[ zensy ] treat people with kindness

28.05.22 c'était pas prévu avant la fin de la soirée, mais te voilà chez pansy avec chips, boissons et les fameux donuts. c'est un zed qui se présente chez elle, avec dans une poche, un pilou pilou et une switch. tu poses le tout chez elle. et une fois la console branchée, tu reviens t'asseoir à ses côtés. signe de tête vers la table du salon où se trouvent les chips, les donuts et les boissons — alors, elle veut quoi en premier la madame ? tu te mets en position assise pour pouvoir la servir rapidement — attend, regarde. tu sors ta combi pilou pilou d'une autre poche — j'vais enfiler ça. tu te lèves, sautes par dessus le dossier de son canapé, retire ton tee-shirt rapidement, puis te mets en caleçon. alors oui, faut savoir que t'es pas trop pudique. un caleçon c'est un caleçon hein puis tu sautes pieds joints dans la combi et vient la fermer. puis, restant droit comme un piquet devant elle, tu grimaces. tu l'as apporté dans le seul et unique but de lui faire comprendre que tu voulais rester dormir. sauf qu'évidemment, on est plus proche de l'été que de l'hiver. tu reviens te mettre à ses côtés, capuche sur la tête en lachant un profond soupire. tout va bien s'passer zed — ça manque d'un ventilo chez toi. non ? ridicule.

@Pansy Lewinsky

Souvent les soirées improvisées à la dernière minute sont les meilleures, c'est ce qu'on dit. C'est aussi ce que je me répète pour calmer mes nerfs le temps que tu déboules chez moi.
Assise dans le canapé, j'te regardais déballer ce que t'avais apporté, te laissant faire comme chez toi dans les lieux. J'hésite entre les chips et un reste de pizza quand tu changes de sujet pour sortir un pilou. Qu'est-ce tu fous ? T'es en caleçon au milieu de mon appart et j'me rends même pas compte que j'peux pas m'empêcher d'observer, jusqu'à revenir à moi et grimacer en te regardant dans ton... pyjama? " t'as l'air d'un enfant de 4 ans qui a grandi trop vite. et j'pouffe de rire quand tu prends place à mes côtés. " tu m'étonnes que t'as chaud, un pilou en presque été, t'es fou !! ".

28.05.22 / @Pansy Lewinsky elle vient de te décrire en une seule phrase. un gosse de 4 ans qui a grandit trop vite. t'es idiot quand tu t'y mets. attendrissant mais nigaud. — c'est mon pyj' tu marques un temps de pause puis reprend — tu m'as dis que j'pouvais rester dormir. je voulais prendre mon coussin mais bon.. je pense que t'en a un pour moi ? en fait, t'arrives chez elle, comme ci t'allais camper quelque part. tu faisais pareil quand t'allais dormir chez ton copain kevin quand t'avais sept ans. tu retires bien vite la capuche — j'en peux plus. dézippes d'un coup le haut de la combi puis te contentes juste de retirer les manches, pour faire retomber le haut de la combi au niveau de ta taille — ah j'respire enfin. sentiment de bien-être qui t'envahi dès que ton torse retrouve un peu de fraicheur.

J'avais lancé l'invitation mais je n'avais pas imaginé que tu la prendrais. Ou pas aussi vite en tout cas. Parce que clairement en fin de soirée en ayant le flemme, okay, mais là, la décision était prise avant même de venir. " j'ai deux oreillers dans mon lit, tu pourras en prendre un. Tu pourras prendre le lit aussi si tu veux, j'peux prendre le canapé." C'était pas comme si j'avais pas l'habitude de m'echouer dessus.
Tu fais le malin dans ton pilou mais rapidement la chaleur prend le dessus. C'est à la fois un régale pour les yeux quand tu te retrouves torse nu, mais un gros désavantage pour le reste de mes facultés. J'bugue en regardant tes muscles, tes épaules et même tes bras. T'es tellement beau que j'en suis complexée dans mon petit survêtement aux couleurs de l'université. " tu veux... boire un truc ou... ou qu'on ouvre la fenêtre pour te rafraîchir ? T'sais avoir de l'air..." ça me fera pas de mal perso.

