(Charlize) - Like a river flows, surely to the sea ~

Le quitte ou double émotionnel, la matrice sentimentale volontairement ouverte, à en devenir vulnérable; on ne tombe pas amoureux en restant en retrait, il faut accepter de lâcher prise pour offrir l'espace nécessaire. C'est un pari, un coup de bluff sur la vie, agir pour le bonheur présent tout en souhaitant le conjuguer au futur, sans posséder la moindre certitude pour autant. Mais ainsi va le quotidien. Denzel ne le sait que trop bien, l'aurore ne se lève pas pour tous; si les lendemains sont infinis, les spectateurs assez chanceux pour y assister ne sont pas doués d'immortalité. Personne ne peut lui certifier qu'il passera la semaine, le mois ou l'année. Personne ne pourra jamais lui assurer qu'il reviendra de sa prochaine mission. Charlize ne lui donnera aucune garantie, et l'inverse sera tout aussi vrai. En revanche, Denzel pourrait promettre que chaque instant en sa compagnie, soit voué au culte du bonheur partagé; être soleil et s'incarner en joie, prendre les secondes comme elles viennent et ne point se retourner, juste vivre chaque journée comme s'il s'agissait de la dernière. Passer cette nuit comme si le soleil ne venait jamais à retrouver la ligne d'horizon. Brunette encore sur la réserve, comme le suggèrent ces paroles, difficulté de l'ouverture malgré l'envie visiblement réciproque, et les phalanges reviennent jouer la symphonie du réconfort sur l'épiderme halé, tout comme elle impose la tendresse à sa propre nuque. - Regretter ? J'ai pas été à l'école, je connais pas ce mot. pouffe-t-il doucement, couvant sa belle de son regard azur, tendresse océanique distillée de part les cristallins. - Plus sérieusement, mmh.. à l'humour succède le sérieux, ces aveux habituellement cadenassés qu'il libère continuellement en sa présence; volonté évidente d'abaisser les barrières pour n'offrir que complicité à celle qu'il voudrait voir, à long-terme, toujours de son côté. - Tout ce que je pourrais regretter, c'est de ne pas te dire les choses telles qu'elles sont. Ou de ne pas vouloir tenter l'aventure avec toi, par fausse question de sécurité. la pulpe des doigts remonte la courbe de sa mâchoire, l'index glisse jusqu'à l'inférieure convoitée, sans qu'il n'avance le visage pour autant. - Si tu me veux en tant qu'ami, alors je respecterais. Je resterais sagement à ma place, je le jure. Mais.. Tu dois savoir, malgré tout, que cet ami est tombé sous ton charme et que, à chaque journée passée, c'est surtout amoureux qu'il devient. opération à coeur ouvert, le désir de prendre possession des lippes gentiment contenu, seule l'âme s'exprime avec toute l'honnêteté qu'on lui connait. - Te mets pas la pression, d'accord ? Je te demande pas de faire un choix, je vais pas disparaître si tu préfères qu'on reste en mode "friends and chill". l'assurance renouvelée, que jamais elle ne puisse douter de sa loyauté.

(Invité)

