Accueil
Invité
est en ligne
Invité
Les originesfrançaises et allemandes héritées du sang paternel, hongroises de sa génitrice
feat. barbara palvin
reims, france, le 11 avril 1998
allemande, élevée sous le règne princier wittgenstein, à francfort, depuis la mort tragique et précipitée de son paternel
pansexuelle. électron libre, impossible à enfermer en cage malgré ses nombreuses tentatives
danseuse étoile remplaçante au boston ballet, l’accomplissement lui permettant de frôler du bout des doigts son rêve ; récemment barmaid à mi-temps à ce bar bostonien, badgirlz puis photographe événementiel, précisément de cérémonies de mariage, lorsque la marée financière menace de la noyer
pauvre, fait parti de ce peuple en constante bataille pour joindre les deux bouts en fin de mois afin de survivre
Le caractère
dynamique, impulsive, ambitieuse, intelligente, battante, débrouillarde, perspicace, cynique, sarcastique, spontanée, nonchalante, dispersée, tornade, créative, astucieuse, réactive, séductrice, acharnée, opiniâtre, entreprenante, expressive, désinvolte, sociable, un tantinet pessimiste, franche, tête brûlée, critique, décisive, téméraire, pragmatique, passionnée
Les anecdotes
- ( 01 )une mère sortie tout droit d’un conte merveilleux, une pale copie grotesque de la mélodie du bonheur et un père abstrait, tant bien présent que transparent fut l’addition cocasse qui engendra elena kovacs-rosier, fille unique, aussi épineuse que son patronyme la vend. alliage franco-coréen, ayant posé sa graine en france, atterrit sur un terrain neutre aux neuf ans de la petite : allemagne.
- ( 02 )dès l’instant où elle a su coordonner ses pieds, elena dansait malgré elle, animée par des vibrations d’une musique de fond, par une sensation de bien-être, de liberté. à ses trois ans, elle rejoint une classe d’initiation à la danse classique, sous le regard dubitatif des parents. p’tite elena est au summum de l’allégresse.
- ( 03 )maman rosier rêvait, beaucoup, rêvait d’aventures et d’ambition, rêvait d’enseigner, de partager son savoir aux générations futures, de contribuer à l’héritage de la langue de molière ; rêve utopique, vite brisé par le décès de papa kovacs. un accident, inattendu, tragique, fatal. mama rosier s’enfuit de la capitale, trouve refuge chez un aumônier, elena sous les bras, s’imbrique dans la principauté allemande les semaines à venir, devient nourrice. ambitions tombées aux oubliettes, peu importe, elena est logée, nourrie, protégée ; elena s’entiche du petit prince dont mama s’occupe. soren qu’il s’appelle. elle fit assez vite connaître sa voix petite elena, loin d’être intimidée par le jeune prince.
- ( 04 )deux enfants séparés par un monde, réunis dans les joies du jeu du chat et de la souris. elena, vivace, perspicace prend vite conscience des océans qui les divisent, du statut princier de soren, de son.. simple rang de peuple, de bas peuple, de prolétariat. mais obstiné et sans doute un tantinet rêveuse à l’époque, à l’image de sa mère, elle s’accroche. bercée par les douces illusions de ses romans, illuminée par l’idée d’être princesse. elena osait rêver. mais comme tout rêve, ce n’est que mirage, que fantasme. soren, la faucheuse de son propre conte de princesse, l’impitoyable prince de ses cauchemars, lui rappelle, bien des années plus tard, que tout n’était que ça : un rêve. dix-huit ans et la magie de cupidon s’envolait.
- ( 05 )adolescente indomptable, constamment piquée au vif par le fils de sa principauté, imprévisible ; aucune surprise n’est émis lorsqu’elena fuit son pays d’adoption pour.. vivre. danseuse avérée, photographe en herbe, l’esprit enivré d’adrénaline de ces futures aventures, elena prend le voile sans aucune hésitation vers les etats-unis. c’est au troisième job succédé qu’elle le rencontre. l’homme qui acheva sans scrupule ses derniers espoirs avec cupidon. une relation ballante, faite de hauts et de bas mais surtout de bas, genèse de sa plus grande douleur : l’incapacité de reproduire sa propre petite elena. découverte faite, ironiquement, suite à une grossesse nerveuse, l’ayant chamboulé en tout point, affligée entre l’envie de liberté à son jeune âge et la lassitude de la solitude et se poser, à ses côtés. son corps ne lui laissa pas le choix ; quelques semaines plus tard, sentence tombée : aucun dilemme n’était nécessaire, aucun bébé n’était présent et aucun bébé avait des chances d’être présent. le coup fatal. elle qui croquait la vie à pleine dents, se trouve amputé d’un autre rêve dont elle venait à peine de formuler. elena et les rêves, ne faisaient jamais bon ménage.
- ( 06 )elle cesse de croire naïvement aux illusions de la vie à ses vingt-trois ans elena, lorsque sa mère lâcha son dernier souffle sur terre, au château wittgenstein. crise cardiaque, coeur affaibli par les mésaventures de sa fille. fille disloquée, esseulée, brisée. orpheline. elena cessa de prier l’univers, cynique, réaliste. battante, elle ne montre aucune signe de faiblesse. elena s’attache mais se détache, accablée par la peur d’engendrer une autre perte mais aussi désireuse d’être maîtresse de ce qui l’entoure. elle apparait aussi vite qu’elle disparait et ne s’octroie qu’une seule et unique constante dans sa mélodie de la vie : la danse. la danse la mène là où elle veut la mener, la danse est son seul moment de bonheur, d’allégresse. le dernier rêve qu’elle s’autorise, le boston ballet. première visite bostonienne à ses vingt-et-un ans, au milieu d’un road trip improvisé, elle y tomba amoureuse elena. le vrai amour. la danse ne la décevra pas au moins, la danse lui accorde sa vraie liberté. lorsque l’étoile qu’était sa mère s’était éteinte, achever son rêve de danseuse fut la seule promesse qu’elle s’était permise.
- ( 07 )sa lettre d’acceptation à poudlard était arrivée. à la place du logo de l’école de sorcellerie, seulement, se trouvait le logo du boston ballet. et le contenu était tout autre également mais les étincelles dans les yeux d’elena et d’un enfant étaient les mêmes. elle venait d’intégrer la troupe de danse classique de boston, son dernier rêve autorisé. l’excitation à son apogée - quand bien même elle n’arborait que le statut de ‘remplaçante’ actuellement. après deux ans à parcourir les terres américaines, un avenir plus certain s’invitait dans sa mélodie du bonheur. à boston. un avenir loin d’être posé mais à demi rêvé. un avenir sûrement parsemé d’embuches mais qu’elle s’apprêterait à relever, seule, battante, audacieuse.
- Code:
<div class="card-user-bottin-fire"><fire class="text-s-bebas text-upper">BARBARA PALVIN</fire><span class="c-uno text-upper text-bold">@"Elena Rosier"</span></div>
(Invité)
