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~ Upside down ~ (Charlie)

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Upside down (@Charlie Sanders )  

Elle est canon la petite Sirène, et c'est bien là le fond du problème. Séducteur de nature; Denzel a, en plus, tendance à se lâcher lorsqu'il est défoncé. A demi-respectueux de sa volonté, le blond ne peut éviter un bon coup d'oeil de côté, rapidement grillé par la belle. On repassera pour la discrétion. Enfin, le signe qu'elle a terminé. Qu'il peut se retourner, même s'il se montre assez hésitant sur ce point. - Elle est séduisante, c'est pénible. le blond fronce les sourcils, puis affiche une grimace; est-ce qu'il vient de parler à voix haute ? La weed le fait planer, peut-être que le dernier joint était trop chargé. - Ah oui, pas faux ! Rhum.. Whisky.. Liqueur peut-être ? Quoique un bon punch, ce serait bien aussi. comme s'il allait avoir le choix. Même quand il a trop bu, ce n'est pas assez. Et pourtant, il a assez d'expérience pour savoir quand arrêter. Maintenant serait idéal. Le trajet jusqu'au van, il ne s'en souvient pas. Cinquante mètres ? Deux-cents ? Aucune idée. C'est comme si son corps avait bougé tout seul, sans qu'il ait gardé les yeux ouverts. - Tu apprendra, juste Charlie.. Que j'ai rarement froid. et pourtant, il prend place sur le siège. Surtout parce que ses jambes ont du mal à le porter. Peu importe, l'invitation est encore la bienvenue. Denzel cligne des yeux, puis redresse rapidement la tête lorsque la brune lui tend la bouteille. Le sourire enthousiaste se transforme rapidement en petit air déçu, trahissant le fond de sa pensée. - Tu m'as eu, félicitations. il doit l'avouer, il s'est fait prendre à son propre jeu. Sa bonne volonté, Denzel la puise dans la présence féminine, celle qui ne le laisse pas tomber. Alors il boit, lentement, quelques gorgées; affichant par la suite un petit pouce levé, comme s'il s'agissait de la plus grande épreuve de sa vie. - Du coup, à moins que tu aies un meilleur programme à me proposer, je vais retourner surfer. de nouveau sur ses pieds, une main dans les cheveux pour rabattre ses mèches blondes en arrière; presque prêt à se jeter à l'eau.  

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@Denzel Hopkins" ton visage se penche sur le côté en entendant les pensées secrètes de denzel. tu souris mais tu décides de ne pas relever. tu ne veux pas qu'il prenne la fuite. alors tu fais l'ignorante, comme si tu n'avais pas entendu mais tu as bien entendu charlie. il te trouve séduisante, voilà un point qui t'intéresse et qui te conforte dans l'idée que tu le trouves intéressant. vous marchez jusqu'au van, tu lui indiques qu'il peut monter dans le van. " et bien, je veux bien que tu me donnes ton secret. " toi, c'est assez rare que tu n'es pas froid. il s'installe et toi, tu prends la bouteille que tu lui avais promis depuis le début. promesse tenu. son sourire se dissipe légèrement pour afficher cet air déçu. tu pouvais t'en douter. il n'y a rien d'amusant dans ce que tu lui proposes. tu l'observes boire, prunelles qui s'attardent sur ses lippes, tu le regardes déglutir. ta gorge se serre, surprise de voir que tu le mattes clairement. joues qui se réchauffent aussitôt. regard qui cherche une nouvelle préoccupation, tu t'attardes sur son pouce. il ouvre la porte pour sortir de la voiture. tu sors du coffre et finis par aller vers lui. " juste dz... tu es au courant que les sirènes ne sont pas du genre à laisser filer leurs proies. " à ton tour de lui faire comprendre que tu n'as pas envie qu'il parte. tu grimaces et finalement tu lèves les yeux au ciel. " okay, je te propose quelque chose d'autre. " tu hoches la tête, corps qui s'appuie sur la carrosserie. tu croises les bras de nouveau. tu lui fais barrage, enfin il pourrait très facilement partir. " on partage ? " tu sors de tes mains un joint délicatement rouler. tu ne fumes pas souvent mais pourquoi pas fumer maintenant ? ton ami a toujours la fâcheuse manie d'en cacher un peu partout dans son van. tu lui rendras. " je te propose, d'avoir accès à mes pensées. " dis-tu comme pour le pousser à accepter.
          