16/04/2021

Tu fais part de tes doutes et de tes craintes à Denzel parce que tu lui fais confiance. Bizarrement, tu ne sais pas pourquoi, t'as envie d'être honnête avec lui même si t'as souvent peur de te livrer, du jugement des autres et de ce qu'ils pourraient te faire par la suite, juste parce que t'as baissé ta garde. T'as constamment besoin de cette carapace pour te sentir à l'aise. C'est très rare que tu t'en débarrasses pour ne pas dire jamais. En réalité, y a qu'avec Baker que tu arrives à le faire. Même ton plus vieux frère n'a le droit à ce traitement de faveur. De toute façon le mensonge, ce n'est pas vraiment ton truc mais, t'es souvent douée pour te planquer. Pas cette fois-ci. T'as peur qu'il prenne la fuite quand il se rendra compte que ta vie est vraiment compliquée et que ta famille ne te facilite pas la tâche. Il dit ne pas regretter parce qu'il ne connait pas ce mot. Sourire aux lèvres, tu lèves les yeux au ciel avant de lui accorder à nouveau ton attention. Son doigt vient parcourir ton visage, s'attarde sur tes lèvres. Tu fermes les yeux un instant, écoutant simplement ce qu'il a à te dire sans être distraite par son regard. Tu prends le temps de réfléchir et quand tu les rouvres sur son regard on ne peut plus sincère, tu acquiesces. Sans pression et sans prise de tête... Que tu répètes avant de te hisser sur la pointe des pieds pour déposer à nouveau tes lèvres contre les siennes. T'as pas besoin de gagner un stupide jeu pour le mériter. Tu esquives un petit sourire avant de recommencer, parce que tu en as envie, tout simplement. Je veux pas d'un mode "friends ans chill".... enfin, sauf si toi t'as envie de ça. Tu grimaces légèrement. Un peu gênée de dire les choses ainsi mais c'est vrai quoi, t'as pas envie d'être qu'une simple amie à ses yeux toi non plus. T'as envie de prendre le risque. @Denzel Hopkins

(Jules Weaver)

some of us are aware, that it's good for us to care. some of us feel the icy wind, of poverty blowing in the air for those of us who simply like to socialize, for those of us who tend the sick and heed the people's cries. let me say to you, right on.

Like a river flows, surely to the sea

@Charlize Seaton

Tu crois que ça pourrait marcher ?
J'veux dire.. Toi et moi.
Rien d'autre, pour une fois, juste nous.
Contre le monde.
J'vois que ça. Je ne vois que toi.
Ne tient qu'à eux d'essayer. Livrer battants, laisser barrières tomber pour accepter le risque. Risquer de tomber amoureux, risquer d'être comblés, heureux ; main dans la main, plutôt que solitaires ou mal accompagnés. Confiance réciproque, sentiments du même grain, beauté des flammes prêtes à devenir foyer commun. Charlize représente l'horizon, cette ligne comme volonté suprême, filer toujours plus loin, rêver éveillé, vivre sans regrets ; une âme constamment à son côté, iris tournées dans la même direction, le lointain partagé. Accepte le bonheur, lorsqu'il te tend la main. Volonté similaire, féminine aux commandes du feu d'artifice renouvelé, embrasement généralisé du palpitant ne souhaitant désormais, qu'un éternel recommencement. - Ça m'évitera de transporter des canards plastiques dans mon sac.. humour taquin du blondinet, paupières restées fermées pour affirmer la puissance des autres sens ; goût, toucher, fragrances en priorités, perception décuplée de son aura singulière. - Tu sais très bien ce que je désire. moment opportun pour retrouver l'essence du regard, iris azurées ne laissant au rivage que l'écume amoureuse, d'une puissante indécente. - Ce que je veux.. retrouve l'usage du baiser, alimente ondulation des désirs et insuffle à l'épiderme la fébrilité de sa propre position, assumée. - Ce que je souhaite, plutôt.. rectification, lèvres passion jouant de sa mâchoire, effleurant l'oreille de son lobe pour murmurer ; - être ton petit-ami. nul doute possible, Denzel se jette à l'océan, revient quémander les pulpeuses d'une fougue non contenue, cueille les hanches de ses phalanges assurées, démontre l'étendue de son pouvoir affectif, parcelle à peine effleurée d'une plus large capacité à offrir, sans nécessairement attendre un quelconque retour de sa part.