28.05.22 / @Pansy Lewinsky — oh non t'inquiètes, je prendrais le canap', j'ai l'habitude. j'dors à même sur la moquette moi. bon par contre, pas le carrelage. faut pas déconner non plus. t'as toujours eu cette faculté à t'faire des amis rapidement. enfin des potes. t'en a à la pelle. des amis, un peu moins, mais c'est tout l'monde pareil non ? pour le coup, vu le temps que tu passais avec pansy en ce moment, on peut dire qu'elle se situait de plus en plus dans la case des amies. d'ailleurs, depuis toujours, t'as toujours eu plus de potes filles que gars. pourquoi, t'en sais rien. tu captes bien rapidement le regard qu'elle a sur toi. et c'est la panique chez toi d'un coup. bah alors, c'est pas comme ci ça te dérangerais de base d'être torse nu avec des filles. nico, flora, ta sœur, tes potes filles.. mais là, tu te rends compte que c'est pas vraiment comme d'habitude; tu sais pas si elle bégayes parce qu'elle est gênée d'te voir torse nu à côté ou si c'est parce que la vue lui plait. ou les deux ? tu te remus d'un coup, essayant de lui répondre sans buter sur les mots à ton tour — euh, ouais ouais, t'as raison... et j'te sers un truc en attendant ? t'attrapes vite la bouteille, l'ouvre puis dans le feu de l'action, la bouteille t'échappes des mains en l'ouvrant et c'est la moitié qui se déverse sur elle. — oh merde, pardon ! p'tain quel c.. tu reposes vite la bouteille, puis c'est ta main qui vient se poser juste au dessus de sa poitrine, pour venir comme essayer le soda sur son haut trempé. et là tu te rends compte de ton geste. tu retires ta main d'un coup, puis vient nerveusement la passer dans tes cheveux. panique à bord.

Tout à disjoncté dans le cerveau. Plus rien ne fonctionne, le corps ne répond plus aux appels. Mes yeux sont bloqués sur ton torse que tu me dévoiles et à ma plus grande horreur, tes yeux voient les miens fixer ta nudité. Je ne suis pas habituée à ça Zed et t'as pas prévenu. J'essaie de forcer les mots à sortir de ma bouche malgré l'atmosphère chargée. J'ai besoin d'air moi aussi, tu vois.
Je ne sais pas comment on s'y prend, mais quand tu attrapes la bouteille pour nous servir à boire, le contenu termine sur mon sweat, me faisant crier de surprise quand le liquide vient au contact de ma peau. Tu voulais te rafraîchir les idées ? C'est choses faites ! " c'est super froid !" et ça fait un choc des temparatures... qui ne s'arrête pas là puisque la minute suivante ta main se retrouve sur ma poitrine. Mes yeux suivent l'action alors que mon visage se décompose dans la panique. Main qui repart aussi vite qu'elle est arrivée. " Je... J'vais enlever ça.." Mon pull, j'entends. Ma brillante idée est de me lever dans l'action, oubliant ma cheville dont la douleur se réveille. J'pousse un grognement et je retombe en perdant l'équilibre, finissant ma course sur tes genoux. " Je suis désolée..." que j'grogne, mes mains sur mon visage pour me cacher. Le pire dans tout ça, c'est que je trouve pas mieux que de pouffer de rire face à la situation devenue gênante.

28.05.22 / @Pansy Lewinsky faut ventiler la pièce. c'est devenu un besoin urgent; t'es quand même arrivé depuis un petit quart d'heure et c'est déjà parti en sucette. il s'est passé quoi dans votre cervelle pour que la situation devienne aussi chaotique ? le besoin d'ouvrir les fenêtres, la bouille qui se renverse sur elle, ta main, pour le coup innocente qui vient se poser sur le dessus de sa poitrine et qui rend la situation encore plus gênante; c'est la panique un peu là quand même. tu te recules un peu quand elle essaye de se lever précipitamment pour aller enlever son pull. et quand tu la vois tanguer t'es à deux doigts de la rattraper pour éviter qu'elle tombe, mais trop tard, c'est sur tes genoux qu'elle fini. alors que t'es encore torse nu, juste tes jambes dans le pilou pilou. la scène est vraiment wtf à fond. ton bras vient l'encercler autour de la taille pour éviter qu'elle s'écroule par terre et quand tu vois qu'elle se met à rire, tu peux pas t'empêcher de rire aussi devant la situation et votre comportement — j'te tiens bien, parce que là t'es à deux doigts d'tomber à mes pieds. que tu dis tout en la maintenant contre toi fermement, ton bras encerclant toujours sa taille. le rire qui s'estompe petit à petit, ton regard qui ne quitte pas son visage. tu le savais déjà, mais t'aimes vraiment quand elle s'met à rire comme ça. ya son sourire qui t'fais complètement craquer et ce visage qui s'illumine. elle est radieuse. et c'côté fun lui va ben. au début, quand tu l'as connu, tu pensais pas qu'elle serait du genre à se taper des barres comme ça. tu pensais même qu'elle devait pas rire souvent.

