~ On the nature of daylight ~ (Charlize)

on the nature of daylight

Son message est clair, passé et reçu cinq sur cinq, Denzel l'a bien compris et en intègre aisément le sens; désormais, tout est clair entre eux. Ou du moins.. A peu près. Après le vécu de cette dernière année, il peut tout à fait comprendre que Charlize soit réticente à l'idée de s'ouvrir, et qu'elle ait besoin de temps pour envisager de changer cela. Pas dit que ça arrive d'ailleurs, et aucune promesse ne sera formulée. Rien ne dit qu'il pourra, un jour, démontrer sa valeur à son côté, sans être toujours associé aux bêtises effectuées par d'autres avant lui. Mais c'est comme ça. S'il faut payer pour les autres, alors ainsi soit-il. En même temps, Denzel imagine difficilement comment il pourrait lui convenir, avec son caractère à la con, et ses idées toujours insensées. Bien qu'il se soit - légèrement - calmé, la brune aspirera probablement à mieux, lorsque le temps sera venu. - T'as pas besoin de te justifier, t'inquiètes. Un "non" est un non, je vais vivre avec. comme il le disait, ses mèches blondes resteront à leur place; présentes, mais juste ce qu'il faut. Il n'aura qu'à observer une comédie romantique à la base navale, pour satisfaire les pulsions de son coeur; rien d'inhabituel en somme, pour un éternel célibataire. Entrainée jusqu'au sommet du phare, sans lui lâcher la main, Denzel se réjouit de pouvoir lui offrir pareil spectacle; après tout, c'est ce qui compte, de lui changer les idées. - Charlize.. Détends toi. Apprécie le moment, c'est tout ce qui compte. il pourrait presque sentir la crispation de ces phalanges, et imagine que cela puisse être de sa faute. Alors, il la lâche un instant, pour s'asseoir à même le sol, glissant ses jambes dans les ouvertures de la barrière, profitant du vide sous ses pieds. Juste là, sous leurs yeux, s'écrasent les vagues sur le noir rocailleux; l'écume s'y dépose, puis disparait à l'assaut suivant. Puissance naturelle en contradiction avec le calme à l'horizon, là où rien ne semble bouger, pas même le soleil et ces rayons. - J'imagine que tu ne connais pas la légende du phare ? suppose-t-il soudainement, en reportant son regard d'azur dans sa direction; toujours la manie de raconter des choses dont tout le monde se fiche. Avec un peu de chance, cela lui évitera de penser qu'elle a mis un malaise entre eux.

(Invité)

16/04/2021

Tu ne sais pas quoi penser. Tu ne connais pas encore assez bien Denzel pour lui faire confiance. Pourtant, tu arrives à te confier à lui. Tu lui as raconté beaucoup plus de choses à lui qu'à n'importe qui d'autre. Il te dit que tu n'as pas besoin de te justifier mais toi, tu te sens obligée de le faire parce que c'est ce qu'on t'a constamment demandé tout au long de ta vie. Tu inspires profondément, tu tentes de rassembler tes esprits. Je me sens un peu obligée je... je sais que t'es pas comme Levi mais... je sais pas, je sais pas ce que t'attends de la vie, ce que tu aimes, ce que... Je sais pas si je m'en sortirais aussi. Tout simplement. A quoi bon tourner autour du pot hein. Tu ne suis pas tes séances comme il le faudrait parce que tu n'as pas le temps et que tu as peur aussi. Peur du verdict final, qu'on te dise que ça ne fonctionne pas et que tu finiras comme ta mère. Vous arrivez en haut et tu tentes de faire le vide. Tu regardes l'horizon et tu respires un coup quand il te demande de lâcher prise. Tu secoues la tête mais, ce n'est pas encore ça. Tu décides de faire comme lui quelques minutes plus tard, croisant les bras contre ta poitrine, les pupilles posées sur les vagues. Tu me racontes ? Que tu demandes curieusement, préférant écouter sa voix avec le bruit des vagues en fond plutôt que de devoir réfléchir à un potentiel avenir tragique. @Denzel Hopkins

