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look me in the eyes. (edie)

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La situation dans laquelle tu te trouves est on ne peut plus compliquée. Tu as l'impression de perdre pied. Chaque minute qui passe est une véritable torture et tu t'enfonces un peu plus à mesure du temps qui passe. D'abord, il y a eu le coma d'Edie, ensuite les crises de Louise au sujet de l'absence de sa maman, sans oublier ta dispute avec Poppy. Si tu ne pouvais pas en vouloir à Louise d'avoir des difficultés à comprendre, tu en voulais à ta petite-amie. Ce conflit a commencé avec tes visites trop nombreuses à l'hôpital, le fait que tu restes la nuit... Elle ne comprenait pas que tu veuilles être aussi présent alors qu'elle, elle était enceinte et avait besoin de toi. Ensuite, c'est parti en cacahuètes quand elle a décidé de fouiller dans ton portable. Tu n'étais pas tout blanc dans cette histoire, tu ne peux pas le nier. Tu as envie d'arranger les choses, pour le bébé. Mais tu refuses de changer ton mode de vie et d'autant moins ta relation avec Edie. Edie est ta famille, la seule qui est restée près de toi malgré tout ce que tu as pu lui faire subir. Tu te dois d'être présent pour elle, dans les bons comme dans les mauvais moments. Poppy a fini par comprendre cette partie de l'histoire. Tu as tes torts, tu en as même énormément mais, la mère de ta fille a toujours fait la part des choses pour t'accepter avec tes défauts et tu en demandes peut-être trop à Poppy. Tu lui demandes la même chose. Beaucoup d'interrogations se promènent dans ta tête. Serait-elle heureuse que tu sois là, à veiller sur elle jour et nuit ? Est-elle paisible, peu importe l'endroit où elle se trouve ? C'était tendu entre vous ces derniers jours. Tu te sens vraiment perdu sans elle. Assis dans ton fauteuil, tu jettes un oeil sur le monitoring, pour te rassurer. Bercé par le bruit du scope, tu tentes de fermer les yeux, de reposer ces derniers. Tes nuits sont courtes. Ta tête remplie de questions. Tu passes une main sur ton visage comme pour garder la tête froide. Tu tentes de te repositionner correctement. C'est vraiment pas confortable ici ! @Edie Reuben
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Les événements cascadent sous le néant abyssal. Ils se rejouent telle une boucle contre laquelle tu as l'impression de lutter mais en vain. Il est bien plus simple de se laisser attirer dans les méandres de la noirceur, soit l'issue de la facilité. Tu perçois encore ton cri de détresse lorsque tu interpelles Louise qui joue sur la place piétonne devant l'école. Tu redoutes déjà le pire mais tu presses ta course effréné en sa direction alors que la voiture ne limite aucunement sa vitesse, c'est pire même elle redouble sous les le bruit strident de la voiture de police qui la talonne de près. Un dernier hurlement, juste le temps de pousser ta petite fille sur le coté avec force, un regard vers elle avant que le noir ne viennent prendre possession de ton esprit. Cela sera ton ultime souvenir. Avais-tu agit à temps pour poupée ? Allait-elle bien ? Des interrogations emplit d'espérance qui s'étiole sous la douleur et de certaines pensées sur lesquelles tu peines à mettre des mots tant la souffrance est virulente. Laisse toi emporté Edie, tu en as assez fait comme ça. Ton inconscient te murmure avec vice de te laisser guider par ses flots appréciable du silence et de l'oubli, c'est tellement plus facile. Pour autant, plus le temps défile, plus nombreuses demeurent les voix qui énumèrent ton prénom comme une prière pour te maintenir à flot de ce trou noir. Des pleurs, des craintes, des suppliques, presque des prières pour que tes prunelles s'ouvrent, pour que tout redeviennent comme autrefois. Pour autant, le timbre cristallin de Louise est bien clair à ton esprit, vivace mais perdue à la fois. Tu ne peux pas abandonner. Les événements cascadent sous le néant abyssal. Ils ne cesseront jamais d'être mais tu fais front est te laisse guider vers la lumière. C'est d'abord le bout des doigts de ta main droite qui bougent. Un mouvement léger qui se fait plus pressant, alors que tu peines à émerger pour ouvrir les yeux. Tu as la sensation s'étouffer à cause du masque à oxygène qui obstrue ta bouche, ton nez. La panique s’empare de toi, une anxiété que tu ne peux quantifier alors que tu tentes d'enlever ce fichu masque tout en murmurant avec difficulté le prénom de ta petite puce. C'est à peine audible mais tu ne cesses de le réitérer encore et encore comme une litanie. L'anxiété qu'exprime ton corps semble te donner enfin la force nécessaire pour ouvrir les paupières. Ta vision est d'abord trouble mais tout devient plus nette au fur et à mesure des secondes qui passent.