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Upside down (@Charlie Sanders )  

Il parle trop, beaucoup trop lorsqu'il est éméché; insupportable à souhait pour certains, mais visiblement pas pour elle. C'est bizarre, parce qu'il serait prêt à parier qu'une partie d'elle apprécie sa compagnie; quand bien même il peut se montrer taquin, bizarre, trop honnête et clairement lourd dans son penchant séducteur. Autant de défauts pour autant de raisons de la voir partir. Sauf qu'elle est toujours là. Ancrée près de lui. Un mirage potentiellement destiné à partir en fumée, lorsque Denzel aura repris la totale possession de ses capacités. - Je viens d'Alaska, c'est ça le secret. Je nageais près des glaciers.. Parfois même, on allait dessous pour déconner. sourire qui se forme sur ses lippes à l'évocation de ce souvenir joyeux; instants partagés avec son jumeau, Corey. Ca fait un bail, c'était une autre époque. Toujours est-il que Dz a conservé cette résistance au froid, et que cet atout lui est particulièrement utile. Expression joyeuse dissipée avec la bouteille d'eau entre ses mains, gamin trop fier pour admettre que la boisson fait énormément de bien à son organisme, à défaut de noyer son esprit. Une seconde, le blond ne fait plus attention à rien. Présent sans l'être, comme lors du petit trajet entre la plage et le véhicule. Un sursaut de lucidité, spontané, et le jeune homme se relève; sentiment d'invincibilité courant jusqu'au bout de ses doigts, tout le contraire d'un comportement raisonnable. Mais c'était sans compter sur ces mots, lesquels font instantanément mouche à son esprit. - Si je suis ta proie.. Alors tu as gagné, et je suis entièrement à toi. elle l'a charmé dès les premières secondes, ce n'est pas un secret. L'alcool aide sans doute, mais Denzel n'est pas du genre à lutter contre ce genre de choses. Comme si Charlie voulait être certaine qu'il ne parte pas, la voilà qui lui fait face; dévoilant ensuite un joint entre ces mains, presque sorti de nulle part. Sirène et magicienne, de mieux en mieux. La dernière proposition est la plus alléchante, et elle doit le savoir. - Alors j'espère que tes pensées sont tournées vers ta proie.. souffle-t-il sans la quitter des yeux, passant ses doigts sur sa propre combinaison pour en défaire l'attache, laissant glisser la partie haute le long de son buste.    

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@Denzel Hopkins"  tu es pourtant quelqu'un de méfiante charlie. sur tes gardes, tu fais attention. tu analyses avant de te lancer, là, tu avances à l'aveuglette et bordel que sa te fait du bien. tu ne prévoies rien, tu te laisses glisser sur cette vague en entrenant avec toi cet inconnu sorti de nulle part. " tout s'explique, tu es donc un homme du grand nord " sourire sur tes lippes. pays fascinant, t'aimerais en savoir plus. activité que tu ne connais pas, toi, tu as toujours connu la chaleur. originaire d'australie, tu virevoltais dans les eaux chaude de l'océan indien. " je viens d'Australie, pour sa que j'aime la chaleur " petite information que tu glisses toi aussi. vous vous retrouvez ensuite dehors, toi à essayer de le retenir. " tant mieux alors, je compte bien en profiter. " profiter de cette soirée pour stopper net la routine dans laquelle tu t'étais installée. tu n'es pourtant pas comme sa charlie, pleine de fougue. tu aimes aller à l'encontre des règles, repousser tes limites. seulement depuis quelques semaines, tu te perds et tu le sens. naufrage imminent, tu décides de quitter le navire. tu le fixes et là, ces mots raisonnes péniblement dans ta tête. il est fort, ton regard sillonne la fermeture qu'il descend lui aussi. t'oublies même de lui répondre, stupide que tu es. tu plisses les yeux, tu as du mal à être discrète. peau qui dévoile lentement les formes de ses abdos. tu dois trouver une alternative. tu apportes le poison à tes lèvres et spontanément, tu choppes un briquet qui se trouve sur le tableau de bord du van. tu te places de nouveau face au jeune homme. fumée qui s'échappe d'entre tes lèvres, tu fermes secrètement les yeux et relâches la fumé vers denzel. " tu t'attendais à sa ? " questions qui peut être mal comprise. toi, tu t'attendais pas à ce genre de rencontre. surprenante, tu venais de mettre le doigt sur une curiosité enivrante. tu décides de t'assoir sur ce rocher en attendant sa réponse. joint que tu lui tends pour qu'il vienne à son tour tirer dessus.
          
