(cathan) some kind of kiss

Le Spring Break est bien pour un break, d'où son nom, mais j'ai l'impression de faire souvent un break quand je suis sur les banc de l'université. Peut-être que j'aurais dû quitter cette bâtisse, mais c'est plutôt un "contrat" entre ma famille adoptive et moi.
J'étudie et j'ai le droit à être tranquille sans être coller hors des études. Sinon je retourne dans le centre pour terminer mes soins. Alors j'ai pris les études et fuis le centre.
La liberté est ce qui est meilleure, d'autant plus j'ai un boulot enfin deux et ça rassure mes parents.

Ici à Punta Cana, la vie est différente, les soirées sont multiples et l'alcool différent et délicieux. Aujourd'hui c'est en me réveillant au côté d'une inconnue, que je la quitte rapidement. Cherchant à manger, je trouve enfin un truc à manger. Puis je tombe sur une exposition, l'art sur tableau et photographique, m'a toujours passionné. C'est donc sans avoir préparer, que je choisi de m'y rendre.
Du monde, il y a du monde je me frôle un chemin et regarde les œuvres des artistes. Je suis bousculer par un gars, prêt à l’engueuler, je le vois faire sa prise.

J'aurais fais pareil avant, mais là je déteste ça, surtout qu'il m'a bousculer et il vient également à bousculer en courant. Je regarde la jeune demoiselle et court également après l'homme. Ma colère commence à monter en moi. Je réussi après une bonne course à le shopper, le plaquant contre le mur.

"Je détestes, les gars comme toi"

Le Spring Break me faisait du bien. Mentalement et physiquement. Pas de cours. Juste du loisir mélangé un peu de travail, mais du travail que j’apprécie. Etre payé tout en s’amusant, c’est plutôt bien et c’est la vie que j’ai décidé de mener. Alors oui, il peut m’arriver de m’endormir très tard à cause de certaines dead line, mais à la fin ça vaut le coup. J’ai hâte de terminer d’être étudiante afin de m’organiser comme je le souhaite, sans devoir aller à des cours, devoir réviser et rendre des devoirs. Les vacances se passaient plutôt bien. J’en oubliais totalement mon histoire avec Rhett, et bien que Mason me manque, j’arrivais tout de même à profiter de mon temps ici. Alors que j’étais en train de repérer des souvenirs, entre autres pour Mason, je sentis qu’on me piquait quelque chose. Mais c’était trop tard avant que je ne me retourne. Je n’avais que mes jambes pour courir et tenter de ne pas perdre mes papiers. Il y avait dedans mon passeport, et l’aventure à Zanzibar m’avait suffit. Heureusement pour moi, j’eus un sauveur qui arriva à stopper l’homme. Alors que je le vis le plaquer contre le mur le plus proche, arrivant totalement essoufflée, je posais ma main sur l’homme en question, doucement. « Lache-le… je veux juste mes affaires. » Trop gentille que je suis, je regardais le voleur et en eus presque de la peine pour lui. Qu’est ce qui pouvait le pousser à voler de la sorte ? « Merci. » Dis-je alors que je récupérais mes affaires et que le pickpocket s’en allait. Surement pour tenter de substituer autre chose à quelqu’un d’autre. Mais qu’est ce que ça aurait amené de plus si j’avais laissé l’homme le taper ou autre ?

Cet homme m'avait courir, mais mon instinct d'élève de policier, s'était mis en route. Alors sans plus attendre, ce n'était pas le touriste Maeng, mais l'officier Maeng en chasse pour attraper le voleur. Et les voleurs, il en a croiser pas mal dans Punta Cana ainsi que Boston.
Mais là s'était sous ses yeux et il ne voulait pas laisser passer cela.
Tenant l'individu avec son butin en main, il l'entendait gindre en demandant pardon et suppliant de partir. S'il avait des menottes il l'aurait bien mis à quelque chose. Mais élève, il est interdit d'avoir cela, même une arme, cela est interdit.

Sentant une main, il se retourne doucement, tenant l'homme comme un sac de patate! Puis entendant les mots de la jeune femme, il a envie de tout envoyer en l'air. Ses mots incompréhensible « Lache-le… je veux juste mes affaires. » des mots, qu'il déteste plus qu'autre chose. Même s'il doit avouer que la jeune femme à la coeur sur la main.
Avec amertume il vient à le lâcher en prenant les affaires qu'il donne à cette dernière.

Il eu un sourire faux, puis viens passer ses cheveux en arrière pour répondre enfin

De rien, mais vous savez, je ne l'aurais pas frapper. Juste emmener à la sécurité du musée. Vous avez le coeur sur la main. Je doit avouer, que cette qualité est magnifique!