(Jules Weaver)

some of us are aware, that it's good for us to care. some of us feel the icy wind, of poverty blowing in the air for those of us who simply like to socialize, for those of us who tend the sick and heed the people's cries. let me say to you, right on.

on the nature of daylight

@Charlize Seaton

Archétype de l'homme sociable, extravagant, pourtant jamais réellement ouvert aux autres; on le côtoie et il ne cesse de sourire, mais peu de gens le connaissent vraiment, au delà du visage d'or et de ses répliques, souvent empruntes de ridicule. Charlize a raison de le lui faire remarquer; si l'attirance, l'envie y est, peut-être ne le connait-elle pas encore suffisamment. Ce n'est pas par refus de s'ouvrir, puisque les sujets tombent naturellement sur la table, avec celle qu'il estime être, d'abord, une véritable confidente. C'est juste qu'il ne sait pas comment amener les choses, à force de les conserver en lui. Comme si un verrou bloquait le flux de l'intérieur. Et puis, il y a cette phrase - savoir si elle s'en sortira -, et l'épée de Damoclès au dessus de sa tête; Denzel évite d'y songer, mais c'est réel. La maladie empêche-t-elle l'amour de s'épanouir ? Il veut croire que non. Il voudrait l'affirmer, le lui certifier. Charlize est-elle condamnée à rester seule, à cause de sa leucémie ? Non, certainement pas. Le blondinet refuse même d'envisager cette idée. Et pourtant, il ne réplique pas. Pas encore. Le bon moment viendra, pour lui dire ce qu'il pense de tout cela. D'abord, l'appel de l'océan; la hauteur, les embruns portés par le vent, la puissance de la nature servie à leurs pieds. Magnifique et dangereuse. - Il y a longtemps, un navire chargé de trésors faisait voile en direction du port, guidé par la lueur rassurante du phare. Mais cette nuit-là, alors que l'océan se déchaînait sur la côte, le gardien a décidé d'éteindre le projecteur, plongeant ainsi la zone dans l'obscurité totale. L'homme était cupide, et avait eu vent de l'arrivée du bateau. Sans l'aide du phare, le navire a fait naufrage; le butin a sombré et les marins sont partis saluer ce cher Neptune. alias Poséidon, le dieu au trident. - Le gardien est mort sans jamais avoir retrouvé le trésor, mais on raconte qu'il le cherche encore. La légende dit qu'il hante toujours le phare et ses environs.. une histoire de fantôme, qui dit mieux ? - Cela dit, je l'ai jamais croisé. à la finalité, cette vieille histoire le fait plutôt rire. Ce sont des conneries pour effrayer les touristes, et dissuader les plongeurs. Denzel penche la tête sur le côté, cherche le regard de la brune, puis s'approche doucement, pour déposer ses lèvres sur son épaule. - Je veux pas te lâcher, quoi qu'il arrive.. J'aimerais affronter tout ça avec toi. parallèle effectué avec ces répliques, quelques secondes plus tôt; puisque rien ne vaut un bon coucher de soleil pour lui exprimer pareille pensée. Que l'image de cette soirée devienne le portrait des semaines, mois à venir; lui, à son côté, au devant des éléments déchaînés, le calme venant après la tempête.

