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TW : blessure par balles
#rplibre
dans la soirée du 15.03.23 au 16.03.23

traîner dans le centre ville de nuit, profiter des beaux jours qui reviennent, faire le tour des bars pour boire quelques verres, seule. rire avec des inconnus, rester sage quand on tente de te séduire en disant que tu fréquentes quelqu'un et que tu lui es fidèle. ça fait bizarre à dire, après toutes ces années passées dans le célibat et le profit de l'instant présent, mais tu trouves ça satisfaisant, malgré tout. et les verres d'alcool s'enchaînant, tu ne fais pas attention au fait que depuis quelques temps déjà, tu es suivie, traquée comme une bête sauvage. ombre dans ton dos au pas délicats, jusqu'à l'attaque féroce dans cette ruelle. ton corps endolori qui se retrouve dans cette impasse, ton esprit embrumé qui ne comprend pas. « eeeeh, lâche moi, j'te connais pas. » que tu râles en essayant de forcer le passage. puis un coup claque, et un second. ça brûle, ça te stoppe net. tu regardes ton haut blanc qui rougit à vue d'oeil. ton regard qui se redresse sur le tireur. « fallait pas fouiller dans des histoires qui ne te regardaient pas, gamine. » l'armé s'échappe et te laisse à ton propre sort. tu entends du bruit dans la rue adjacente alors tu cries du plus fort que tu peux. « AU SECOURS ! »

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 ça t'arrives de suffoquer ? d'être embourbé dans un fatras d'pensées, au point d'plus pouvoir respirer ? comme un poids sur la poitrine, alors qu'le fond du problème vient de la tête. C'est le nerf de la guerre, la lutte avec soi-même. Dee' s'retrouve au bar, solitaire sans quête d'une âme charitable, cocktail dépourvu d'alcool aussi vite descendu que le carnet se couvre d'arabesques spleenétiques. Un tête à tête pour se faire face, un tête à tête pour assumer ce qu'il est, sans chercher toujours à s'réfugier dans les paroles réconfortantes d'autrui, alors qu'personne ne peut vraiment piger ce qui bouillonne entre deux synapses.
Lorsque l'bruit de fond devient trop fort, lorsque l'cerveau s'attache plus aux paroles indistinctes d'anonymes qu'il ne reverra jamais, qu'à la tâche imposée de son propre chef, le gamin dégage, s'enfuit, rejoint les étoiles artificielles d'un ciel voilé à l'encre blanche des réverbères. Et là, tout s'enchaîne. Comme une réplique de son travail, sans l'uniforme. Sans matériel. Sans collègue sur lequel s'appuyer. Juste lui, son instinct, et c'monde qui tourne à l'envers. Un type s'échappe, silhouette brouillée par le timbre éprouvé, silhouette noire, vague, dont l'esprit se détourne sur le champ.

C'est là que tout commence. Les ennuis, et sa raison d'être. L'urgence coule dans ses veines, c'est instinctif, primitif, une vaste partie d'lui. - j'suis là pour t'aider. faut que tu m'laisses regarder. flanque un sourire assuré à la demoiselle, faudra composer avec l'humanité dans ses extrêmes; sacrément fourbe, bonne à jeter, et bonne samaritaine. - j'appelle une ambulance.. toi, tu appuies autant qu'tu peux sur la plaie. prends sa main, la repose sur l'habit empourpré; - ça va faire mal. c'est sans doute déjà l'cas, même si l'adrénaline tient le pire à distance, pour l'instant. - je m'appelle Devon, mais tu m'appelleras Dee' quand ça ira mieux. Pour l'instant, appuie et respire. le sérieux s'enjolive d'une autre esquisse, fine et sincère, tandis qu'il sort le portable et compose les trois chiffres salvateurs. C'est comme une mélodie habile et parfaitement répétée, le message clair et concis, bilan flash pour qu'une ambulance vienne prendre le relai. Et, lorsque les secours sont prévenus, qu'une ambulance sort de son garage, quelque part en ville, Dee' en revient à la brunette, joint sa main à la sienne. Attendre ne paraît jamais si long qu'en cet instant. 



