0x1=LOVESONG (kwonea)

@Leon Kwon leon's apartment 14.02.2022

Des ballons jaunes, oranges, rouges en forme de coeur. Des guirlandes I LOVE YOU accrochées un peu partout et des pétales de roses éparpillées à la fois sur le lit et le sol. Elle y a passé des heures Dea, pour transformer ce petit nid douillet en cocon d'amour. Allant même jusqu'à négocier son emploi du temps pour s'assurer l'après-midi entière de libre pendant que lui, coincé en cours, ne se douterait de rien. Elle y a mis du coeur la belle, pour que tout soit parfait. Pourtant, c'est la panique lorsqu'elle entend le bruit des clés qu'on tourne dans la serrure. Malheur, il n'était pas censé rentrer si tôt. Les sens en alerte elle détale jusque la porte, appuyant de toutes ses forces sur cette dernière pour empêcher Leon d'entrer. "Nooo ! You can't come in, it's not ready !" Qu'elle s'exclame en poussant toujours plus fort, comme si sa vie en dépendait. C'est plutôt elle qui n'est pas prête, encore vêtue d'une veste de jogging et de son short de pyjama. Glamour, pour une première Saint-Valentin. Et sûrement qu'il se demande ce qu'elle fait là Dea, toute seule chez lui, pour pousser encore plus fort. "Don't..." Impuissante, elle cède malgré elle, ne pouvant rivaliser avec la force du garçon. "Surpriiiiiiiiise !" Les bras qu'elle lève vers le ciel, tout sourire, en se précipitant au centre de la pièce. C'est pas comme ça que ça aurait dû se passer et c'est pas non plus comme ça qu'il aurait dû la voir. Elle qui voulait tant que ce soit parfait, tout lui semble faux soudainement.

Il rentrait en tapant du pied, une moue boudeuse sur le visage. Sa journée avait été catastrophique sur tous les plans. Il avait obtenu une note médiocre sur l'un de ses travaux, s'était pris les pieds dans un énorme trou d'eau sur le chemin du retour, s'était trompé de journée en consultant l'horaire du Newbury's et, le pire d'entre tous, était allé récupérer le bouquet de fleurs qu'il avait fait préparer pour Dea, mais le local du fleuriste avait pris feu durant la nuit. Entre ses mains, il avait une médiocre boîte de chocolats, la dernière qu'il avait trouvée, tristement abandonnée, sur les étagères d'un supermarché à quelques pas du campus. Traînant de la patte, honteux, il avait appelé sa mère, désespéré, qui avait tenté de le convaincre que l'important n'était pas ce qu'il pouvait ou non lui offrir, mais qu'il soit présent. Rien pour le rassurer, même s'il avait bêtement répondu de « hm hm » peu convaincus avant de raccrocher et de se lamenter à voix basse jusqu'à ce qu'il n'entre les clés de son appartement dans la serrure. Il ne voulait qu'une chose: s'effondrer dans son lit, telle une dramaqueen, taper du pied comme un enfant mécontent, et retrouver son sourire jusqu'à aller la retrouver et espérer qu'elle s'extasie de son pathétique cadeau de Saint-Valentin. Leur première Saint-Valentin. Ugh. Il échappe un soupir en poussant contre la porte, mais se heurte à une résistance. Uh? Et avant que l'idée qu'un intrus ne se soit infiltré dans son appartement pour voler sa console de jeux et ses comics, c'est la voix paniquée de Dea qui se faufile à travers la porte entrouverte. What's not ready? D? You alright? Et il force, appuie contre la porte, inquiet à l'idée qu'elle soit en mauvaise posture à l'intérieur de sa chambre. La porte cède finalement sous son poids, n'ayant pas pris conscience que c'est Dea qui s'opposait, de toutes ses forces, à ce qu'il entre. Les traits marqués par la fatigue et le désespoir, c'est bien vite que la surprise les chasse. C'est à peine s'il reconnaît sa chambr,e décorée de ballons, de guirlandes et d'autres décorations, dans tous les tons de couleur. Au centre de la pièce, Dea, les bras en l'air, le sourire incertain. Il balbutie, dissimule aussitôt la médiocre boîte de chocolats dans son dos - c'est tout comme s'il était arrivé les mains vides. But, what is all of that? Whaaaaaat? Les yeux courent sur les murs, sur son lit, recouvert de pétales de rose. Visiblement, elle n'avait pas affaire avec le même fleuriste que lui... When? How? Did you get here? I'm... WHAT. Et son sourire lui revient presque aussitôt. You did all of that? By yourself? While I was gone?

