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Mélodie pour l'âme (libre)

Perceval Hoffmann

Âge : 37
Lieu de naissance : Houston, Texas, mais n'en garde aucun souvenir, ayant grandi à Boston (USA) et à Hamburg (Allemagne)
Quartier d'habitation / Colocation : Vit dans un dans un appartement de Beacon Hill (Boston - City Center) très souvent accompagné d'un bel acteur
Situation sentimentale : en couple avec un charmant prof de théâtre (Kristofer Vermeer), bel acteur qui a s'est glissé dans ses jours et ses nuits pour son plus grand plaisir
Études / Métier : Doctorat en Finances et management (2005 à 2014) + maîtrise en Littérature et langues étrangères (2014 à 2021) - Harvard // Commis à l'administration à l'université d'Harvard et propriétaire d'une firme de transformation de produits pétroliers, copropriétaire d'une agence immobilière louant principalement aux étudiants et personnel d'Harvard à moindre coût
Date d'inscription : 15/06/2022
Pseudo & Pronom(s) IRL : joemaw
Icon : Kevin Pabel
Faceclaim : Kevin Pabel
Crédits : joemaw
Multicomptes : Cornelius Koch / Griffith Exner
Description (1) : Taille : 6'2'' / 188 cm

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Abordable et accueillant. Actif. Calme et apaisant. Confiant. Discipliné. Éduqué et intelligent. Indépendant. Loyal et respectueux. De bonne écoute. Ouvert d'esprit et curieux.

Description (2) :
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Amateur de musique - en particulier de mélodies au piano -, de vieilles légendes de chevaliers et de romans en tout genre, Perceval aurait parfois le profil type de l'intellectuel cliché - lunettes incluses bien que stylées -, si ce n'est qu'il est tout aussi actif, faisant un jogging à tous les jours ou presque, tirant de la fonte à la salle de sport, trainant sur les cours de tennis ou acceptant une position de joueur manquant pour une partie de soccer (foot européen) ici et là.

De manière générale, il dégage une aura calme et apaisante. Et bien qu'il n'aie pas toujours le réflexe de partager les détails de sa vie, se faisant parfois meilleur écoute qu'autre chose, il suffit parfois simplement de poser la question pour avoir la réponse. Gentleman à ses heures, il a parfois des attentions auxquelles certain/nes ne sont plus habitué/es dans la vie courante.

Préférant un mode de vie simple, il a tout de même été élevé en voyant ce que peut-être une vie sous les projecteurs, passant la sienne dans les coulisses du succès de sa mère, écrivaine, et de son grand-père, haut dignitaire allemand.

Il tend à choyer les personnes qu'il apprécie sans réellement compter, ni attendre de retour et, ce, que ce soit de son temps ou son argent. Cependant, même s'il est bien élevé et ne souhaite que très rarement prendre part à des confrontations, il peut vous faire comprendre assez rapidement qu'il ne cautionne pas vos actions, votre attitude ou votre personne dans son ensemble, pour ce qu'il en connaît.

Description (3) :
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libre - Mélodie pour l'âme (libre) Perceval

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Warnings : concernant l'histoire de Perceval : tromperie/enfant illégitime
RPS : 225
Messages : 1713
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Perceval Hoffmann
est en ligne
FIRE STARTER › who can stop me?
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t148628-perceval-hoffmann-kevin-pabelRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t166737-perceval-hoffmann-oliver-matthew-davis-griffith-exner-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t166501-perceval-hoffmann-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155943-meetsachussets-thehoffmannknight01
Mélodie pour l'âme

On dit que la musique peut altérer les maux,
apaiser les âmes
ou enflammer les coeurs...

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Player 1 & @Perceval Hoffmann




Journée tranquille à l'administration, on t'avais accordé un congé que tu n'avais pas demandé à ce que ce soit le cas. L'idée de rentrer chez toi ne te faisait pas tant de charmes et aller flâner en ville, près des boutiques ou des restaurants ne t'étais pas plus inspirant. Ramassant tout de même tes effets, tu avais enfilé ton par-dessus saisi ton porte-document et c'est en saluant l'une de tes collègues que tu avais su ce que tu allais faire. En espérant que ce soit possible.