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putain, fallait que ça t'arrive maintenant que tu t'es rangée, cette merde. ça va poser des questions de tous les côtés et tu sais que Kassim va te tomber sur le coin de la gueule quand il saura ce qu'il vient de se passer. et le pire dans tout ça, c'est que tu vas devoir tout avouer. parce que les secrets t'ont menée à ce soir. à ces claquements sourds dans la nuit qui perforent l'épiderme. tu essaies de garder une respiration calme, de ne pas paniquer outre mesure, mais l'adrénaline pulse dans tes veines, alors que tu regardes la plaie déverser ce liquide poisseux. âme charitable qui débarque dès le premier appel à l'aide, tu laisses ce gars regarder ce corps abimé par le plomb. « t'as l'air de savoir c'que tu fais.. » de toute évidence, t'as pas d'autres options que lui à l'heure qu'il est, sans doute que les personnes autour ont détalé comme des lapins en entendant le bruit du canon. tu suis les consignes qu'il te donne, appuyant sur la plaie malgré la douleur vive que ça provoque. « dis moi juste que j'vais pas crever sur ce bout de bitume, la douleur sera plus supportable. » tu grognes en compressant, à chaque inspiration. « Kahena. tu pourras m'appeler Kahe la trouée si j'm'en sors. » l'écouter contacter les secours pour ne pas sombrer dans les abysses qui pourraient t'être fatales, du moins tu le crois. « tu fais quoi dans la vie, Devon ? » parler pour ne rien dire, parler pour te rappeler que t'es là, que le froid que tu commences à ressentir ne doit pas gagner.
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 le coup d'feu s'est perdu dans l'air comme un crissement de pneus, comme une portière claquée trop vite, trop fort; aspiré par la psyché, à dépeindre les astres rêvés d'une voûte bancale, Dee' n'a eu qu'un bref sursaut, tout juste assez pour dire "something's happening". Les gestes deviennent réflexes, qu'on l'veuille ou pas. Humain-automate, ne conserve d'humanisée que l'empathie nécessaire aux êtres blessés, un éclat dans l'émeraude auquel se fier, une tonalité particulière, la sérieuse assurance où s'infiltre une once de légèreté. - je n'fais qu'appuyer, c'est pas sorcier. réitère le sourire, fugace certes, mais plus évocateur qu'un faux semblant pour tromper ses peurs du moment. - j'ai pas consulté l'oracle avant d'venir.. mais j'te lâche pas, ça, je le promets. j'vais tout faire pour toi. pas d'mensonge, pas d'fausse promesse qu'on largue pour faire joli, pour s'donner bonne conscience; jure seulement de faire son maximum, d'mettre son âme sur la table pour lui conférer toutes les chances possibles, difficile d'oublier l'nom d'une brunette qui trouve le moyen d'plaisanter alors qu'elle est salement amochée. - Kahe, ce sera parfait, j'aurais tout l'temps après de te trouver un surnom ridicule. ça aussi, j'sais faire. essaie d'faire légèrement pivoter son corps pour voir si la balle est sortie, mais difficile à dire quand l'bitume se drape d'un fine lame vermeille; ne tarde pas à remarquer les lèvres, comme les phalanges aux extrémités, la cyanose s'impose, l'organe prince rappelle le sang pour nourrir les organes vitaux. - je survis.. un peu comme toi finalement, on s'ressemble. pas d'la même façon, mais qu'importe. Le regard en dit long, propose de faire plus ample connaissance, lui fixe un objectif, même s'il n'imagine pas devenir plus qu'un visage anonyme, une apparition éphémère pour gommer le crépuscule sanglant. - et toi, à part te faire tirer dessus ?



