DOBBY fait des siennes [Carolina]

22/09/2019

Lundi 29 Novembre 2022, 3.23 p.m
Parc de Boston, City Center

Les activités pour récolter des fonds pour la Adams afin d’accéder à un voyage tant attendu, en tant que Adams exemplaire, tu y participes et tu t’es inscrits sur la liste pour être pet-sitter commençant avec un seul chien ne sachant pas encore comme réagir fasse à plusieurs chien. Tu es l’amie des bêtes ayant même postuler récemment pour travailler en tant que bénévoles à la SPA et leur donner de l’amour. Aujourd’hui direction le parc avec Dobby, le chien que tu gardes, laisse en main tu essayes de le tenir fermement. Tu t’attendais à avoir un petit chien ou un chien de taille moyenne mais tu as plutôt hérité d’un kelpie australien, un jeune chien fougueux qui ne demande qu’à jouer. Le parc étant assez vite, il pourra courir tranquillement, alors que tu t’avances sur l’espace vert pour être loins et n'embête personne, Dobby en décide autrement, voyant un passant manger un peu plus loins, le chien décide de courir vers le repas en question alors que tu le retiens de ta force, louper il se met à te traîner par terre dans l’herbe alors que tu lui cris d’arrêter. «DOBBY ! Viens ici ! Calme toi. » toujours par terre à être traîner la laisse qui te cis la main, tu ne lâches pas prise.

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(Mala Tenenbaum)

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DOBBY fait des siennes.

@Mala Tenenbaum

Besoin d’une pause. C’est au Boston Common que Carolina se rend, ayant opté depuis quelque temps pour les chaussures plates plutôt que celles à talons. En réalité, elle en a toujours une paire dans son bureau, à l’hôpital, mais une fois dehors, elle préfère être à hauteur du sol pour ne pas souffrir de ses pieds. Marchant en flânant dans le parc, prenant de grandes inspirations pour humer l’air frais de l’hiver qui approche, la brune profite de la quiétude. Cela lui fait un bien fou, d’autant qu’aujourd’hui, elle est en repos, mais joignable, étant cheffe du service de psychiatrie. Si elle craint d’être dérangé, ce n’est pas par son smartphone qu’elle l’est quand elle perçoit la voix d’une jeune femme qui crie après un chien - elle suppose - prénommé Dobby. Tournant la tête afin de les apercevoir, elle se rend compte de la situation difficile ainsi que dangereuse dans laquelle elle se trouve et immédiatement, elle sort quelques gâteaux de son sac à mains, afin que Dobby la trouve et ainsi, s’arrête.
— « Hé ! Dobby ! » Elle l’appelle même, sans réellement savoir pourquoi, quand, arrivant à sa hauteur, elle est surprise par son saut et chute en arrière. « Dobby ! » Elle prononce, secouer, pour caresser son pelage tandis qu’elle se trouve allonger sur l’herbe froide. « Est-ce que ça va ? » Elle demande à l’inconnue qu’il a trainé, alors qu’elle s’évertue à redresser son visage, bien qu’elle grimace, ayant mal à la tête.

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(Invité)

22/09/2019

Lundi 29 Novembre 2022, 3.23 p.m
Parc de Boston, City Center

Les balades ça te fait toujours un bien fou d’ailleurs lorsque tu sors dehors, tu te dis toujours que tu devrais profiter d’avantage de ce que la vie a à t’offrir, moins d’écrans, plus de sorties, de randonnées, ou de loisirs en pleine air pour que tes poumons profitent eux aussi. Avoir un chien à toi te permettrait peut-être de sortir davantage même si en hiver il faut affronter le froid, tu aimes les animaux mais n’a jamais eu la possibilité d’en avoir, tes parents le refusaient catégoriquement. Une balade au parc avec Dobby, le chien que tu gardes aujourd’hui et tu te rends rapidement compte qu’il vaut mieux avoir un chien de taille raisonnable vue ta corpulence et la force que tu exerces sur la laisse. Dobby fini par terminer sa course et tu relâches la pression de sa laisse en te relevant vivement « Je suis en vie ! » dis-tu en touchant ton corps pour s’assurer que tu n’as rien de cassé, juste ton jean déchiré et des branches dans les cheveux, l’avant du corps mouillé à cause de l’herbe froide mais heureusement pas de neige. Tu observes la femme qui se retrouve sous Dobby et tire le chien en arrière, c’est comme un enfant. « Non d’un père nöel, reste calme. » dis-tu au chien fermement alors que tu aides la femme à se relever. « Je suis désolée, vous ne vous êtes pas fait mal ? » Tu l’observes en te mordant la lèvre, t’en voulant d’avoir laisser faire Dobby. Un point pour lui, zéro pour toi. « C’est mignon mais ça à de la force ces bêtes là. »

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(Mala Tenenbaum)

DOBBY fait des siennes.

@Mala Tenenbaum

Carolina pensait bien faire en se promenant dans un parc. Ainsi, elle pouvait prendre de grandes bouffées d’air frais et apaiser son esprit, seulement, c’était sans compter sur son envie perpétuelle de venir en aide à son prochain. De ce fait, comme une sotte, elle a sorti un gâteau lorsqu’elle a noté la situation dans laquelle se trouvait une inconnue avec son chien. Et c’est sans même faire le moindre pas en avant ou en arrière qu’elle l’a laissé bondir sur elle, puisqu’impuissante face à sa force. Il faut dire qu’un superbe kelpie australien comme lui, ne la mesure pas, et encore moins son désir de dévorer tout ce qu’il peut renifler. C’est d’ailleurs comme ça, qu’elle l’a appâté.
— « Super ! » La doctoresse s’exclame donc lorsque la jeune femme qui a trainé sur le sol argue qu’elle est en vie. Heureusement d’ailleurs, le fait est qu’elle, grimace toujours. Son crâne la fait souffrir et elle se demande combien de jours de migraine, elle va devoir affronter pour se remettre. « Je… » Elle ne sait pas quoi répondre à l’inconnue, puisqu’elle souffre, c’est une évidence. « J’imagine que ça va aller. » La brune finie par souffler avant de se redresser et ainsi de se retrouver assise sur l’herbe. « C’est la tête… » Elle précise à la jeune promeneuse, pour acquiescer à la suite de ses propos. « C’est certain qu’il est adorable. » Elle en sourit, tout en grimaçant toujours. « Tu peux tout manger Dobby. » Aucune trace de chocolat dans son gâteau. « Il faut croire qu’il avait faim. » Elle se permet d’ajouter, pour terminer : « Moi, c'est Carolina. » Autant se présenter, puisqu’elles sont certaines de ne jamais s’oublier. « Je crois que… » Elle s’essaye à se relever. « … Ça va aller. » Mais elle chute en arrière et se retrouve de nouveau sur son postérieur, sur l’herbe.

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