Il t'avait suffit d'entendre les quelques notes de piano qui constituaient sa sonnerie de téléphone pour te diriger vers le département musical de l'université, sachant que tu y trouverais probablement un grand piano, luxe comparé au piano droit qui loge dans ton appartement. Tes pas t'ont donc mener jusqu'aux locaux remplis d'instruments, plusieurs occupés par des cours ou quelques répétitions que ce soit. T'as pas envie de chasser qui que ce soit, même si, vouloir être chiant, tu pourrais surement montrer ton badge administratif et donner quelque raison que ce soit. Mais c'est pas ton genre.

Trouvant finalement un local vide d'occupant et disposant de l'instrument qui t'intéresse, tu t'avances lentement, passant tes doigts avec respect et envie sur les notes d'ivoire. Quelques sons s'échappent, te laissant savoir qu'il est assez bien accordé. Délaissant mallette et par-dessus sur une chaise à l'écart, tu reviens t'installer devant le clavier. Y laissant courir tes doigts, c'est presque par automatisme que tu fais quelques échauffements, sans réellement y penser. Puis tu t'accordes un instant, enfilant un seul écouteur, sélectionnant une piste de lecture sur ton téléphone avant de te laisser emporter par une mélodie, accompagnant ce qui joue à ton oreille, fermant les yeux pour t'immerger.


musique : Nuvole Bianche par Ludovico Einaudi
(Perceval Hoffmann)



   
I didn't think it was possible
To make me smile quite like you do
When I gaze upon your gentle face
There's something magic about you
It's this feeling i get in my chest that

You feel like home
Anonymous

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Mélodie pour l'âme

On dit que la musique peut altérer les maux,
apaiser les âmes
ou enflammer les coeurs...

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@Perceval Hoffmann & @Chiyoko Matsui




Cours fini, je revivais depuis mes premiers pas à Boston, je découvrais une vie sans contraintes, une vie douce, comme je souhaitais la vivre. Enfin, je m’échappais des mailles de cette pression familiale, qui me pesait depuis si longtemps. J’avais du temps pour moi, je suivais des cours qui me faisaient vibrer, grâce auxquels je n’avais plus cette impression que je ne méritais pas cette place, que je me devais de rester dans cette ombre constante, loin des feux des projecteurs auxquels avaient droit mes frères et sœurs. Et pourtant, je savais que si j’étais ici, c’était aussi grâce à ce sang qui coulait dans mes veines, qui m’avait payé l’une des meilleurs école secondaire, des cours de musique à n’en plus finir et qui malgré tout m’avaient poussé dans ces études de médecine, à l’aube de mes 17 ans et où j’avais trouvé cet attrait pour la gynécologie. Mais j’avais tout plaqué, pour financer dans le dos de tous, sous cette nouvelle identité sur laquelle j’essayais de ne pas attirer l’attention.

Mais il y a bien quelque chose qui m’avait été transmis, au-delà de l’audace et l’ambition, c’était ce goût si marqué pour la musique, une culture musicale vaste, des vinyles de grands opéras, des listes complètes d’artistes que mes parents adoraient et dont ils nous avaient partagés chaque musique. Et parmi le peu d’affaires que j’avais importé, mon violon avait une place de maître, la seule chose de laquelle je ne pouvais pas me séparer. Alors, avec le temps que j’avais devant moi, je pouvais jouer un petit morceau dans les salles de musique d'Harvard. Plusieurs salles semblaient vides, ou tout du moins aucun son ne s’en échappait. Mais l’une attirait mon attention, de laquelle une douce mélodie qui ne m’était pas inconnue s’échappait. Je m’avançais silencieusement jusqu’à l’embrasure de la porte, observant l’homme au piano, ses doigts parcourant avec grâce le clavier aux nuances d’ivoires et d’ébène. Cela faisait une éternité que je n’avais pas entendu une de ces compositions. Et, une fois que le morceau prit fin, je soufflais enfin : “Ludovico Einaudi…” sans même m’excuser de mon indiscrétion.
(Invité)