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Upside down (@Charlie Sanders )  

Adepte des plans bizarres, des coups foireux en tout genre; peut-être est-ce la raison pour laquelle Denzel se sent aussi à l'aise. Ou peut-être que ça vient d'elle, la sirène un peu trop charmante à son goût. La fille qui pourrait l'ensorceler et le posséder en un claquement de doigts; emprise déjà trop étendue sur sa petite personne, sans qu'il ne puisse y changer quoi que ce soit. C'est perturbant d'être aussi faible face à quelqu'un, mais c'est aussi.. Terriblement enivrant. L'homme du grand froid face à la demoiselle du pays chaud par excellence. - Tu es mon tout, et je suis ton contraire. sourire dessiné sur ses lippes, puis froncement de sourcils. Encore une fois, cette réplique sonnait beaucoup mieux dans sa tête. Les opposés s'attirent, c'est plus ou moins ce qu'il cherchait à dire. En espérant qu'elle ait compris le sens de sa phrase. - Profite donc, je suis une édition limitée. ça le fait rire, bêtement; c'est une phrase tellement bateau que s'en serait presque ridicule. Elle aussi, est unique. Tout le monde l'est, à sa manière. Autant lui dire directement qu'elle ne risque pas de regretter la moindre seconde à ses côtés. Alors il tente, Denzel, s'aventure sur une pente glissante, au risque de les perdre tous les deux. La fermeture s'abaisse, son regard ne quitte pas son visage et il voit bien, qu'elle suit attentivement les courbes de son corps. Les rôles s'inversent, et ce n'est que plus sympathique, surtout pour lui. Ne portant rien en dessous, le blond cesse le mouvement à la taille; souriant en repérant le briquet, puis la flamme et la première bouffée de Charlie. Fumée parvenue à ses narines, volutes dont il se délecte en osant approcher encore, de quelques centimètres. - Je pensais me noyer, ce soir. Donc.. Non. au sens figuré, évidemment. Dans l'alcool et le chagrin. Au lieu de quoi, il passe un superbe instant en excellente compagnie. Joint qu'il récupère, longue bouffée qu'il conserve en bouche; observant ensuite ce nuage gris s'élevant au dessus de sa tête. - Tu sais.. T'aurais tout à fait le droit de m'emporter au loin. Je fais pas partie des bons gars, je fais pas partie de ceux qu'on veut côtoyer. et c'est l'avis le plus honnête qu'il puisse lui offrir de sa propre personne.    

