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Une après-midi de congé, pour toi c'est une aubaine, pour ne pas dire presque rare. De coutume, tu es toujours occupé entre deux boulots mais avec la période estivale qui approchent, tu as un peu de temps libre. Un peu plus tot dans la matinée, tu avais téléphoné à ta frangine car tu devais lui rapporter les clés de sa voiture. En effet, tu avais emprunté cette dernière pour te rendre en dehors de la ville pour assurer la première partie d'un festival dans l'état voisin. Il n'avait aucunement était difficile de lui demandé son véhicule pour la simple est bonne raison que Nicola préférait te voir sur un quatre roues que sur ta moto. A cette pensée tu ricanes et coupe le moteur de ton deux roues. Le parking de l'entrée du campus est grand mais déjà bondé de monde. Tu enlèves ton casque et descend de ton véhicule avant d'y poser ton casque tout en cherchant ta grande-sœur du regard. Tu n'es pas surpris de la voir un peu en retard, après tout tu étais toi aussi en avance. Tu t'adosses légèrement contre ta moto, sort ton portable et prend acte des derniers messages reçus. Quelques minutes plus tard, un « boom » et un cri de mécontentent attire ton attention et celles de bien d'autres étudiants. Tous restes cloués sur place en observant un.e jeune étudiant.e par terre … un vélo plus loin … il est clair que la personne est tombé de son moyen de locomotion. Tu ranges de suite ton téléphone dans ta poche et t'abaisse à la sa hauteur pour lui proposer ton aide. « Tout va bien ? ».
#libre
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Tu te promènes encore sur le campus, bien que l’année soit terminée. Tu es une étudiante sérieuse malgré son goût prononcé pour la fête. Tu traînes encore dans les salles de ton département, peignant des scènes plus sombres de jour en jour. Tu croyais t’être débarrassée de ton passé, mais il ne s’en va pas. Il s’incruste dans ton présent et te hante nuit et jour. Les cachets ont leur limite. Ton inconscient est malin et contourne la chimie de tes pilules. Ton cerveau est atteint et bien comme il faut. Les cicatrices a tes poignets et tes chevilles ne sont plus les seules marques de ta captivité, il y a aussi les souvenirs refoulés. T’es un champ de ruines, mais tu ne lâcheras pas. Tu tiendras l’coup et tu chercheras à atteindre ton objectif. Tu rêves que tes tableaux soient exposés dans les plus grandes galeries autour du monde. Ta toile abandonnée pour qu’elle sèche, tu as décidé de retrouver ton vélo pour aller manger un bout au fast-food du coin, ça faisait si longtemps que tu ne t’étais pas enfilé un vrai repas. Tu t’approchas alors du parking et cherchas ta bicyclette. Chargée de ton sac à dos, tu grimpas sur le véhicule et ne fis quelques mètres avant d’être percuté par une voiture qui faisait une marche arrière. Le choc fut impressionnant. Tu quittas ton moyen de transport pour atterrir durement sur le goudron. Les étudiants présents s’amassèrent autour de toi sans vraiment réagir. Le casque encore sur ton guidon, tu te massas le crâne qui avait percuté le bitume. Un jeune homme fut plus courageux que les autres et t’adressa la parole « Je suis sonnée, je l’ai pas vu venir » Le pneu de ton bolide écrabouillé, tu cherchas la main du brun pour te relever. Toute tremblante, tu remarquas quelques égratignures sur ton corps et eus subitement la nausée. La vue de ton propre sang te ramena droit vers le sous-sol lorsqu’il t’enchaînait et que tu te débattais jusqu’à épuisement. Lorsque tes poignets saignaient sous l’acier. « Tu peux me sortir de là ? Je me sens pas bien » @Kobe Rockefeller
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Parfois, tu peines réellement à comprendre la mentalité des gens d'aujourd'hui. À croire que le respect n'est plus réellement une réalité mais une rareté. En voyant la jeune fille à terre, c'est tout naturellement que tu viens t'abaisser à sa hauteur pour savoir comment elle va mais surtout savoir si tu peux lui venir en aide. A sa première réplique, tu l'observes quelques instants avant de regarder pas loin l'état de son deux roues dont l'une est en piteux état. Tu lui tends une main pour l'aider à se relever doucement afin de ne pas provoquer de vertiges supplémentaires. Sa main devient alors tremblante dans la tienne, son expression faciale changeant du tout au tout. Une seule œillade suffit pour saisir l'ombre de panique dans ses yeux. Tu pourrais lui proposer de la ramener à moto mais ce n'est pas le mieux pour l'instant. Toujours la main dans la sienne, tu hoches la tête avant de la diriger vers le petit café jouxtant le parking. Tu attrapes son sac  de l'autre main. « Allez viens. ». Ton timbre de voix est calme et serein alors que tu lui adresses un sourire sincère et confiant. À peines quelques pas plus tard, vous entrez dans le coffee shop, tu l'installes sur une banquette lui demandant d'attendre quelques minutes. Tu reviens avec un verre d'eau et la trousse de secours que tu as emprunté au chef de caisse que tu connais – ayant travailler quelques heures pour lui. « Tiens, bois un peu ça te fera du bien ... ». tu t'accroupis devant elle pour regarder les blessures à ses mains et secoues la tête face au comportement des gens. « Au fait, je m'appelle Kobe. ». Lui dis-tu tout en souriant légèrement.
