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~ Upside down ~ (Charlie)

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Upside down (@Charlie Sanders )  

Fin d'après-midi d'une journée de repos; l'occasion, malgré la baisse des températures, d'aller braver les vagues avec sa planche. C'est son habitude pour se changer les idées, pour se défouler quand le quotidien est trop compliqué à gérer. Lorsque la solitude l'envahit, lorsque la douce compagnie n'est plus suffisante, Denzel rejoint l'océan; comme s'il s'agissait de son unique point d'ancrage. Aujourd'hui, c'est un peu différent; le blond cherche à chasser colère et tristesse de ses pensées. C'est fatiguant de toujours paraître sympa et joyeux, d'être uniquement perçu comme le type drôle, le gars qui pourrait passer sa vie à sourire. C'est épuisant, mais il parait que ça lui va bien; alors il continue. Le soleil a entamé sa descente dans le ciel nuageux, et les couleurs se multiplient au fil des secondes. C'est beau, et c'est encore mieux lorsqu'on est bourré. Joint bien entamé qu'il porte à ses lèvres, espérant que cette nouvelle bouffée lui apporte un nouvel élan, un frisson; quelque chose de différent. La bouteille de rhum, posée à ses pieds, est quasiment vide; consommée dans le courant des dernières heures, avant même qu'il ne se pointe à la plage. La tête tourne, le corps s'engourdit et l'esprit s'élève; c'est le meilleur instant. - Ils sont tous partis ! Disparus, envolés ! sa mère en premier, puis son père. Dernièrement, c'est son mentor qui l'a laissé; perdu au large et jamais retrouvé. Les émotions se mélangent dans son esprit, la joie devient colère et l'excitation se transforme en une sombre rancoeur. Denzel se lève, titube et tente de garder l'équilibre, bien décidé à retourner surfer. Bouteille à la main, joint laissé pour compte dans un cendrier de fortune, le jeune homme s'avance vers le rivage, jusqu'à sentir l'eau froide lui mordre la peau. Planche oubliée en cours de route, mais peu importe dans la finalité. - Vous savez quoi ? Allez tous vous faire foutre ! il crie, aussi fort qu'il peut, décharge l'excès de pression en regardant l'horizon. Rien de tout cela ne règlera ses problèmes, il en est conscient. On dira juste que c'est satisfaisant.



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@Denzel Hopkins" tu ne devrais pas être ici, charlie. malade depuis plusieurs jours, tes bronches te font mal. saleté de virus, tu n'es pas habituée à rester dans ton lit. tu as besoin de souffler, de bouger. Alors stupidement, tu enfiles une combinaison de plongé pour aller faire un petit tour à la plage. tu as besoin de nager, besoin de te vider l'esprit dans un univers reconnu pour son silence. tu ne veux pas discuter, tu veux avoir la paix. tu files direction la plage, il n'y a personne. tant mieux, tu files en direction de l'eau. l'eau est froide, mais pas assez pour faire demi tour. tu nages, tu te vides l'esprit. tu manques de souffle mais sa tu le savais. les minutes passent, tu t'obstines et sans savoir pourquoi, ton visage se tourne vers la plage. silhouette inconnu sur le rivage, tu fronces les sourcils en le voyant tituber. tu t'arrêtes de nager, tu le regardes et l'écoutes. âme perdu qui vient chercher la même chose que toi, tu hésites à aller à sa rencontre. tu soupires pour finalement nager en sa direction. tu veux voir si tout va bien. tu émerges, ton regard croise le sien. " tu devrais crier plus fort. " ouai stupide comme conseil mais " sa fait du bien "   
hj : je me suis permise ~ Upside down ~ (Charlie) 2109348208
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Upside down (@Charlie Sanders )  

Des insultes, Denzel pourrait en sortir à la pelle; sans se préoccuper ne serait-ce qu'une seconde des passants autour de lui. Bon, sans se mentir, la plage est quasiment déserte; il faudrait être un peu idiot pour s'aventurer dans l'océan avec des températures pareilles. Idiot, inconscient ou courageux; chacun son avis sur la question. De toute façon, l'étendue bleue ne lui répondra pas. Le blond voudrait surfer, mais dans son état, ce serait prendre un risque clairement inconsidéré. Cela dit, il l'aurait fait, sans la moindre hésitation. Sans l'arrivée de cette voix, le marin aurait fait son grand n'importe quoi. Il fronce les sourcils, plisse puis cligne des yeux, avant d'apercevoir la silhouette féminine qui émerge des flots. - Non mais.. J'étais pas vraiment à fond hein. bien sûr que si, et il ment très mal lorsqu'il est défoncé. - T'es une sirène ? elle a l'air plutôt mignonne et elle vient de l'océan; presque comme un mythe incarné. Suffisant pour le faire sourire, et lui donner l'envie d'avancer dans sa direction. - Pour être honnête, j'crois pas trop aux légendes.. Mais si t'en es vraiment une, c'est cool aussi. peut-être que ça lui fait du bien de croire en quelque chose, pour une fois; pas besoin d'aller chercher la vérité plus loin.  



