nuit agité w/denzel

@Denzel Hopkins   euphorie éphémère, tes pensées sont lointaine charlie. ce soir, tu as décidé de mettre tes doutes de côté. tête qui va exploser, tu ne sais plus ou tu en es. vie remise en question il semblerait que ce soir, ce soit toi qui soit prêt du précipice. soirée accompagné de tes amis, tu te perds dans un nombre incalculable de shoot. corps qui décide d'aller sur la piste de danse, tu fermes les yeux et bouges au rythme de la musique. tu te laisses guider par ton instinct primaire. ton corps te pousse à bouger alors que ton esprit vif cherche un échappatoire. corps qui ondule au son de la musique, certains regard curieux t'observent. tes amis à toi sont trop occupés avec d'autres filles. tu ne leurs en veux pas, tu ferais pareil à leur place. respiration qui s'accélère anormalement, tu sens que tu as le tournis. manège qui ne s'arrête pas dans ta tête, tu décides de prendre la direction de la sortie. tu as besoin de prendre l'air charlie. verre dans les mains, tu te cognes contre lui. inconnu au bataillon. tu te mets à rire, mauvaise réaction de ta part. " oups. " tu aurais pu t'excuser et en vrai, sobre, tu l'aurais fais. seulement... tu ne l'es plus. " putain ! sa te fait rire en plus. " tu poses une main sur ta bouche comme pour cacher ton sourire. " détends toi, c'est pas la mort. " nerf à vif, les yeux masculin s'assombrissent. tu aurais pu partir mais tu décides de te mettre dans la merde. tu avances et sans le quitter du regard. tu lui renverses le reste de ton verre. les problèmes commencent !  
          

@Charlie Sanders   Une soirée tranquille, un programme étrangement calme par rapport aux habitudes délirantes du gamin; pour une fois, la promenade reste simple et l'esprit parvient presque à se détendre. Ca lui arrive de temps en temps; quitter la base navale et se mettre en quête de solitude; par besoin de réfléchir, par besoin de faire le vide dans ses pensées. Détour obligatoire par la plage, regard rivé sur l'horizon, l'espoir persiste de le voir revenir; père de substitution. Denzel n'a jamais abandonné cette idée; force de caractère ou entêtement inutile ? Les deux, mon capitaine. Cigarette glissée entre ses lèvres, le marin s'aventure finalement en ville; quitte le confort du sable et la douceur de l'air marin, pour l'âpreté du béton et la chaleur de l'asphalte. Choix foutrement déconcertant, pour l'enfant des océans. Après quelques minutes de marche, son instinct lui intime de rentrer; t'es pas à ta place petit, pas dans ce monde doré de la tête aux pieds. Mais la vie est trop étrange pour être aussi simple. C'est en passant à proximité d'un bar qu'il la remarque, - qu'il la reconnait, surtout -, la sirène de Carson Beach. Le souffle en suspend, Denzel observe de loin; se demande ce qu'elle fiche avec ce gars, alors que la situation semble dégénérer. Sourire en coin lorsqu'elle renverse consciemment le contenu du verre sur sa veste; sachant qu'il aurait pu faire la même chose, à sa place. La situation part en vrille et le blond n'attend pas pour réagir, souhaitant lui éviter le pire. T'es cool Charlie, mais ce type fait deux fois ta taille. Tirant une dernière fois sur sa cigarette, histoire d'obtenir une belle braise, Denzel retient l'homme par le bras et écrase le cône incandescent sur la peau découverte de son cou. - Tu t'es trompé de cible mon gros. raille-t-il en lui faisant un clin d'oeil. Dans d'autres circonstances, ils se seraient battus. Ce soir, l'homme opte pour la fuite et se contente d'un vulgaire crachat en signe de mécontentement. - Juste Charlie, j'arrive à temps ! s'exclame-t-il enfin, se tournant vers la jolie brune. - T'as décidé de péter un câble ce soir ? elle avait l'air plutôt douce la dernière fois. Faut pas pousser sur la bouteille Charlie, ça fait faire plein de conneries.
          