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@Denzel Hopkins"tu souris parce que ces paroles ne veulent rien dire. tu combines cette pensée, à celle de tout à l'heure. et voilà que t'es perplexe, charlie. sourire qui se dissipe presque. homme capable de manier l'art des mots, tu sais que bien d'autres avant toi son tomber dans son filet. préjugé ? peut-être mais tu te protèges. il te plait et il doit le savoir. tu te sens presque déstabilisée. tu n'es pourtant pas de nature à perdre pied. alors tu décides cette fois d'ajouter. " fait gaffe beau blond, tes pensées t'effleurent un peu trop les lèvres. " que tu dis en hochant la tête. regard qui se fait rapidement captiver par une peau naissante. tu peux facilement voir les abdos qui se cachent derrière la combinaison. combinaison qu'il arrête à la taille, tu vois, tu regardes. parfaitement dessiné, tu voudrais te racler la gorge mais tu préfères apporter le joint à tes lippes. tu fermes les yeux parce que tu lui en as déjà trop montrer. habituellement t'es mystérieuse putain charlie ! tu dévoiles pas aussi facilement les pensées qui taraudent ton esprit. il s'approche, toujours trop prêt. il prends le joint et te réponds honnêtement. assise sur ce rocher, tu rapportes tes jambes contre toi. tu le regardes et il insiste sur autre chose. jambes qui se mettent en tailleur, tu viens lui prendre le joint des mains " je ne suis peut être pas une bonne sirène non plus. " que tu dis en haussant les épaules. pour dire vrai, tu ne te qualifies pas de mauvaise ou de bonne personne. tu laisses se jugement aux autres. " tu devrais laisser les jugements pour les autres. " petits conseils. tu affiches un sourire et là, tu lèves la tête pour échapper à ton tour le nuage de fumé. " quelle est la chose la plus folle que tu es faite denzel ? " tu veux en savoir plus, tu profites d'être celle qui pose les questions. effet qui commence à monter, tu sens déjà tes paupières s'alourdirent. tu ne tiens pas trop en place. effet secondaire ? sans doute. tu te lèves sur le rocher, suspendu au dessus du sol. " rejoins moi, la vue est jolie "    
          
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Upside down (@Charlie Sanders )  

Les mots se mélangent lorsqu'il tend à faire des compliments, et ce n'est peut-être pas plus mal, finalement. Au moins, ça évite toute la partie du "rentre-dedans", lourde et probablement inadaptée à cette situation. C'est étrange, parce qu'il serait plutôt du genre à se moquer d'être lourd ou bourrin dans son approche. Et avec elle, c'est le contraire. Un jeu de mots, une subtilité qu'il recherche mais qu'il ne trouve pas vraiment, faute à l'alcool dans son sang. - J'y peux rien, elles parlent toutes seules. Et c'est fou ce qu'elles ont à raconter ! Denzel en rajoute une couche, se trouve une fausse excuse pour justifier cette séduction, plus ou moins ouverte. Carrément ouverte lorsqu'il défait sa combinaison, soit-disant passant. Mais la sirène s'en sort, parvient à détourner l'attention. Elle a plus d'un tour dans son sac et c'est plaisant. Le "trop facile", c'est ennuyeux. Au moins, il a pu constater qu'il lui plait, même un minimum. C'est mieux que rien, et il s'en contentera. Pour l'instant. L'alcool le fait parler, mais la boisson ouvre surtout le chemin à l'honnêteté; ce qui reste assez rare, quand on le connait bien. - Tu m'as sauvé, d'une certaine manière. Il y a pire quand même, pour une sirène. il lui doit déjà énormément, même sans véritablement le réaliser. Elle a sauvé un marin de l'océan, qui pourrait en dire autant ? - T'inquiètes pas pour ça, j'ai l'habitude. Je sais ce qu'on dit de moi. Je sais ce que les gens pensent à mon sujet. Ca fait longtemps que les choses se passent de cette façon, et ça ne changera pas. vaurien un jour, vaurien toujours. Gamin anonyme, perdu dans une immense marée humaine. Mais, pourquoi voudrait-il changer ? C'est en restant dans l'ombre qu'il peut se permettre de vivre comme il l'entend. Sourire en retour à cette nouvelle interrogation, clairement sortie de nulle part; réponse pour le moins évidente qui lui sauterait presque au visage. - J'ai offert mon coeur à une femme. une folle expérience, aussi incroyable que douloureuse. Une histoire dont il ne parle jamais. Heureusement, Charlie ne lui laisse pas le temps de trop s'égarer; l'invitant à la rejoindre sur son rocher. - Fais gaaaaffe, on dirait que tu tiens pas debout ! prétexte pour venir coller son torse à son dos, pour oser placer ses mains sur ces hanches et la maintenir contre lui; ou véritable excuse d'un homme quelque peu soucieux ? A la sirène de se faire son avis.  