@Elias Wertheimer
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Ces derniers jours, on peut dire que tu es l'ombre de toi-même. L'accident d'Edie t'a fait devenir une autre personne. Tu as beaucoup moins le smile, la détermination et la patience. Ça se ressent autant sur ton couple étant donné que tu te prends souvent la tête avec Poppy que dans ton rôle de papa. Louise pleure parce que tu ne peux pas céder à ses caprices, tu t'énerves donc elle pleure de plus belle. La finalité est toujours la même, elle s'endort dans tes bras en arrêtant de réclamer sa mère, consciente que même avec toute la bonne volonté du monde, tu ne peux pas lui accorder cette faveur. Louise est davantage ta priorité et tu laisses ton couple en pâtir. Tu n'accordes plus trop d'attention à Poppy et quand elle te le fait remarquer, tu te disputes avec elle en précisant qu'elle n'arrive pas à se mettre à ta place. Orphéa t'a bien fait comprendre que depuis l'annonce de sa grossesse, elle commence à douter de ta relation avec la jolie brune et ça te rend dingue. T'as l'impression que tout le monde s'est concerté pour te foutre la misère au moment où tu ne peux pas te reposer sur Edie comme tu l'as toujours fait. Alors comme toujours, tu te réfugies à ses côtés. Tu vas à l'hôpital et tu comptes y rester la nuit. Tu tentes de fermer les yeux, de laisser Morphée t'emporter mais comme toujours, tu trimes. Tu t'assures que tout va bien mais, ta tête est remplie d'interrogations et tu n'arrives pas à te laisser aller malgré la fatigue constante. C'est alors que tu entends un murmure. Un petit bruit et les bits du score. Le rythme cardiaque qui s'emballe au même rythme que les battements de coeur d'Edie qui semble avoir les yeux ouverts. Tu te redresses, rapprochant le fauteuil pour te tenir à ses côtés. Un fin sourire se dessine sur tes lèvres quand tu t'assures que ce n'est pas un rêve. Tu prends instinctivement sa main dans la tienne, scrutes ses traits fatigués malgré les longues journées de sommeil. Elle va bien, ne t'en fais pas... Tu tentes directement de la rassurer au sujet de Louise parce que tu n'as pas envie qu'elle panique. Tu ne sais pas ce dont elle se rappelle, tu ne sais pas ce qu'il s'est passé dans les moindres détails. T'as envie de chialer et t'as les yeux qui pétillent. Tu presses le bouton rouge pour appeler l'équipe médical sans pour autant lui lâcher la main, caressant le sommeil de son crâne d'un geste qui se veut rassurant et bienveillant à la fois. J'ai cru que tu ne te réveillerai jamais... Et t'as eu la trouille de ta vie. Reste tranquille, les médecins vont arriver. @Edie Reuben
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Le brouillard. Tout est trouble alors que tes paupières papillonnent à maintes reprises pour tenter de recouvrer la limpidité de la vision. De coutume, on t'envie ta sérénité, ta capacité à gérer les événements et les émotions qui vont de paires avec. Seulement, cette fois c'est comme si tu sortais d'une noyade dans laquelle tu avais retrouvé la paix, la plénitude. Là bas, la culpabilité t'était complètement étrangère. Cependant le ressenti de panique prend le dessus sans que tu ne puisses faire quoi que cela soit. Tandis que tes prunelles s'accoutument doucement mais certainement à une stabilité, tu sens une main s'emparer de la tienne alors que tu ne cesses de murmurer encore et encore l'appellation de ta gamine. Le timbre