Hj: Merciii ~ Upside down ~ (Charlie) 2511619667
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@Denzel Hopkins" tu n'es pas frileuse, habituée à nager en toute circonstance. tu ne te décourages pas. légèrement entêté pour certains, tu aimes te complaire dans ce que tu aimes. Tu avances, tu l'analyses comme tu as l'habitude de le faire. " pas vraiment à fond ? ah bon " que tu dis en souriant légèrement. tu as pourtant bien entendu ce qu'il a crier. colère qui se lisait sur ses lippes. tu as perçu ce sentiment à des kilomètres. tu avances au rhyme des vagues. " manquerait plus que je m'appelle arielle " que tu dis en rigolant légèrement. dans un monde éphémère, tu pourrais pourtant être une sirène charlie. t'en es persuadée. face à face, tu décides de baisser la fermeture de ta combinaison. fermeture qui s'arrête à la commissure de ta poitrine. " tu sais ce qu'on dit des légendes ? " mort lente et savoureuse que tu lui offres. " rassure toi, je ne suis pas une sirène " que tu dis en chuchotant légèrement comme si tu lui disais un secret. " je crois que tu n'as plus rien à boire " tu pointes la bouteille de rhum qu'il a entre ses mains. " je dois avoir une autre bouteille dans ma voiture si tu veux " une autre bouteille ? menteuse que tu es charlie. une simple bouteille d'eau attends ce pauvre homme, mais tu penses qu'il en a bien besoin.   
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Upside down (@Charlie Sanders )  

Elle se tient là, à quelques mètres devant lui; comme un mirage sorti des vagues, une illusion créée par le reflet du soleil sur la blancheur de l'écume. Trop belle pour être vraie, le fruit de son alcoolémie élevée. - C'était l'échauffement, je me chauffais les vocalises. il y a erreur dans l'expression, non ? Songeur, sourcils froncés, Denzel finit par secouer la tête, persuadé de s'être trompé. Mais il ne cherchera pas plus loin. Regard totalement captivé par le mouvement des doigts sur la fermeture de la combinaison, billes océanes arrêtées sur la partie visible de sa peau; l'esprit imagine sans mal le reste, et sa voix ne fait que conforter la création d'une certaine image dans sa tête. - Honnêtement, je serais parti avec toi. Sans poser la moindre question. la mort la plus érotique qui soit; une fin qui lui conviendrait, sans le moindre doute. - Et alors.. Si t'es pas une sirène.. Qui es-tu ? le blond se rapproche encore, hypnotisé par cette rencontre inattendue; par le charisme de cette belle inconnue. - Tu dis ça mais tu vas pas revenir. J'le sais, fais pas genre. En plus il me reste des joints.. Et un fond de rhum. les gens trouvent toujours des prétextes pour se barrer, c'est dans la nature commune. Sinon, il n'aurait pas été seul en cette fin de journée. Et même si la perspective de boire - toujours - plus est réjouissante, l'idée de la laisser filer l'est beaucoup moins. Goulot qu'il porte à ses lèvres pour une petite gorgée supplémentaire; non sans guetter le départ iminent de la sirène.  

