JUCIA GALLOWER-SWAROVSKI ► julija steponaviciute

jucia claudina gallower-swarovski

C'est le vingt quatre décembre d'il y a vingt et un ans à rio, ville absente de tes souvenirs malgré tes espérances, que les membres de la famille adoptive gallower-swarovski m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) par les prénoms dont ta véritable mère t'avaient affublés : jucia claudina. Je suis célibataire par idéalisme et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis tournée vers les hommes bien que les femmes, ô viles créatures, t'attirent étrangement. et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée, semble-t-il. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de journalisme depuis trois années, les deux premières s'étant déroulées dans une tout autre université, la troisième entrecoupée d'une année sabbatique afin de découvrir plus amplement le terrain. OU je travaille en tant que métier depuis nombre d'années ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les dunster ou les eliot.

# éloquente

# instable

# méfiante

# optimiste

# tolérante

APRÈS LA BOMBE
penchée pieusement au milieu de tes nombreuses couleurs, tel narcisse sur son reflet, tu contemples ton croquis. les courbes s'alignent, et se meuvent semble-t-il. fièrement, se dresse peu à peu ce visage entraperçu par tes yeux rêveurs lors d'une escapade. ce portrait dont la ressemblance te frappe est le fruit tant espéré de longues heures de dur labeur. enivré par le doux souvenir qu'il te procure, les effluves de son parfum caressent de délice tes narines. vaincue, tu t'abandonnes presque. ah! l'amour impossible. des pas se font sentir. tu ne tardes guère à dissimuler dans les abysses de ta valise ton bien. si jamais quelqu'un venait à le découvrir! une fille, doux jésus. ce monde inique, piètrement peuplé d'intolérants... alors, tu t'écroules sur ton lit, sans un regard pour tes bagages, laissant voguer au loin la perspective d'aller rejoindre ta sœur le sur-lendemain même à harvard.

DUNSTER.
le bleu velours exerce alors son règne par delà la fenêtre. toi, pieuse enfant, lutte contre morphée. tu repousses ses bras aguicheurs, et ne cède à ses douces paroles. même la promesse d'un sommeil réparateur ne te séduit guère, et tu te replonges alors dans ton labeur. les heures défilent et s'enchainent, le poids sur tes épaules n'en est que davantage considérable. une perspective s'invite alors. vile, elle te tente. tu résistes et l'ignores : l'abandon. oh! que ce serait simple! tu n'aurais qu'à quémander un délai, et rendre ton projet plus tard. bien évidement, jute cela. l'histoire de quelques secondes. l'assiduité t’appelle à l'ordre, et tu ne peux commettre une telle bassesse.
ELIOT.
regard hautain, manières, te voilà parée dans ta luxure. bien qu'adoptée, ta nouvelle famille n'est qu'un merveilleux piédestal. merveilleusement, elle te prédestine à quelques grandeurs dont, peut être, tu n'auras guère l'occasion de gouter. eliot, eliot, il semblerait que de loin comme de près, ce nom revienne. ta sœur, et quelques autres membres éloignés de ta famille le porte avec fierté. de ce fait, pourquoi ne serait-il pas de même pour ta personne ?

julija step

# clostrophobe

# adoptée

# hypocondriaque

# perte du toucher

# stérile

VXRSACE

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle VXRSACE et j'ai quinze. Je suis parfaite et j'ai connu le forum grâce à cey ilh quoi. l'idée de jouer la sœur de candice m'a plut, et puis, j'avais pas vraiment envie de quitter le forum comme bon, c'est ma seule maison stable pour le moment alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise julija step comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par morphine. Je fais environ 250 à 400 pour des rps bateaux et du 600-1000 si l'inspiration m'en pend mots par RP et mon personnage est un personnage semi-inventé crée par dieu .

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.

(Invité)

This is my story

« et vous, qui êtes vous ?
moi, qui suis-je ? qu'une forme étrangère ?
qu'un corps mal apprivoisé ?
qu'une proie ployant sous le poids du monde ?
ah, si inique et moi, si irénique! »
quelques maux qu'elle a griffonnés au coin d'un cahier.

ô piètre sauveuse que tu es! comme si le dieu en lequel tu t'efforces de croire t'avais affublée de quelque mission, tu défends corps et âme la veuve et son orphelin. pour sûr, ton geste est louable, quand bien même un manque de logique nait dans tes propos. celui qui te semble faible, malgré ses péchés, tu l’ériges au rang de saint. complexe d'infériorité que tu refoules ? ainsi te voilà, toi même munie de cette auréole dont tu t'es accaparée, jouant au robin des bois. celui à qui le peuple tourne le dos, devient dans l'instant ton nouveau compagnon d'infortune. tu lui contes mondes et merveilles, en omettant quelques monstres et désillusions. si un autre à la peine davantage larmoyante s'offre à toi, tu fonds aussitôt et l'autre n'est plus qu'un pâle souvenir. tu nies presque, d'ailleurs, votre ancienne relation. prétextant quelque divergences de point de vue, tu n'es simplement guère mieux que ces oiseaux migrateurs, qui partent en raison d'un endroit meilleur, sans se soucier du passé.

te voilà, lasse. allongée de tout ton long sur ton lit à peine fait, plusieurs articles inachevés trônant autour de toi. ils forment alors une auréole. une auréole funeste, d'une gloire avortée. qui ne verra jamais le jour. tu renonces trop vite pour cela, cherchant constamment de nouvelles excuses. prétextant que non, baliverne, cette année sabbatique ne fut absolument pas une erreur, tout au contraire, qu'elle t'a permis de te plonger toute entière dans l'écriture. ce sont cela, les balivernes. tu te rassures piètrement, te confondant dans quelque talent qui n'a surement jamais existé. tu n'es qu'une idiote de plus, persuadée de changer le monde, proposant inlassablement les mêmes sujets parfumés d'un air de nouveauté bon marché, pourtant si brillants. mais cela, tu refuses de le voir. tu te caches derrière ton adoption, ce passé dont tu n'as aucun souvenir et qui n'a jamais été vraiment tient, prétextant encore et à jamais qu'il s'agit de la raison de ton inefficacité. pourtant, il semble que parfois tu en prends conscience. un éclair de génie. une mèche plus sombre parmi ta candeur. mais aussitôt, tu chasses ces doutes quant à ta personne. tu oublies ta peine de par quelques films d'horreur. il s'agit de ton alcool à toi, de ta coke. cela te vide tristement l'esprit, tu n'existes plus le temps d'une heure ou deux. douce drogue insoupçonnée. qui l'eut crut ? même pas ceux qui t'ont offert cette chair, et ce sang, qui d'ailleurs, on sans doute oublié ta pauvre existence. et cette famille de substitution ? leur as-tu simplement confier quelque chose ? les futilités, certainement, mais jamais rien de personnel, de ce que tu conserves jalousement en tes abysses les plus redoutables. petite fille sans histoire. sans passé. et l'avenir, t'es si incertain.

(Invité)