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all roads back to you. — elias

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Le rentrée vient à peine de débuter que ton emploi du temps est déjà fort chargé bien que réglé comme du papier à musique. Tu pourrais être submergé par tout cela mais tu ne l'es pas car la routine se veut sécuritaire quand bien même il y a encore du boulot à faire sur tes insomnies. Ces dernières avaient été presque inexistante lorsque tu avais passé quelques nuits chez Elias. Rien que le fait de songer à lui, ton ventre se tord. Étant donné que Louise passait la semaine chez son père, tu en avais profité pour aller courir le long de la plage sur carson beach. Un peu plus d'une heure à faire un bon jogging en compagnie de Fidji et Oslo. Tes deux golden retriever avaient besoin de se dépenser eux aussi. Une demi-heure plus tard, tu sors de la douche et enfile une tenue décontractée avant d'enfiler l'un des énormes sweat à capuche de ton frère. Ilan te manquait mais heureusement tu pouvais compter sur la présence de Jill même si ce soir elle dormait chez une amie. Les cheveux encore humide, tu décides de rabattre la capuche de ton sweat sur ta tête pour ne pas choper un coup de froid et file sur le balcon. En bas, la ruelle principale s'agite déjà d'une effervescence nocturne. La nuit est déjà tombée, les jours raccourcissent et avec eux l'arrivée imminente de la période automnale. Soudain, la sonnette de la porte retentit tout à trac, provoquant une montée de stress qui s'évapore une fois que tu es devant la porte. Tu jettes une œillade par l'interphone électronique, surpris de découvrir Elias. Tu ouvres de suite la porte, le cœur battant. « Elias ? Il est arrivé quelque chose à Lou ?! ». Tu sors sur le pas de la porte pour voir ta poupée te jouait un tour mais elle n'est pas dans l'entrée alors pourquoi le jeune Wertheimer est devant ta porte à cette heure-ci. « Qu'est-ce qui se passe, tout va bien ? ». l’interroges-tu tout en repoussant tes lunettes de vue sur le bout de ton nez.
@Elias Wertheimer
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Tu ne devrais pas être ici, devant chez Edie. Tu ne devrais pas débarquer chez elle quand ça te chante, sans réfléchir avant. Tu dois la laisser vivre sa vie, avancer aux côtés de sa famille, de votre fille et d’un mec bien. Seulement tu vois bien qu’elle essaye de te repousser en prétendant que c’est pour ton bien. Elle essaie de te faciliter la tâche, ta prise de décision. C’est surement pour son bien aussi, pour ne pas souffrir. Sauf que voilà, ce soir t’es sorti. T’as été boire un verre avec des copains et puis un second… et un nouveau. Bon finalement, t’as arrêté de les compter, tu t’es éclipsé et t’es parti retrouver Edie parce que c’est avec elle que tu veux être ce soir. T’as pas envie de rentrer à la villa et te retrouver tout seul comme un con parce que Louise est avec Rose. Tu sonnes donc à la porte de ton ex et elle s’empresse de te répondre dans son sweat à capuche, lunettes de vue sur le bout du nez. Tu ne peux pas t’empêcher de sourire en la voyant dans cet accoutrement. T'es trop mignonne. Tu acquiesces le fait que tout aille bien. Silencieusement, tu attrapes son visage entre tes mains avec délicatesse pour ne pas lui faire peur non plus. Finalement, tu viens à nouveau déposer tes lèvres sur les siennes, comme la dernière fois. Sauf que cette fois-ci, tu t'écartes pas et tant pis si tu te prends une claque ! En plus tu dois puer l'alcool. Elle va vraiment te prendre pour un con ! @Edie Reuben