(Invité)

16/04/2021

Tu te sens quand même bien quand il est dans les parages. Tu sais qu’il ne te jugera pas quand à tes actes ou la manière dont tu gères ta vie. Tu essaies juste de lui faire comprendre que le timing est compliqué parce que tu as des responsabilités et qu’en plus de ça, tu es malade. Ce serait égoïste de ta part de lui promettre un avenir qui reste incertain pour toi. T’es malgré tout quelque peu nerveuse par la suite et tu n’arrives pas à te détendre complètement, à te laisser aller malgré la beauté du spectacle que vous offre le phare. Il te raconte son histoire après que tu lui aies demandé, heureuse de pouvoir penser à autre chose l’espacé d’un instant. Tu essayes de me faire peur en me faisant comprendre que le phare est hanté ou c’est une invitation à aller chercher le trésor ? Tu esquives un petit sourire tout en regardant les vagues se déchaîner contre les rochers. C’est tout de même beau à voir. Presque aussi beau que les paroles de Denzel quelques secondes plus tard en mémoire à tes propres propos peu de temps avant. Tu tournes alors la tête, peau qui frissonne au souvenir de ses lèvres contre ton épaule. Finalement, tes yeux plongent dans son regard et tu te rapproches doucement, le palpitant au bord du gouffre. Tes lèvres viennent finalement se poser avec délicatesse contre les siennes sans que tu n’y aies vraiment réfléchi auparavant. @Denzel Hopkins

(Jules Weaver)

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on the nature of daylight

@Charlize Seaton

Raconter des âneries semble être son point fort, surtout lorsque la tension devient palpable dans l'air. Denzel ne voulait pas la mettre mal à l'aise, et tente maladroitement de se rattraper, d'abord avec une histoire sans queue ni tête, maintes fois entendue et répétée par les anciens de la garde côtière; puis, au travers d'un baiser, chastement déposé sur son épaule dénudée. Cela, accompagné d'un message simple et clair, pour lui faire comprendre qu'il a conscience de ce dans quoi il s'engage, et qu'il l'accepte sans même hésiter. C'est sa volonté, son désir; répondre présent, dans les bons et les mauvais moments. Denzel sait qu'il pourrait l'accompagner, garder ses phalanges entrelacées aux siennes, même la tenir à bout de bras, s'il le fallait. Le blondinet ne trouve rien à répondre, se contente d'une douce contemplation, bercé par le fond océanique, hypnotisé par le charme de celle qui approche, doucement, sans qu'il ne cerne encore son intention. Le souffle se suspend, tout semble s'arrêter lorsque Charlize efface le vide entre leurs visages, cueille ses lippes à la fleur d'un élan délicat; paupières closes pour mieux apprécier ce feu d'artifice émotionnel, lèvres à peine entrouvertes sans en quémander plus pour autant, satisfait au delà de ses moindres espérances par ce qu'elle lui offre, spontanément. Tendre découverte des pulpeuses, sur fond sonore saisissant, Denzel ne pouvait rêver mieux. Son coeur fait des siennes, semble danser dans la poitrine, le marin n'ose rompre le contact et lui laisse le plein contrôle, immobile, rêveur jusqu'à la séparation, laissant filer quelques secondes avant de rouvrir les yeux. Y a-t-il seulement besoin de mots pour décrire cela ? Un sourire, léger, chaleureux, se dessine sur ses traits, et s'il ne parle pas, ses phalanges viennent caresser les siennes, lui montrer qu'il apprécie, qu'il fond totalement lorsque leurs regards s'accrochent, lorsque sa présence se matérialise près de lui; par dessus tout, qu'il est là, et qu'il compte bien le rester.

(Invité)