@Denzel Hopkins   adrénaline qui court dans tes veines. mauvais choix, tu te fiches bien des conséquences charlie. tu en as marre d'être là ou tout le monde t'attends. sourire espiègle sur les lèvres, tu t'avances comme si ce n'était pas assez suffisant. le regard de l'inconnu s'assombrit. vous vous regardez avant d'être étrangement dérangé. mains masculines qui retient le bras de l'inconnu. ton visage se penche un peu et tu reconnais très vite le marin de Carson beach. " juste denzel " un sourire fin s'affiche sur tes lippes. tu l'observes, mais en vrai tout se passe trop vite pour que tu n'en comprennes le sens. tu as trop bu. tu sais juste que ce soir, c'est lui qui t'a sauvé. rôle qui s'inverse naturellement. vous l'aviez prédit. tu passes à côté de l'homme qui se plaint et tu suis naturellement denzel qui prends la fuite. " on dirait bien oui " regards qui se croisent de nouveau tu affiches un sourire amusé. il va vite, un peu trop vite. tu lui chopes une main pour le faire ralentir dans sa course. " et tu vas trop vite. " grande respiration, corps qui s'immobilisent " j'ai décidé d'être là ou on m'attends pas. " tu hoches la tête de bas en haut comme pour appuyer tes paroles. regard qui reste planté sur ses prunelles, tu aperçois une silhouette courir vers vous. tu fronces les sourcils. " merde... il se ramène, vient " là, tu vas devoir courir charlie. vous commencez votre course. t'as du mal. clairement ! courir en pente, c'est franchement pas recommander après quelques verres.           
          

@Charlie Sanders   Le voilà, le fameux destin. C'était bien la peine d'en parler par messages, pour se retrouver dans une merde pareille. Pour une fois que c'est pas sa faute, on devrait lui offrir une médaille. Denzel n'a rien contre l'idée de se battre en règle générale, étant plutôt doué en la matière. Mais là, il s'agit surtout de protéger sa petite sirène. Idée gravée dans son esprit, image mémorable en guise de souvenir de leur première rencontre. L'homme semble prendre la fuite et le blond commence à se détendre, entrainant la petite brune à sa suite. - T'as trop bu. bravo Denz', t'es perspicace. - Ouais bah c'est plutôt réussi, je m'attendais pas à te voir. Enfin.. Pas maintenant. évidemment qu'il lui aurait proposé un rencard, si les choses n'étaient pas allées si vite. Retrouvailles imprévues. Et retour d'un bonhomme en colère, le cou marqué d'une brûlure circulaire, à l'image de sa cigarette. Oups. Voilà qu'elle veut courir. Qu'elle tente de courir. Catastrophe sur pattes. - Putain, t'es un vrai boulet ce soir ! il râle gentiment, la force à s'arrêter; ne lui laisse pas vraiment le choix, si ce n'est d'être portée, après avoir passé son bras sous ces cuisses. - Si tu vomis, je jure de te faire prendre une grosse douche froide. T'es prévenue ! et maintenant, cours pour ta vie. Marin habitué à l'océan, plus à l'aise dans la flotte que sur la terre. Tant pis. Vestiges de son entrainement qu'il met à contribution, amenant juste Charlie au sein d'une sombre ruelle, espérant que l'obscurité soit suffisante pour les cacher. Phalanges plaquées contre sa bouche, océanes rivées sur le potentiel retour du poursuivant. - J'adore la proximité, mais on essaiera de prévoir à l'avance la prochaine fois.. pas que ça le dérange de courir pour sa vie, mais plutôt pour la sienne. En profite pas pour lui voler un baiser, surtout. Ce serait mal placé, non ?          

@Denzel Hopkins   tu as trop bu. il a raison, pourtant, tu as l'impression de te sentir plus vivante que jamais. myocarde qui bat toujours trop vite dans ta poitrine, tu viens de l'immobiliser. " le destin se fou de nous "juste denzel" " et quel destin. sourire d'une fille un peu trop alcoolisé sur les lèvres. tu lèves les épaules et continues ton hypothèse. " je t'ai sauvé et maintenant tu m'as sauvé. " déduction faite, tu t'apprêtais tout juste à parler de récompense lorsque tu vois l'homme en colère débarquer. tu veux courir, tu proposes de courir. supplice qui se lie très rapidement dans chaque foulée que tu fais. il s'arrête, ronchonne un peu " hey ! je suis une sirène pas un boulet " pauvre toi... tes sourcils se sont froncés pour finalement se détendre aussitôt. bras masculin qui passent sous tes cuisses. tu lâches un petit rire lorsqu'il te soulève. mains qui s'enroulent autour de son cou. " si t'es avec moi sous la douche, sa devient presque tentant " tu n'as plus aucun filtre charlie. l'alcool te rends plus... abordable. tu affiches un petit sourire coquin et finalement sans savoir pourquoi, tu lèves ton majeur en direction de l'inconnu. foulées masculines qui vous amènent dans une petite ruelle, il te fait descendre. pied qui retrouve le sol, dos contre le mur, denzel face à toi. corps qui se touchent presque. obscurité qui vous protège. ses phalanges se plaquent contre tes lèvres t'empêchant de parler. tes dents viennent mordiller ses doigts pour t'échapper de son emprise " y a d'autres moyen de me faire taire " voilà que tu continues à le chauffer. doigts qui viennent chopper le col de son tee shirt pour l'approcher un peu plus de toi. prunelles qui se croisent, lèvres qui se frôlent presque au moment où les paroles de l'inconnu vous arrivent jusqu'aux oreilles. vous restez immobile puis ton visage se tourne sur le côté pour mesurer la distance qui vous sépare de lui. poster à l'embranchement des ruelles, téléphone à la main " putain ! les ga, j'ai besoin de vous. j'ai eu un problème en sortant du nephilim ! ils sont dans le coin mais j'ai besoin d'aide. dans 3 minutes ? pas de problème. "        
          

