l'idée du siècle w/denzel

@Denzel Hopkins   sourire au lèvre, coeur caché derrière des remparts. tu ne sais pas ce que c'est : d'aimer et tu n'en as jamais eu vraiment envie. caché derrière une peur de se laisser emporter par des sentiments que tu ne contrôleras pas. tu préfères passer ton chemin. " les sirènes n'ont aucune limite à part bien sûr de ne pas fricoter avec un humain " rien n'est écrit. tu fais bien ce que tu veux. les règles ? les normes ? tu ne les suis plus. lèvres qui jouent entre elle. jeux dangereux qui débutent, pour ne pas changer. âmes qui se plaisent, c'est indéniable. la porte claque et la voix de ta patronne raisonne dans l'espace. tu souris, éprise entre deux choix. celui de sortir de la douche, chiffon à la main pour stopper ta patronne ou continuer à jouer avec le feu. tu souris simplement à sa question silencieuse. corps qui se rapprochent, mains qui encadrent le visage du marin. tes lèvres se posent sur les siennes. baisé délicat et pourtant passionnée. lèvres qui se séparent et tu affiches un sourire. " ce n'était qu'une question de quelques secondes. les sirènes font ce qu'elles veulent. " tu recules et ouvres la porte. clin d'oeil, tu apportes un doigt fin sur tes lèvres, lui indiquant de se taire. tu prends ton foulard et tu sors finalement de la douche. " je suis là, pardon j'avais les écouteurs " manipulation, tu sors les écouteurs de tes poches comme pour justifier le faite que tu n'es rien entendu. elle se stoppe, te regarde. " travaille plus vite ! on a pas toute la journée ! et quand je t'appelle, tu réponds tout de suite. " tu affiches un sourire forcé et tu te mets au garde à vous. " compris chef. " soupire et pas qui se faufile pour te laisser un peu tranquille. tu te tournes vers denzel et finis par lui dire " je devrais peut être m'activer un peu "
              
          

@Charlie Sanders C'est la limite, entre l'un et l'autre; l'amour. Une étape importante dans la vie de Denzel, une zone d'ombre pour Charlie. Elle n'a pas envie de changer cela et il n'est personne pour juger. C'est son droit, et il l'apprécie tout autant, ainsi. - Tu es une sirène un peu.. Hybride du coup. Et tu ne dois pas me chercher, c'est le jeu. mais ça, c'est selon les règles établies par on ne sait qui. Ces mêmes règles qu'elle enfreint, les unes après les autres. La liberté lui tend les doigts, et elle décide enfin de s'en saisir. Le papillon prend son envol, devant son regard admiratif. La partie est lancée, les lèvres scellées. Agréable baiser dans un lieu pour le moins inadapté. Ce n'est pas le moment de se faire remarquer, surtout pas pour lui, petit con dans le viseur de ses supérieurs. Coincé par l'arrivée de la patronne; chieuse au timing particulièrement merdique. - Va dire ça à Lysa téé. rétorque-t-il dans un murmure, conscient que l'autre lui rierait au nez. La liberté, c'est contre nature à l'armée; ça va dans le sens contraire des attentes de Charlie. Restant silencieux, Denzel se cale contre le mur, tente de se faire tout petit. La brune ment, et elle le fait plutôt bien. Assez bien pour que l'autre ne pose aucune question supplémentaire; se contente de lui cracher des ordre - typique de l'armée, right ? -. Denz' contient un rire en imaginant la scène, avant de se mettre dans l'angle de vue de la sirène. - Je vais te filer un coup de main, ce sera plus rapide. lèvres écrasées contre sa joue, le marin s'empare d'une éponge et d'un produit de nettoyage. - Pas trop frustrée d'en rester là ? ose-t-il demander en glissant sa main sur sa hanche, rejoignant la cabine pour travailler sans être visible depuis l'extérieur. Depuis le temps qu'ils se cherchent; ça en devient presque un comble.