16/04/2021

Tu ne sais pas trop comment agir. Tu te sens quelques peu perturbée depuis l'annonce de Denzel sur le fait qu'il t'aime vraiment beaucoup. T'aurais voulu y faire abstraction, comme il te l'a demandé mais, c'est plus fort que toi. Le fait qu'il pourrait avoir des sentiments pour toi, ça te fait peur. Si jamais c'était réciproque ? Si tu développais toi aussi des sentiments pour lui ? Après tout, il est bien le seul à qui tu fais confiance, le seul à qui tu arrives à te confier. Et si jamais, il se jouait de toi comme Levi avant lui ? Il t'assure que non, qu'il est différent mais, tu ne le connais pas tant que ça. Il est souvent facile de te manipuler quand tu te montres dans un moment de faiblesse. C'est d'ailleurs pour cette raison que tu restes constamment sur tes gardes, que tu te montres froide et distante. Tu inspires profondément, tu te perds dans tes pensées, le regard tourné vers les vagues qui heurtent les rochers. Tu te dis que ton coeur doit faire la même chose dans ta poitrine et ça te rend dingue. Tu entends sa voix, au loin, qui te raconte l'histoire du phare qui pourrait potentiellement être hanté. Tu te raccroches à celle-ci sans pour autant être connectée à la réalité et ce, jusqu'à ce qu'il embrasse ton épaule et te murmure quelques mots. Instinctivement, sans vraiment réfléchir pour une fois dans ta vie, tu tournes la tête dans sa direction et te rapproches dangereusement de ses lèvres. Tu te laisses aller, tu les effleures, son souffle contre le tien te rappellerait presque que tu es en vie. Ton palpitant aux aguets, tu ne contrôles plus rien. Toi qui aimes avoir la situation sous contrôle, ça devient compliqué. Finalement, tu l'embrasses, presque avec hésitation dans un premier temps et finalement, tu te détends et ça devient un moment magique. Quand tu t'écartes enfin, avec autant de douceur que tu t'es approchées quelques secondes auparavant, tes yeux se posent sur sa main contre la tienne et tu te pinces légèrement les lèvres. Je... je suis désolée, j'aurais pas du... Mais malgré tout, tu esquives un petit sourire contradictoire. C'est compliqué de savoir comment agir. @Denzel Hopkins

(Jules Weaver)

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on the nature of daylight

@Charlize Seaton

Le gamin de l'océan, nage désormais en pleine mer de coton. Les rêves se vivent parfois éveillés, et cet instant en est la preuve. L'organe palpite dans sa poitrine, le rose couvre chaleureusement ses joues, et les opales brillent de mille feux, reflet sentimental du paysage idyllique, dressé devant eux. Charlize lui a offert une sensation unique, qu'il ne saurait décrire par de simples mots. Son corps, traversé par une douce onde de chaleur, aimerait se plonger, vivre de l'ivresse inattendue, cueillir ces lèvres, encore, y perdre son souffle et qu'importe s'il venait à se noyer; mourir du baiser de la brune serait, sans le moindre doute, le meilleur des châtiments jamais infligé. Elle l'envoûte, sans qu'il ne comprenne comment, c'est une histoire de confiance, de confidences; lien créé sur le tas, imprévu duquel émergent les pétales d'une relation complexe, complice, et dont les ramifications se dessinent à mesure que le temps passe, et que les entrevues se multiplient. Alors forcément, lorsque Charlize s'écarte et prétend qu'elle n'aurait pas dû, le marin secoue doucement la tête, esquisse un sourire se voulant rassurant; cette fois, il est à l'initiative du rapprochement, réduisant l'écart entre leurs corps, déposant un autre baiser sur son épaule, relevant ses billes claires pour qu'elle y voit, à quel point ce tournant inopiné lui plait. - Ne t'excuses pas, c'était.. Parfait. le mot est pesé, on ne peut plus sincère, Denzel entrelace délicatement ses phalanges aux siennes, porte l'ensemble à ses lèvres; c'est ce qu'il désirait le plus, et ce qu'il n'osait convoiter, par peur de la brusquer. - T'as rendu le moment magique, quand j'étais simplement maladroit.. Ça, c'est notre équilibre. inestimable, le genre de chose qu'il n'échangerait pas, même contre tout l'or du monde. Riche d'un baiser, millionnaire, à sa façon.

