ARIELLE DANIELS ~ emmy rossum

Arielle Prudence Daniels

C'est le vingt-deux avril à Vancouver, que les membres de la famille Daniels m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Arielle Prudence. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de psychologie depuis cinq ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Dunster ou les Mather.

#Lunatique

#Réservée

#Réfléchie

#Responsable

#Impulsive

APRÈS LA BOMBE
Lorsque la bombe a explosé, j'étais sortie, si je me souviens bien, je me baladais à Cambridge. J'ai donc eu la chance de ne pas me trouver sur les lieux, je parie que cela aurait été bien plus difficile d'oublier autrement. On va dire que je suis toujours très choquée car je suis à Harvard depuis cinq années maintenant, mais le fait de ne pas avoir été présente m'enlève un poids. Certes, j'espère de tout coeur que cela ne se reproduira jamais et surtout, qu'Harvard retrouvera sa paix, disons que je fais simplement partie de ces gens qui ont des plus gros traumatismes et qui ont l'habitude de faire face à la peine.

DUNSTER HOUSE.
Je crois que les Dunster est ce qui me conviendrait le mieux, après tout, je passe le plus clair de mon temps la tête dans mes bouquins, avec pour seul but de réussir et d'être l'une des meilleurs, sinon la meilleure. Bien sûr, je ne suis pas qu'une tête, je suis aussi une fille qui évacue son stress en faisant la fête, en fumant la plupart du temps aussi mais anyway. A la mort de mes parents, je me suis réfugiée dans mes études, c'est ce qui m'a sauvée, puis j'ai découvert que j'avais des troubles bipolaires, alors j'ai fait de la psycho ma force, j'aime être la meilleure pour montrer que je peux me battre.

MATHER HOUSE.
Comme dit précédemment, je suis une tête de classe, une bosseuse, mais j'ai besoin de faire la fête pour extérioriser, me plonger dans autre chose que mes cours ou mes problèmes. Disons que faire la fête avec des Mather c'est comme se mener à sa propre perte, savoir qu'on va dépasser ses limites bien avant d'entrer dans la soirée, mais c'est ce qui fait le charme de la chose. Et c'est ce qui me fait me sentir vivante. Plus que de me déglinguer la tête à coup de définitions ennuyeuses. Mais il en faut pour tous les goûts.

Emmy Rossum

#Troubles bipolaires

#Fumeuse

#Orpheline

#Trilingue

#Hématophobe

Cough Syrup.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Cough Syrup. et j'ai dix-huit ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Bazzart et Marinou. Il a l'air de déchirer alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien généralement. J'utilise Emmy Rossum comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Astoria et Bright Moon. Je fais environ 450 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ J'ai craqué mais vous savez quoi ? Je regrette pas. ARIELLE DANIELS ~ emmy rossum 152426858

(Invité)

This is my story

⊹ There comes a time when we need to ask for help, when you're lost and just not strong enough to make it through the night."Vous ne me connaissez pas, vous ne connaissez pas mon histoire. Vous n'avez aucune idée de qui je suis et pour tout vous dire, je n'ai pas envie que vous le sachiez." Les sautes d'humeur, elles étaient mon plus grand problème, à la limite même où j'en avais une, personne ne pouvait savoir quelle en serait la nature ni combien de temps cela durerait. "Arielle, calmez vous, respirez, tentez de reprendre le contrôle de vous-même. Je vous suis depuis votre arrivée à Harvard et je pense savoir vous gérer désormais." Ce stupide psy ne me servait à rien, après tout, le problème venait du plus profond de moi, comment peut-on prétendre pouvoir guérir quelqu'un quand le problème est indistinct. "Arielle ? Ne vous renfermez pas dans vos pensées." "Je sais très bien ce que j'ai à faire, je vis avec ça depuis longtemps maintenant." Depuis la mort de mes parents à vrai dire, à mes dix-sept ans. Depuis qu'ils m'ont laissée seule avec mon héritage d'un million de dollars. "Parlons de vos études, cela vous détend." Les séances se résumaient la plupart du temps à cela, il me posait des questions qui provoquaient en moi un changement d'humeur, un sentiment de persécution, je me braquais et devenais une autre personne, une autre facette de moi, qu'on ne me connaît que de ma maladie. Et donc ensuite, il tentait de me calmer, en parlant de sujets neutres ou de sujets qui me passionnent, je redevenais normale ou quand mon trouble bipolaire n'était pas passé, je devenais excessive, trop enthousiaste, j'écourtais la séance, pour pouvoir aller exprimer mon trop plein d'énergie ailleurs. Et cela ne prenait jamais fin. La plupart des gens me le reprochent ou prennent pitié, alors je me renferme sur moi-même, je ne parle que lorsqu'on me pose des questions ou lorsque je sens que je suis d'humeur "normale". Jusqu'à la prochaine crise.

"Tu crois que je suis folle hein ?" La question que je me posais toujours, mais avec les hommes, c'était généralement bien pire, mes troubles finissaient toujours par me rattraper, malgré le traitement, malgré mon self control. "C'pas ce que j'ai voulu dire et tu le sais !" "Non je ne le sais pas non, j'suis pas dans ta tête, j'ai déjà bien trop de voix dans la mienne !" je m'emportais, encore une fois. "Et oui je suis sûrement un peu folle, mais tu sais quoi ? Je m'en fous ! Je m'en fous, je m'en fous, je m'en fous !!" Il me regardait faire ma crise, il était là mon problème, je ne pouvais rester bien longtemps avec quelqu'un sans tout gâcher, me laisser dépasser par mes troubles, parce qu'au fond, j'ai toujours été convaincue que les relations sérieuses n'étaient et ne seraient jamais pour moi. Parce que je mets des barrière, parce que je laisse mes troubles avoir de l'emprise sur moi, de manière à ce que cela explique qu'on ne me comprenne pas. Parfois pourtant je me sers de mes cours de psycho pour pouvoir reprendre le contrôle. Le traitement également m'aide à n'avoir que peu de crises. Mais les gens me voient comme je suis, quelqu'un d'instable qui a peur d'elle-même. "J'crois qu'on devrait.. tu sais, faire une pause.. Voir comment ça évolue." "Ca va, t'fatigue pas, j'ai compris." J'eus un rictus, la vérité était que je ne me comprenais pas moi-même, alors comment réussir à être stable dans une relation. Il claqua la porte. Je regardai mon chat, je l'avais adopté quelques années auparavant, trois pour être exacte. "Oui je sais, encore un." Je le fixai quelques instants puis levai les yeux au ciel, je parlais au chat, comme s'il m'avait transmis ses pensées. Mais bien sûr.

(Invité)