AZUR BEAUDELAIRE ► carla guetta cohen

naissance
Le 23 novembre 1997, Washinghton.

nom(s) & prénom(s)
Azur. Taillée dans l’imperfection d’une roche pure. Beaudelaire, le patronyme sonne comme une poésie.

nationalité(s)
Americano-Française.

origine(s)
française, americaine et espagnole d’un sang éloigné.

orientation sexuelle
Penchant pour ces hommes qu’elle déteste un peu quelque part. Azur, l’attirance pour les carrures dominatrices.

statut amoureux
coeur volage, organe défectueux, foutu en miette depuis l’gun sur la tempe. trahison douloureuse qui reste accroché au myocarde autrefois rêveur, charmeur. brisée, azur qui ramasse encore les morceaux sans savoir comment les rassembler. des bouts de cendres qu’elle finira par disperser quand ils finiront pas être trop lourds à garder.

études
Étudiante en sixième année de chirurgie générale.

bourse
Pas dans le besoin.

statut social
Vie d’abondance. Azur ne connaît pas le manque, habituée à ce que tout lui soit dû.

job étudiant
Aucun.

maison
(( kirkland )) addict aux réseaux sociaux. Azur, influenceuse invétérée, elle se passionne à enjoliver ses profils de ses photos et vidéos qu’elle perfectionnent. L’art au bout des doigts, elle aime toucher au monde du graphisme. Addict de films et séries, elle peut traîner des heures devant ses épisodes préférés. Inventive, curieuse, elle est fan des avancées technologiques.  

les opportunités qui lui tombent dans les mains avec trop de facilité. Fille à papa d’une famille influente, azur elle a eu le droit aux meilleures écoles. aux meilleurs enseignements, aux cours particuliers. tout pour réussir parait. elle a été diagnostiquée HPI quand elle avait 10 ans, le cerveau qui fuse trop. trop pour rater ses examens d’admission. elle qui vise les premières places, elle s’est acharnée dans les livres et le par cœur de ses notes. azur elle réussit l’écrit avec d’excellents résultats. l’oral ? son péché mignon. elle qui a le verbe bien rodée. le discours sans faille qui sort naturellement d’entre ses lèvres. azur les as conquis. Assez pour être admise à Harvard.

Belle comme la lune. Cratères poudreux qui ornent l’âme. Azur c’est la façade intacte et l’intérieur en miettes. Ruines de l’esprit qui empiètent sur l’encéphale. Poupée perfectionniste, elle aime être en haut du podium. Fait croire que la confiance l’a déborde, elle qui s’habille d’artifices, dans le mensonge d’un pas déterminé. La vérité c’est que c’est la fébrilité qui l’a ronge, l’estime de soi au rabais, elle pousse le vice jusqu’à y croire elle-même. La langue pendue, serpentine toxique qui se délie pour empoisonner son monde. Faussement sociable, trop entourée pour être vrai. Elle s’est fait une place là où on a jamais voulu d’elle. Au fond, elle apprécie pas grand monde. Complexité capricieuse, Azur c’est l’énigme qu’on a du mal à résoudre. Azur elle donne à peine, juste ce qu’il faut pour faire gober qu’il n’y a rien d’autres à voir. Détachée, un peu trop je m’en foutiste pour l’a garder trop longtemps dans les parages. Volage, elle sème sa toxine et se barre avant de trop s’accrocher. Azur c’est le chaud et le froid, c’est l’adrénaline qui pulse dans les veines, c’est l’envie d’avoir sans vouloir céder. Azur c’est le demon et l’ange, c’est le bien et le mal qui se côtoie, dans lequel elle s’emmêle. C’est les extrêmes, c’est le poison et l’antidote.