(Invité)

16/04/2021

Tu ne pourrais pas mettre de mots sur ce qui vient de se passer. A vrai dire, tu n'as tout simplement pas réfléchir à tes actes ni même à ses conséquences. Tu t'es contentée d'agir, comme tu le fais très rarement. Denzel est présent pour toi depuis qu'il est rentrait dans ta vie. Il te fait te sentir unique et tu n'as pas l'impression d'être une personne malade à ses côtés du moins, tu n'es pas que ça. Ses paroles t'ont touché et tu t'es laissée aller. Tu as été cueillir ses lèvres comme si tu voulais toucher une once d'espoir. Ton coeur bat plus vite et tu te demandes si c'est le stress ou le désir de recommencer. Quoiqu'il en soit, tu ne peux faire autrement que de t'excuser pour cette spontanéité qui ne t'est pas ordinaire. Lui, ça le fait sourire, bien évidemment et il tente de te rassurer en prenant une fois de plus, le poids de la culpabilité sur ses épaules. Tu n'as pas l'habitude qu'on agisse ainsi à ton écart. T'as l'habitude de passer pour la mauvaise parce que tu fais attention, parce que tu es trop sur la réserve. Quand il prend ta main dans la sienne, tu te contentes de laisser tomber ta tête sur son épaule en rigolant. Autant profiter de ce moment plutôt que de le regretter ou d'en discuter. Autant profiter du coucher de soleil, de la lune qui commence document à se dessiner sur l'océan, de cette couleur orange qui brille comme un phase dans la nuit. Image parfaite sachant que vous vous trouvez au sommet de l'un d'entre eux. On devrait rentrer. Je dois réveiller les petits pas trop tard demain matin et je suis pas certaine d'entendre le réveil si je reste toute la nuit avec toi. Peut-être parce que tu ne voudrais finalement pas te réveiller. @Denzel Hopkins

(Jules Weaver)

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on the nature of daylight

@Charlize Seaton

Ce geste spontané, ne relève aucunement d'une erreur, d'une méprise ou de tout autre terme négatif; c'était la cerise sur le gâteau d'un instant parfait, le clou du feu d'artifice sentimental, partagé au cours des dernières minutes. Si seulement Charlize pouvait lire en son coeur, pour y déceler la puissante énergie, le mécanisme désormais activé fonctionnant à plein régime, berceau des sentiments en création, source intarissable des émotions à son égard. Auront-ils l'occasion de recommencer ? L'avenir le dira. Denzel ne cherche plus à lire entre les lignes, il prend simplement ce que la vie accepte de lui offrir; simple et patient avec la brune, lui laissant le temps de s'ouvrir, de décider, d'agir si elle le souhaite. L'aimer, en toute sincérité, cela passe avant tout par le respect de ces limites, de ces besoins; s'il fallait rester ami pour continuer de vivre à son côté, alors le blond pourrait s'y résoudre. L'heure n'est pas au questionnement, tout repose dans l'instant présent. Sa tête sur son épaule, le sourire qu'il devine sur ces lippes, le goût encore présent sur les siennes et le souvenir en mémoire, union fugace, passerelle entre leurs corps; à l'image du ciel et de l'océan, deux éléments que tout oppose continuellement, pourtant réunis à la ligne d'horizon en un reflet parfait. Mais toutes les bonnes choses ont une fin, n'est-ce pas ? Denzel en forme un sourire, reconnaissant pour ces quelques minutes en commun, conscient que les responsabilités ne peuvent être reportées à plus tard, et qu'il ne peut devenir égoïste au point de vouloir rester. - Pas de soucis, je vais te ramener. Tu seras chez toi dans une grosse demi-heure. Un baiser délicatement déposé contre sa crinière brune, et le jeune homme se relève, lui tend la main pour qu'elle puisse faire de même. - Tu peux être fière de toi, Cha'.. Je connais pas beaucoup de gens, qui seraient capables de gérer un quotidien comme le tien. il l'a sûrement déjà dit, formulé autrement; peu importe, cette femme le laisse vraiment en admiration. La vie est belle, et elle vaut la peine d'être vécue; en espérant que cette soirée l'incite à se battre, pas tant pour lui, mais pour l'ensemble de ces moments agréables. Tout est là, à portée de main.

(Invité)

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