coutumier de Elias est perceptible, suffisant pour tu saisisses ses propos sur le fait que votre gamine va bien. Tu serres sa main de manière instinctive, une certaine force s'en dégage malgré que tu as l'impression d'avoir été absente, en sommeil durant une certaine période. De ton autre main, tu tentes malgré tout de dégager le masque posé sur ton visage, la main du jeune homme caressant ton front pour tenter de te rassurer. Tu l'entends exprimer sa crainte, t'informer que l'équipe médical ne va pas tarder et cela te semble une éternité alors que tu parviens enfin à enlevé ce fichu masque … bonne idée ? C'est encore pire, du moins c'est la sensation que tu as alors qu'une infirmière abaisse doucement ta main pour prendre le relais et éloigner définitivement le masque de toi. Un médecin l'a rejoint déléguant nombres d'informations pour ne pas dire des ordres. Tu ne sais pas combien de temps cela prend, quinze, trente minutes … peut être plus. Tu es un peu paumé, tentant de remettre de l'ordre dans ton esprit, reprendre la chronologie là où tu l'avais laissé sans doute ? Tu tentes d'utiliser ta main gauche mais c'est impossible, il est immobiliser. C'est alors que le médecin t'explique qu'il est cassé et que tu as eu un traumatisme crânien. Tu apprends être resté dans le coma pendant une dizaine de jours. Un flot d'informations que tu te dois d'encaisser alors que tu n'as envie que d'une chose, laisser les larmes coulées mais tu n'en fais rien. Pourquoi ? Tout simplement parce que c'est dans ta nature. Le médecin demande à discuter avec Elias et ils quittent la pièce tous les deux quelques instants. Tu ne te poses pas réellement la question, ton esprit est dirigé vers Louise, entièrement sur ta petite fille. Tu ne te doutes pas une seule seconde de ce qui se cache derrière l'échange entre Elias et le médecin. La porte de la chambre s'ouvre à nouveau sur le père de ta fille et le bruit de la porte qui se referme attitre ton attention. « Comm – comment … va Louise ? ».
@Elias Wertheimer
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Ta vie sans Edie est un véritable fiasco. Tu as besoin d'elle pour avancer et tout le monde le sait, tout le monde l'a remarqué. Tu es hors de contrôle lorsqu'elle ne se trouve pas dans les parages. A croire qu'elle est la seule capable de te raisonner. Ne pas l'avoir à tes côtés, de manière officielle, ça te perturbe, ça te bouleverse. Tu t'imagines le pire une fois seul en sa compagnie. Tu te demandes ce que tu ferais sans elle, comment tu arriverais à élever Louise et ce que tu lui expliquerai pour justifier son absence sans qu'elle ne prenne sa mère en porte à faux. Devant les autres, tu restes optimiste. Tu n'as pas envie d'inquiéter Jill. Alors, tu rappelles à quel point sa soeur est forte et déterminée. Jamais elle ne laisserait votre fille, malgré la confiance qu'elle a développé à ton égard au fil du temps. Oui, les débuts furent difficiles mais vous avez évolué et tu as fait des progrès. Tu ne te sens malgré tout pas apte à t'occuper de Louise sans qu'Edie garde un oeil sur tout. T'as le coeur qui bat face à cette pensée qui trotte dans ta tête. Peut-être que jamais plus tu ne la verras sourire, tu n'entendras plus le timbre de sa voix, ses reproches quand tu cèdes tout à la princesse... Heureusement, c'est à cet instant que le destin joue en ta faveur et les yeux d'Edie s'ouvrent au monde. Ton coeur palpite, tes