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La porte d'entrée grande ouverte, tu prends le temps de toiser ton ex qui sur le pas de la porte alors que la nuit est déjà tombé. La couleur azuré de ses iris est sombre, ses traits d'expression détendus preuve sans doute qu'il a déjà bu quelques verres. Une idée qui se confirme lorsqu'il se rapproche de toi, te sortant un compliment. Il te répond d'un signe de tête que tout va pour le mieux avant d'attraper ton visage entre ses mains avec une tendresse toute délicate en dépit de son état. « Tu … ». tu n'auras pas le temps de finir ta phrase qui s’essouffle sur tes lèvres lorsque les siennes les capturent. Un geste qui te surprend dans un premier temps mais auquel tu réponds avec plaisir sans réellement t'en rendre compte. Un baiser qui à le goût d'une nouvelle découverte, bien lointaine de ce que vous avez déjà vécu tous les deux. Une proximité qui te fait frissonner alors que tu découvres à nouveau son parfum couplé au mélange d'un alcool et menthol. Ta main descend sur sa joue, la caresse et ton myocarde s'affole un peu plus lorsque tu entends l'aboiement sans vergogne de Fidji dans le couleur de l'entrée. Une tonalité coutumière à ton oreille car il aboie à chaque fois qu'un mec t'approche et tu t'écartes doucement de quelques pas, la main gauche sur tes lippes. « Fidji, ça suffit ... ». Le chiot s'assoit le regard rivé sur Elias avant de repartir dans le salon et tu secoues la tête amusé par son comportement. «  Tu devrais pas resté dehors, entre. ». Lui dis-tu en fermant la porte derrière toi. « Tu as mangé quelques choses en buvant ? Tu veux que je te prépare quelque chose ? ». Tu ne voulais pas lui poser de telles questions tel que : que fais-tu ici à cette heure-ci ? Ou pourquoi ne profites tu pas de Louise car c'est ta semaine ? Ton esprit est chamboulé, tout comme ton cœur mais tu sais aussi que pour lui c'est compliqué. Tu marches jusqu'à la cuisine, remontant tes lunettes de vue sur le sommet de ta tête.
@Elias Wertheimer
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Tu ne lui laisses aucun répit à Edie. T'en as conscience. A chaque fois que ça fait longtemps que tu ne l'as pas croisé, tu t'arranges pour que ce soit le cas, comme si tu avais peur qu'elle t'oublie. Tes entrées sont toujours aussi mémorables. Un brin alcoolisé, c'est l'envie qui parle plus que la raison. Tu ne cherches pas à comprendre ce qu'elle désire, ni même pourquoi elle prend réellement ses distances avec toi. Ce soir, tu agis tout simplement comme tu en as envie et tu ne comptes pas lui laisser le temps de douter. Tes lèvres viennent capturer les siennes sans lui demander l'autorisation. Ton souffle chaud se perd sur sa peau, comme s'il avait envie de mourir à cet instant précis. Tes yeux sont remplis de désir et ton coeur bat la chamade alors qu'elle prolonge cet échange. Ce qui vous fait sortir de cette transe, ce n'est autre que son chien qui vient se mêler de ce qui ne le regarde pas. Enfin quitte à choisir, tu préfères que ce soit un chien plutôt qu'un autre homme. Tu n'es pas certain que tu l'aurais bien accueilli alors que c'est toi qui t'incrustes. Tu questionnes le chiot du regard, comme si tu essayais de le défiler. Il ne peut pas rivaliser. T'es beaucoup plus grand et plus fort. Et puis, tu sais les amadouer les animaux. Enfin là, t'as pas vraiment besoin puisqu'il finit par faire demi tour