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go where you breathe free (gauthier)

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go where you breathe free (gauthier) 1f4cdMassachussetts General Hospitalgo where you breathe free (gauthier) 231a un jour en février #rplibre
Fin du tour de ronde. Mon dernier patient me préoccupe. Sa tumeur ne cesse d’évoluer malgré les traitements. Cette vie est pourrie. Mais je continuerais l’essai thérapeutique, j’ne lâcherai rien. J’me battrais pour eux et ne cesserai de leur donner de l’espoir. J’suis épuisée. J’suis restée au bloc tout le matin et j’ai enchaîné l’après-midi avec les visites. Réunions pluridisciplinaires en chaîne, j’termine pratiquement sous les rotules. Il se fait tard et la faim se fait ressentir. Dernier rapport tapé sur l’ordinateur et j’me casse de cet étage où la douleur et le combat sont le dénominateur commun. J’emprunte l’ascenseur, les cernes sous les yeux, le corps courbaturé. Les couloirs sont connus par coeur alors que cette hôpital ressemble à un vrai labyrinthe. Droite, gauche, gauche droite. La grande salle de ravitaillement apparaît. Sous les néons, quelques membres de famille ou certains professionnels dînent. Ce soir c’est la fête dans la salle des infirmières, une connaissance diplômée d’Harvard vient d’avoir un bébé. Franchement, j’sais pas si j’aurais la force de rendre les sourires. Plat chaud récupéré, je me cale à une table et surfe sur mon téléphone. Je rattrape tout ce que j’ai loupé de la journée. C’est fou à quel point ce monde avance vite. Les photos qui défilent, j’me dis que certains vivent leur meilleure vie pendant que d’autres s’usent. Et puis je termine mes spaghettis et ouvre le paquet de bonbons acheté au distributeur. Le premier passe bien, mais le second reste coincé et tout à coup, j’manque cruellement d’air. J’me lève en panique, les yeux exorbités, la main sur la gorge. J’suis à l’hôpital, il devrait bien y avoir quelqu’un qui sache faire la manoeuvre d’Heimlich.
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t'as les couilles en feu gauthier. pas parce que tu les as trop utiliser. non, juste parce que tu as trop parler. assis depuis des heures, tu te tiens sur l'accoudoir de ton fauteuil. tu parles trop gauthier, tu dis trop haut ce que tu penses tout bas. là... tu ne peux t'en prendre qu'à toi. tu l'as provoqué, tu l'as insulté et voilà la manière dont elle t'a rendu l'appareil. un coup bien placé dans tes couilles. tête penché en arrière, tu fermes les yeux. t'as l'impression de contrôler plus facilement la douleur. tu les entends encore glousser, putain d'infirmière. tu ouvres les yeux, parce que tu as l'impression d'avoir attendu trop longtemps. ton regard s'attarde sur la pendule. trente minutes de passer... seulement. tu soupires. t'essayes de pas trop bouger. tu regardes cette femme de dos, au distributeur. tu ne t'attardes pas trop longtemps, tu peux juste remarquer les cernes sous ses yeux vitreux. longue journée pour elle aussi. tu regardes sur le côté, y a pas grand monde et là ton visage revient sur la blonde du distributeur. tu fronces les sourcils, comprenant finalement rapidement qu'elle n'arrivait plus à respirer. sans penser à la douleur qui animait ton intimité depuis plusieurs heures. tu t'approches d'elle en courant/boitant. " putain ! " tu peux pas t'en empêcher, injure que tu lâches alors que tu te mets derrière elle. point qui se forme au niveau de son abdomen, t'essayes de reproduire ce qu'on t'a appris. " je vais vous sauver, je vais vous sauver. " le mec pas sûr de lui du tout. première pulsion envoyer, rien, deuxième pulsion, toujours rien. " PUTAIN CA VA SORTIR. " et là, tu appliques une troisième pression qui libère ces voies respiratoires. douleur qui revient. tu grimaces mais tu lui demandes. " ça va ? "