yeux pétillent. Tu as l'impression de pouvoir respirer à nouveau. Elle serre ta main et tu te rends compte que tout est réel. Tu la rassures quand au sort de votre fille et tu caresses son front du bout des doigts après avoir appuyé sur la sonnette pour alerter les médecins. Tu jettes à peine un oeil à l'équipe médicale qui intervient, trop envouté par ton ex petite-amie. Les informations sont données à nouveau. Des choses que tu as déjà entendu par le passé. Tu hoches malgré tout la tête et peines à laisser Edie l'espace de quelques minutes pour discuter avec le médecin. Tu revient ensuite vers elle, essayant d'encaisser les dernières nouvelles. Elle s'est beaucoup inquiétée pour toi. Au début, c'était difficile... elle ne parlait pas beaucoup. Elle n'est d'ailleurs jamais revenue sur l'accident. Elle pleurait pour un câlin ou l'histoire du soir... Mais, on a su géré, t'en fais pas. Tu sors ton portable de ta poche pour faire défiler les photos et les messages laissés par la petite. Toute la famille a été mise à contribution pour lui changer les idées. Elle a repris du poil de la bête. Elle est aussi forte que sa maman. Tu esquives un sourire en venant t'installer à nouveau à ses côtés, lui tendant ton portable pour qu'elle puisse voir les dernières photos de sa princesse. @Edie Reuben
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Tu as le sentiment d'être un peu perdu – pour ne pas dire beaucoup. C'est comme vouloir tenter l'activité d'un puzzle à mille pièces, il faut de la patience, de la concentration, de la volonté … chez toi, tout est un peu chamboulée et tu tentes de faire preuve de raisonnement pour tenter de reconstituer ce qui s'est passé.   Ton esprit est focalisé sur les images de l'accident. Le rire de Louise de jouer sur la place piétonne, le hurlement que tu pousses pour la prévenir et le klaxon de la voiture roulant trop vite … toi qui cours à t'en arracher le souffle, une douleur atroce, fulgurante … « maman !!! » … le cri terrifié de ta poupée puis le trou noir, plus rien. Ce n'est que lorsque la porte de la chambre se referme sourdement que tu reviens à la surface du présent. Ce présent où tu demeures tout aussi paumée avec un ressenti sur lequel tu peines à émettre des mots limpides. Tu secoues la tête vivement mais cela apportent quelques vertiges que tu regrettes tout de suite. Bien évidement, ton intérêt se dirige tout de suite vers Louise, c'est pourquoi tu demandes à Elias comment elle va. Tu écoutes attentivement chacune de tes ses paroles, constatant que tu as été la source de gros soucis et que tu as fait souffrir ta gamine. Culpabilité pour cela mais aussi pour autre chose … mais tu ne sais pas ce que cela peut être. Bras gauche immobiliser, tu prends le portable de ta main droite pour regarder la bouille de ta petite fille sur chaque photo. Ces dernières défilent doucement mais tu les imprimes dans ta mémoire. Tu prends sur toi pour ne pas laisser les larmes coulées, tu ne veux pas dépeindre cela à ton ex petit ami. « Je … je suis désolée … ». Trois petits mots qui sortent de tes lippes sous un intonation rauque de ne pas avoir parlé pendant plusieurs jours sans doute. «Merci d'avoir été là ... ». Ta gorge te fait un brin souffrir mais tu es contente de pouvoir l'utiliser, preuve que tu es bien là. « Qu'à dit le médecin ? Il faut que je prévienne Ilan et ma sœur ...que je rassure mes parents, où est Lou ? ».