et ton ex petite-amie t'invite à rentrer. T'es surpris. Tu ne t'attendais pas à cette réaction. Tu pensais qu'elle allait te rabâcher le fait qu'il était tard, que tu n'avais rien à faire là, que tu devrais être aux côtés de Louise... Et pourtant, elle t'invite à entrer même si elle a conscience du fait que t'as picolé. Tu passes nerveusement ta main sur ta nuque quand elle fait cette remarque mais, tu prends pas le temps de répondre parce qu'elle ne t'écoute plus. Elle est déjà repartie en direction de la cuisine et c'est exactement là que tu te rends après avoir refermé la porte derrière toi. Tu l'attrapes par la taille pour caler ta tête contre son épaule avant de murmurer : C'est toi que je veux... Ça a le mérite d'être clair. Tu pivotes la tête pour embrasser sa nuque avant de rajouter : S'il te plait... Comme un enfant qui souhaite juste qu'on cède à un caprice ! @Edie Reuben
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Sentir ses lèvres contre les tiennes : toucher d'un velours qui n'était plus qu'un souvenir. Vestige que tu aurais dû occulter avec le temps, que tu pensais avoir oublier mais tu t'étais voiler la face comme de manière plus singulière ton frère. Cette proximité est brûlante d'un désir qui tente de maîtriser au silence, de dissimuler aussi mais au contact de Elias – c'est impossible. L'aboiement du jeune labrador surgit comme pour te raisonner, faire de nouveau la lumière dans ta conscience. Une conscience qui te murmure qu'il n'est pas tout à fait en ordre avec ses pensées parce qu'il a bu quelques verres mais aussi qu'il n'est pas tout à fait à toi mais tiraillé entre deux feux. Tu ne veux pas lui rendre les choses plus difficiles, il ne mérite pas cela. Encore une fois, tu songes au bien être de tes proches plutôt qu'à toi-même mais c'est ainsi que tu fonctionnes. Tu recules de quelques pas, fermant la porte de l'entrée et te dirigeant vers la cuisine. Tu le questionnes pour savoir s'il a mangé quelque chose, t’apprêtant même à  lui cuisiner quelque chose – tout est bon pour éviter son regard azuré qui décline des émotions silencieuse. Regard dont votre fille a hérité d'ailleurs. Tu es toujours dos à lui, en train de t'activer à débarrasser le comptoir de ton ordinateur lorsque tu sens ses bras se refermer autour de ta taille. Son menton posé sur ton épaule, tu peux ressentir son souffle caresser ton cou alors qu'il te murmure des mots qui te surprennes et tu frissonnes de suite. À l'intonation de sa voix, tu perçois comme une détermination réfléchie et cela suffirait presque à briser tes chaînes. Ces murailles que tu as mis si longtemps à fonder, à construire et à ériger depuis des années. Il dépose un baiser léger sur ta nuque qui électrise ton échine dorsale. « Elias ... ». Un chuchotement entre tes lippes alors que tu déposes tes mains sur les siennes avant de te retourner pour lui faire face. C'est dur pour toi de le regarder dans les yeux parce que c'est un océan dans lequel tu aimerais te baigner indéfiniment.  Tes mains saisissent toujours les siennes et tu te focalises dessus pour le moment. Tu songes à ses mots précédents, ceux qui énoncent qu'il te veut toi … mais pourtant tu sais qu'il y a une autre jeune femme, tu les as vu dernièrement. Tu déposes une main sur la joue du Wertheimer, fixant ses prunelles si unique tandis que tu peines à prendre la parole. Et parce que tu es faible, amoureuse de lui, tu suis les élans capricieux de ton cœur et non la raison et tu l'embrasses.