(Invité)

16/04/2021

Vous finissez à nouveau par avoir une conversation sérieuse avec Denzel. Il faut dire qu'il se donne beaucoup de mal pour te préparer de jolies soirées et pour te faire craquer par la même occasion. Tu ne sais pas si c'est fait exprès, si c'est sa vraie personnalité, s'il a eu un réel coup de coeur ou s'il essaie d'obtenir tes faveurs. Quoiqu'il en soit, ça fonctionne plutôt bien parce que ton coeur finit toujours par s'emballer à un moment ou à un autre et ton sourire est bel et bien présent malgré les aléas de la vie et les complications que peuvent te donner les membres de la famille. Quand tu es en sa compagnie, tu oublies tout et tu as envie de profiter comme une jeune femme normale. Tu as envie d'apprendre à le connaître davantage et faire un bout de chemin en sa compagnie. Tu les trouves vraiment agréables ces moments passés tous les deux et tu ne veux pas qu'ils prennent fin. Alors, tu lui avoues que toi non plus tu n'es pas indifférente bien que tu aies essayé de faire taire tes envies. Tu lui expliques que tu ne peux pas être juste une amie à ses yeux, plus maintenant en tout cas. Ses lèvres parcourent ton visage et tu ne peux t'empêcher de sourire bêtement en écoutant ses mots jusqu'à ce que la conclusion ne tombe. Alors, tu t'écartes un peu pour l'observer et faire semblant de réfléchir. T'es pas vraiment crédible mais, c'est pas grave, t'as envie de te jouer de lui. Mouais... Non... Je sais pas trop... T'as pas mis un genou à terre et tout ça ! Mais finalement, il vient à nouveau capturer tes lèvres et tu ne peux t'empêcher de rire contre ses dernières. Ton doigt vient rompre le baiser, tu tentes de te reculer à nouveau en rigolant : Ok, ok, je cède ! T'as gagné ! J'accepte ! Et cette fois-ci, c'est toi qui viens à nouveau l'embasser, heureuse de cette nouvelle bien que tu aies peu d'expérience dans le domaine. @Denzel Hopkins

(Jules Weaver)

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Like a river flows, surely to the sea

@Charlize Seaton

Viendra un jour où elle comprendra. Ce à quoi aspire réellement le battant. Viendra un jour où les déclarations se trouveront sublimées par les actes, fruit du temps passé, fruit de ce commun qu'esquisse l'avenir, une gouache supplémentaire à chaque journée. Tête blonde pour crapule et beau-parleur, réputation de laquelle il ne s'est caché ; aujourd'hui, preuve vivante que les hommes peuvent évoluer, même pour le meilleur. Il fallait une raison, et Charlize l'est devenue. Frémissements significatifs de l'aorte, dysfonctionnement des jumelles tricuspide et mitrale, signes avant coureur d'une métamorphose psychique bien huilée, conduisant inévitablement le marin à la brune ; indices éparses menant à la conclusion évidente, suivante: l'amitié seule ne suffisait plus à définir la sensation, le bien-être, l'heureux évènement prenait place en profondeur, dans les méandres d'une matrice autrefois poignardée. Charlize et la mécanique du coeur.
Je m'en foutisme habituel troqué contre véracité des propos, sincérité sans équivoque, appuyée par désir de proximité, elle contre lui, chaleur humaine sans égale dont l'apogée trouve symbolique en union des lippes. La maîtresse de famille rend les armes, effondre ces barrières; la patience est clef pour que son regard accepte l'idée qu'il, Denzel le fripon, puisse s'offrir à nu, sans coup-fourré, sans arrière pensée ou intérêt caché.
Je te veux, quémande l'iris bleutée.
Enivre moi, une fois encore, supplie l'inférieure impatiente.
Laisse moi t'aimer de toutes mes imperfections, implore l'organe princier.
Mais l'appréhension domine l'orchestre de sa grave tonalité, lorsque nymphe s'écarte, joue ~~avec ses nerfs~~ un tour comme on sèmerait le doute ; soupir de soulagement pour trahir ce chaos interne passager, doigt interposé et oui pratiquement inattendu, Denzel étourdit ne réalise qu'à peine, finalement réveillé par l'audace féminin, de celle à laquelle il choisit de s'engager. Pour de bon. - Attends, attends.. son index trouve, lui aussi, le chemin des pulpeuses, Hopkins s'abaisse au jacuzzi et récupère l'un des canards, improvisation guidant ses gestes comme adrénaline en intraveineuse. - Suis moi ! phalanges entrelacées, Denzel l'attire au pas de course jusqu'à la proue, étage surplombant les environs, scène étrangement similaire à une précédente, tournée au clair de lune; l'océan, toujours, premier témoin de leur histoire. - T'as raison, je peux faire mieux. alors, pour joindre le geste à la parole, pour convenir au cliché dont elle semble faussement éprise, le jeune homme s'incline, ploie genou et ne relève que menton, canard plastique présenté en guise d'offrande sur main présentoir, azurées espiègles où brille la pureté d'une symbolique conservée. - Charlize Seaton, tu ferais de moi un homme comblé en acceptant ce canard, et mmh.. Si tu acceptais de devenir ma petite-amie, ma moitié. l'absurde d'une demande ô combien sérieuse, le palpitant tambourine aux portes des flottantes, prie de toute sa consistance pour que le oui incarne le définitif de sa réponse.