@Elias Wertheimer
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Tu es rassuré de voir Edie les yeux ouverts. Tu as l’impression que c’est une scène a laquelle tu n’assisterais plus. T’as vraiment eu peur pour elle. Le médecin te prend à part pour t’expliquer qu’il y aurait potentiellement des séquelles. Il se peut que sa mémoire lui joue des tours. Il ne faut pas la brusquer, aller à son rythme. D’autres examens seront entrepris. Il n’est pas certain qu’elle puisse également récupérer toute la motricité de son bras. Tu acquiesces à chacune de ses paroles jusqu’à ce qu’il te donne l’autorisation d’y retourner. Alors, tu t’empresses de retrouver ton ex pour lui donner des nouvelles de votre fille. T’en profites pour lui montrer quelques photos sur ton portable. Tu vois ses yeux pétiller et tu esquives un petit sourire en secouant la tête. Hey, tu t’excuses pour quoi ? Avoir sauvé notre fille ? Si Louise s’en est sortie avec quelques égratignures c’est bien grave à sa maman. Ton pouce vient caresser sa joue avant de reprendre : Merci à toi d’être la meilleure mère qui puisse exister sur terre. Tu lui serres un verre d’eau avant de prendre ton portable pour le mettre à charger. Tu fais ensuite défiler les numéros sur ton portable tout en lui expliquant : Des formalités. Lou est avec Jill et Ilan. Tu serais surprise de voir à quel point on s’est bien entendus ces derniers jours. On a trouvé une astuce pour que la petite puisse être rassurée. Tous les soirs, je lui laissais mon portable pour qu’elle t’envoie un vocal et une photo. Du coup, tu risques de ne pas avoir manqué grand chose. J’ai mis ton portable en charge pour que tu puisses voir tout ça. Si tu veux, je vais te chercher un petit truc à manger et tu pourras les appeler après ? Si tu te sens assez en forme bien sûr. Tu ne veux pas précipiter les choses. Sinon, je les préviens pour toi. @Edie Reuben
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Il est encore un peu tôt pour remettre les pièces du puzzle à sa juste place, tu te dois d'être tolérante envers toi-même – tout comme tu peux le suggérer à tes proches. Néanmoins, cela ne t'empêche pas de tenter de rafraîchir tes idées, d'y remettre un peu d'ordre pour ne pas paraître trop perdue … seulement pour l'instant cela semble compliqué. Une pensée qui s'essouffle quelque peu lorsque le jeune Wertheimer revient dans la chambre après avoir quitté le médecin. Bien évidemment, tes pensées vont directement vers ta fille pour savoir comment elle va, comment elle se sent ? La dernière fois que tu la vue … tu as entendu son hurlement terrifié alors qu'elle t'appelait puis le bruit strident du klaxon … tu secoues vivement la tête pour chasser ses vestiges de ton esprit alors que Elias te donne son cellulaire pour te montrer des photos récentes de votre gamine. Louise est souriante, dynamique et adorable comme à l'accoutumée mais tu perçois tout de même une once de tristesse dans ces pupilles qu'elle a hérité de ton paternel.  Alors tu t'excuses afin qu'il te pardonne de l'avoir inquiété lui, votre fille et vos proches respectifs car tu sais que la famille Wertheimer t'a toujours accueillit à bras ouverts. « Il n'y a rien d’héroïque là dedans tu sais … les choses sont … tout est arrivé bien vite … ». Il pose sa main sur sa joue sans doute pour tempérer ta culpabilité ou tous sentiments similaires bien que tu sais que ce qu'il énonce est véridique. Tu le connais assez pour le savoir. Tu appuies légèrement ta joue contre la paume de sa main l'espace d'une fraction de secondes avant de lui tendre son portable pour le lui rendre. Il te serre un verre d'eau que tu prends de ta main droite valide tandis qu'il répond à tes dernières interrogations. Tu l'écoutes avec attention quand bien même tu comprends assez vite qu'il élude la toute première question, celles sur les propos du médecin.  Tu bois une gorgée d'eau et cela fait du bien à gorge irritée. Mécaniquement, ton regard se pose ton portable en charge, l'esquisse d'un sourire mince étirant le coin de tes lippes. Tu hoches doucement la tête avant de poursuivre. « Mh … c'est d'accord … mais avant je veux que tu me dises ce que t'a dit le médecin … je crois que je suis en droit de le savoir. ». Ton timbre de voix est encore un peu fragile et rauque mais la tonalité du sérieux et de ténacité demeurent audible avec précision.