@Darcy Abernathy
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T’es totalement désorientée, à terre, la foule se pressant pour t’entourer. Ils te regardent tous, avec de grands yeux, certains rient, d’autres s’étonnent. Le chauffeur ne sort pas de son habitacle, probablement choquée ou trouillard pour affronter sa connerie. Ton vélo est défoncé et git sur le bitume. La honte fait rougir tes joues. Et puis il y a un individu qui se détache des autres. Il entre dans le cercle et ose te demander comment tu vas. Abandonnant la scène, tu glisses ta main dans la sienne et sa force parvient à t’relever. Un vacillement plus tard, tu te retrouves loin de ta bicyclette tordue sous l’pneu de la voiture. L’inconnu tient ton sac et te conduit vers une nouvelle destination. Incapable de réagir, encore sous l’choc, tu enchaînes les pas vers un petit café. Vous entrez à l’intérieur et telle une petite fille apeurée, tu t’assois et attends patiemment le retour du brun. Tes prunelles dévisagent les clients. Tu te sens épiée, mouvement de paranoïa. Tes écorchures picotent. Et puis il revient, ne t’ayant pas abandonné comme tu commençais à le croire. Ange incroyablement beau, il s’accroupit devant toi et examine tes blessures. « Darcy, maudite depuis la naissance » Tu souris et tends ta main abîmée pour que le désinfectant vienne ronger la plaie et meurtrir ton coeur. Le coude est aussi éraflé et devra se faire tamponner d’alcool. Le verre visé, tu l’attrapes difficilement tant tu trembles. Tu parviens toutefois à le porter jusqu’à tes lèvres. L’eau coule dans ta gorge et la panique décline. « Tu étudies à Harvard ? » que tu lui demandas en détaillant son visage baissé vers tes contusions. Tu serras ensuite tes dents lorsque le coton s’approcha de tes plaies. Ce n’était rien, mais ton corps allait réagir. La douleur acceptée, tu ne bronchas pas et laissas le jeune homme s’occuper d’toi. « Je suis si invisible que ça pour qu’on m’écrase ? » @Kobe Rockefeller
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Les minutes défilent et avec elles, la certitude que le responsable de la situation n'est pas prêt de faire son apparition. Autrement dit, comme si de rien était … cela ne t'empêche pas mentalement de relever les numéros de la plaque d'immatriculation du véhicule en tort. Rapidement, tu prends la décision de diriger la demoiselle en direction du coffee shop du campus, lieu le plus proche où tu es certain de pouvoir trouver les premiers éléments de secours. Comment le sais-tu ? Tout simplement parce que tu as réussi  à te faire embaucher lors de la première année universitaire de ta grande sœur et que tu les connais bien. Une fois à l'intérieur, tu fais asseoir la brunette et t'absente quelques minutes en revenant avec un verre d'eau et une trousse de secours. Tu lui donnes le verre et t'accroupis à sa hauteur pour faire état de ses blessures. Ses mains abritent quelques écorchures et tu commences par les désinfecter avec la solution appropriée. Tu te présentes enfin car après tout c'est mieux de commencer par là. Tu esquisses un sourire à l'entente de sa réponse. Son prénom est loin d'être commun, il est même fort original surtout s'il est lié à l’œuvre littéraire fort connue. Un rictus amusé vient étirer la commissure de tes lippes alors que tu secoues la tête puis réponds. « Tout peu changé, tu sais ... rien est inscrit dans le marbre de manière définitive. ». Lui dis-tu tout en la considérant d'un mince sourire qui n'en demeure pas moins on ne peut plus sincère. C'est vrai, tu ne crois pas à spécialement à la fatalité mais plutôt au hasard d'une existence qui n'a pas encore était tout à fait définie. « En tout cas, enchanté de faire ta connaissance Darcy même si le contexte n'est pas idéal. ». Il était loin de l'être, mais le plus important actuellement c'est de tempérer les choses et de soigner ses blessures. Tu remarques dans ses iris les racines de l'anxiété et cela s'en répercute dans le tremblement de ses mains.  Tu farfouilles dans la trousse de premiers soins pour y trouver une crème cicatrisante que finis par trouver tandis qu'elle t'interroge. « Non, du tout … mais ma sœur étudie sur le campus oui.  Et toi ? ». Lui réponds-tu tout en appliquant la crème avec douceur pour ne pas raviver la douleur. Sa dernière réplique  lancée, tu la toises en silence avant de capturer son regard pour qu'elle te regarde. « Tu es loin d'être invisible Darcy. Tout le monde n'est pas aussi irresponsable que ce conducteur même si parfois je me demande dans quel monde on vit aujourd'hui ... ».