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@Denzel Hopkins" liberté furtivement retrouvée au côté d'un inconnu. tu profites de ce moment pour échapper toute la frustration du début de cette rentré. routine qui s'est installée, tu t'es laisser bercer par la terrible illusion de ton avenir. tu veux trop faire charlie, tu le sais bien. dépendre de personne, n'avoir besoin de personne. tu pourrais pourtant demander les faveurs de ta grand mère. petite fille de la doyenne d'harvard, tu pourrais user de tes privilèges pour obtenir ce que tu veux. cela ne te ressemble pas. tu pinces les lèvres à sa réponse. " un avantage pour moi." petit sourire mesquin. rapide coups d'oeil sur ces lèvres. " que tes lèvres soient trop bavardes. " et tu décides de passer à autre chose. tu n'aimes pas la facilité. intrigué, tu n'en restes pas moins méfiante aussi charlie. tu te protèges comme tu peux. tu sens les effets de la weed monter, tu le fixes. " tu n'es pas encore rentré chez toi, denzel " sourire au coin des lèvres mais en réalité, il ne risque rien. tu n'es pas méchante. trop honnête diront certains, tout le monde ne t'apprécie pas. tu dis les choses sans manière. c'est ton truc sa. tu rapproches tes jambes et tu plisses légèrement les yeux. " tu fais partie de ceux qui savent manier les mots, tu sembles honnête et empris de liberté. tu as un joli sourire " petite analyse vite fait. " tu sembles intéressant en tout cas, t'attires ma curiosité. " tu te rapproches et rajoutes en chuchotant. " les bons ga, ne sont pas toujours interessant. " sa y ai... tu parles trop charlie. esprit qui se libère et lèvres qui s'émancipe de toutes réflexions. tu décides de te lever pour finalement lui poser une question qui t'intéresses. dos à lui, ton visage se retourne pour le regarder. grimace sur le visage, tu ne sais pas ce que sa fait de donner son coeur charlie, tu ne l'as jamais fait. tu ne lui réponds pas, tu préfères plutôt l'inviter prêt de toi. tu regardes l'horizon et là, surprise. corps masculin qui vient se coller à toi, tu es dos à lui mais tu sens très facilement ses doigts graciles sur tes hanches. ton visage se tourne sur le côté. " on dirait que c'est toi qui veut me sauver maintenant " tu pivotes pour te retrouver face à lui. corps toujours aussi proche, mains masculine qui glissent le long de tes hanches pour retrouver leurs positions. tes mains, toi, se posent sur le haut de son torse puis délicatement, tu glisses un doigt qui se pose sur son coeur, encore une fois. " le coeur a ses règles que la raison n'a pas. je l'ai jamais donné le mien " sourire et là, tu remets le joint à tes lèvres. fumé qui s'échappe, tu ne fais même pas attention à la voiture de flic qui approche.
          
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Upside down (@Charlie Sanders )  