@Elias Wertheimer
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Tout de suite, Edie s'inquiète pour Louise et tu ne peux pas lui en vouloir de prendre des nouvelles aussi tôt. C'est pour cette raison que tu lui montres des photos afin de la rassurer sur l'état de santé de la gamine. Tu l'empêches également de s'excuser alors qu'elle a tout bonnement sauvé votre fille. Dieu seul sait ce qui aurait pu lui arriver si Edie n'avait pas foncé tête baissée pour que Louise s'en sort indemne. Apparemment, ils ont arrêté le chauffeur de la voiture... Mais Ilan n'a pas voulu te dire de qui il s'agissait, surement par peur que tu fasses une connerie. C'est dommage parce qu'il aurait pu sauté sur l'occasion pour te faire disparaitre de sa vie. Je l'ai fait voir une psy mais, elle m'a dit qu'un suivi récurant ne servirait pas à grand chose pour le moment. Il faut juste... surveiller et voir ce que ça donne. Tu hausses les épaules en essayant de prendre un air détaché. Bien sûr que ça t'inquiète un peu mais, tu te dis que retrouver sa maman lui fera déjà le plus grand bien. Tu tentes une négociation avec ton ex petite-amie parce que, tu sais qu'elle va vouloir tout faire trop vite. Tout ce qu'elle désire pour le moment, c'est savoir de quoi vous avez bien pu parler avec le médecin dans le couloir. Tu prends une grande inspiration en passant une main dans tes cheveux. Tu ne sais pas trop comment elle va prendre la nouvelle. Rien de bien intéressant... En fait, il m'a dit que... ça se pouvait que tu aies quelques petites pertes de mémoire et qu'il fallait que tu y ailles à ton rythme. Tu ne veux pas qu'elle flippe mais, tu ne peux pas non plus lui cacher la vérité ! @Edie Reuben
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Depuis que tes paupières sont ouvertes, tu ne cesses d'avoir des flashbacks de ce qui s'est passé. Faits réels certes mais qui ne subsister aucunement lorsque tu étais dans le coma. Dans cet « ailleurs » si on peut le dire ainsi c'était la paix. C'est pourquoi tu te concentres tout naturellement et de suite de ta fille mais à chaque fois c'est son hurlement que tu entends … tu presses fermement tes yeux tandis que Elias t'informe que le chauffeur a été arrêté. Tu te contentes de hocher lentement la tête tout en tentant de chasser ses souvenirs de ton esprit mais c'est compliqué. Tu réitères ce même signe de tête lorsqu'il te confie avoir fait suivre Louise par un psychologue mais que pour l'instant cela n'était guère nécessaire. La perfusion a ta main droite te fait un peu souffrir mais cela prouve que tu es bien en vie. Un laps de temps suffisant pour récupérer doucement mais certainement une petite constance. Tu tentes de dissimuler ton mal être intérieur et tes maux à ton ex petit ami, il le faut bien car ensuite cela sera avec l'ensemble de ton entourage. Tu l'interroges alors sur les propos qu'a tenu le médecin. Tu sais que Elias va vouloir te ménager mais tu es prête à dire mais surtout tu es en droit de le savoir. Sa réplique est posée mais hésitante, tu le connais assez pour le savoir. Tu esquisses un rire soufflé, comme narquoise mais sans le savoir c'est tout simplement que ce que tu songeais se confirme … tu as déjà oublié certaines choses. « Rien de bien intéressant ? C'est déjà pas mal  … partir à la pêche aux informations ... ». Tu es à deux doigts de te laisser envahir par la défaite mais tu n'as pas le droit, tu es maman d'une petite fille de bientôt cinq ans qui a besoin de toi.
@Elias Wertheimer
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