@Dea Hyung

@Leon Kwon leon's apartment 14.02.2022

Elle n'est pas douée pour faire semblant Dea, encore moins devant ceux qu'elle aime. Le sourire parfois trop figé, trop petit, trop... silencieux ? Certains diraient sans doute que l'on peut lire en elle comme dans un livre ouvert et ils n'ont pas tort. Prise de court par l'arrivée de Leon, elle tente malgré tout de s'en tenir au plan initial pour ne pas trop gâcher la surprise. Les bras en l'air, elle observe avec intérêt sa réaction, pleine d'appréhension. Est-ce que ça va vraiment lui plaire, de voir son appartement redécoré de la sorte ? Est-ce qu'il ne va pas trouver toute cette déco too much ? Est-ce que ça ne va pas contrecarrer ses plans à lui ? Après tout... ils n'ont pas parlé de la Saint-Valentin ensemble ni prévu de faire quoique ce soit... Mais face à l'air ahuri de Leon et toutes ses questions, elle ne retient pas un petit rire, amusée. Et voilà que son sourire déjà bien grand s'illumine davantage. "You like it... ?" Qu'elle demande timidement après avoir confirmé d'un signe de la tête être à l'origine de tout ça. "I took your spare key last time I came here..." Elle a beau être fière de ce détail, c'est une moue un peu honteuse qu'elle affiche en s'avançant lentement vers lui. "But I was supposed to wear something romantic..." Pas un short de pyjama. Et elle sait bien que ce n'est qu'un détail pour lui Dea, mais pour elle, ça a son importance. Parce qu'elle n'est pas qu'un bébé qui utilise des memes pour montrer ce qu'elle ressent et abuse des câlins à outrance, non. C'est aussi une jeune femme et ce soir, c'est ce qu'elle voulait être : une jeune femme. Pour lui. Pour leur première Saint-Valentin. Relevant les yeux vers Leon en arrivant à sa hauteur, elle l'observe en silence un instant, un sourire timide naissant au coin des lèvres. "Happy Valentine's Day cutesome..."

C'est leur première Saint-Valentin, et il est le pire petit-ami du monde. Ce serait mentir que de dire qu'en rentrant, la tête basse, le pas trainant et la honte au ventre, il n'eut pas une pensée furtive pour Sam. Encore une fois. Déterminé à se torturer avec un fantôme du passé... et pas même de son passé. Fantôme venu l'enquiquiner au moindre moment de doute, à la moindre faille. Soucieux de ne pas l'inquiéter davantage, il se gardait bien désormais de partager ses tourments à Dea, au sujet de Sam. Sam, le fantôme encore présent - pour Leon -. Présent, par ce qu'il faisait état de comparaison. Il avait été son premier, Leon n'avait rien d'unique en ce sens. Était-il seulement le gamin un peu trop maladroit, et surtout un peu bête, le deuxième. Bien malgré lui, il entrait en compétition avec le fantôme de son passé à chaque nouveauté. Leur premier baiser. Leurs premiers je t'aime, leur première fois aussi, sans doute. Et aujourd'hui, leur première Saint-Valentin. Rien de tout cela n'était nouveau pour elle, tandis qu'il pédalait à vive allure pour rattraper le fantôme à la ligne d'arrivée, le semer pour qu'il ne demeure plus qu'un souvenir. Que ses deuxièmes fois à lui s'imprègnent de leur avenir, qu'elles gagnent en importance, en symbole, en importance, sur ses premières fois, à Sam. Leur première Saint-Valentin aurait dû être grandiose. Comment pouvait-il espérer arriver à la cheville de l'autre, avec une minuscule et minable boîte de chocolats avec un arrière-goût de chimique? Bien sûr qu'il se haïssait de ce combat intérieur qu'il menait avec ce garçon qu'elle avait tant aimé, et qu'il aurait sans doute apprécié aussi, s'il l'avait connu. Peut-être l'aurait-il envié autrement, s'ils s'étaient croisé de son vivant. Battre un fantôme n'avait rien de facile, c'était exténuant...

