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Les originesgrecques, écossaises, anglaises, irlandaises, italiennes, allemandes, françaises.
feat. lucas bravo
11 avril 1994, new-yorkais né, élevé et chéri dans les quartiers privilégiés de l’upper east side.
américaine uniquement, jusqu’à preuve du contraire.
entre deux gardes, il se plonge volontiers dans les premières courbes féminines sur son passage. la frénésie de son métier ne permet au célibataire qu'il est que des aventures sans lendemain ou des relations expéditives, hâtivement éclatées par ses heures professionnelles garnies.
en première année d'internat au massachussets general hospital, fraîchement diplômé de la faculté de médecine d'harvard, dans le but d’être chirurgien plastique.
loin d’être modeste, descendant d’une famille aisée du côté de la génitrice, il ne pouvait pas en dire autant de l’autre partie ayant participé à sa conception mais il importait peu.
Le caractère
franc, antipathique, arrogant, audacieux, vaniteux, calculateur, meneur, rigide, pragmatique, précis, persuasif, observateur, manichéen, rancunier, logique, ironique, cynique, inébranlable, minutieux, hautain, futé, passionné, exigeant, perfectionniste, effronté, déraisonnable, cultivé, curieux, charismatique
Les anecdotes
- ( i am the villain you created )famille dysfonctionnelle avant même sa venue au monde; une mère d’âge avancé, esseulée, éprise de ce désespoir de ne pouvoir donner vie et un père, tombé du ciel, au moment opportun. naissance précoce d’atlas et sa soeur jumelle, d’une relation tenant à peine sur un fil, presque douteuse. deux pour le prix d’un. atlas pouvait mettre sa main à couper que ses parents ne se fréquentaient que par intérêt; l’une pour assouvir son voeu le plus cher d’enfanter, l’autre afin de se créer un nom dans ce monde privilégié et fermé. jumeaux weaver grandissent dans un foyer typiquement new-yorkais de la haute société, entourés de discipline et froideur. parfois atlas soupçonnait son géniteur de faire tâche dans ce monde, un cheval de course boiteux au milieu d’étalons mais ne s’y attarda jamais. l’absentéisme dont il faisait preuve ne méritait pas d’attention particulière de sa part. jusqu’à ce jour fatidique, à ses dix ans, lorsqu’une dispute éclata entre ses parents. des accusations lancées, aucun déni. père n’était pas celui qu’il prétendait; le cheval boiteux révélait plus qu’une simple foulure, il était même fracassé. papa weaver n’avait jamais porté d’amour à sa femme, seul son statut social l’avait retenu au piège de cette relation; une autre famille l’attendait quotidiennement dans une ville miteuse du michigan. révélation que petit atlas avait avalé sans émotions mais détermination; cette détermination qu’il n’adresserait plus jamais ni la parole ni l’attention à cet homme dont il avait hérité le patronyme.
- ( better half of me )seul être capable de raisonner l’adolescent imbu de lui-même qu’il était devenu, sa soeur, sa jumelle, son alter ego féminin. deux âmes lâchées dans la société de requins de l’upper east side, n’ayant pour choix que de se serrer les coudes pour ne pas sombrer. quand lui s’élevait dans la popularité, elle sombrait dans les abysses de l’impopularité mais atlas la rattrapait toujours au vol, main tendue pour la retenir de la noyade. malheureusement, cette main ne suffit pas et le drame s’imposa lorsqu’elle avait fini dans ce lit d’hôpital, yeux clos, faciès à moitié défiguré. attaque à l’acide. la colère qui l’avait imprégné ce jour là atlas, seul sa soeur inconsciente eut le droit au spectacle complet. sa main en avait fini tout aussi fracassé que son âme et tandis qu’elle s’était réveillée, impuissante, il lui promit de rendre sa puissance, lui redonner des ailes.
- ( how to sa
vebotage a life )chirurgie plastique. études longues et fastidieuses mais le pouvoir auquel il avait pu observer durant toutes ces années avec le chirurgien de sa soeur l’avait convaincu que ce métier en était sa vocation. et quand atlas était convaincu, persuadé d’une idée, d’une direction, l’obsession qu’il s’impose pour atteindre le bout de la ligne était sans nom. prêt à tout, nombreuses sont les fois où il avait volontairement évincé toute concurrence durant ses études, notamment avant la sélection pour l’école de médecine d’Harvard. rien de machiavélique - du moins, selon son point de vue. il usait fréquemment, par exemple, de son charme pour accaparer l’attention de ses adversaires, souvent féminines, la veille d’examens et embarquer ‘malencontreusement’ tout appareil faisant office de réveil. fausse innocence le lendemain, aucune preuve tracée, atlas s’en tirait toujours. manipulateur, calculateur, sans remords - un vrai requin digne de l’upper east side. - ( my mind is a weapon )ne vous méprenez pas, ses stratagèmes d’évictions d’adversaires ne décrédibilisent en rien ses capacités. atlas est intelligent, très intelligent, un putain de doué qui en est plus que conscient. l’école de médecine le salua d’un parcours sans fautes, de stages sans encombres - académiquement parlant, le relationnel vis à vis des clients était un autre débat. son cerveau était une vraie arme, qu’il n’hésitait pas à utiliser à toute occasion pour montrer sa supériorité; l’étudiant et interne un tantinet détestable qu’on aimerait jeter sous un bus, c’est lui. mais il n’en a que peu faire, seul le support de sa soeur comptait, seul sa victoire comptait. accaparé par ses réussites, il se donne la mission de révolutionner la chirurgie plastique atlas, rien que ça et il y arrivera, il le sait. sa vie sociale ou ceux qui l’entouraient importaient guère, il avait de quoi se sustenter niveau relation charnelle de temps à autre pour relâcher la pression si besoin.
- Code:
<div class="card-user-bottin-iwantit"><iwantit class="text-s-bebas text-upper">LUCAS BRAVO</iwantit><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Atlas Weaver"</span></div>
(Invité)
(de te détester et de te casser les deeents)