Y a rien qui va en ce début de soirée. T'es là depuis quinze minutes et j'nous vois revivre le slow du bal une nouvelle fois. Deux maladroits qui perdent leurs moyens pour un oui ou pour un non. Et maintenant, je suis sur tes genoux et on ne sait pas tellement si mes mains cache ma honte ou mon hilarité. Dans l'intimité de mon appartement, je n'avais aucun mal à en rire, c'était même pas plus mal pour détendre l'atmosphère. J'évite cependant de croiser son regard, restant de profil pour masquer la gêne encore un peu présente. " vraiment, au point où j'en suis..."
Maintenant que je suis installée sur tes genoux, j'en profite pour retirer mon pull et finir en débardeur. C'était déjà plus agréable. " je t'invite et tu mets le chaos chez moi..." je ricole encore un peu et je retrouve mon sérieux ensuite. " je suis désolée de te mettre autant mal à l'aise.." le bal, puis ce soir... Et quand je réalise que je suis toujours sur tes genoux, j'me laisse glisser pour retrouver ma place à tes côtés. Maintenant, j'sais que chaque contact avec moi semble avoir un effet négatif sur ta personne.

28.05.22 / @Pansy Lewinsky il serait peut être temps de passer une soirée normale. non parce que depuis que tu as foulé le pas de la porte de son appartement, ya rien qui va. s'en est presque malaisant. on dirait deux ados. vous êtes totalement conscients que la situation est complètement wtf. rires qui résonnent la pièce. ton emprise se resserre autour d'elle pour éviter qu'elle tombe. mais tu la relâche peu à peu quand elle semble avoir prit conscience de ça. puis, tu la regardes surprit lorsqu'elle se met à retirer son sweat alors qu'elle se trouve encore sur tes genoux. bon, no panic, elle n'est qu'en débardeur, mais ça suffit pour te provoquer un léger frisson lorsque sa peau dénudée vient effleurer la tienne — le chaos ouais. moi j'voulais juste te ramener des donuts et des chips.. entre ce que tu voulais et ce que ta venue engendre depuis ton arrivée, ya des kilomètres. puis elle se faufile à tes côtés et s'excuse. hausses les sourcils tout en te levant pour remettre ton tee-shirt sur toi et retirer enfin ton pilou pilou qui te donnait des sueurs — hein ? mais non non, t'inquiètes. mal à l'aise de ? une fois le tee-shirt remit, tu remets ton short puis te rassois à ses côtés en lui présentant les donuts — sers toi. sourire qui se dessine sur tes lèvres.

Pull débarrassé, la chaleur retombe peu à peu, d'autant plus quand je descends de tes genoux pour venir m'échouer à tes côtés. Même si tu venais pour la bonne cause, depuis ton arrivée, l'atmosphère était devenue électrique rendant la moindre de nos actions maladroites. On était pas comme ça en temps normal. " Tu me sauves la vie, j'dis pas le contraire ! ". Reprenant la situation en main, tu te lèves pour remettre tes vêtements. Encore une fois, je détaille ta silhouette, détournant les yeux quand tu te tournes vers moi. Je secoue brièvement la tête en grimaçant. C'est vrai ça, mal à l'aise de quoi ? Rien du tout. J'attrape un donuts quand tu me tends la boite et j'me mets à l'aise en posant ma cheville gonflée sur le bord de la table basse. " Ces trucs sont vraiment une tuerie " que j'te confie avant d'en prendre une grosse bouchée. C'était tellement bon que j'avais aucune honte à les engloutir. J'allais même lécher le kilo de sucre sur mes doigts pour rien perdre. " Meilleur truc du monde sérieux "