C'est l'une des raisons pour laquelle il était autant sous le choc après avoir forcé la porte de sa chambre et découvert l'état de sa chambre. Il avait cette désagréable impression d'être un adolescent pris sur le fait, mouchoirs en mains. Comme des pensées impures à l'égard d'un supposé mort, l'amour de sa vie, à Dea. En voyant la scène, les pétales, les banderoles, la déco aux tons rouges et roses, mais surtout en apercevant son sourire, le gamin se flagella mentalement. De s'accrocher à un souvenir qui ne lui appartenait pas, alors que la jeune femme avait maintes et maintes fois tenté de le rassurer à ce sujet. Ne pouvait-il pas s'y résoudre?

D'un coup de tête, les mèches virevoltent, fouettent l'air, si fort qu'il en parvint à chasser l'image floue de Sam, qui disparut presque aussitôt, mais qui garderait tout de même une emprise dans un coin de son esprit... But you're already wearing it. It's on your face. Et son pouce vient glisser sur ses lèvres, étirées en un sourire timide. Your smile is the most romantic thing you could wear. Et il enroule ses bras autour de sa taille, ayant pris soin de laisser tomber la minable boîte de chocolats à l'entrée, non loin de son sac à dos rempli de bouquins, avant de déposer un baiser sur ses lèvres. Cutesome. Ce surnom avait le don de lui faire dresser les poils sur les bras. Dans le bon sens. Il adorait qu'elle l'appelle ainsi. Cutesome. C'était lui. Rien que lui. Il était unique, pour une fois. Did you miss your class to prepare all this...? Il sent le rouge lui monter aux joues, en parfaite harmonie avec les nouvelles couleurs de sa chambre. I loooove my new decos. Can I keep them all after today? Il pouvait bien lire sur son visage la déception. Il avait gâché la surprise en arrivant trop tôt... I really, really, really, really love you. I really do, Dea.