@Elias Wertheimer
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Tu sais que tu ne devrais pas faire ça. Tu ne devrais pas lui mettre cette pression. Edie a besoin d'un type bien qui sache s'occuper d'elle, de ses besoins, de ses envies. T'as pas été ce type à l'époque alors, pourquoi tu le serais aujourd'hui ? Même lorsqu'elle était enceinte, tu n'arrivais pas à te comporter comme un mec bien et amoureux. Pourtant, t'es persuadé que tu l'étais. Tu préférais juste vagabonder, aller voir d'autres filles pour te sentir libre de toutes responsabilités. Même Louise n'a pas su tout de suite te convaincre du fait qu'il était temps d'arrête et de grandir. C'est seulement plusieurs mois plus tard que tu t'es dit qu'il était temps de devenir un homme. Alors, c'est comme tel que tu devrais te comporter ce soir. Tu ne devrais pas te jouer de ses faiblesses. Tu sais qu'en l'ayant si près de toi, elle ne peut pas te résister. Tu sais qu'il te suffit de la regarder dans les yeux pour qu'elle te décroche la lune. T'en joues un peu, beaucoup même ce soir. Son souffle contre sa nuque, tes lèvres qui viennent marquer leur territoire alors qu'elle est loin de t'appartenir la belle. Elle devrait te stopper. Elle essaye de le faire d'ailleurs. Tu entends ton nom, presque comme un supplice. Tu dois t'écarter, la laisser respirer, réfléchir en pleine conscience. Mais non encore une fois, ce sont tes envies que tu écoutes et tes mains restent sur ses hanches même que ses doigts les rejoignent. Elle se retourne finalement et tu te dis qu'elle va prendre la fuite. Elle va te mettre le plus beau vent du siècle. Mais non rien de ça, pas même une gifle pour être entré dans sa sphère sans y être invité. Au contraire, c'est elle qui t'embrasse cette fois-ci et tu ne te fais pas prier pour répondre à son baiser, resserrant la pression de tes doigts sur son corps pour la sentir davantage contre toi. On s'en fiche pas mal de combien e verres tu as bu ce soir. Tu peux enfin l'avoir contre toi, glisser tes doigts dans ses cheveux jusqu'à sa joue pour ne pas qu'elle se dérobe. Tu veux redécouvrir son corps, ses caresses, ses baisers. Tu veux figer le temps. Alors tu ne dis rien et tu te contentes d'agir. @Edie Reuben
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L'interdit. Un mot qui raisonne sur deux tempo celui de l'antérieur, celui de l'avenir aussi. L'interdit est comme une saveur que tu redécouvres depuis que tu ne dissimules plus tes émotions personnelles. De coutumes, ces dernières sont voilés sous une masse épaisses que tu ne laisses entrevoir par personne. Non, tu ne laisses jamais tes ressentis interférer dans ton existence et ce quitte à ce que tu sois malheureuse. Le bien être des autres passe bien avant le tien. Pour autant, présentement, tu apprivoises une situation que tu as déjà connu mais qui reste avant tout nouvelle pour toi. Ta proximité avec Elias ne devrait pas être pour la simple est bonne raison qu'il n'a pas encore posé une décision sur tes sentiments mais résister à la tentation semble compliqué lorsqu'il est dans les parages. Le toucher de ses lèvres contre ta nuque, ses mains sur tes hanches, des caresses sous lesquelles tu te liquéfies et tu sais qu'il en a conscience. Seulement, c'est aussi ton cas. Tu ne devrais pas plier sous le poids de la tentation, ce fin caprice intérieur alors que ta raison lutte pour te maintenir dans la bonne direction. Un soupire silencieux, une croisée des chemins dans le bleu de ses yeux, un murmure pour prononcer son appellation … et tu finis pas craquer. Faible ? Tu l'es, tu en as pleinement conscience mais tant pis, plus tard tu te soucieras des conséquences. Pour le moment, tu n'as que sa présence à l'esprit, la mémoire des instants qui se redécouvrent à nouveau. Mémoriser le grain de sa peau qui glisse sous tes doigts, de tes lippes qui cherchent les siennes. Une main derrière sa nuque, tu prolonges votre baiser tandis que vos corps se rapprochent. Ton autre main glisse dans ses mèches sombres et tu recules quelques peu pour rencontrer la couleur unique de son regard. Le souffle quelque peu court, tu respires contre sa bouche sentant son haleine sur le bas de ton visage. Depuis la naissance de Louise, tu n'as jamais eue d'histoire de cœur, aucune aventure. Alors, oui tu risques d'être maladroite et cette pensée de te faire quelque rire de toi-même. « Demain tu risques de m'en vouloir de ne pas t'avoir arrêter … ». Souffles-tu tout doucement en enlevant la veste du brun. Tu hausses les épaules, parce que tant pis, tu prends le risque. Tu l'embrasses à nouveau tout en rapprochant de lui.