(Invité)

16/04/2021

Tu pourrais repousser l'inévitable encore longtemps. Après tout, c'est vrai que tu apprécies énormément Denzel et qu'à mesure du temps passé à ses côtés, tu te rends compte que c'est vers lui que tu as envie de te tourner si tu as une bonne nouvelle ou un problème à énoncer. Alors à quoi bon continuer à se voiler la face ? Il te fait te servir spéciale alors que vous ne vous connaissez pas tant que ça. Plus tu passes du temps à ses côtés, plus tu te rends compte que tu comptes à ses yeux et tu n'as pas envie de le faire miroiter. Depuis le premier jour, tu arrives à te confier à lui comme si cela faisait des années que vous vous fréquentiez. Ok, tu étais méfiante et parfois froide à son égard mais après tout, avec qui tu ne l'étais pas hormis la famille Ridley ? T'aurais pu continuer à fermer les yeux mais, à quoi bon si ce n'est te faire du mal et lui en faire par la même occasion ? Tu ne voulais pas le faire souffrir, de part ton histoire compliquée ou encore tes problèmes de santé, tu souhaitais t'éloigner de sa personne mais, il le refusait. Il prêchait le fait que tu avais également droit à ta part de bonheur et à ses côtés, tu sentais que tu pouvais lâcher prise à quelques moments et t'épanouir parce qu'à ses yeux, tu étais à la fois spéciale et légère. Tu romps votre échange pour lui annoncer officiellement que tu es prête à céder et faire un bout de chemin à ses côtés. Tu ne sais pas encore si celui-ci va être long, court ou semé d'embuches. Quoiqu'il en soit, s'il est prêt à t'accompagner, tu t'en sens désormais capable. Tu vas surement mettre du temps à l'inclure dans ta vie. Cela va devoir se faire petit à petit. Mais t'as l'impression qu'il est beaucoup plus patient et compréhensif que Levi avant lui. Faut dire que ça ne sera pas difficile de faire mieux. Tu joues de la situation, loin de te douter qui va te prendre aux mots. Il te demande de la suivre et pose un genou à terre sous ton regard amusé. Un canard en plastique entre les mains, il te demande officiellement de construire quelque chose à ses côtés et tu ne te peux t'empêcher de le regarder à la fois désespérée et admiratrice de tous les efforts qu'il est prêt à faire pour toi. Le cadre est magnifique, ses yeux pétillent, tu ne pourrais finalement pas rêver mieux. Oui, je l'accepte. Finis-tu par répondre en essayant de garder ton sérieux, attrapant le canard jaune avant de l'inciter à se redresser. T'as pas l'habitude qu'on en fasse autant pour toi. En fait, ce n'est pas que personne n'a jamais voulu essayé, c'est que tu n'en laisses jamais l'occasion. T'es beaucoup trop fermée, beaucoup trop stricte et préoccupée par l'avenir de ta famille et tout ce que le rôle de maman de substitution t'impose pour laisser qui que ce soit faire un pas dans ta direction. C'est une grande première et tu espères être à la hauteur. @Denzel Hopkins