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go where you breathe free (gauthier) 1f4cdMassachussetts General Hospitalgo where you breathe free (gauthier) 231a un jour en février #rplibre
Tout se passe très vite. En une fraction de seconde, le monde semble s’arrêter. Tout tourne au ralenti. La mort me guette. Le tuyau est coincé et l’air ne passe plus. J’étouffe clairement. Incapable de m’en sortir seule, je me lève et fais savoir ma détresse. Je titube, yeux exorbités. Le coeur pompe comme un frapadingue. Je vais pas m’éteindre ici, surtout pas. La morgue est juste sous mes pieds, le chemin ne sera pas long. Mais tout à coup, tu surgis de nulle part. Je ne vois pratiquement rien. Tu me contournes, te planques dans mon dos et me soulèves du sol pour faire remonter cette maudite sucrerie partie du mauvais côté. Les secousses paraissent impressionnantes. Petit gabarit que je suis, tu me secoues comme une poupée de chiffon. J’entends ta voix inquiète, mais aussi une pincée d’assurance qui ralentit ma peur. Finalement, après trois tentatives musclées, le coupable est éjecté vers l’extérieur. La toux qui m’enchaîne, je suis pliée en deux, mains sur les genoux. « Je suis en vie, vous êtes mon héros putain de merde » Aucune délicatesse, la situation ne s’y prête pas, c’était si effrayant. J’ai frôlé la petite croix dans le cimetière. Les index qui soulignent mes yeux, je retire les larmes et pivote enfin vers toi pour mettre un visage sur l’identité de mon sauveur. « Vous êtes du métier ou quoi ? » Ou alors est-ce l’adrénaline qui a tout fait, dans tous les cas, je ne saurais comment te remercier. Ce qui est étrange, c’est la courbure de ton corps. C’est comme si tu souffrais. « Dites, je ne vous ai pas défoncer le dos au moins ? »
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la douleur a tendance à te rendre grognon. t'as mal gauthier, tellement mal que t'as l'impression que les bâtiments de ton coeur sortent de tes couilles. ouai, c'est sa l'effet que sa fait. parasite qui t'empêche de penser, de marcher. tu aurais pu ne rien voir. ton regard s'est pourtant relever vers cette fille. blond et visage qui appelle à l'aide. tu t'es levé, oubliant presque la douleur que tu étais en train de combattre. tu ne sais pas d'ou tu sors cet instinct de survis. mains qui forment un poing au niveau de son torax, tu appuies, tu la soulèves pour qu'elle puisse de nouveau inspirer. trois pressions seulement. gorge de la demoiselle qui se libère, tu laisses son corps se dérober. tu as fait ton boulot, tu l'as sauver. rassuré, la douleur te frappe de nouveau. dos qui se recroqueville pour t'alléger, elle se retourne pour te regarder. tu souris, enfin t'essayes. elle te demande si tu es du métier. toi ? t'aimerais bien putain ! t'en aurais bien besoin, là tout de suite. tu secoues la tête de gauche à droite et lui dis. " non, je suis prof " rien à voir. ta main se tient au mur et tu lâches un petit grognement. tu grimaces. " non, non t'inquiète. tu m'as pas fait mal. " au diable le vouvoiement. toi tu t'emmerdes pas avec ces trucs, y a deux secondes t'avaient presque les mains sur ses seins. ton visage se tourne de nouveau vers elle. " et toi ça va ? ". tu l'observes et tu remarques ses habits. " t'es infirmière ? " impossible qu'elle ne le soit pas. " sa te dit de me sauver à ton tour ? " ouaiiii parce que là, t'as besoin d'un truc.

