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Les originesAnglaise, écossaise, allemande, écossaise-irlandaise
feat. Lucy Hale
16 mars 1995 à Londres.
Anglo-américaine
Hétéro en déni questionnement, mariée à ton amour de lycée
Prof de littérature à Harvard
Aisé
Le caractère
Tu réponds « relax » et « spontanée » aux tests de personnalité, alors qu’on sait tous que tu es coincée et totalement obsédée par le contrôle. Organisée jusqu’à l’extrême, même les bouquins dans ta bibliothèque sont rangés par code couleur. T’es assidue, endurante et tu possèdes un sens du détail assez impressionnant – fallait au moins ça pour parvenir à décrocher un poste d’enseignante à Harvard. Joyeuse, drôle et boute-en-train, t’as le chic pour rendre tes cours ludiques et intéressants, même si tu emploies parfois des méthodes… peu orthodoxes (comment ça, c’est pas ordinaire de faire cours en costume d’Athena pour parler de la mythologie grecque ?) Ton bon sens et ton côté prévenant te rendent parfois intolérante avec ceux qui n’ont pas autant de jugeote, et on t’entend souvent rouspéter lorsqu’il y a des déchets non-recyclables dans la poubelle « recyclage » et vice-versa en salle des profs, ou quand la vaisselle s’accumule dans l’évier et que les gens laissent traîner leur mug sale.
Les anecdotes
- ( 01 )Née d’une mère anglaise et d’un père américain, comme les jumelles rouquines dans le film À Nous Quatre. T’as vécu à Londres jusqu’à l’adolescence, et tu conserves donc cet accent British que certains qualifient de « chic » et d’autres de « super énervant ».
- ( 02 )Tu t’épanouis dans le détail et la minutie : tu trouves que les puzzles à moins de 1000 pièces sont pour les chochottes, et récemment, tu as même commencé à t’acheter des kits pour construire des paysages miniatures en Lego.
- ( 03 )Le revers de la médaille de cette passion du détail, c’est que tu souffres de TOCs qui te forcent parfois à vérifier plusieurs fois de suite que tu as bien verrouillé la porte d’entrée, à rebrousser chemin si tu penses avoir potentiellement oublié d’éteindre ton fer à lisser (quasiment tous les jours), à frotter ton bras droit contre un mur si le gauche l'a effleuré, à répéter le même mot encore et encore à voix basse jusqu’à ce que tes lèvres soient satisfaites. Ça va… tu le vis bien. Puisque pour toi, ce sont simplement des petites idiosyncrasies qui rythment ton quotidien et te procurent une paix mentale que tu n’arrives pas à instaurer autrement.
- ( 04 )Fille unique, tu as toujours été à la fois pourrie gâtée par tes parents que négligée émotionnellement. Quand papa voulait s’excuser de ne pas avoir été présent à ta compétition de gym, il t’achetait une nouvelle Barbie. Quand maman voulait que tu cesses de pleurer, elle t’appâtait en te promettant de t’acheter un livre, un bonbon, une console de jeu. Du coup, ton cerveau a enregistré que quand quelque chose ne va pas ou que tu ne te sens pas bien, il faut combler ce vide par un objet, une gourmandise, un cadeau. La thérapie par le shopping, ça te connaît. Sauf que dans tes sachets, on trouvera plutôt des montagnes de bouquins plutôt que des piles de fringues.
- ( 05 )La vérité, c’est que t’as pas appris à auto-réguler tes émotions, et ça, c’est problématique, Mia. Bizarrement, tu es beaucoup plus empathique et à l’aise avec celles des autres. À l’écoute, patiente, attentive, pleine de bons conseils, tes amis tout comme tes élèves savent qu’ils peuvent compter sur toi.
- ( 06 )Tu es contre les relations prof-élève, peu importe l’âge ou la situation. Tu trouves ça complètement déplacé, et tu détestes quand les séries TV idéalisent ce genre de lien inapproprié, comme dans cette série sur les mensonges, là, avec la petite brune qui te ressemble… C’est drôle comme il est facile de s’opposer à quelque chose avant d’en avoir fait l’expérience soi-même… n’est-ce pas ?
- ( 07 )Bien que passionnée par le domaine académique, si tu n’avais pas fait prof, tu es persuadée que tu aurais fait une pâtissière hors pair. Tu te voyais même déjà avec ton petit café, décoré de tons pastels, le « Mia’s cupcake palace ». T’y rêves parfois encore, quand les piles de corrections commencent un peu à faire grésiller ta cervelle. Les jours où ça ne va vraiment pas, on te trouve dans la cuisine, parmi des plateaux recouverts de douceurs, le visage enfariné, un tablier autour des hanches et avec du Britney Spears en fond musical. Ton mari sait qu’il ne faut surtout pas te parler dans ces moments-là, au risque de te voir brandir un rouleau à pâtisserie dans sa direction.
- ( 08 )T’as aucune affinité avec les enfants, et c’est en train de devenir un gros problème pour ton mari, qui ne rêve que d’une chose : que vous ayez bientôt votre propre famille. Ça aurait été cool de le prévenir que tu veux pas de gosses, mais ton people-pleasing ne connaît aucune limite, donc tu restes toujours évasive sur le sujet lorsqu’il essaie de l’aborder. Plus tard… quand on aura nos diplômes… quand on sera installé… quand je serai titulaire… toujours plus tard, jamais jamais.
- ( 09 )Pour toi, tes enfants, ce sont tes deux chats, recueillis quand ils étaient bébés et trouvés dans une boîte en carton dans une des rues du quartier. T’as eu qu’à entendre leurs petits miaulements pour savoir qu’il était hors de question que tu rentres sans eux. Pas de bol pour ton époux, qui préfère les chiens.
- ( 10 )Tu gardes une relation passivement conflictuelle avec tes parents : ta mère te rend visite à l’improviste au gré de ses envies puisque ton mari et elle sont comme cul et chemise. Ahhhh ça te tape sur les nerfs, mais t’oses pas la remballer. Quant à ton père, il te passe un coup de fil tous les mois pour faire semblant de s’intéresser à ta vie.
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<div class="card-user-bottin-love"><love class="text-s-bebas text-upper">LUCY HALE</ love><span class="c-uno text-upper text-bold »>@« Mia « Campbell</span></div>
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