@Darcy Abernathy
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T’es fataliste. Pessimiste. Tu vois ton existence comme un champ d’ruines. Tu te sens même accablé d’une malédiction. Mais Kobe il voit les choses autrement. Il est de ceux qui baignent dans la lumière. De ceux qui voient le verre à moitié plein. Tu l’admires déjà, petit ange tombé du ciel. Il t’a sorti de ton cauchemar, faisant taire les pies qui piaillaient sur toi. T’es en sécurité ici. Tu peux souffler et effacer cette chute terrible que tu as faite. Tu gardes toutefois des traces de cet accident. Les entailles recouvrent ton épiderme et sont désinfectées par l’monsieur qui a dégoté une trousse de secours. Le sourire illumine ta face blafarde malgré la douleur qui sévit dans ton coeur. Et puis tu le questionnes, curieuse d’faire sa connaissance, lui qui s’est dévoué pour te secourir. « J’suis étudiante oui, en arts » Et apparemment tu ne connais pas sa soeur, mais elle doit être tout aussi charmante qu’il l’est. C’est fou, se doute-t-il un instant que tu as été la captive d’un fou ? Peut-il imaginer que ta venue ici repose sur un gain au loto ? Et lui, que cache-t-il comme secrets ? Il doit bien en avoir quelques-uns, tout le monde en a. De retour vers la noirceur, Kobe t’en ressort avec son positivisme à toute épreuve. C’est suffisant, cesse d’faire ta victime. L’monde n’est pas qu’obscurité. Kobe en est la preuve vivante. Il n’a rien d’un potentiel agresseur, il fait sûrement partie des bons. Il t’a surtout repéré et t’as sorti d’un grand malaise, tu lui es extrêmement reconnaissante. « Ce monde est horrible, j’attends toujours qu’on me montre le contraire » répliquas-tu en serrant le poing pour refouler les souvenirs de ton affreux passé. T’allais pas préciser en quoi tu ne croyais plus en l’humanité. Tout ça, c’était secret. Il ne saura rien, juste la face visible de l’iceberg, celle bourrée de mensonges. « Si tu n’étudies pas, tu fais quoi de ta vie Kobe ? » que tu lui demandas en interpellant un serveur. « Je voudrais un truc plus fort, une tequila. Tu veux quelque chose ? » que tu lui proposas en posant ton regard bleu ciel sur lui. « Il est un peu tôt, mais il faut bien que je te remercie d’une façon ou d’une autre. Bois avec moi, ça me rendra plus joyeuse »  @Kobe Rockefeller
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Assez vite, tu comprends que la jeune brunette est quelqu'un qui encre son espérance dans l'ombre de la fatalité. Une aura que tu as croisé à de nombreuses reprises au cours de ton existence. A leur tour, ces personnes comme Darcy songe que vous êtes des naïfs auréolé de lumière mais là encore, si elle songe ainsi, elle demeure bien loin de la réalité. Cependant, tu ne peux te permettre de penser ainsi car tu ne la connais pas assez et ce même si tu fais confiance à ton intuition qui ne te jamais fait défauts – jusqu'à présent. Alors que tu t’attelles à désinfecter les plaies, elle laisse sa curiosité s'employer à la discussion.  Tu apprends alors qu'elle est étudiante en arts, un domaine d'étude pas si éloigné du tien finalement. « Tu en es passionnée ? ». Une question qui te vient tout simplement à l'esprit car l'art est un domaine qui peut se révélé être abstrait ou concret  et parfois il y a une autre histoire derrière notre choix. Comme toi par exemple. Alors que tu déposes un pansement sur sa première entaille, ses mots t'interpellent. Des mots qui se reflètent que la profondeur de maux bien plus lourd encore. Tu l'observes serrer son poing fortement puis tu reportes ton attention sur son visage pour capter son attention. « Tu rencontreras des personnes qu'ils le feront Darcy, c'est même peut être déjà fait. ». Après tout, rien n'est écrit dans le marbre ou figé dans le temps. Elle ne tarde pas à rebondir