anecdote une Famille parfaite.  Mariage d’amour des parents, celui qui se fait rare, qui n’existe que dans les beaux romans. Engendre une fille unique. Couvée dans l’abondance, Azur elle n’a jamais ressentit le manque, la détresse, le besoin, l’envie. Tout lui était donné sur un plateau d’argent, élevée comme la septième merveille de ce monde. Schéma sans ombre, tableau divin, une vie qui promettait d’être sans encombres. anecdote deux Enfance difficile, Azur c’était le contraire de la fille populaire. Elle, celle qu’on détestait sans raison, elle qui attisait la jalousie sans effort. Années de collège rythmées par la violence, Azur elle est fragile, coeur éponge qui morfle encore et encore. Incapable de sortir la tête de l’eau, encaisse les critiques et les humiliations. Elle se meurt à petit feu, au fil du temps, elle a apprit à se soumettre, à y croire. À tout ces maux qui l’assaillent. Dans le silence, elle s’habitue aux représailles, se déteste, ne supporte plus son reflet dans le miroir. Ne trouve plus rien à quoi s’accrocher qui lui donnerait envie d’espérer. anecdote trois Dernier jour sombre ou début d’un enfer immonde. Azur qui jonche le sol, les coups fusent et ne sait plus d’où ils viennent. Les côtes se brisent sous les baskets abîmées, le goût ferailleux du sang emplisse ses lèvres. Elle ferme les yeux, supplie pour que ça s’arrête. Pour ne plus rien ressentir, ni la douleur ni la peine. Injustice qui guide les coups qui s’enchaînent, les minutes paraissent trop longues avant le silence de plombs. Elle retrouve le foyer familial, la gueule abîmée, seul endroit où elle se sent protégée. anecdote quatre Azur elle termine ses années de collège à la maison. Les professeurs qui défilent, coupée du système scolaire. Ne s’aime plus, ne se trouve pas assez bien. Assez belle. Ne sait plus quoi faire pour se sentir mieux dans sa peau, alors elle commence par éviter les repas. Et petit à petit, ça tourne à l’obsession. Analyse son corps devant la glace, cherche les défauts où il y en a pas. scrute le moindre de détails. Elle mange mais elle est incapable de retenir la bouffe dans l’estomac, l’envie pressante de tout rejeter au plus vite. Cercle vicieux dans lequel elle s’enfonce. Phobie grandissante dans un trop plein de besoin d’exister. Elle trouve un moyen de vivre, les réseaux sociaux dans lequel elle se fait une place. Elle commence par des petites vidéos, derrière l’écran elle se sent une autre. Une de ces femmes qui donnent envie de leur ressembler. Elle joue un rôle, s’affirme un peu trop et le concept marche un peu trop bien. Elle est reportée des milliers de fois, devient une icône malgré elle. Et elle se sent bien Azur, derrière ses photos et ses vidéos, derrière ses légendes bien rodées, derrière ce rôle qui prend trop de places. anecdote cinq Pendant un séjour au ski, elle rencontre ce mec. Priam. Il est beau, trop pour elle. Elle sait plus ce qu’elle vaut azur, juste un fantôme errant. Il est trop bien pour elle, c’est sur. Pourtant il l’a regard ce soir là, un peu trop pour passer inaperçu. Elle tombe dans l’panneau, dans la passion d’ses mots. Naïve azur, t’étais qu’un minable coup d’un soir, c’est tout. anecdote six Alors elle fait semblant de se reprendre en main, d’aller mieux, d’être cette poupée parfaite qui fera beaucoup trop d’envieux. Au milieu de sa boulimie, elle se maquille de ses plus beaux leurres. Azur, elle veut être mieux, toujours trop. Obsession qui devient maladive.

pseudo Gigi
âge 27 ans
nationalité française
forum connu par... mon enfance
ILH, j'en pense quoi ? La baaaaase
autres comptes ? @Lena Castiglia
avatar utilisé Liza.wdmn
crédits images mahenis.
nombre de mots par rp tout dépend du contexte du rp !
type personnage Inventé.
code bottin

Code:

<span class="pris">CARLA GUETTA COHEN</span> <g1>-pris-</g1> @"Azur Beaudelaire"