@Charlie Sanders   Le destin se fout de nous ? Clairement. Enfin, le destin s'est toujours moqué de lui; c'est pas comme s'il n'y était pas habitué. Sauf qu'après réflexion, c'est pas le bon moment pour en discuter. L'homme revient, et il a pas l'air content. Ni commode, d'ailleurs. Le pourparler, il connait ? Ca a pas l'air. - Ouais bah le côté sirène est à revoir cette fois ! il grommelle gentiment, tout en fuyant aussi vite qu'il le peut. Cette situation a le mérite de les rapprocher, ce n'est pas rien de le dire. - Ca me parait évident. qu'il la rejoigne sous la douche, et que le jeu dérape. C'est sa nature. Mais pas avec autant d'alcool dans le sang. Pas comme ça, alors qu'elle peine à garder possession de ces capacités. Pourtant, ils se retrouvent dans une ruelle. Le cliché du rapprochement discret, en plein coeur d'une ville. Elle mordille ses doigts et Denzel la laisse faire, conscient qu'ils jouent avec un feu, incontrôlable lorsqu'il se déchaîne. - Me tente pas. dans un autre contexte, la réponse aurait été oui. Tout de suite. Juste Charlie le rapproche, et ça devient compliqué à gérer. C'est plaisant d'être aussi proche d'elle. Le blond se prend au jeu, laisse son inférieure prendre contact avec les lippes de la brune. Les emmerdes sont toujours là, malheureusement. Le gars rameute ces potes, de mieux en mieux. - Tu vas me suivre, en silence. regard sérieux cette fois. Denzel peut rivaliser avec un homme, mais difficilement avec plusieurs. L'homme recule de quelques pas et c'est tout ce dont le marin avait besoin. Entrainant la belle par la main jusqu'à l'escalier de secours le plus proche, l'incitant à grimper aussi silencieusement que possible. Prendre de la hauteur pour échapper aux voyous. Dernier étage. Forcer une fenêtre et s'introduire dans un logement ou rester sur l'escalier ? - Allonge toi. il ordonne cette fois, avant de lui-même s'exécuter, posant son dos sur la surface métallique. Bras resté ouvert, l'invitant à rester près de lui. En attendant que les choses se calment et qu'ils puissent repartir.        

@Denzel Hopkins   " je suis une sirène bourrée, il n'y a pas que les marins qui boivent. " que tu dis en levant les épaules et les bras. tu as besoin de te justifier. moue qui s'affiche sur ton visage, tu n'as pas le temps d'en rajouter plus. tu es prise rapidement dans cet avancement rapide. tu te laisses guider par denzel qui semble bien plus réactif que toi. ce soir, tu n'es pas très utile. tu en as conscience. prise au piège entre ce mur et le marin, tu berces ton regard brumeux sur le visage du militaire. tu te laisses très facilement approcher. moins farouche que la première fois, l'alcool fait tomber tes barrières. " pourquoi pas ? " tu sais pourquoi charlie... tu es complètement bourrée, dans l'incapacité la plus total à prendre une décision. il pourrait en profiter mais tu le sens sur la retenu. coeur qui s'emballe tout même au simple petit souffle de respiration sur tes lèvres. vous êtes proche, tellement proche que vos lèvres se frôlent légèrement pour finalement se reculer. vous devez partir de là, tu restes silencieuse et lui réponds d'un simple hochement de tête lorsqu'il t'indique de le suivre. mains qui se joignent, tu le suis silencieusement prenant soin d'être la plus discrète possible. vous prenez de l'altitude, les abrutis non pas l'intelligence de lever le regard ce qui vous arrange. Arrivée au dernier étage, tu prends une grande respiration. tu as l'impression de manquer une nouvelle fois d'air. trop d'effort pour ce petit corps en bataille contre les effets de l'alcool. main qui se lève vers ton front et qui se baisse. " chef, oui chef. " tu affiches un petit sourire sur tes lèvres et t'allonges. rejoins par le marin, ses bras s'ouvrent et tu ne te fais pas prier. tu te rapproches, corps qui vient se coller contre le corps chaud. toi t'es frigorifier. tête qui vient se poser dans le creux de son cou et main qui se pose sur son torse naturellement. " tu pourras pas dire que je ne suis pas assez tactile cette fois " tu souris stupidement et ton regard se pose sur les étoiles de ce ciel bien dégagé. tu lèves ton doigt en l'air. " regarde, l'étoile du berger. "              
          