@Elias Wertheimer
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Elle va le regretter au petit matin. Ce n'est pas toi qui vas regretter tes actes. Tu vas surement être surpris par le cran que tu as eu en te pointant chez elle à une heure aussi tardive alors que tu devrais être aux côtés de votre fille mais, c'est tout. Tu ne vas pas regretter tes paroles et encore moins tes actes parce que la sentir aussi proche de toi, laisser les battements de ton coeur se caler aux siens, c'est magique. Pouvoir goûter à ses lèvres et sentir ses doigts parcourir ton corps... T'as l'impression de faire un bon dans le passé. C'est comme la première fois qu'elle t'a autorisé à l'embrasser avoir t'avoir fait galéré pendant de longs mois. T'étais pas un type bien et elle n'aurait pas du te laisser ta chance. Mais sans ça, vous n'en serez pas là aujourd'hui. Peut-être que t'es pas mieux aujourd'hui. T'as conscience de l'effet que tu produis sur elle et t'en profites. Bon ok, c'est toi qui as picolé et pas elle, Edie est maître de ses pensées, de ses actes, elle sait parfaitement dans quoi elle s'embarque quand elle vient poser à nouveau ses lèvres contre les tiennes. Sa main dans tes cheveux te fait frissonner, te donner envie de donner le meilleur de toi-même pour la satisfaire, aujourd'hui et les jours prochains. Tu quittes ses lippes seulement pour reprendre ton souffle. Tu souris en hochant négativement la tête, frôlant l'arrêt de son nez par la même occasion. Demain, tu risques de regretter de m'avoir ouvert la porte... Mais tu ne lui laisses pas le temps de penser à cela. T'as pas envie qu'elle change d'avis. Tu l'aides à retirer ta veste qui finit sa course à même le sol de la cuisine avant de passer tes mains sous son t-shirt pour le lui retirer. Tu ne perds pas une seconde avant de gagner à nouveau ses lèvres, la faisant doucement reculer pour quitter ce lieu, bras autour de sa taille pour la garder près de toi de peur qu'elle ne s'échappe. @Edie Reuben
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Le regret n'a pas réellement de place dans ton esprit. Présentement, seuls le caprice et l'envie se mêlent tels deux péchés auquel tu ne peux résister. Âme faible que tu es à l'heure actuelle. Il vogue légèrement dans ta conscience mais tu t'en fiches alors que ses lèvres capturent les tiennes. Une analepse qui se transpose aisément au présent mais dont tu profites d'une étrange manière. Elias a bu quelques verres – combien tu ne le sais pas – mais assez pour laisser parler son for intérieur. En revanche, toi, tu n'as rien consommé hormis une anxiété tacite que tu chasses pour un aplomb dans tes gestes alors que tu enlèves la veste du jeune Wertheimer. Le bout de son nez frôle le tien tandis qu'il murmure une réponse à tes dires précédents. L'encre noisette de tes iris se pose sur son regard azuréen emplit d'une poésie dont lui seul à le secret, l'énigme aussi. Tu n'as pas le temps de raisonner davantage car il t'aide à retirer sa veste qui jonche désormais sur les sols. Ses mains expertes n'ont rien perdus alors qu'elles se fraient un chemin sous ton t-shirt qui rejoint également le vêtement déjà sur le sol de la cuisine. Vos lippes se trouvent à nouveau, chorégraphie d'une proximité qui n'a rien perdu de découverte et de sensation. Elias te tiens fermement contre lui tandis que tu marches en reculons sans cesse de l'embrasser. Un verbe, une osmose que tu as la crainte de briser une bonne fois pour toute si jamais tu venais à faire marche arrière. Son contact t'empêche de le faire et ton envie prend le pas sur ta raison. Un fait qui n'arrive jamais de coutume, enfin depuis la naissance de ta petite fille. Ta main gauche se glisse maladroitement sous son t-shirt et tu redécouvres les muscles de celui pour qui tu as des sentiments. Des émotions qui ne sont jamais véritablement partis. De ton autre main tu ouvres la porte de ta chambre plongé dans l'obscurité de la nuit et la luminosité faible des étoiles. Tu recules légèrement ton visage, sentant le souffle chaud de Elias dansait sur tes lèvres. « N'allume pas la lumière ... ». Murmures-tu contre sa bouche avant de l'embrasser à nouveau et retirer son t-shirt. Tu as peur. Peur de te montrer de nouveau devant lui car ton corps n'est plus véritablement le même depuis que tu as accouché de Louise. Mais tu es aussi anxieuse car tu es tout l'opposé d'un mannequin. Manques-tu de confiance en toi ? Cela n'a pas véritablement changé donc autant rester dans le noir pour ne pas tout gâcher.
