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Rien de bon n'arrive après 2h du matin... [libre]

Anonymous

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Je suis dans ce bar/boîte depuis maintenant un peu plus d'une heure et je dois avouer que j'avais été témoin de pas mal de choses intéressantes dans les quatre coins de l'endroit. Des couples échangistes, des gens très libérés, il y avait absolument de tout. Quelques personnes s'étaient approchées de moi, filles comme garçons, mais j'avais refusé tout contact physique. S'ils n'étaient pas là pour acheter de la drogue, ils ne m'intéressaient pas. Je remettais mon chapeau de cow-boy en place tout en finissant mon énième verre de whisky avant d'en recommander un autre. Je pourrais me laisser tenter par des courbes féminines ce soir, mais il fallait vraiment que la jeune femme sorte du lot. Jusque là, personne ne m'avait fait cligner des yeux. Dans cet endroit, il n'y avait que des gens qui n'avaient pas froid aux yeux. Mais rien ne me surprenait, avec tout ce que j'avais vécu. Mon verre arrive et je trempe mes lèvres dedans, mon regard analysant la salle une nouvelle fois.
(Invité)
Anonymous

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@Ezra Marston

Je rentre dans le bar/club vers les coups de deux heures du matin. Ce soir-là j'étais déterminée à me fumer un bon petit joint. La vie en ce moment c'est réellement de la merde. je n'ai jamais été gâtée par la vie en réalité. Une mère qui crève du jour au lendemain et un père totalement tordu, ça fait forcément des ravages, non ?
En rentrant dans le bar, je savais pertinemment que je pourrai trouver avec un petit peu de chance, un dealer. J'avais l'espèce dans ma poche, j'étais sortie sans rien, juste ma carte d'identité et de l'espèce. J'étais clairement pas venue me déchirer la gueule, danser ou faire la fête. J'avais juste besoin d'extérioriser cette putain de semaine de merde que je venais de passer en compagnie de mon paternel. Enfin ce paternel, plutôt une ordure. J'étais restée sur le bas côté de l'entrée du bar, en regardant d'un coup d'oeil les hommes assis au bar. J'avais finalement repéré un homme, qui semblait seul sans regarder les femmes autour de lui et qui n'était clairement pas accompagné. De plus, il semblait être à l'affût de toutes les arrivées et de toutes les personnes qui s'approchaient de près ou de loin de lui. Pendant une époque, malgré tout l'argent que mon père avait, je traînais souvent dans la rue, dans des endroits qui m'ont rapidement dépassé. Mais grâce à mon passé j'arrivais rapidement à discerner les intentions des uns et des autres. D'un pas assuré je me dirige vers lui, je tente tout même si à tout moment je risque de me planter comme une merde : "Salut, tu as quoi que ce soit ? Je suis pas un poulet. Un cinquante." comme pour affirmer mes paroles je sors de ma poche les cinquante dollars en un seul billet. Pas besoin de faire de la monnaie ni de me rendre quoi que ce soit. Un échange rapide et simplifié. J'avais juste cette envie de me barrer, ailleurs.
(Invité)