de la lune. Leur visage étaient éclairés paisiblement par le reflet de la lune qui se déposait aussi sur les arbres munie de nombreuses feuilles , deux jeunes gens qui profitent tout simplement de la jeunesse de façon non raisonnable. Le jeune homme vint se coller sur le cotée des formes nues de Maureen. Mensonge était au rendez-vous ,non jamais Véronika aurait eu la puce à l'oreille de ce comment sa fille avait décidé d'occuper ses soirées. «Qu'est-ce que c'est l'amour dit moi ?» Ses yeux ne s'étaient pas détachés des astres mais ses oreilles étaient de tout ouïe à sa réponse. «Quelque chose de stupide et futile.» Elle détourna sa silhouette pour se retrouver face à son visage et fronça légèrement les sourcils. «Et si je te disais que je t'aimais ?» Une sincérité au fond se cachait quelque part derrière ses mots. Premier attachement. Vous savez le première amour ? Les premiers sentiments. On dit que l'on ne l'oublie jamais, c'est une sorte d'attachement assez fort quand on y pense. Raffael ne détruisait pas ses craintes en lâchant un rire sarcastique et avança vers ses lèvres . «Tu ne m'aime pas ?» Un nouveau soupire pour une fois de plus. Il se releva attrapant ses vêtements et les enfila à la première vitesse. Aucune parole aucun sons il s'était contenté de s'enfoncer dans la forêt. Maureen avait pleuré. Pas comme une jeune adulte de 18 ans , mais plutôt comme une adolescente de 15 ans. Tout était à la vitesse lente. Premier cœur brisée. C'est à peine si elle en était sortie au stade de l'enfance dans sa tête.
La sonnerie retentissait dans ses oreilles après avoir composé le numéro à la hâtes. Ses dents blanches mordaient sans supplice ses lèvres qui en venait presque au sang par le stress. Ses yeux étaient livides où plutôt dans un sorte de choc qui ne savait plus où donner de la tête. Elle entendit enfin sa voix à travers le téléphone met les mots lui coupèrent qui en fit une sortie que des chose incompréhensible pour en finir avec quelque chose qui ne suivit que de cinq lettres. «Adieu Raffael». Le combiné se crispait entre ses mains. «Avant que je parte j'aimerais qu'une chose que tu glisse un peu de coke sur ma table de chevet.» Après ça c'est comme ça que ce chapitre boucla sa boucle.
Les tiroirs s'ouvraient et se refermaient dans des vapeurs de secondes. Tissue volant dans les aires pour atterrir dans une valise non loin. Elle criait , elle criait si fort en s'en faire briser les cordes vocales. Les murs de la maisons s'ébranlaient par l'agitation , les planchers craquaient par les nombreux pas. Ses yeux perlèrent d'eau salée sur ses joues qui finissait sur les mains de sa mère qui retenait tant bien ses poignets. Ses trait s'affaissaient dans une forte colère , ses mèches de cheveux collaient à ses joues humides. Si douloureux , si dur , les étoiles disparaissent et tu es le dernier pion sur l'échiquier avant de changer de capte. La porte de la maison s'ouvrit et l'objet frappa ta figure démolie , sous la couverture de cuire tu vis les lèvres tremblantes de Véronika , suivit des larmes qui accompagnaient les tiennes. « C'est pour ton bien que je fais ça...» La destination vers l'intérieur se referma laissant ne voir que sa fenêtre et sa peinture qui s’écaillait. Le livre de compte de fée venait de se refermer , les douce phrases magiques venait de mettre fin à leur encre sur les pages des histoires et ton coeur s'émiettait . Tes chaussures dorées , tes jambes coulant dans une robe rosée te menèrent à un banc. Les arbres dansaient avec leur feuilles fraîchement naissantes du printemps sous les rayons du soleil qui perçaient la fraîcheur de la dernière saison hivernal. Assise , mains jointes , ton regard projetait un esprit rêveur observant les nuages translucides formant des images tant bien que tu pouvais les dessinées dans ton esprit. Ton visage blêmit par les sanglots , revint doucement à son teint de crème mélangeant à celui d'une pêche. Le chemin de pierre , accompagné de quelques oiseaux , traversait l'endroit vert à une perte de vue. Entre ses doigts elle prit son chapeau de paille en fixant l'horizon les lèvres demi-ouverte. Son contenue resta sur les planches de bois par la suite ses chaussures quittèrent ses pieds , ses orteils massèrent le parquais. Elle fit une traînée de pas et puis s'élança dans une course affolante. L'aire caressait son visage et sa chevelure volait à travers la brise , mais la vitesse ne baissait pas , elle augmentait. Sa respiration devenait haletante , sa poitrine se soulevait au millième de seconde alors que son coeur voulait exploser. L'arrière plan était comme un film sur avance rapide , un aperçu d'une vie qui défilait sous vos yeux ne laissant que des images peu visibles. La peau de ses pieds s’effritait et le collant qui couvraient ses membres n'était plus qu'un mince fil entre le sol. Sa vue se brouillait d'avantage et les mètres continuaient d'augmenter. Libre libre une course contre la monte , course contre le destin attraper le rêve qui se trouvait à la fin , le destin , celui des rêves éperdus. Flotter en épuisant chacune de ses forces. Son âme quitta le parc en moins de deux et finit sous l’asphalte d'une ruelle. Son corps presque sans vie , la peau sur les os , ses mains se déposèrent sur ses côtes alors que son souffle ne savait plus donner. Dos contre la brique elle se laissa glisser n'oubliant certaine égratignure sur celle-ci vu le matériaux rude. Le sang dégoulinant légèrement de sur ses pieds par les ouverture de son collant maintenant troué par la course. Un bout de papier se glissa de sa poche elle le regarda attentivement : billet d'avion pour Paris. La nouvelle partie assemblée vos pions il reste encore des feuilles jaunies à remplir.
«Je peux te donner une façon de sortie la rue ma belle.» Arriver depuis quelques jours sans un sous , la ville française ne l'avait pas apporté des heures apaisantes. Ses yeux s'étaient mit à briller ne voyant qu'une chose dans le corps de cet homme sauveur. On ne venait toute fois par de lui offrir une porte de sortie elle servait maintenant de plaisir appétissant sous les caresses des hommes alors que sa sa peau ne frissonnait point sous leur étreinte.
« Mise à jour. »
Il aura pris beaucoup de temps pour que Maureen reprenne un cours normal de vie.Normal est un bien grand mot puisqu'au fond les vieilles habitudes guettent à son esprit. Elle aura vécu un an à Paris. Un an à habiter à cohabitation avec deux hommes qui étaient frère , un an à se prostitué pour payer ses dettes , un an pour trouver l'amour qu'elle a abandonné. Le miracle dans tout ça ? C'est qu'enfin après cette année un coup de file à été donné par sa mère. Non pas qu'elle ne lui est pas parlé pendant tout ce temps , seulement elle avait quelque chose de différent à dire.Sa grand-mère avait reprit contact avec sa mère. Véronika avait coupé tout pont entre sa famille depuis la mort de sa deuxième fille. Sa maternel avait laissé la vie l'emporté dans la gouffre. Un emploie dans un café et rien d'autre. Un appartement miteux et des murs tapissée de mélancolie. Vérokina ne vient pas du niveau social bas comme elle est. Non en fait ses parents ont une certaine fortune , mais elle a refusé de l'avoir. Mais a mère avait été courte et sec sur le sujet.
«Je ne laisserai pas ma petite fille suivre ton chemin. Ramène la le plus vite possible à Berlin pour que je puisse lui offrir des études qui on peut plus de sens. Elle va repartir à zéro.» Repartir à zéro cela voulait dire partir en Amérique. Cela veut dire être inscrite dans une des grandes plus grandes université. Il avait suffit d'un gros pot de vin pour qu'elle puisse rentré malgré son éducation de base qui ne ressemblait à rien à une première de classe.