@Elias Wertheimer
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C'est compliqué de se résigner. De l'avoir si proche de toi constamment et ne pouvoir rien tenter parce que tu la respectes beaucoup trop pour cela. C'est la mère de ta fille, celle que tu as sans doute le plus aimé dans ta vie et le plus déçu également. C'est celle que tu aimeras jusqu'au dernier jour, quoiqu'il arrive et quoiqu'elle fasse. Edie t'a offert la chose la plus précieuse au monde et toi, t'as pas envie de briser sa vie en contrepartie, même si tu l'as déjà fait dans le passé. Pourtant, un peu l'alcool et te voilà beaucoup plus enclin à transgresser les règles, même auprès de la jeune femme. Le truc, c'est que tu te dis qu'elle en a vraiment envie sinon, elle t'aurait repousser depuis longtemps. Edie n'est pas le genre de femmes qu'on force à faire quelque chose. Elle est bornée et elle sait parfaitement ce qu'elle veut. Si vous en êtes là ce soir, c'est qu'elle le désire elle aussi. Ses yeux noisette plantés dans ton regard te donnent à la fois envie de continuer et de t'arrêter, de t'excuser d'être aussi con. Pourtant, ta veste vient joncher le sol et son t-shirt la retrouve assez rapidement. Tes mains encerclent sa taille pour la garder près de toi et l'entraîner ailleurs que dans la cuisine. Ça aurait pu suffire mais, pas pour Edie. De toute façon, tu sais qu'elle serait contre. Sa main se fraie un chemin sous ton t-shirt et mine de rien, ce contact te fait tressaillir. Vous gagnez l'obscurité de sa chambre, porte que tu refermes rapidement, comme par habitude. Pourtant ce soir, vous êtes seuls, la nuit vous appartient. Tu quittes ses lèvres seulement pour lui donner l'occasion de s'exprimer. Alors que ton doigt frôle l'interrupteur mais, elle te stoppe directement et tu te ravisses. Tes mains viennent encercler son visage pour rompre à nouveau le contact et pouvoir à ton tour glisser quelques mots. Edie, on a eu un bébé ensemble je te rappelle... Autrement dit, tu l'as déjà vu dans son habit le plus simple et t'as jamais été déçu pour autant. Malgré tout, tu comprends que c'est important pour elle alors, tu inspires profondément et l'aides à retirer ton t-shirt que tu balances un peu plus loin dans la pièce. Ok, comme tu veux ! Tu la fais reculer jusqu'au lit avant de lâcher un juron contre ses lèvres quand tu finis par marcher sur un ours en peluche au coeur bruyant. Lou... Tu râles un peu, amusé malgré tout par la situation. Tu l'envoies valser un peu plus loin avant de reporter ton attention sur la jeune femme. Tu l'embrasses à nouveau, un baiser plus intense, plus passionnel que les précédents : T'en as envie...? Parce que tu ne veux pas la forcer pour autant. Tu n'as pas envie qu'elle t'en veuille demain et qu'elle se mette à nouveau à t'éviter. @Edie Reuben
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