(Jules Weaver)

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@Charlize Seaton

Et l'homme décrocha enfin la lune. Charlize illumine la faction pensées, appose empreinte au creux sternal et glisse irrémédiablement vers l'âme liberté, prince des mers désormais ancré à la terre, opales satisfaites remerciant silencieusement voûte céleste. Les étoiles se sont alignées. Métaphorique composition d'une symphonie aortique commune, fébrile aux prémices quoique ouvertement enjouée. Fiascos respectifs passés à occulter. Démons tenus en respect. Cliché type à l'eau de rose, canard remplace bague et fleurs, écarte Denzel du cadre traditionnel romantique pour y ajouter une touche personnelle, digne d'eux, pas d'une généralité. - La belle sérieuse en couple avec le merdeux.. Une histoire à développer en roman. minaude le jeune idiot en s'approchant à nouveau, attirant Charlize par la taille, quémandant une simple proximité. - Je suis fier d'être avec toi, de partager ta vie. sourire épanoui, les lippes viennent trouver les jumelles, épancher la soif de tendresse; les phalanges trouvent le creux des reins, s'y glissent allègrement. - Toujours envie de dormir près de moi ? les opales désignent le lit aménagé au plancher du ponton, couverture stellaire sur fond sonore océanique; le paradis sur terre, partagé à sa seule compagnie.

(Invité)

16/04/2021

Tu ne t'imaginais vraiment pas en couple. Tu ne t'imaginais pas non plus dire à Denzel que tu ne ressentais rien pour lui alors qu'il te faisait sentir spéciale. A chaque fois que tu étais à ses côtés, ton myocarde ratait un battement avant de s'enflammer. Une tachycardie à laquelle tu t'adonnais avec grand plaisir parce qu'elle était souvent accompagnée d'un sourire. Denzel était un homme atypique, il n'y avait qu'à regarder une demande pour le comprendre. Il n'était pas tout le temps sur Boston, il aussi avait un travail prenant. Mais, peut-être que vos deux emplois du temps chargés arriveraient-ils à s'arranger pour vous accorder quelques moments de répit à deux ?! Quoiqu'il en soit, ce soir, tu avais simplement envie de profiter du moment sans te prendre la tête ou te questionner. Il fallait parfois savoir lâcher prise et Denzel était la meilleure personne pour t'apprendre à surfer sur cette vague. Ses mains glissent au creux de tes reins pour retrouver cette proximité nouvelle. Tu ne peux t'empêcher de sourire à cette remarque bien que tu ne le considères pas comme un petit merdeux du moins, pas pour le moment ! Je te souhaite surtout beaucoup de courage pour y rester... Autant en rire maintenant. Tu sais que ça ne sera pas facile tous les jours. T'as un sale caractère quand il s'agit de ta famille. Tu feras toujours passer tes frères et sa soeur avant. Tu sais que Denzel s'engage dans quelque chose de compliqué et tu ne peux que le remercier de tenter le coup. Hochement de tête pour approuver sa requête, tu ramènes son regard à toi pour jouer avec ses lèvres en murmurer : Je pourrais presque y rester quelques jours... Ici, avec lui, à profiter simplement d'un moment de répit et de cette nouvelle tournure. @Denzel Hopkins

(Jules Weaver)