Assez discret sur sa vie privée en règle générale, petite exception avec la sirène venue de nulle part; ce qui n'en reste pas moins déroutant. Elle le fait parler, et ça se fait sans forcer, tout naturellement. Peut-être que c'est la soirée en question qui lui permet de dévoiler un peu plus de sa personne; d'être authentique et moins clown de prime abord. - Un sacré avantage. Profite, ça arrivera pas deux fois. le coquillage se refermera, comme à son habitude. Pour se protéger du vent et des vagues, il faut une bonne armure; c'est tout ce qu'il a retenu de sa maigre expérience de vie. - J'ai pas de chez moi, ça tombe bien. sourire finement dessiné sur les lèvres; réalité qu'il expose sans besoin de justifier, ou de s'expliquer. C'est comme ça, et cela ne changera pas. Ce petit répondant qu'elle met en évidence, Denzel l'apprécie; c'est toujours plus fun de discuter avec des gens capables de renchérir, de mettre un peu de piment dans leurs répliques. Elle adopte une posture plutôt défensive et il ne manque pas de le remarquer; trace d'un traumatisme ou réflexe purement instinctif ? Allez savoir. - Je suis plutôt libre, c'est vrai. Mais si je le suis, c'est parce que je suis malhonnête. Un menteur dans l'âme, parait-il. Cela dit, merci pour mon sourire. et c'est bien ça le truc: c'est un mauvais garçon. Le point qui semble plaire à Charlie, d'ailleurs. Denzel n'a rien du bon petit gars, et c'est justement en s'éloignant d'une bonne ligne de conduite qu'il a obtenu sa liberté. En s'affranchissant des règles et des futilités, des chaînes de la société. En se libérant de l'amour, également; comme il le sous-entend à la brune. Joueur, quoique véritablement soucieux de sa sécurité, le blond s'empresse de la rejoindre, posant sans gêne ses mains sur sa taille. - Ce serait bête que tu te blesses.. souffle-t-il contre son oreille, la laissant finalement se retourner pour lui faire face. Elle ose, enfin, venir poser ces mains sur son buste, avant de faire dériver un doigt jusqu'à l'emplacement du myocarde. - Mon coeur est scellé et c'est bien mieux comme ça. Prends ton temps pour choisir. conseil foutrement avisé, qu'il serait lui-même incapable de suivre. Le regard dérive sur les lèvres féminines, avant que son attention ne soit rattrapée par l'arrivée d'une patrouille de police. Merde. Ivresse sur la voie publique et nuit en cellule, il a déjà donné. - Oh, les ennuis arrivent ! déclare-t-il avant de l'inciter à descendre du rocher. - La weed est censée être légale.. Je crois. L'îvresse sur la voie publique, par contre.. c'est une histoire qui va se terminer, menottes aux poignets.      

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@Denzel Hopkins" peinture qu'il peints de lui même. âme malhonnête, âme séduisante et lourd d'un passé secret, âme mystérieuse pourtant capable de faire tomber ses barrières. tu ne le connais pas depuis longtemps. tout les panneaux te poussent à faire demi-tour charlie. il te met en garde, il te prévient mais tu ne recules pas. Un doute persiste. " c'est étrange. " ton visage bouge de haut en bas alors que ton regard lui reste fixé sur lui. " tu es le premier malhonnête, qui me semble pourtant sincère. " tu n'as pas l'impression qu'il t'ai menti jusque là. un malhonnête prendrait-il le temps de te mettre en garde ? non. tu en as connu, tu as vécu avec eux. as-tu en face de toi le roi de la canaillerie ? tu souris lorsqu'il te remercie pour ton compliment. rejoins rapidement par le marin, tu loupes une respiration surprise par ses mains chaudes. souffles chaud qui frôlent ton oreille, il s'invite et tu ne le repousses pas. tu lui fais face. " impossible que je me blesse, le marin a poser ses doigts sur la sirène " sourire amusée. tu te laisses aussi aller, doigts graciles qui se posent sur la haut de son buste. sa peau est chaude, toi, tu as l'impression d'être glacé. tu laisses tes yeux regarder de nouveau son cou, son buste et tu reviens sur tes mains. " rien ne presse, merci pour ton conseil " rien ne presse non. sentiment effrayant qui cache quelques chose de plus profond. tu as aussi tes démons charlie mais sa, tu n'es pas encore prête à les partager. silence qui ne laisse pas place au mal aise, pas du tout. tu te sens bien. tu tournes à ton tour, le visage et tu les repères enfin. patrouille de police qui approche, il saute le premier. " merde. " ton coeur bat plus vite, adrénaline qui coule dans tes veines. tu as toujours été fan de ce sentiment. liberté que tu ressens en plein visage, voilà une autre chose qui t'avais manqué. " viens avec moi. " confiance que tu ne lui laisses pas le choix d'accepter, tu lui prends la main. ouvre la porte latérale deton van." monte " tu lui montres du doigt la petite trape qui se trouve sur le toit du fourgon. " je ne suis pas alcoolisé, tu peux te cacher sur le toit. " tu ne risques rien, ou presque. tu lui fais un clin d'oeil et ton visage se tourne au moment ou la patrouille de police s'arrête.                
          
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