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go where you breathe free (gauthier) 1f4cdMassachussetts General Hospitalgo where you breathe free (gauthier) 231a février @Gauthier Martins
J’suis sortie d’affaire. Le bonbon s’est écrasé au sol. J’tousse, les voies aériennes débouchées. Le coeur bat toujours aussi fort. La mort peut arriver si vite pour des conneries pas possible. Moi qui avais parfois envie de me foutre en l’air, passer tout près de la fin, ça remet les pendules à l’heure. Sauver grâce à ta bravoure, l’sourcil se courbe sous l’énonciation de ta profession. Professeur, rien que ça. Lycée ou fac ? Bref acquiescement et j’détecte une souffrance chez toi. J’voudrais pas que ce soit de ma faute alors je vérifie si rien n’est cassé. « J’suis interne en médecine » Rapide correction et j’m’approche davantage pour chercher la cause de ton mal. J’crois bien que j’te dois au moins une consultation. Tant pis pour les heures supp’, ça fait partie du métier et c’est ça qui le rend plus beau. On ne compte pas son temps, on est guidé par notre désir d’aider les autres. P’tit geste pour que tu me suives et on part vers les urgences. Saluant les membres de nuit, j’passe une tête dans plusieurs pièces avant d’en trouver une vide. « Par ici jeune homme » La porte ouverte, j’te laisse passer et referme derrière nous pour nous isoler. « C’est quoi le problème ? Où t’as mal que je puisse t’examiner » Me retournant vers le plan de travail, j’attrape une paire de gants en latex et les enfile. Mains levées, je souffle vers le haut pour retirer la mèche blonde qui est tombée sur mon front. « J’suis prête monsieur le professeur. T’aurais pas un prénom d'ailleurs ? »
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artère qui fait écho dans ta tête. tu sens ton sang circuler trop rapidement. tu sens tout. ta bite est directement relier à ta tête. douleur qui ne passe pas, t'espères qu'elle ne t'a pas rendu impuissant. regard qui s'attarde sur l'innocente. tu souris, enfin t'essayes. cela ne t'as pas empêcher de la sauver, elle. interne en médecine en plus, voilà, qu'elle tombe à pique. merci le bonbon  go where you breathe free (gauthier) 636082422 go where you breathe free (gauthier) 2157042859. elle s'approche et toi tu te redresses. " je pense que ce serait mieux si on... " et là, tu pointes du doigt toute les salles qui se trouvaient à côté de vous. exposer ta bite en public pourrait être reprocher. elle t'invite à la suivre et t'essayes de marcher correctement. elle passe la tête dans les salles déjà ouverte, salue quelques personnes et trouve enfin une salle de libre. elle referme la porte derrière toi. jeune homme " tu sais comment parler à tes patients toi " tu souris, tu peux pas t'empêcher de parler trop. c'est ton truc et ceux malgré ce que tu peux ressentir là maintenant. elle s'assoit et te demande ce qu'il t'arrive. toi tu te tiens au rebord d'un meuble. elle se tourne pour pouvoir mettre ses gants. toi, tu desserres ta ceinture, tu fais glisser ton jean et t'attends. " c'est ma bite " - j'étais obligée - tu grimaces. " enfin, je m'appelle gauthier " tu t'approches mais tu la laisses te guider. t'aimerais pas bruler les étapes et te retrouver à terre cette fois ci. tu pourrais pas encaisser un autre coup, t'en es bien conscient. tu lis le nom qui était inscrit sur son badge. " enchanté mademoiselle waterford ? c'est quoi ton prénom. " visage ternis par cette douleur. tu la regardes. " une meuf m'a foutu un coup de genou dedans et la douleur passe pas. "

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go where you breathe free (gauthier) 1f4cdMassachussetts General Hospitalgo where you breathe free (gauthier) 231a février @Gauthier Martins
Tu viens juste de frôler la mort mais tu décides de le prendre en consultation. T’es incorrigible. Une future professionnelle qui saura sûrement faire face aux imprévus. C’est bon, t’es pas dead alors il faut savoir rebondir au lieu d’en faire toute une histoire. L’attirant vers les salles d’auscultation, tu en trouves une de libre pour l’accueillir. C’est con, mais pour ne pas commencer à fantasmer sur lui, tu tentes de le considérer comme un .. enfant. Les gants en latex qui claquent, tu te retournes et paf, ton regard descend vers le sud. Le gars s’est foutu en caleçon, tout fier. Cherchant les caméras au quatre coins de la pièce, tu finis par piger qu’il ne s’agit pas d’un coup monté. C’est ça les urgences, tout un lot de scènes comiques. « Winter, c’est Winter » que tu répètes en relevant tes prunelles vers les siennes. Bon, un examen des burnes, c’est de l’inédit. T’asseyant sur un tabouret roulant, tu te traînes jusqu’à lui et te retrouves face à sa bite. « Qu’est-ce que tu as fait pour mériter ça ? » T’es pas à l’aise avec le tutoiement, mais il l’a employé alors tu le suis, ne souhaitant pas le mettre plus à mal à l’aise avec une telle exploration médicale. « Je vais enlever ça » Son boxer descendu sur ses cuisses, tu louches sur son pénis et le soulève pour observer ses bourses. « Attention je vais tâter » Bordel, c’est tellement dur de ne pas éclater de rire. Les joues rouge, tu fais rouler le paquet entre tes doigts et détectes un gonflement. « Tu n’as pas vomi ni pisser d’sang ? » que tu lui demandes dans cette position si gênante. « Ça craint, tu pourrais avoir un problème de fertilité après »

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