@Dea Hyung

Elle lui donnerait le monde à Leon, si seulement elle le pouvait. Écrirait son nom à la lueur des étoiles brillant haut dans le ciel, si on lui en donnait l'occasion. Déplacerait des monts et merveilles pour s'assurer de voir son sourire gravé sur ses traits à jamais. Elle en ferait des choses Dea, simplement pour le remercier d'être son monde à elle. Et c'est pour cette raison que cette surprise lui tient tant à coeur. Cette banderole, ces ballons... c'est sa façon à elle de lui montrer ce qu'un simple je t'aime ne peut suffire à exprimer. Parce que Leon, il ne sait pas que son coeur est à deux doigts d'imploser lorsqu'elle se trouve à ses côtés, tellement celui-ci tambourine dans sa poitrine. Il ne sait sans doute pas non plus que ses sentiments à son égard grandissent un peu plus à chacun de ses mots. Non... il ne sait pas Leon qu'il est la seule raison pour laquelle elle se montre si enthousiaste en ce jour de fête des amoureux. Dea aime les histoires à l'eau de rose, c'est vrai. De même que les bouquets de fleurs, déclarations d'amour, chocolats et autres clichés niais de Saint Valentin. Pourtant, elle se trouve dans cette pièce, perchée du haut de son mètre quatre-vingt deux, sa seule et unique source de motivation. Rien d'autre ni personne ne pourrait lui donner autant envie de célébrer cette journée que celui-là même qui fait battre son coeur en cet instant précis. Et le sourire timide s'étire bien vite pour offrir le plus beau des rayons de soleil lorsqu'elle sent son pouce venir caresser ses lèvres, les mots doux toujours plus forts que les précédents. Elle ne peut rien répondre la belle, incapable de rivaliser avec une telle poésie. De son regard enchanté elle le contemple, observant ses traits dans les moindres détails avec l'intime conviction que sa présence est le plus cadeau qu'il puisse lui offrir. Perdue sur son nuage, elle hoche la tête sans véritablement saisir le sens de sa question. C'est le travail plutôt que les cours qu'elle a décidé de louper mais dans le fond... c'est du pareil au même non ? "I would love that." Un peu trop même, au point d'abandonner sa meilleure amie pour dormir ici tous les soirs de l'année. Ce n'est plus l'appartement de Leon dans lequel ils se trouvent mais leur endroit rien qu'à eux. Leur bulle colorée, enivrée d'innocence et d'un amour incomparable à tout autre. "I really really really love you too..." Souffle-t-elle contre son torse après s'être plaquée contre lui, le serrant si fort comme elle ne l'a jamais fait. Aucun autre endroit au monde ne pourrait égaler les bras du jeune homme. Et son coeur bat si vite qu'elle ne saurait dire si ce sont ses battements ou ceux de Leon qu'elle entend tambouriner jusque dans ses tympans. Une douce mélodie qui vaut bien toutes les chansons du monde. Sans doute aurait-elle pris plaisir à l'écouter pendant des heures si une pensée soudaine ne venait pas de s'immiscer dans son esprit. "Oh no !" Redressant brusquement la tête, elle s'exclame aussitôt : "I spent the entire afternoon decorating that I completely forgot to think about what we could do tonight !" Les yeux ronds, c'est désormais la panique qu'il peut lire dans son regard. Celle de ne pas en avoir fait suffisamment ou de ne pas avoir assez bien fait les choses pour que tout soit parfait. Pour que cette première soirée de Saint-Valentin ne se compte parmi les souvenirs les plus mémorables dans leur mémoire comme dans leur coeur.

Elle qui pensait avoir tout prévu dans les moindres détails, elle se sent bien bête maintenant. Comment a-t-elle pu oublier le plus important ? Trop obnubilée et enthousiasme à l'idée de transformer cette pièce en cocon d'amour, la coréenne a complètement fait abstraction du reste. Détail ayant encore plus d'importance à ses yeux que le short de pyjama qu'elle n'a pas eu le temps de troquer contre une tenue un peu plus romantique. Alors oui certes, Leon n'étant pas au courant de ce qui se tramait dans sa tête, aucune chance que celui-ci ne soit déçu. Mais quand même. C'est important, parce qu'il est important. Bien plus qu'elle ne l'aurait voulu. Qu'elle n'aurait pu l'imaginer. Et cette fête dont elle ne pensait plus jamais vouloir entendre parler, il a réussi à la lui faire apprécier de nouveau. Parce qu'elle est là, dans ses bras et qu'elle ne voudrait pas être ailleurs. Ses yeux se plissent au contact de ses lèvres contre le bout de son nez, sa moue craintive ayant déjà laissé place à son beau sourire, rempli de bonheur. Il ne lui en faut pas plus pour être heureuse à Dea. Un baiser, un câlin, des mots doux, un regard et elle est comblée. Pourtant c'est un cri qui vient percer les tympans du jeune homme lorsque ses pieds quittent le sol et qu'elle se retrouve dans ses bras. Un cri auquel se mêle son rire cristallin, enfantin. "LEOOOOOON !!!" Elle le tape gentiment de sa main la plus libre, comme si ça allait changer quelque chose. "What are you doing ???" Réponse qui ne se fait pas attendre losqu'elle se sent basculer vers l'arrière et atterrir sur le matelas. Et telle une dramaqueen elle râle, bien que cela ressemble en réalité plus à des gloussements qu'autre chose. Du haut de ses vingt-et-un ans, elle a plutôt l'impression d'en avoir seize et de découvrir les sentiments amoureux pour la toute première fois. À sentir ses joues s'empourprer lorsque il la fait prisonnière de ses bras et lui vole un baiser. Si l'amusement se lit sur ses lèvres, ce sont des étoiles qui tapissent le fond de son regard. "I vote for the first two options..." Souffle-t-elle avec malice, lui pinçant les côtes pour qu'il relève la tête et qu'elle puisse ainsi s'emparer de ses lèvres à son tour. Même tous les baisers du monde ne suffiraient pas à illustrer tout l'amour qu'elle lui porte tant celui-ci est grand. Incommensurable. "But if I choose the movie, then you choose the food." Qu'elle articule en reprenant son souffle, bien décidée à ne pas être la seule à se faire chouchouter ce soir. Ce n'est pas juste la soirée de Dea Hyung, c'est leur soirée à tous les deux.