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@Denzel Hopkins" pensées qui se stoppent au moment de ta rencontre avec cet inconnu. tu pensais être seule et finalement tu vas tout naturellement vers lui. corps qui parle à sa place, tu devines facilement que cet homme a besoin de toi. tu souris et hoche la tête lorsqu'il affirme qu'il s'échauffait. tu devrais peut être y songer, t'es persuader que crier un peu te ferait du bien. tu n'as pas pour habitude d'externaliser ta colère. tu descends la fermeture de ta combinaison, tu as l'impression d'étouffer. tu remarques les yeux curieux de l'inconnu se poser sur tes formes. amuser, tu claques légèrement des doigts comme pour lui indiquer que tes yeux se trouvaient un peu plus haut. " tient donc, tu choisis donc la mort " ton sourire s'étire un peu plus. " moi, c'est juste charlie et tu es ? " que tu lui dis en lui tendant ta main en signe de présentation. tu n'es personne, trop habitué à te déplacer dans l'ombre. tu n'as pas besoin de lumière. " tu m'invites c'est sa ? " prunelles qui se plissent. tu l'observes boire les dernières goutes de son breuvage. tu te pinces les lèvres et lui dis : " en faite, l'invitation impliquait que tu viennes avec moi la chercher. " tête qui s'accompagne d'un hochement de tête " et puis pour être honnête, la sirène se caille les miches. "     
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Grillé. Pris sur le fait, la main dans le sac. Ou plutôt, les yeux sur les courbes. Un claquement de doigts pour le faire émerger, l'inciter à relever son regard; pas gêné le moins du monde. Il s'assume Denzel, et ne se privera jamais de regarder les femmes, surtout lorsqu'elles sont aussi belles que l'est cette demoiselle. Sirène. Peu importe sa nature, tant qu'elle est bien présente avec lui. - C'est le chemin commun, que ce soit tôt ou tard. lugubre ou bien réaliste, à elle de se faire son opinion. Quitte à mourir, autant le faire avec la plus agréable des compagnies. - Juste Charlie.. Moi, c'est Denzel. Mais on m'appelle juste Dz, c'est cool aussi. poignée de main qu'il s'empresse d'accepter, presque amusé d'en venir à de telles manières au beau milieu des vagues. Tout ce qui n'est pas commun a tendance à lui plaire, de toute façon. La tête du blond se penche légèrement sur le côté, tandis qu'un mince sourire se forme aux coins de ses lèvres; bien sûr qu'il l'invite à se joindre à sa petite soirée, totalement improvisée. - La petite sirène aurait dû rester au chaud.. C'était imprudent de venir. et son cas n'est pas une référence, puisque nager dans l'océan n'est autre que son métier. La chaîne et les plaques militaires autour de son cou ne sont qu'une petite preuve de son engagement. - Cela dit.. J'accepte ton invitation. Ce serait bête que je te laisse disparaître. cul sec pour terminer la bouteille, avant de lui faire signe d'un geste de la main de rejoindre la plage. T-shirt qu'il ramasse, secoue légèrement avant de le tendre à la brune, souhaitant épargner à sa peau, les assauts du vent. - Il sent sûrement la weed.. Mais c'est mieux que rien.

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@Denzel Hopkins" pas faux. chemin que tout le monde emprunte un jour. tu n'es pas de ceux qui se voilent la face, cela à tendance à te rassurer. la mort est une fatalité commune, il n'y a cette fois aucune possibilité d'y échapper. l'argent, l'intelligence, la bravoure n'y peuvent rien. " je suppose que ce serait une belle mort " sourire au coin des lèvres. maladroitement, tu finis par te présenter. main qui se tends vers lui, il se présente à son tour puis vient serrer ta main. " enchanté, juste DZ " amusé par la situation. ton regard se baisse. tu serais presque surprise d'apprécier cette rencontre. tes bras finissent par se croiser contre ta poitrine, tu commences à avoir froid. cheveux mouillés qui ne sèchent pas, tu sens le vent sur ta combinaison. " l'imprudence a c'est bien fait " tu n'es pas du genre à avoir peur. âme qui aime se mettre parfois en difficulté. tu aurais pu rester dans ton lit, tu es déjà malade. tu sais que ton état va s'empirer. tu le sens déjà. muscles qui s'atrophient mais tu ne dis rien. tu n'es pas du genre à te plaindre. invitation acceptée, tu marches avec lui. " c'est ce qui permet de le sentir battre " que tu rajoutes en pointant du doigt son coeur. vous vous arrêtez, il prends son tee shirt qu'il secoue et qu'il te tends gentiment. tu le prends et lui dis en chuchotant : " la weed sa sent meilleure que la cigarette " tu souris de toute tes dents et finis par descendre un peu plus la fermeture de ta combinaison avant de te stopper. comme si tu venais de te rappeler " tu te retournes ? " intelligence même de ne pas avoir mis de haut de maillot de bain. tu te pensais assez seul pour te permettre ce petit extra. " j'ai pas mis de haut de maillot de bain. " tu te sens obligée d'ajouter ce petit détaille. tes joues deviennent rouge et tu finis par te retourner toi. " tu es venu comment sur cette plage ? " dos dénudé, commissure de ta poitrine légèrement apparente. " merci pour le tee shirt. "             
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Upside down (@Charlie Sanders )  