Cet homme, mon sauveur, m’avait bien aidé. Je ne me voyais pas rester plus longtemps sur Punta Cana, des affaires m’attendant sur Boston. Ni l’envie d’aller déclarer mes affaires volées. Ca aurait été une mauvaise façon de terminer mes vacances. J’étais réellement reconnaissante envers lui, mais je ne voulais pas non plus trop en faire face à ce voleur. Je voulais juste oublier et passer à autre chose. Me jurant de faire plus attention à l’avenir. Il ne sera pas toujours là pour m’aider. « Et à la fin, il serait repartie faire ce qu’il doit déjà être en train de faire … » Ca me peinait pour lui et ses prochaines victimes. Mais pour le coup j’étais un peu égoïste et je ne voulais pas perdre plus mon temps avec lui. « Mais merci ! » Je rangeais mes affaires dans mon sac que je mis devant moi cette fois-ci. « Je m’appelle Catalina, et toi ? » Demandais-je tout sourire.

Elle n'est pas seule à avoir un coeur sur la main. Si je n'aurai pas le coeur sur la main, j'aurais jamais écouter ses paroles.Je lâchai donc cet individu que je ne connaissais point. Puis rendais les affaires à la demoiselle. Des papier important à notre vie, qui sont bien difficile à ravoir et faire comprendre que l'on les a perdu ici.
Je viens à la regardée puis regarder le type dit voleur, qui part vers une autre personne. Je soupire et me dit qu'il a peut-être cela pour vivre.

Honnêtement je suis partager entre la peine et la colère envers cette personne. Soit il fait ça pour vivre ou alors pour le plaisir. Enfin il est vrai que c'est compliqué la vie ici.L'argent,la nourriture.

C'est ça de vivre plus vite que l'âge attribué sur ses papier. Tout le monde pourrait croire que je suis un adulte, mais je n'ai que 24 ans. Mais ma mentalité est de 35 ans et encore j'en doute. A trop être avec les adultes.Je l'écoute d'une stature adulte, puis souris.

Ce n'est rien, je pense qu'un autre aurai fait pareil. Et votre vie est importante n'est-ce pas?

Au milieu de ce monde qui se faufilait entre nous deux, dont j'ignorais que l'on gênais. J'appris son prénom. Un doux prénom comme une caresse à l'aube, avec le soleil qui entre dans la chambre. Et elle vient à me demander le miens.

Han Sol, mais tu peux m'appeler Han. Ça te dirais de terminer cette conversation ailleurs? Comme autour d'un verre?

Il n’avait pas l’air si méchant que ça, mon sauveur. Et face à ses paroles, je fis une petite moue. C’est exactement ce que je pensais. Et j’avais plutôt tendance à penser qu’il faisait cela par dépit, pour survivre. Car j’avais extrêmement du mal à penser que quelqu’un puisse faire cela par pure plaisir. « Tu penses ? » Je ne savais pas trop. On vivait maintenant dans un monde où les gens sont devenus égoïstes. Ils préfèrent regarder, ne rien faire, voire filmer plutôt que de se mêler des affaires des autres. Alors je me sentais vraiment chanceuse d’être tombée sur lui. Sur quelqu’un qui pensait aux autres. « Je … euh … » Je ne m’y attendais pas à cette proposition, alors que je mis une main dans ma chevelure, je regardais autour de moi. « Qui me dit que t’es pas un fou, se faisant passer pour un sauveur. » Oui légèrement parano, mais la vie faisait qu’il était plus sage d’être prévenante.

« Oui c’est vrai… » Puis j’haussais des épaules. On n’allait pas parler de ça pendant des heures. J’avais récupéré mes affaires et c’était ce qui m’importait. Je ne voulais pas forcément rester plus longtemps ici. J’avais du travail qui m’attendait à Boston, à mon retour. Et alors que je pensais continuer ma petite visite seule, le jeune homme me proposa d’aller boire un verre. Méfiante, comme très souvent, j’avais dis sur le ton de l’humour qu’il pouvait être un fou, ayant manigancer tout cela. Mais ma blague ne semblait pas être bien passé. Baissant la tête, je répondis. « C’était une blague. » Mais au vu de sa réaction, cela ne me donnait pas réellement envie d’aller boire un verre avec lui. Si je devais faire attention à tout ce que je disais, merci, mais non. Puis quand je l’entendis me dire que j’avais insulté un policier, je me mis à rire. Non, mais il est sérieux là ? « Alors déjà, je t’ai pas insulté. Et à ce que je sache, tu n’es pas en service là ? Je connais mes droits. » Ce n’était pas vrai, les seules choses que je connaissais venaient des films ou séries que je peux regarder. « Mais je comprends mieux comment tu as pu courir aussi vite après lui. »