Même pour un million de dollars, elle serait incapable de ne citer qu'une seule et unique raison pour laquelle son coeur bat pour lui. Parce que des raisons il y en a au moins autant qu'il n'y a d'étoiles dans la galaxie. Indénombrables, avec autant de valeur les unes que les autres. Elle l'aime pour son grand coeur et sa générosité à toute épreuve. Pour cette façon qu'il a de flirter avec les mots, ce poète des temps modernes. Elle l'aime parce qu'il ne la regarde comme aucune autre. Elle se sent spéciale à ses yeux Dea, comblée. Et ça, ça n'a pas de prix. Elle l'aime aussi pour sa maladresse et ce sourire trognon qu'il affiche à chaque fois qu'il essaie de l'impressionner... Quelques raisons parmi toute une infinité. Un rien qui suffit à crier son prénom et jouer du drama alors qu'en réalité, elle adore être dans ses bras. Son rire qui retentit encore et encore face aux doigts qui la chatouillent, ne se souciant pas même une seconde de ce que les voisins peuvent penser. Elle est heureuse et amoureuse, rien d'autre ne compte en cet instant précis. Et Leon, il a un don. Pour rendre leur monde si magique et faire de leur quotidien un jeu auquel ils ne s'arrêtent jamais réellement de jouer. Pourtant, elle perd à chaque fois Dea. Enchaînant les défaites en sentant son coeur battre pour lui un peu plus à chaque fois. "You're an idiot Leon Kwon..." Qu'elle murmure faiblement, son regard perdu dans le sien, le rire cristallin qui fend l'air de nouveau lorsqu'il la fait rouler avec lui sur le lit. Mélodie qui se dissipe lorsqu'ils s'arrêtent enfin, son corps surplombant désormais celui du jeune homme. Les secondes défilent une à une sans qu'aucun n'ose venir briser le silence, leurs prunelles scintillantes déjà bien trop bavardes. Elle fait genre Dea... mais elle pourrait l'embrasser pour l'éternité. Ce n'est pas quelque chose dont elle pourrait se lasser : son regard, son sourire, ses baisers, ses caresses... ses mots. Elle fond tout simplement. S'il n'a pas les mots pour la décrire, aucun ne lui semble suffisant comme réponse. Si elle était une glace, il ne resterait plus qu'une flaque. Parce que son coeur fond littéralement et qu'elle ne pensait pas cela possible, pas autant. Est-ce qu'il réalise l'impact que ses paroles ont sur elle ? Est-ce qu'il le sait au moins, qu'il est tout aussi incroyable qu'il ne la décrit ? She could die for him. "I wish I could use a meme right now to show you how I feel..." Mais même ça, ce ne serait pas suffisant. Rien ne peut l'être en comparaison. "But you know..." Chaque fois qu'elle le regarde, elle a des étoiles dans les yeux que même le ciel envie. Main droite en appui, elle vient caresser le visage du garçon de sa seconde, le bout du pouce effleurant sa joue avec douceur et bienveillance. Pas une seconde elle ne le quitte du regard, son visage s'approchant lentement du sien pour lui laisser le temps d'en admirer les moindres détails. "I love you more than the world... More than anything actually..." Souffle-t-elle au creux de son oreille avant de s'emparer de ses lèvres, pour un vrai baiser cette fois. Celui que l'on fait durer jusqu'à manquer d'air, celui empli de passion, de désir. Celui avec lequel elle transmet tous ses sentiments. Elle le mangerait, si elle le pouvait. Il est son monde et elle ne remerciera jamais assez le ciel d'être aussi chanceuse.