nala-rose élizabeth williams ► Valerie Poxleitner

Miami, Floride. Je suis né sous le soleil chaud des États-Unis, mais je n’ai jamais habité cet endroit. Trouvez l’erreur ? Non, vous n’avez pas besoin de jouer les devinettes avec moi parce que j’ai été abandonné par mes parents biologique. Mon oncle et ma tante sont mes parents adoptifs depuis le jour où est-ce que ma mère m’a mis au monde. Ma tante et mon oncle n’ont jamais parlé de mes parents parce qu’ils n’ont jamais été bien vue dans notre famille. Je n’ai jamais poussé jusqu’à demander des questions sur eux parce que je ne voulais rien savoir du tout de mes parents. Faut croire que c’est pareille pour eux parce qu’ils n’ont pas donné signe de vie depuis que je suis à New York. J’ai grandi là-bas à New York et j’ai passé ma vie à être enfant unique, mais pas comme tous les autres jeunes filles de mon âge. Je n’ai jamais été la petite fille à maman et à papa parce que je n’ai pas grandi dans une famille riche que l’on retrouve à l’Upper Est Side de la ville à Manhattan. J’ai grandi dans le coin de Brooklyn tout mon enfance et même mon adolescence. Il n’y avait rien qui me dérangeait parce que je me foutais bien des commentaires qu’on me balançait à la fin de mon école primaire. Je le savais que s’était pour arriver, mais disons que je n’ai pas offert mon côté sarcastique aux filles qui m’ont envoyé promener. Mes parents m’ont toujours dit de ne pas avancer dans leurs conneries parce que je n’étais pas cette petite fille qu’ils désiraient. Au secondaire, j’ai revu les mêmes filles, mais j’avais changé. Elles ne m’avaient pas reconnu et s’était mieux comme ça. Je ne voulais pas retourner dans cet enfer remplis d’insulte ou d’arrogance parce que s’était ridicule.

Je n’étais intéressé par les soirées organisées par les filles ou les groupes les plus populaires de l’école. J’aimais dessiner, écrire et jouer de la guitare avec mes parents lorsque j’avais la chance d’être seule avec eux chez moi et de pouvoir profité des moments en famille. Il était fascinant pour eux de me voir dans un apprentissage qui se développait très rapidement parce que j’étais très curieuse comme jeune fille. Je voulais toucher à tout, voir tout, savoir tout et parfois, je me m’étais dans l’eau chaude, mais je me foutais de ça. Même si j’étais une jeune fille timide, je voulais avoir un peu d’action dans ma vie, mais parfois, ma curiosité m’apportait à connaître des choses sur ma famille biologique et mon oncle et ma tante ne voulait pas que je sache tout ça. J’ai gardé tout ça pour moi, mais après plusieurs mois, j’oubliais le tout. Vers 16 ans, je me suis fait tatouer pour la première fois. Mes parents était d’accord avec moi et en autant qu’il ne dépensait pas pour moi, s’était d’accord pour eux. J’avais un emploi pour mes propres dépenses et j’économisais pour aller à une des plus grandes Universités des États-Unis. Je voulais étudier dans les arts. Harvard avait un programme très bien équilibré pour les arts et j’entendais parfois des gens parler de cette endroit que j’ai pris une chance pour y appliqué. Je n’avais pas eu encore de réponse et je commençais à perdre espoir. Ma tante est arrivée un matin à mon travail avec un sourire qui était assez spécial à voir. J’étais accepté à Harvard et je n’ai jamais été aussi heureuse de pouvoir enfin avoir une chance pour aller à Boston. Comme je connais très bien ma tante, elle ne voulait pas que je parte. Je ne voulais pas rester chez mes parents pour le reste de ma vie parce que je voulais expérimenter de nouvelle chose.

J’ai toujours été une jeune fille craintive et aussi très anxieuse. Les premières semaines ont été dures parce que j’avais peur de tout faire de travers. Mon côté gauche m’a probablement apporté des problèmes que je n’avais pas remarqué durent les semaines que j’avais passé comme un enfer. Il fallait bien que je me trouve une bonne raison pour pouvoir être courageuse et s’était de m’intégrer. Je me suis rapidement fait une place au milieu de tous les étudiants qu’il y avait lorsque je suis arrivé et surtout après la bombe. Des problèmes ont survenus après ça, mais j’essaie de ne pas trop en faire une histoire. Boston est définitivement ma deuxième maison et j’aime cette ville. Il y a toujours quelques choses de différent qui se passe à tous les jours et c’est différent que de toujours voir des taxis se suivre presque collé l’un à l’autre dans le trafic. J’aime Boston pour différente raison et je crois que si j’aurai un choix pour quitter le nid familiale, je choisirais Boston.