Le contact passe bien, c'est presque évident; peut-être que l'alcool y est pour quelque chose, également. Denzel ne cherchera pas à comprendre, et encore moins à se prendre la tête. Si ça fonctionne, alors tant mieux; point barre. C'est tout ce qui importe, pour l'instant. - Mourir comme ça.. Je pourrais le faire tous les jours. dans les bras d'une sirène, plutôt symbolique pour un marin. Sirène présentée sous le nom de juste Charlie, une façon de faire qui convient au juste DZ. Après tout, c'est de cette manière qu'il se perçoit: comme un petit gars insignifiant, dont tout le monde se fout. Honnêtement, il ne s'en porte pas plus mal. Que cette jolie brune puisse partager son point de vue, est agréable; cela aurait même tendance à le conforter dans cette aisance naturelle qu'il ressent à son côté. Mais la belle a froid, et le blond ne manque pas de le remarquer. - Qui serais-je pour prétendre le contraire ? comment la contredire, alors qu'il vit lui-même au devant du danger. C'est l'imprudence qui gouverne sa vie, dicte ses faits et gestes. Sourire éclatant sur son visage lorsqu'elle pointe le myocarde du doigt, on ne peut plus d'accord avec chacun de ces mots. Elle ne pouvait pas mieux choisir sa phrase. T-shirt qu'il lui propose, pour la protéger du vent; interrompu avant même de pouvoir rajouter une réplique, par la fermeture qui descend dangereusement, stoppée juste à temps par ces soins. Une nouvelle fois, le regard a cette fâcheuse tendance à se perdre sur sa peau dénudée; rattrapé par le son de sa voix et cette belle couleur rouge, teintant ces joues. - Euh.. Ouais, bien sûr. Désolé. son corps, presque aréactif, tarde à bouger; et c'est elle, finalement, qui se tourne la première. Denzel tente de faire de même, se postant pratiquement dos à dos avec Charlie; osant - malgré lui - jeter un coup d'oeil par dessus l'épaule avant de se raviser. - De souvenir.. A pied. la base navale n'est pas très loin, c'est un trajet qu'il effectue couramment, même raide défoncé. Soupir qu'il lâche, tentant de se concentrer sur autre chose que ces courbes féminines; pêché de tentation auquel il est difficile de résister. - Je t'en prie. Tu peux le garder, ça me dérange pas. ou l'utiliser comme prétexte pour revenir le voir. Mais ça, c'est elle qui voit. - Du coup.. Tu vas rentrer ? demande-t-il sans oser lui faire face, par peur de laisser son regard dériver, encore une fois.  

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@Denzel Hopkins" tu l'observes, t'analyses chacune de ces mimiques. curiosité qui s'attarde sur chacune de ces réponses, étrangement tu veux en savoir plus sur lui. t'aimerais lui poser une ribambelle de questions mais tu te retiens. tu ne veux pas paraitre étrange, ou du moins plus étrange que tu ne parais déjà. tu attrapes le tee-shirt qu'il te tends. trop grand pour toi, tu t'en fiches, t'as besoin de vêtement sec. tu lui demandes de se tourner pour finalement pivoter avant lui. tête qui se penche sur le côté lorsqu'il te réponds, tu veux voir s'il te regarde. t'aimerais bien ? tu penses que oui, difficile à dire. dos à toi, tu souris secrètement. tu enfiles le vêtement sec, tu noues un noeud au dessus de ton ventre puis tu te tournes. doigts qui viennent tapoter son épaule. " tu peux te retourner, j'ai terminé " dis-tu simplement. " non pas tout de suite " sourire au lèvre. tu rajoutes " on a une bouteille à aller chercher " que tu dis en hochant la tête. tu ne comptes pas le laisser comme sa. tu sais qu'il a trop bu et qu'un peu d'eau ne lui ferait pas de mal. pas sûr qu'il apprécie la composition de ta bouteille mais tu t'en fiches. vous marchez en direction de ton van. enfin du van de ton ami. tu lui as emprunté pour venir jusqu'ici. tu ouvres le véhicule. " tu peux monter devant si tu veux, il fait plus chaud à l'intérieur. " coffre qui s'ouvre, tu saisies la bouteille d'eau. tu fais glisser la petite fenêtre qui sépare le coffre des sièges de devant. tête qui apparait sur le côté, il se tourne vers toi. " je crois que ça va te faire du bien.. " tu lui tends la bouteille d'eau et finis par sourire amusé. " un peu d'eau. "           
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