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la nuit était belle pourtant, vue d'en bas. l'astre lunaire qui habillait parfaitement la toile sombre mouchetée de manière anarchique. et pourtant, la nuit prend une nouvelle tournure depuis quelques longues minutes. tu ne prends pas plaisir à contempler les étoiles à moitié étendue sur le sol, tu ne prends même pas la peine de lever les yeux pour prier le ciel de te venir en aide. trop d'énergie à fournir pour quelque chose à laquelle tu n'as jamais vraiment cru. le périple sur l'île de tes ancêtres l'année passée avait été mauvais oracle sur la situation, c'est la seule chose que tu parviens à comprendre. mais surtout, tu remets en cause tous les actes qui t'ont menée à cette soirée. tu te laisses manipuler malgré la douleur que ça provoque, tu essaies de ne pas poser trop de questions sur ton état pour ne pas paniquer. qui dit panique dit que la pression sanguine sera plus élevée, et t'as pas envie de te vider bêtement, t'en perds assez comme ça. « peut-être, mais j'pense pas que tout le monde soit habitué à porter secours à quelqu'un qu'on vient d'essayer de descendre, tu crois pas ? » bien sûr qu'il ne sait pas ce qu'il va se passer pour toi après ça. c'est pas impossible que tu finisses ta vie sur ce goudron tout comme tu peux t'en sortir. en tout cas, tu n'es pas seule et ça rend la chose moins compliquée. il te maintient la tête hors de pensées négatives. et tu te dis même que plaisanter c'est le meilleur moyen de vivre tes derniers instants, si jamais tu venais à ne pas t'en sortir. parce que là, tu ne sais pas ce qu'il adviendra après, malgré la promesse de Devon de ne pas te laisser sombrer. « tu pourras me donner le surnom le plus moche de ton répertoire alors. » sourire léger que tu parviens à lui offrir, tu lui dois bien ça si tu t'en sors vivante. la fatigue te gagne de plus en plus mais tu veux pas la laisser te prendre. « survivre c'est pas forcément le truc le plus cool, t'sais... faut apprendre à vivre, sans cette épée de Damoclès au-dessus d'la tête. » pourtant la survie, ça fait vingt-cinq ans que tu la pratiques. depuis l'enfance, et encore aujourd'hui tu te bats pour ne pas claquer. « j'suis étudiante en ingé mécanique, j'bosse dans un garage et j'tente de survivre à toutes les conneries que j'ai pu faire dans le passé, mais j'me suis faite rattraper salement ce soir. » comme une envie de te confesser avant d'y passer mais rester silencieuse. « tu crois qu'ils vont arriver rapidement ? »
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 drôle de manie que d'préférer les instants sordides, à la croisée du monde charnel et du désincarné, aux moments simples, à c'quotidien parfois si difficile à appréhender. Dans l'urgence, tout est réflexe, les procédures sont assimilées au point d'les réaliser quasi-inconsciemment, comme pour respirer, c'est foutrement naturel. Dans l'instant crucial crèvent le spleen et la mélancolie, façon clairement bâtarde de vider l'capharnaüm d'pensées qui tend toujours à saboter ses journées. C'est une habitude, yup. Une sale habitude. Le chaos nécessaire à son propre apaisement, weirdo. - c'est vrai qu'c'est mon hobby.. t'es pas la première sur ma liste, j'avoue. constat aussi triste que l'Amérique est faussement flamboyante. On s'fait des idées sur ce pays, mais la réalité, dans la rue, est toute autre. La bannière étoilée ne brille pas pour tout l'monde. - on verra ça en temps voulu.. Kahe, c'est cool pour ce soir. commence à presser l'ongle et la pulpe entre ses doigts, pour forcer l'cerveau à rester alerte, quelques p'tites décharges douloureuses pour forcer la mécanique psychique à réagir, stimuli nécessaire à son éveil prolongé. - c'est un apprentissage de chaque jour.. j'fais de mon mieux. Ma... copine, m'aide beaucoup dans cette démarche. songe une seconde à Quinn, probablement restée chez elle, puis revient au présent; peut-être la remerciera-t-il plus tard, finalement. - on fait tous des conneries.. il faut savoir se pardonner, et faire la paix avec son passé. Si t'es pas en accord avec toi-même, tu donnes encore à ces éléments une certaine emprise sur toi, et notamment la possibilité de te faire douter de toi, au présent. est-ce que ça fait sens ? l'air songeur s'étale sur ses traits de bien-penseur; c'était profond, certes, mais sa réflexion possède aussi de nombreuses limites. Loin d'lui l'idée de pouvoir donner des leçons d'vie, ou de "sages" conseils. - le système de secours américain est performant, ils vont pas tarder. j'crois que j'entends les sirènes. c'est véridique, ça hurle au loin; quelque part dans les artères d'asphalte, les anges accourent.  