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@Charlize Seaton

Aux horizons décousus s'amarrent les fondations du lendemain, ces jours nouveaux empreints de l'aura singulière, fossoyeuse de solitude, conteuse d'espérance à l'avenir sentimental; bien loin du rôle que Charlize tendait à occuper en sa présence, voilà toute la beauté de la chose. Blondinet chargé de stupidité, néanmoins clairvoyant lorsqu'il s'agit de la brune, ainsi que des potentielles embûches à venir. Mais que serait l'océan sans vagues pour le remuer ? Elle manque de confiance, autant que de temps. Ces épaules, même apaisées, portent les charges combinées de plusieurs âmes. Ce battant, aux pulsions désormais familières, ne répondra jamais qu'à l'appel des proches, en tout premier lieu. Il ne sera jamais le premier, jamais la fondamentale priorité, c'est là, la contrepartie à accepter. - Pas besoin de courage quand on fait les choses avec plaisir.. il l'accepte, sans condition. La voilà nommée unique hôte de l'organe princier. Le temps posera le ciment de l'union. Charlize le connait sans doute mieux qu'elle ne l'imagine. Belle taquine use de ces charmes pour quémander l'attention, ce à quoi le marin ne saurait dire non. Elle l'envoûte, le déroute de son audace, attise la flamme de sa déclaration. - Qui a dit que je comptais te laisser filer..? le souffle s'amuse, les lippes s'effleurent, s'apprivoisent sans réellement se trouver, tandis qu'il guide la silhouette jusqu'au bord du matelas. - Tu peux t'allonger. couette parée à l'accueil, quelques oreillers disposés pour le confort, et le jeune homme en profite pour rejoindre la station horizontale; opales ancrées sur cette nymphe au teint halé, plutôt que sur la voûte céleste, pourtant source de fascination. - Puisse l'océan me ramener au rivage, que je retrouve tes bras, encore et encore.. la vie scintille ici bas, dans la simplicité de l'état d'esprit, garçon conscient de sa chance et décidé à en jouir le plus longtemps possible. - Viens là ? bras ouverts, rapprochements devenus addiction, une nuit d'été au paradis de leur conception.

(Invité)

16/04/2021

Finalement, tu te rends compte que ce n'est pas si difficile que ça d'officialiser une relation ou du moins, d'avoir l'envie d'en construire une. C'est peut-être le fait que ce soit Denzel et qu'il arrive rapidement à te mettre à l'aide. Quoiqu'il en soit, ton sourire s'agrandit quand tu lis le bonheur dans ses yeux. Tu sais que ça ne va pas être une histoire à sens unique. Il va lui falloir du temps et de la patience parce que tu n'es pas toujours facile à vivre, souvent sur la réserve pour protéger les tiens plus que ta petite personne. Telle une louve, tu fais attention à ce qui t'entoure et promet le meilleur à tes proches quitte à parfois te négliger. Mais pour une fois, quelqu'un semble réellement avoir envie de s'intéresser à toi pour ce que tu es, sans arrière pensée et ça te fait plaisir. Tu le gratifies d'un large sourire, plus légère qu'à ton arrivée, moins stressée aussi. Petit à petit, tu tentes d'avancer dans la bonne direction sans regarder derrière et sans anticiper les obstacles qui pourraient se dresser devant vous. T'as pas le choix. A un moment donné, je devrais filer. Parce que mine de rien, tu as des obligations. Tu pourrais vivre une jeunesse remplie d'insouciance mais, le destin en a voulu autrement et aujourd'hui, il faut que tu façonnes l'avenir avec des contraintes ou plutôt, des variantes impératives. Tu t'installes à ses côtés, tu te blottis dans ses bras en esquivant un sourire, relevant la tête dans sa direction à ses paroles. Je suis comme le phare abandonné. Je serais toujours éclairée même dans des milliers d'années. Tu hoches la tête avant de rire, consciente que tu ne pourras pas tant marquer le monde malheureusement. @Denzel Hopkins @Denzel Hopkins

(Jules Weaver)

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