@Charlie Sanders   On se fout dans une merde noire, mais c'est justement ce qui va rendre la soirée mémorable. On en rigolera un jour, pas vrai ? C'est comme ça que c'est censé se terminer; au coin d'un feu de camp, avec des bières et des rires. Entre amis. En tout cas, c'est de cette manière que Denzel imagine les choses. Toujours plus facile que de penser au moment où on va se faire casser la gueule. Charlie vient de les mettre dans une situation délicate; et elle ne semble pas vraiment s'en rendre compte. Focalisée sur la proximité, les lèvres qui s'effleurent, prêtes à danser ensembles. Mauvais timing. - Shhht. c'est pas le moment d'en parler, et ce n'est pas pour rien s'il posait sa main sur ces lèvres. Le type est toujours là; s'ils se font repérer, c'est foutu. On prend le large ou on s'élève dans les airs, pour échapper aux brigands. En quête de liberté. Aller là où personne ne les attend, exactement comme la brune l'entendait. Allongé sur le métal, rapidement rejoint par Charlie; rapprochement des plus naturels cette fois, rien qui ne soit forcé dans une quelconque manoeuvre de séduction. - Ce sera mieux quand tu auras toute ta tête.. t'es un connard Denzel, c'est pourtant pas un secret. Mais certains principes sont solides. On ne profite pas d'une femme, surtout pas dans de telles circonstances. - Bien vu, pour une personne qui galère à marcher. elle parviendra toujours à l'étonner, c'est dingue. - Dès que les idiots se tirent, je t'appelle un uber et tu rentres te mettre au chaud, okay ? la chair de poule, Denzel la ressent sur sa peau; et sa chaleur corporelle ne sera probablement pas suffisante pour la réchauffer.        

@Denzel Hopkins   âme qui s'égare, tu sens que tu es sur le point d'exploser. grenade dégoupiller qui menace de tout bousiller sur son passage. tu n'as pas trouvé d'autres moyen que de boire un peu, tu voulais faire taire cette petite voix qui s'interroge toujours autant dans ton esprit. tu ne veux emmerder personne avec tes doutes, alors tu te débrouilles par toi même. t'essayes en tout cas. tu suis l'aventurier, tu te laisses secourir par cet homme dont tu ne connais pas grand chose. vous montez dans les airs et tu viens t'allonger à ces côtés. naturel, une étreinte qu'il t'arrive d'avoir avec zed, ton meilleur ami. parfum délicat que tu ne connais pas encore. " oui sans doute " tu n'as pas l'habitude d'enlacer le premier inconnu. pourtant très simple et naturelle. tu lui montres une étoile et tu souris. " pas difficile de la reconnaitre, c'est celle qui brille le plus, regarde " toi sa te paraissait plus simple de retrouver cette étoile plutôt que de marcher. " d'accord juste denzel merci à toi " beaucoup aurait profité de cette opportunité pour abuser un peu trop. tu émets aucune objection parce que c'est gentil de sa part. tu te réchauffes alors que le marin lui commence à prendre froid. frison masculin qui parvient jusque toi. tu fronces les sourcils et tu te recules légèrement. silhouette qui se tourne au bord du précipice, tu jettes un coup d'oeil discret. silhouette qui s'éloignent. " on va pouvoir y aller, ils sont en train de partir. " sa t'arrange. tu te lèves en t'aidant des rambardes. mains qui se tends vers lui. " un peu d'aide ? " voilà qui est très drôle puisque les rôles s'inversent. vous descendez, tu as plus de facilité même si tu manques plusieurs fois de tomber. pied qui touche de nouveau le sol, tu te retournes pour lui faire face. tu t'approches, tes mains se posent sur ses épaules, corps qui garde une distance. " " juste denzel " t'es un amour, tu m'as sauver la vie. tu n'as pas profiter de moi, mais je pense que je vais marcher un peu. " tu hoches la tête et lui dis : " tu vois l'appartement qui est là-bas. c'est chez moi. " tu affiches un sourire et viens finalement écraser tes lèvres sur sa joue. " merci encore "

hj : fin du rp ?