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pas la première de la liste des personnes à qui il vient tendre la main. bon samaritain ou l'art de toujours se retrouver au mauvais endroit au mauvais moment, peu importe puisque ta survie dépend désormais de ce souffle plein de vie qu'il apporte dans ce que le tireur a voulu annihiler en coupant le tien, visage de la mort camouflé sous une capuche ou tu ne sais déjà plus trop bien. l'esprit s'embrume au fur et à mesure du temps qui passe et l'énergie nécessaire à parler s'amenuise. tu fais de ton mieux pour tenir une conversation, malgré tout. « c'est dur quand même, d'être celui qui déploie ses ailes pour couvrir une âme damnée. » t'en deviens presque poétique, putain. tu prends conscience qu'il peut être l'ange gardien comme l'ange des âmes perdues, tout dépendra de ton sort. « ça m'va. » tu penses à tous ceux qui comptent. tes frères, tes soeurs, ta copine, et tu te dis que tu peux pas les abandonner comme ça. tu te forces à réagir à chaque stimuli provoqué par Devon, le seul qui peut te maintenir dans le monde des vivants pour le moment. « comme quoi, on est pas si différents toi et moi. on apprend chaque jour à changer des habitudes bien ancrées... » pensées qui divaguent sur Cleo, qui n'a sans doute aucune idée de ce qui peut bien se passer pour toi et n'avoir aucune idée de comment elle l'apprendra. « j'ai essayé de me pardonner certaines choses. mais faut croire que d'autres sont plus récalcitrants à l'idée de pardonner autrui. » constat désolant que tu te fais. tu devrais pardonner aussi à certaines personnes, tu devrais pardonner son absence à ta mère, où qu'elle soit, quoi qu'elle fasse, par exemple. tu relèves ton regard vers ton sauveur. « merci de m'avoir maintenue en vie jusqu'à maintenant... t'es un mec bien, j'en suis sûre. » tu souris doucement, laissant lentement le chaos t'emporter dans ses draps froids.
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 ce sont des habitudes, comme elle le dit si bien. Son envergure déployée au service d'autrui, pourvu que subsiste l'espoir d'aubes nouvelles. Telle est l'essence de sa vie. Eponge absorbant malheurs et déboires de l'humanité, une épaule solide devenue pilier des astres flingués en plein vol, exactement comme Kahena en cet instant. Dix minutes de son existence offertes pour permettre à la brune de poursuivre son chemin. - on est tous damnés, l'existence est éphémère. On a seulement tendance à l'oublier. Le danger nous rappelle qu'on a la chance de vivre, que c'est pas vraiment un droit acquis. Au fond, on est tous des vivants qui oublient qu'un jour, viendra le dernier souffle. point de vue bien affirmé que celui d'un Homme qui vit fleurir les natures mortes entre ses doigts; la réalité, telle qu'il la connait, brille dans la force des cœurs lucioles. - on va faire en sorte que tu puisses arranger ton puzzle existentiel. l'optimisme en appelle aux forces cosmiques, persuadé que l'univers joue, quelque part, une symphonie à l'implacable pouvoir. - les secours sont là, lâche pas ! presque un cri, perçant la nuit, un ordre factice pour contrôler l'imperceptible mouvement pulsatile, quand l'ange uniformisé annonce qu'il "prend la relève", le forçant à s'écarter. Les secondes distendues s'étiolent, le son se fait lointain, quelques questions posées auxquelles il répond tel un automate, boîte noire pleine d'enregistrements clefs pour la suite des évènements. - tiens bon Kahe'. Ils vont prendre soin de toi. l'affection apposée à l'épaule, jolie brunette déjà sur brancard, le ciel s'affole, l'horloge tourne, la poésie salvatrice s'enclenche; puissent-ils arriver aux urgences avant l'écho du dernier vers.   



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des paroles bien trop lucides d'un homme qui semble en avoir bien bavé au fil de son existence, quelle qu'en soit les années au compteur de sa vie. des paroles qui s'enfoncent dans l'encéphale et qui te donneront à réfléchir plus tard, si une entité supérieure veut bien te donner une chance d'après. « de toute façon, il n'y a que les vivants qui subissent le départ des damnés. ceux qui partent ne laissent derrière eux que la trace qu'ils ont souhaité dans la vie des autres. peu importe la durée de leur passage. » et toi, c'est quoi ta trace dans ce monde, Kahena ? quelques sourires, une froideur protectrice pour toi-même envers les autres, une liste interminable de conneries à ton compteur, de conquêtes ayant froissé des draps, peu de sentiments dévoilés. tout ce que tu laisserais si tu perdais le combat ce soir, ne seraient que des bribes de la réalité de tes émotions, de tes sentiments, de ce que tu étais sous l'armure que tu as construit. « c'est le meilleur moment pour ça, j'crois. » positivité qui s'est enfuie. réalité qui s'assombrit. tu te sens sombrer et tu penses que c'est le moment opportun pour faire face à toi-même. mais t'as pas le temps pour ça. l'obscurité a gagné. le néant s'ouvre devant toi. et même si tu ne veux pas y plonger, tu seras peut-être libérée de tout. du fardeau des secrets trop bien gardés. du masque de l'indifférence qui déforme ton vrai visage. libérée de cette prison dans laquelle tu as foncé quand tu étais jeune, pour l'amour d'une femme qui t'a abandonnée deux fois, te faisant croire la première fois à sa mort, et qui n'a laissé qu'un mot quelques semaines après son retour.
les secouristes qui s'agitent autour de toi, tu ne les sens pas. ton corps qui se retrouve sur un brancard, appareillé pour vérifier les constantes, compressions sur le buste pour éviter que l'hémorragie ne soit fatale. arriver à l'hôpital après quelques frayeurs pour les anges sauveurs, passer d'urgence au bloc opératoire. transfusions, retrait des balles qui ont perforé l'être. urgence vitale sur le dossier d'entrée. chances de survie minimes, noté en tout petits caractères par le paramédic en charge de toi sur le trajet. mais tu as été plus forte que l'entité à capuche. la mort n'est pas venue te prendre cette fois. patiente sauvée, grâce à un être lumineux de passage, dont tu n'oublieras pas le prénom.

FIN DU RP libre - (TW : blessure par balles) please help me (libre) 1365124802
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