sur une autre question te concernant tout en commandant un autre verre pour un alcool plus fort. Au moins, la demoiselle sait ce qu'elle veut, c'est bien. Tu ajustes le dernier bandage autour de sa main, avant de te relever et d'opter pour un simple thé glacé. Oui, ton choix de boisson risque de la surprendre mais tu ne fais plus réellement attention depuis des années. Ta maladie incombe des mesures de prudences. Tu t’assois sur le tabouret à coté d'elle et réponds à sa question. « J'étudie la musique dans une faculté de Boston. ». Tu hoches lentement la tête à sa dernière réplique car tu comprends ce qu'elle veut dire. « Je comprends, tu n'as pas à te justifier de quoi que ce soit. ».
@Darcy Abernathy
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Il t’a mis à l’abri. Il a eu le cran d’te sortir de ta galère alors que les autres ne faisaient que regarder. Il a gagné un bout d’ta confiance si précieuse. Il n’est pourtant qu’un étranger ne faisant que passer. Quelqu’un qui t’aura probablement oublié lorsqu’il rouvrira les yeux demain matin. C’est peut-être pour ça que tu confies tes maux. Il semble être une oreille attentive. Une épaule sur laquelle on peut pleurer ou simplement se plaindre. Perchée sur ton siège, tu le laisses désinfecter les entailles. Les gravillons quittent ton épiderme arraché et les pansements viennent recouvrir tes sales plaies. C’est douloureux, mais tu supportes, les dents serrées entre elles. « L’art c’est mon oxygène, j’peux plus vivre sans. C’est l’expression de mes sentiments les plus refoulés. Le reflet de mon âme, ça m’apaise énormément » Tu rebondis ensuite sur le commentaire que Kobe a fait sur le monde qui vous entoure. La noirceur s’invite toujours alors que le brun la combat avec brio. Il a peut-être pas tort, mais tu te bornes à croire le contraire. C’est comme si t’étais fichue. Comme si tu étais perdue dans les abysses à l’instant où il t’a kidnappé. Tu ne vois plus qu’un chemin bordé de ténèbres. Une route où les traumatismes ne cessent de ressurgir. Y aura-t-il un jour une personne ou quelque chose qui changera tout ça ? L’espoir n’est pas perdu. Si tu avais baissé les bras, tu ne serais pas sur les bancs d’Harvard. Boisson commandée, tu ne juges en aucun cas le choix de Kobe qui s’avère plus sage. « Oh la musique, alors je suis en compagnie d’un autre artiste, quel honneur, je suis peut-être à côté d’un prodige » Tu ris enfin et pivotes de plusieurs degrés pour être devant le bar et atteindre ton verre. « Tu chantes ou tu joues d’un instrument ? » Le liquide ambré circulant le long de ton oesophage, tu fermes un court instant les yeux pour en apprécier la chaleur et tu reviens auprès de Kobe aka ton Gandhi officiel. « Pourquoi tu n’as pas suivi ta soeur à Harvard ? Le cursus n’est pas bon ? » Ou bien était-ce une question financière ? Si tel était le cas, tu comprendrais que trop bien. Si t’avais pas coché les bons numéros de ton ticket de loterie, tu serais encore dans un trou paumé à servir des ivrognes. « En tout cas, je voulais dire que tu sembles être une bonne personne et que c’est bien rare de nos jours. À ta santé Kobe ! » que tu t’exclamas en lui présentant ton verre.  @Kobe Rockefeller
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Parfois les rencontres résultent d'un hasard facétieux, étrange que l'on ne peut contrôler – jamais pour ainsi dire. Tu le penses sincèrement, certes mais surtout en connaissance de cause. Venir  en aide auprès de la brunette coulait naturellement de source quand bien même cela peut en étonner certains. Il faut dire que le monde actuel est loin d'être un univers pour les âmes comme la tienne. Elle mentionne ses études pour l'art, te confie qu'elle est effectivement passionné en profondeur et cela s'en ressent dans la manière de s'en épancher. Tu comprends ce qu'elle veut dire, toi même tu le ressens envers la musique qui réside comme un art également – bien que différent l'un de l'autre, ça se ressemble dans le fond. « Je vois très bien ce que tu veux dire. ». Lui dis-tu tout en hochant lentement la tête avant de lui dire que rien n'est inscrit dans la roche, que tout peut encore changer même si parfois l'ombre nous surpasse en marchant dans nos pas, en prévoyant les prochains à venir. De bonne guerre, elle te demande à ton tour quel domaine tu étudies et sa réplique t'arrache un rictus moqueur car ce genre de remarque n'est pas la première. En effet, tu es un petit génie de ton art, un talent diagnostiqué très tôt par des spécialistes mais surtout par ton frère aîné qui a eu l’œil. A dire vrai, tu ne parles que très peu de toi alors tu rebondis sur sa seconde interrogation. « Je joue principalement, mais il m'arrive de fredonner même si ce n'est pas ce que je préfère. ». Tu honnêtes, tu préfères de loin la profondeur silencieuse des tonalités aux accords que tu produis. Les paroles ne sont qu'un atout de plus, la simplicité des sons te suffit amplement. « Non rien de tout cela, disons que c'est simplement une question financière. ». Ta frangine, Nicola avait déjà un crédit bancaire sur le dos, tu ne voulais aucunement en rajouter un supplémentaire car tu sais que tes deux liens fraternels seraient les premiers à se ruiner pour t'aider. Tu ne mangeais pas de ce pain là, ton frère et ta sœur t'avaient pratiquement élevé et ils en avaient assez fait. Tu souris discrètement à sa dernière tirade tout en trinquant ton propre verre au sien. « Je te retourne le compliment, Darcy. ».
@Darcy Abernathy
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L’accident se fait loin. Il y a toujours les picotements, mais ils devraient s’effacer avec le temps. Kobe chasse tes mauvaises pensées. Il participe à relever ton humeur malgré lui. Ta haine envers le monde se dissipe au fil de la discussion. Tu te détaches peu à peu de ton malheur pour t’focaliser sur lui. La fibre artistique semble vous lier. Toi c’est la peinture, lui les instruments, à savoir lequel en particulier. Kobe reste bien mystérieux. Il ne brode pas. Il fait pourtant allusion à ses cordes vocales qui chauffent rarement. Il n’y a aucun doute que sa voix doit être mélodieuse. Tu recherches ensuite la cause de son cursus hors Harvard et apprends qu’il s’agit d’un problème financier. « Je vois, que tu sois ici ou ailleurs, je suis certaine que tu réaliseras de belles choses » Le verre apporté à tes lèvres, tu en bus une gorgée avant de délivrer un message au jeune étudiant. La rencontre était effectivement agréable, mais tu ne savais pas comment la poursuivre. T’avais tellement l’impression d’être intrusive avec tes tas d’questions. Tes océanes rebondissant sur le décor, tu laissas un long silence s’installer entre vous. Et puis tu te tournas légèrement vers lui en détaillant son visage amical. Il ferait un excellent modèle. « Tu avais quelque chose de prévu avant que je ne me fasse écrabouiller ? » La fin de la boisson terminée, tu fouillas dans ta poche pour sortir quelques billets froissés. « Je pourrais t’montrer un peu ce que je fais, je vis à la Adams House et ma chambre est un entrepôt de mes toiles, ma colocataire va vraiment finir par craquer » que tu lui proposas en quittant ton tabouret, prête à repartir vers la civilisation si cruelle. « Mais je pense que tu devais chercher ta soeur, je voudrais pas qu’elle s’inquiète ou que je te fasse louper votre rendez-vous, je vais juste rentrer, encore merci » Le sac jeté sur les épaules, tu tournas les talons et fis un premier pas en direction de la sortie.  @Kobe Rockefeller
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